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La gargote Béarnaise : [RP - Pourparlers] Sans arme, ni haine, ni violence

Acar
Derrière les battants de la lourde porte ferrée, il enstendaict presque tout et fulminait, de plus en plus... L'outrecuidance atteignait le paroxysme et à croire que le Lion, en totalité, n'avaict poinct d'oreilles.

Parbleu, son suzerain n'avaict poinct à s'excuser devers des assassins, vu qu'on ne l'avaict poinct escoutillé avant leurs arrisvées...

Le sujet de Yohann estaict bien clos, depuis le fameux jour ou lui-mesme l'avaict faict sortir du Béarn et en avaict presvenu le jour même le chancelier Izaac, tout comme il estaict impensable que cet homme puisse entrer librement en nostre Béarn, pour envenimer encore plus la situation, par le verbe acerbe des réformés et cette personne en estaict un maistre.

Il fulminait, mais pour l'instant, aucun cris l'alertant d'une tromperie, les battants de la porte ne s'ouvriraient poinct encore...

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Sanctus
Déguisé en mendiant, Sanctus faisait les cent pas devant la porte du château. Il s'était couvert de fumier, devenant repoussant pour les gardes du coin, les passants et lui-même. Il avait un peu trop forcé la dose et il en avait des nausées.
Cela faisait plusieurs heures que Melian avait disparu. Les Béarnais étaient-ils des fourbes, capables d'estourbiller un homme venu parlementé ? Il en crachat par terre de dépit, maudissant ces temps nouveaux où les lois de la guerre n'étaient plus respectées.
Avec les espions et les acquis à la cause qui se ralliaient secrètement jour après jour, il comptait plus de quarante hommes sur place. Les Béarnais avaient encore le choix. La guerre ou la paix. Mais la présence de quelques chevaliers francs, fourbes d'entre les fourbes, ne laissait rien entrevoir de bon.
Il alla s'asseoir face à la lourde porte qui avait vu passé son frère. Il était temps de méditer sur les Ecritures.

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Cromwell dict Sanctus, dit عبد الواحد
Le Vieux Lion.

Caro68130
Le regard sur ma personne était insistant il me dévisageait mais je faisais celle qui n’avait rien remarqué. D’ailleurs j’en avais fait tout autant alors s’il pensait peut-estre me troubler ou me faire lâcher prise, il se trompait allégrement. Sans doute avait-il du ressentir un moment ou un autre la tension qui me reprenait. Par contre plus il parlait plus j’avais l’impression qu’il me prenait à présent pour une courge. Tient courge ? Ce n’était pas la première fois que j’avais déjà eu cette impression et pourtant non, je donnais peut-être cette impression mais je ne l’étais de loin pas.

Il ne connaissait rien de ma personne, rien de la louve qui était en moi, rien de celle qui se présente à ce jour devant lui comme étant la comtesse, mais qui en tant normal réagirait bien différemment. Et pourtant au fur et à mesure que je l’écoutais je sentais la comtesse me quitter pour ne plus que laisser place à cette louve à qui on avait osé faire affront. Ainsi donc ce que je proposais ne suffisait pas, il fallait encore mettre des conditions même si j’avais osé espérer qu’en abandonnant les dix mille écus et propositions faites de ma part nous en serions arrivés à un terrain d’entente.

Je passais ma main dans mes cheveux à la base de crâne sans quitter le messire des yeux, laissant un long moment nos regards l’un dans l’autre avant de lui répondre….. Il voulait connaitre ce que j’avais au fin fond de mon âme, ce que je pensais là de tout ce qu’il venait de dire … j’allais lui en donner l’occasion.

Redescendant ma main pour aller la poser sur sa jumelle qui reposait sur une jambe, j’arborais un léger sourire.


Messire Melian du Lys….je crois que vous ne m’avez pas très bien comprise ou alors peut-être que je ne me suis pas bien exprimée. Si tel est le cas, veuillez m’en excuser et vais donc vous dire ce que je pense là… maintenant que vous en êtes arrivé à m’imposer encore des conditions. Il m’avait pourtant semblé que nous partions sur un bon terrain d’entente mais là j’ai bien peur que cela n’aille vraiment pas dans le sens que nous souhaitions tous les deux.


Court arrêt, le sourire restait de mise, à lui de savoir comment il fallait le prendre mais pour ma part je souriais de voir à quel point on pouvait penser me berner.

Messire… en effet et je vous le confirme, vos hommes pourront partir et l’Entente Pyrénéenne ne les rattraperont pas. Par contre …..si nous sommes d’accord sur certains torts de Messire Varden, je ne vois pas pourquoi il devrait faire des excuses au peuple genevois. C’est Genève qui nous a fait des reproches, c’est Genève qui nous fait la guerre alors excusez-moi mais je ne vois vraiment pas quelles excuses il aurait à faire. Ou alors attendez vous qu’il aille dire « Genève excusez-moi de nous avoir fait la guerre ? » Voyez ma phrase ne veut rien dire n’est ce pas ? Et bien personnellement pour moi cette demande d’excuses ne veut rien dire non plus.

Puis un long soupir…mais restant toujours calme

De plus Messire Melian du Lys… Vous revenez encore et encore sur le même sujet ? À savoir Yohann ? Messire au risque de vous déplaire ce Messire n’a rien fait de mal chez nous, et si Genève n’a pas supporté qu’il vienne chez nous ce n’est ni sa faute, ni la notre. Genève s’est permis de nous déclarer la guerre parce qu’elle n’arrivait pas à mettre la main sur un homme qu’elle pourchasse. Mais Messire en ce cas le Bearn ira faire la guerre à tous les comtés et duchés qui détiennent brigands et assassins que nous n’avons pas pu avoir ? En ce cas si tout le monde faisait pareil vous imaginez-vous un peu la pagaille dans le Royaume, le SRING et autres contrées ? Ce serait la guerre perpétuelle … Si Genève n’a pas été capable de punir ce Yohann ce n’est pas à nous d’en payer les pots cassés, et je vois là que solution de facilité pure et simple. Vouloir nous faire porter le chapeau c’est excessif surtout et vous n’êtes pas sans le savoir que ce Messire n’est plus chez nous depuis que nous avions découvert que Genève voulait nous faire la guerre. Il lui a été demandé de partir et il partit.

Expliquez moi alors pourquoi vous n’êtes pas allé envahir la Guyenne, lieu où il se trouvait un moment, pourquoi vous n’en avez pas fait de même à Jaca, lieu où il a passé du temps aussi … Voyez là Messire Melian du Lys, j’ai l’impression que vous me prenez pour personne des plus niaise qui soit...

Je ravalais ma salive. Restait à présent à lui dire ce qui allait découler de tout cela…

Enfin j’ai tout de même question à vous poser encore. Vous voulez faire venir Izaac ici pour parler encore ? Mais dites-moi que sommes-nous entrain de faire ? Vous voulez donc dire que tout ceci n’aura été que masquerade était donné qu’il faudra encore et encore tout réexpliquer à votre chancelier ? Messire Melian… pourquoi donc êtes vous venu alors ?

De plus je dois vous informer que d’ici peu je ne serai plus comtesse, donc tout ce que nous venons de discuter peut-estre balayé d’un simple revers de la main par le prochain coms et tout serait à recommencer… donc à vous de voir si vous voulez encore perdre du temps….


Je me relevais à nouveau du fauteuil pour faire quelques pas vers la cheminée afin de m’y réchauffer les mains avant de me retourner et de refaire face au genevois


Par contre… comme je viens de vous le dire… d’ici à quelques jours je ne serai plus comtesse et j’ose espérer que d’ici là j’aurai récupéré ma fille saine et sauve…. Sachez que là je réagis en tant que comtesse mais une fois le nouveau conseil en place et la nouvelle comtesse élue… et si d’ici là je n’ai pas ma fille, vous aurez face à vous une mère en colère pour ce qu’on a fait subir à son enfant et pour ce qu’on m’a fait comme affront… Ce ne sont pas des menaces Messire Melian... mais je tenais juste à vous prévenir que comtesse et mère sont certes la même personne que vous avez à l’instant devant vous, mais une fois que la mère aura repris tous ses droits, ma réaction risque d’être toute autre….

J’espère ne pas vous avoir choqué de part mon franc parlé, mais je n’ai pas l’habitude d’user de paroles futiles et de tourner autour du pot. Maintenant à vous de voir… soit on en reste à ce que vous me rendiez ma fille, que verdict de prison ne sera intenté et ainsi vos hommes repartiront libres… soit on attend l’arrivée de Izaac et tout sera à reprendre avec le prochain conseil… libre à vous

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En cours de changements
Meliandulys
Rhaaa... la rosse enfantée par le Sans Nom !! la pensée avait explosé au fond de sa caboche et était redescendu bien vite jusqu'à lui prendre les tripes... les paroles avaient heureusement été retenues de justesse, restant suspendues au bord des lèvres. Il ne chercha par contre pas à retenir le lent soupir qui s'échappa après cela. Tout semblait sur le point de s'arranger, et voilà la Comtesse qui portait une nouvelle estocade.

Me que croyait-elle donc ? Que les genevois étaient venus par ici en chantonnant, la fleur au pal,que cette décision avait été prise de gaité de cœur ? Ou alors peut être que Genève était peuplée de barbares mangeant leur enfants, violant leurs femmes, vouant un culte au sans nom et s'adonnant à la pratique de sanglants rites païens ?
Comment pouvait-elle croire que tout ceci n'était que prétexte pour porter la guerre en terres béarnaises. Et quel aurait donc été le but d'envoyer autant de troupes en manœuvre si ce n'était celui, mainte fois évoqué, de régler une fois pour toute le cas du défroqué Yohann. Une chose qui tenait particulièrement au cœur des genevois, plus qu'elle semblait pouvoir le comprendre. Avait-elle, ne serait ce qu'une fois, entendu le récit de la grande croisade d'Avril 56 et des meurtrissures avec lesquelles Genève s'était relevée un petit matin de Mai ?

Le temps d'une respiration de travers, et le regard que Mélian posait sur la comtesse devint glacial. Sa bouche resta close pendant de longs instants. C'était d'ailleurs souhaitable qu'il fusse ainsi resté muet, ne laissant pas jaillir à chaud ce qui pouvait bien lui passer par la tête après avoir écouté les dires de la comtesse. Cela aurait à coup sur sonné le glas de ces pourparlers. Il finit par prendre la parole, se rendant compte qu'il lui était de plus en plus ardu de maitriser ses émotions.


Comtessa, à aucun moment, nous avons exigé, ni même émis le souhait que justice soit faite à la place de Genève, et Déos m'en serra témoin. Mais uniquement de signifier à l'assassin en fuite et sous le coup d'un condamnation prononcée par notre justice, qu'il n'était pas le bienvenue chez les amis de Genève. Donc, pour ce qui est de faire la guerre aux autres contrées qui ont hébergé Yohann, il me faut vous préciser que seul le Béarn n'a pas pris en compte notre volonté de discuter posément de la chose. Jusqu'à présent, à chaque fois que nous avons repéré le félon quelque part et que nous avons sollicité le duché en question , à chaque fois réponse favorable nous a été donné.

Il avait alors pris le temps de respirer lentement, profondément, puisant au fond de lui la force de continuer à parler posément, et ainsi maintenir toute la courtoisie qui était de mise depuis le début. Enfin ce qui pouvait être considérer comme une relation courtoise en de pareilles circonstances. Il lui fallait penser au bien de ses frères en priorité... cela avait finalement suffit à calmer les palpitations effrénées de son cœur et avait étouffé cette rage, mauvaise conseillère, qui cherchait à s'emparer de lui.

Non sans peine, il avait finit par se lever, faisant fi de sa blessure. Il n'avait d'ailleurs pu dissimuler à son hôte une grimace passant fugitivement sur son visage et un râle s'échappant de sa gorge nouée. Quelques pas pour se dégourdir les jambes depuis trop longtemps immobiles, quelques pas pour gagner un temps précieux utile à la réflexion, quelques pas salvateurs pour retrouver un calme apparent de circonstance...

Et lorsqu'il s'était de nouveau tourné vers la comtesse, le regard qu'il lui offrit cette fois ci était plus doux, le visage plus apaisé. La voix qui s'ensuivit était plus calme, dénuée de toute rancœur... bien que cette apparence tranchait avec le bouillonnement intérieur qui l'animait toujours.


Vous avez raison, Comtessa, nous ne sommes pas là pour nous faire des ronds de jambes. Déjà en temps normal, ces révérences continuelles et cet excès de politesse bien souvent feint m'exaspère, alors avec cette situation qui est la notre présentement, cela serait encore plus mal venu.

Et encore une fois, je le dis Comtessa, vous avez parfaitement raison. Je me suis peut être quelque peu égaré. J'ai peut être en effet, par mes incessantes demandes, éloigné notre discussion du dénouement salvateur qu'elle était en train d'appeler. Sans doute ai-je l'espace d'un instant, perdu de vue ce qui importait réellement pour nos deux peuples. J'espère que vous ne m'en tiendrez point rigueur, Comtessa.


Un léger sourire affiché en guise d'excuses avant de continuer.

Concernant Izaac, sans doute avez vous mal compris le but de ma requête, Comtessa, ou alors l'ai-je tout simplement mal formulé. Cela ne remet aucunement en cause ce que nous sommes en train de faire. Nous tentons d'apaiser les tensions pressentes, nous tentons de parer au plus urgent, cherchant à offrir à nos gens la quiétude pour les jours prochains. En aucune façon le Chancelier Izaac ne viendra remettre en cause tout cela.

Pourquoi je sollicite a présence à Pau dans ce cas ? Je souhaiterai simplement qu'il soit autorisé à venir se présenter au nouveau conseil béarnais. Car là ,ou je suis avant tout un soldat parfois borné, je vous le concède, lui est quelqu'un que la vie longue et riche en expérience a rendu plus souple, bien qu'un peu grincheux parfois. Mai n'est ce pas l'apanage des anciens que d'être grincheux et séniles...

Et je pense que si tout deux avons réussit, ou sommes sur le point de réussir à apaiser cette situation conflictuelle nous opposant, je suis malgré tout persuadé qu'il peut être dans l'intérêt de nos deux peuples, d'entamer des discussions posées afin d'éviter que dans l'avenir, de telle situation d'incompréhension ne se reproduisent, plongeant l'une ou l'autre de nos terres dans un gouffre sans fond.


Il avait encore parlé et parlé, sans doute plus qu'il n'eut été utile de le faire dans un moment réclamant d'être clair et concis. Il en revint donc à ce qui devait être réglé au plus vite.

Je vous ai demandé d'avoir foy en ma parole Comtessa. Il me semble que la moindre des politesse serait que je fasse de même. S'il est entendu que mes compagnons ne seront pas inquiétés par la justice, commetout prisonnier de guerre qui se respecte, et qu'ils pourront quitter le Béarn libres, sous les conditions que vous m'avez annoncé, alors votre fille vous serra bien entendu rendue, et en bonne santé, comme je m'y étais engagé. Elle est jusqu'à présent aussi convenablement traitée comme prisonnière de guerre, que les notres capturés chez vous. J'ai confiance en vos dires Comtessa, et si votre parole m'est donnée dans ce sens, cela me suffira. Nous sommes entre gens d'honneur après tout...
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« Florebo quocumque ferar »
Genevois, Républicain, Réformé
Caro68130
J’avais touché un point sensible, son regard qui devenait des plus froid ne m’avait pas échappé et je voyais bien qu’il puisait au fond de lui mesme des ressources bien ancrées afin de ne pas laisser jaillir la colère qui lui prenait tout son estre. Touché coulé pourrait-on dire en d’autres lieux et d’autres temps… voire un point pour l’équipe du Bearn face à l’équipe de Genève si nous étions en pleine soule. Ainsi donc nous en étions lui et moi presque au même stade de devoir refouler nos pulsions qui ne demandent qu’à jaillir.

Je le regardais se lever voir la douleur prendre place sur son visage puis cette souffrance à peine dissimulée. Ainsi donc il était bel et bien blessé et peut-estre bien plus que je ne l’aurai imaginé. La médicastre que j’étais se serait en temps normal précipitée pour porter aide, mais la situation était bien différente. Toujours près de la cheminée je le suivais du regard, sans dire un mot, laissant une fois de plus le silence prendre place et laisser les secondes s’égrainer. Me tournant légèrement en sa direction quand il affichait à présent un tout autre visage. Plus calme, une voix somme toute douce ce qui venait de fortement m’étonner. Où voulait-il donc en venir ? à quoi jouait-il ? Etait-ce là manière à eux, à lui de vouloir amadouer ? Un léger sourire se dessinait de voir à quel point on pouvait tenter de me faire croire que la sérénité régnait. Contre hommes de leurs genre j’avais bien eu à faire et à cela je peux dire que les démêlés qu’on a pu avoir avec Torras m’auront grandement servit…Légers acquiescements de la teste en l’écoutant avant de faire quelques pas à mon tour en sa direction pour me retrouver à un mètre de distance à peine, regard soutenant le sien mais toujours avec ce léger sourire


Et bien voilà que nous sommes d’accord sur une chose au moins Messire Melian du Lys… ces révérences continuelles et ces paroles usées pour ne rien dire m’exaspèrent tout autant surtout quand on sait que ce n’est que pour faire animation…donc autant ne plus en user entre nous et aller directement au but vous ne croyez pas ?

Ainsi donc nous serions les seuls à avoir refusé de discuter posément ? désolée de vous contredire mais cela est mensonge une fois de plus. Ensuite vous dites amis de Genève ? mais est ce donc ainsi que la Helvétie entretien ses relations avec ses amis ? Etrange manière que de vouloir faire la guerre dès qu’on n’obtient pas ce qu’on veut non ? Enfin là encore cela doit estre une vision bien à part de la Helvétie et heureusement que nous ne faisons pas pareil chez nous car ô combien serions nous en guerre alors avec d’autres comtés duchés qui n’ont pas accédé à nos demandes alors que nous sommes en coopération judiciaire... enfin bref… chacun sa vision des choses n’est ce pas ?


Je cachais comme je pouvais mon envie de rire car cela en devenait burlesque. Je me retenais, avant de continuer

Bon… bon… bon… votre chancelier Izaac arriverait sur Pau pour se présenter au nouveau conseil, fort bien... mais comme sa venue surviendra après la fin de mon mandat probablement… je vous le redis, tout sera peut-être à refaire et je trouve dommage que nous ayons dès lors vous et moi perdu du temps. Mais si je reprends vos mots en ce qui concerne ma fille, il me faudrait donc attendre que vous puissiez partir pour la récupérer ? Messire… croyez-vous vraiment que la mère que je suis laisserait faire telle chose ? vous la laisser entre vos mains pour un bon mois je pense le temps que… vous… et vos amis soyez sur pieds ? Messire … j’ose espérer que vous n’avez pas songé à cela traitée convenablement ou pas ?

Enfin… si le conseil en place accepte la venue de votre chancelier nous verrons bien ce qu’il va se passer. Mais je l’ai dit, tout ce que nous venons de discuter peut estre balayé d’un simple revers de la main.


M’avançant de quelques pas encore, passant sur son costé droit pour lui murmurer.

De vous à moi… je ne serai plus comtesse et j’espère que j’aurai récupéré ma fille, sinon je crains que nous nous retrouvions face à face.... vous et moi..... pour une danse qui risque de ne pas vous plaire, la louve sera là pour retrouver son petit et si je dois en arriver à croiser les fers j’espère bien que ce sera contre vous…

Je passais derrière lui pour revenir vers l’avant, me retourner… lui sourire et lui faire un clin d’oeil
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En cours de changements
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