Robinus70
Elle nétait plus quune petite chose sans vie sans forme, que lon bombardait de questions, alors que son esprit souvrait lentement à la réalité dune option quelle avait niée jusqu'alors.
Mécaniquement lasse elle répondit :
Dragones, Gawin navait pas fait de testament à ma connaissance et nen a jamais parlé, et je ne connais pas cette fondation !
Robinne laissa là Dragones à ses questions.
Elle navait plus grand-chose à dire, et à la lueur des quelques paroles prononcées, elle se rendit compte avec quelle impudeur elle venait de parler, mais de parler au passé
Elle ramassa la petite pochette de cuir où étaient rassemblés une vie déchange de mots, de rire et de complicités.
Regarda Mordock puis Claudine.
Mordock ? Jai besoin dun service, je ne supporte plus ce lieu, ces souvenirs....
Joignant un geste à la parole, fouillant sa poche, elle en sortit lobjet quelle avait serré tous ses jours derniers.
Elle le posa sur la table devant Mordock.
Tiens, elle est à toi le temps de mon repos .
Une petite clef, patinée par le temps, clef dune demeure révolue, clef dune énigme à élucider, clef de la ville assiégée et que dans un acte de soumission, on offre au vainqueur.
La clef relais que lon offre à une personne de confiance. Et pour Robinne la confiance accordée nétait pas un geste banal et anodin offert dun coup dindex.
Elle tendit lobjet à Mordock qui dun regard lui accorda ce quelle lui demandait.
Dragones ? Claudine qui est là . Son époux Béren a disparu
Claudine je mexcuse je suis à bout expliquez à Dragones, montrez lui la lettre elle vous aidera si Béren ne revient pas
Elle passa la porte en souhaitant à Claudine de retrouver Beren, et malgré toute les mises en gardes de Grand-Papa, elle partit sur le chemin défendu, le chemin que plusieurs jours avant Gawin avait foulé des ses pieds, sous lil critique dun Hibou blanc.....
Mécaniquement lasse elle répondit :
Dragones, Gawin navait pas fait de testament à ma connaissance et nen a jamais parlé, et je ne connais pas cette fondation !
Robinne laissa là Dragones à ses questions.
Elle navait plus grand-chose à dire, et à la lueur des quelques paroles prononcées, elle se rendit compte avec quelle impudeur elle venait de parler, mais de parler au passé
Elle ramassa la petite pochette de cuir où étaient rassemblés une vie déchange de mots, de rire et de complicités.
Regarda Mordock puis Claudine.
Mordock ? Jai besoin dun service, je ne supporte plus ce lieu, ces souvenirs....
Joignant un geste à la parole, fouillant sa poche, elle en sortit lobjet quelle avait serré tous ses jours derniers.
Elle le posa sur la table devant Mordock.
Tiens, elle est à toi le temps de mon repos .
Une petite clef, patinée par le temps, clef dune demeure révolue, clef dune énigme à élucider, clef de la ville assiégée et que dans un acte de soumission, on offre au vainqueur.
La clef relais que lon offre à une personne de confiance. Et pour Robinne la confiance accordée nétait pas un geste banal et anodin offert dun coup dindex.
Elle tendit lobjet à Mordock qui dun regard lui accorda ce quelle lui demandait.
Dragones ? Claudine qui est là . Son époux Béren a disparu
Claudine je mexcuse je suis à bout expliquez à Dragones, montrez lui la lettre elle vous aidera si Béren ne revient pas
Elle passa la porte en souhaitant à Claudine de retrouver Beren, et malgré toute les mises en gardes de Grand-Papa, elle partit sur le chemin défendu, le chemin que plusieurs jours avant Gawin avait foulé des ses pieds, sous lil critique dun Hibou blanc.....