Ceraphin
Rhhhaaa effectivement ça fouette!
Saleté d'attaque secrète de la mort, voilà que des effluves de sulfure d'hydrogène tentaient de l'asphyxier.
Y avait du lourd en face mais du pernicieux, du vicieux, de l'adepte du sans nom!
Ne pas se fier aux voix féminines, noooon, surtout pas... l'attaque que son nez subissait à l'instant le prouvait bien.
Pour sûr qu'il allait tomber raide mort d'ici peu s'il ne faisait pas quelque chose et vite.
Sentant la présence de Mordock à ses côtés, enfin quand je dis sentant c'est bien dans le sens de ressentir hein rien à voir avec le nez cette fois, ça va bien!... donc, sentant la présence de Mordock à ses côtés, Ceraphin se décida à passer à l'offensive pour occire l'empoisonneuse jusqu'à ce qu'une chose le fasse littéralement bondir de derrière son pavois...
C'est quoi un griffon ? C'est pas un chien de chasse ?
Et voilà un Ceraf' outré qui baisse spontanément mais dangereusement son bouclier pour protester, presque le pouce levé pour signaler la trêve réglementaire universellement reconnue.
Oh eh nan mais oh!
Vous sortez d'où vous, là hein?
J'suis pas un clébard, suis un griffon!
Un griffon... comme un dragon mais qui griffeeeeeeuuh!
Avec le corps d'un lion, la tête d'aigle et les serres qui vont avec.
Pfffff... j'vous fais un dessin ou bien?
Et tout à son désespoir de tant d'apparente inculture, ce n'est qu'à bien y regarder entre deux dodelinements de la tête qu'il aperçut il visage vaguement connu.
Une connexion furtive qui se fait avec l'accent de la voix entendue avant l'attaque gazeuse et...
Oh Isabel!
BAOUM!
Ca c'est rien, c'est juste le bras qui fatigue et qui laisse le bouclier se reposer complètement sur le plancher des vaches... enfin le plancher de Mordock en l'occurrence.
Tiens d'ailleurs qu'est-ce qu'il dit Mordock de tout ça?
Coup d'il rapide.
Rien, il dit rien... il est blême et son regard ne quitte pas la propriétaire de la seconde voix, celle là même qui revendiquait avoir le fameux fouet et des dents qui rayent le plancher (ah bah on en revient encore à c'fameux plancher) ou un truc comme ça.
Comment ça c'est pas ça?
Peu importe.
Pour l'heure, c'est le temps de jauger celle qu'il dépasse maintenant d'une bonne tête et de la regarder en souriant, résistant difficilement à l'idée d'aller l'embrasser histoire de lui offrir une petite poussée d'urticaire en guise de cadeau de retrouvailles.
Isabel!
Ton excellente personne!... hilare, soupape bienfaitrice et libératrice d'un petit stress précédemment vécu, et ce... sans odeur parasite, lui.
_________________
Saleté d'attaque secrète de la mort, voilà que des effluves de sulfure d'hydrogène tentaient de l'asphyxier.
Y avait du lourd en face mais du pernicieux, du vicieux, de l'adepte du sans nom!
Ne pas se fier aux voix féminines, noooon, surtout pas... l'attaque que son nez subissait à l'instant le prouvait bien.
Pour sûr qu'il allait tomber raide mort d'ici peu s'il ne faisait pas quelque chose et vite.
Sentant la présence de Mordock à ses côtés, enfin quand je dis sentant c'est bien dans le sens de ressentir hein rien à voir avec le nez cette fois, ça va bien!... donc, sentant la présence de Mordock à ses côtés, Ceraphin se décida à passer à l'offensive pour occire l'empoisonneuse jusqu'à ce qu'une chose le fasse littéralement bondir de derrière son pavois...
C'est quoi un griffon ? C'est pas un chien de chasse ?
Et voilà un Ceraf' outré qui baisse spontanément mais dangereusement son bouclier pour protester, presque le pouce levé pour signaler la trêve réglementaire universellement reconnue.
Oh eh nan mais oh!
Vous sortez d'où vous, là hein?
J'suis pas un clébard, suis un griffon!
Un griffon... comme un dragon mais qui griffeeeeeeuuh!
Avec le corps d'un lion, la tête d'aigle et les serres qui vont avec.
Pfffff... j'vous fais un dessin ou bien?
Et tout à son désespoir de tant d'apparente inculture, ce n'est qu'à bien y regarder entre deux dodelinements de la tête qu'il aperçut il visage vaguement connu.
Une connexion furtive qui se fait avec l'accent de la voix entendue avant l'attaque gazeuse et...
Oh Isabel!
BAOUM!
Ca c'est rien, c'est juste le bras qui fatigue et qui laisse le bouclier se reposer complètement sur le plancher des vaches... enfin le plancher de Mordock en l'occurrence.
Tiens d'ailleurs qu'est-ce qu'il dit Mordock de tout ça?
Coup d'il rapide.
Rien, il dit rien... il est blême et son regard ne quitte pas la propriétaire de la seconde voix, celle là même qui revendiquait avoir le fameux fouet et des dents qui rayent le plancher (ah bah on en revient encore à c'fameux plancher) ou un truc comme ça.
Comment ça c'est pas ça?
Peu importe.
Pour l'heure, c'est le temps de jauger celle qu'il dépasse maintenant d'une bonne tête et de la regarder en souriant, résistant difficilement à l'idée d'aller l'embrasser histoire de lui offrir une petite poussée d'urticaire en guise de cadeau de retrouvailles.
Isabel!
Ton excellente personne!... hilare, soupape bienfaitrice et libératrice d'un petit stress précédemment vécu, et ce... sans odeur parasite, lui.
_________________