lothilde
Par une belle journée d'automne, 4 mousquetaires quittent le tripot du port de Luxeuil pour une expédition qui les conduira à la recherche de ce petit bras d'eau qui s'enfile mollement dans les terres, vers le nord-est, à l'extrémité du lac...Le Père Adso n'a pas le pied marin et soupçonne -à tort- la Dampierre de vouloir lui faire courir des risques inutiles en l'embarquant malgré lui sur une vieille gabare qu'elle vient d'acheter. Fier comme un bar-tabac, juché sur son âne, il longera ce bras d'eau sur le chemin de halage.
Plus courageux, sous la houlette de Zephirin, vieux loup de mer agressif, McAneyth et Lothilde embarqueront sur la barcasse qui prend l'eau de toutes parts et apprendront sous la férule du maître le maniement de la coquille de noix...Adrien, qui devait grimper à bord, a loupé l'embarquement mais impossible de faire faire marche arrière à l'engin emporté par sa grande voile carrée vers le large...
Soir du premier jour...Les marins d'eau douce s'aperçoivent que la rivière qui devait prétendument remonter en Lorraine n'y va pas du tout mais s'enfonce à l'est.La gabare est à l'ancre, ils rejoignent le père Adso qui fonce sur son quadrupède vers Epinal, et qui semble affirmer que le bras de rivière après une courbe, reviendra sur Saint-Dié, et que donc, nous devrons aller à Saint-Dié pour nous en assurer.
Soir du deuxième jour, arrivée à Saint-Dié...Alors, elle est où, l'arrivée de la rivière ?? On bat les buissons et les taillis aux alentours...pas le moindre petit marécage dans lequel embourber nos chausses.
Ricanant sous cape, la Dampierre fait quelques croquis rapides...avant de faire marche arrière et reprendre la gabare pour aller...vers la germanie !
Consciencieusement, elle annote ses dessins, avant de les remettre dans ses fontes.
Jour 1 - arrivée à Epinal..on a perdu la rivière, mais retrouvé Adso, l'échange n'est pas forcément en notre faveur...la rivière a des qualités que n'a pas Monseigneur : elle ne râle pas pour tout et pour rien, elle...
Jour 2 - arrivée à Saint-Dié. Pas trace de l'arrivée du bras d'eau. Nous avons au moins une certitude : pour passer par la lorraine, ce sera avec des sabots-dondaine sur la terre ferme...et pas à la nage ni sur nos embarcations de fortune...
_________________
Plus courageux, sous la houlette de Zephirin, vieux loup de mer agressif, McAneyth et Lothilde embarqueront sur la barcasse qui prend l'eau de toutes parts et apprendront sous la férule du maître le maniement de la coquille de noix...Adrien, qui devait grimper à bord, a loupé l'embarquement mais impossible de faire faire marche arrière à l'engin emporté par sa grande voile carrée vers le large...
Soir du premier jour...Les marins d'eau douce s'aperçoivent que la rivière qui devait prétendument remonter en Lorraine n'y va pas du tout mais s'enfonce à l'est.La gabare est à l'ancre, ils rejoignent le père Adso qui fonce sur son quadrupède vers Epinal, et qui semble affirmer que le bras de rivière après une courbe, reviendra sur Saint-Dié, et que donc, nous devrons aller à Saint-Dié pour nous en assurer.
Soir du deuxième jour, arrivée à Saint-Dié...Alors, elle est où, l'arrivée de la rivière ?? On bat les buissons et les taillis aux alentours...pas le moindre petit marécage dans lequel embourber nos chausses.
Ricanant sous cape, la Dampierre fait quelques croquis rapides...avant de faire marche arrière et reprendre la gabare pour aller...vers la germanie !
Consciencieusement, elle annote ses dessins, avant de les remettre dans ses fontes.
Jour 1 - arrivée à Epinal..on a perdu la rivière, mais retrouvé Adso, l'échange n'est pas forcément en notre faveur...la rivière a des qualités que n'a pas Monseigneur : elle ne râle pas pour tout et pour rien, elle...
Jour 2 - arrivée à Saint-Dié. Pas trace de l'arrivée du bras d'eau. Nous avons au moins une certitude : pour passer par la lorraine, ce sera avec des sabots-dondaine sur la terre ferme...et pas à la nage ni sur nos embarcations de fortune...
_________________