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[RP] Annonce de l'Alliance Féodale.

Jontas


Etouffant un grognement après que la petite femme ait mis tout son poids (ouai, même si elle est petite, sur un pied, ça fait mal hein) sur le pied du Comte, ce dernier se tourna dans sa direction et d'un air des plus méprisant, s'adressa à la jeune femme.

Mais décidément, votre maladresse sera votre marque fabrique pauvre petite femme que vous êtes. Tellement maladroite que ce doit être par maladresse que vous avez été conçue. Votre batard de père a du se tromper en enfilant son outil, pensant faire plus de bruit que d'effet malencontreux ! Cette si importante maladresse qui a fait que votre misérable mère à du se faire engloutir par une marée d'inconscience et d'inhabileté ! Heureusement que votre petitesse vous rend si peu importante que cette erreur de la nature est minimisée.

Sans rajouter un quelconque autre mot le Comte détourna son regard de la jeune femme.

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Soeli


Tandis que le comte vociférait dans son dos, la jeune femme continuait d'avancer retenant un fou rire. Bien qu'en paroles, elle, et ses géniteurs, en aient prit pour leurs grades, Soeli s'estimait heureuse qu'il ait retenu ses coups. Toujours en marchant; lorsque le Comte eut fini sa tirade, elle lui lança à voix haute:

Vot' langage Votre Grandeur! Vos propos sont aussi fleuris que ceux d'un gueux! Un retour aux origines sans doutes?


Un dernier regard au Comte pardessus son épaule, un sourire satisfait sur les lèvres, avant de s'en détourner pour continuer à avancer. Soudain, ses pensées se perdirent vers ce "bâtard de père" dont parlait Jontas... Et déjà, elle se mordillait la lèvre nerveusement.
Danytr
Aux dernières paroles de Jontas, le soldat se retourna brusquement vers lui en lui lancant très forement;

Esce une manière de parler a une femme pauvre tas de... il retenu ses paroles sachant bien que cette homme ne cherchait que les conflits... Mais rajoutta en quittant cette place et surtout cette personne qu'il avait déjà assez vu...

Sachez messire, aussi lâche que vous refusez bien de vous voir, que ce sont les gens qui croient être les plus haut qui sont en réalité les plus bas... J'espère que les Franc Comtois ont bien prit note de vos agissements en cette place publique. Sur ce, j'ai mieux à faire que de causer avec vous, je me sent pitoyable seulement à vous écoutez...

Sur ce il accouru rejoindre cette pauvre femme qui était sa collegue de l'infirmerie...
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Avocat de Franche Comté.
Conseiller de Poligny: Aide Sociale et Animation
Soldat- Aide Infirmier
Sapeur-Artilleur
Jontas


Préférant ignorer la dernière remarque de la jeune femme, le Comte entendit le Soldat tenter de lui donner leçon, décidément, aucun respect pour la noblesse ces petits gens.

Mais sentez vous pitoyable si vous en avez tant envie, je ne vous en empêche point. Mais sachez que je n'ai pas de leçon à recevoir de vous et si vous saviez à quel point ce que vous pouvez penser de moi m'indifère au plus haut lieu. Les faux-culs, c'est pas ici, c'est un peu plus loin, là où ils brandissent des programmes tout juste bons à tenter de se faire aimer par des gens qui les apprécient déjà. Alors sentez-vous pitoyable un peu plus loin, vous me rendrez service. Merci.

Préférant se déplacer pour ne plus avoir à entendre ce Soldat, le Comte se déplaça vers le Seigneur de la Sainte-Binouse qui avait rajouté 800 écus sur la tête du traître. Le Comte se sentit mieux, entouré de personnes plus accomodantes à la sienne.

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Danytr
Dany alors en route pour quitter cette place n'eut aucun temps pour commençer à marcher avec Soeli, en effet, Jontas parlait et reparlait...

Êtes vous sourd ou êtes vous simplement supide... C'est en vous écoutant parlez qu'on ce sent pitoyable et non en s'éloignant de vous...

Il remarqua que Jontas avait rejoind l'homme qui un peu plutot avait mit la mise à 800 écus.

Maintenant, je crois bien que plus personne ici n'a besoin de vous écoutez... A ce que je vois, seulement une personne à vous suivre et cette homme n'a pas prit la parole souvent pour vous défendre... S'il a peur de moi, imaginer ce que ca sera devant Zephirin... Selon moi les seul chance pour vous de l'avoir, c'est de le battre en lache dans le dos alors qu'il est completement bourré et même encore, je ne suis pas sur que vous l'aurez.

En recommencant sa marche et haussant la voix pour être bien compris

Ohh et en passant, vous semblez savoir donner les lecon aux dames prouvant votre courage mais cela ne fait pas de vous un homme, regardez l'ancien sénéchal, sachant que sa tête est a prix, il reste bien sagement chez lui et vous attend... Vous, avec tous votre courage vous voullez payez d'autres personnes plus brave que vous pour faire votre boulot...

Il se mît à rire bien fort de cette homme...

HAHAHAHA, Tant et aussi longtemps que vous ne serez pas devant Zephirin par vous même, vous ne serez qu'un misérable lache...

Il recommenca à rire, quittant bien traquillement pour ainsi laisser bien voir qu'il n'avait aucunement peur de cette homme et encore moin de l'autre qui semblait croire que seul les écus pouvait prouver qu'il était si important...
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Avocat de Franche Comté.
Conseiller de Poligny: Aide Sociale et Animation
Soldat- Aide Infirmier
Sapeur-Artilleur
Dwiral
le pontissalien sourit a la derniere remarque de l'homme qui invectivait Jontas. il n'avait jusqu'ici rien dit, mais il ne pouvait laisser partir cet homme sans rien lui dire, ou apprendre.

Peur de vous??! j'ai personnellement plus peur de ma grande mere que de vous.
dit il un leger sourire aux levres..;
oui, je n'ai pas prit la parole, car je n'ai en aucune raison le devoir de me justifier sur mon acte...
et puis surtout, je ne vous ai pas répondu, car vous n'en valez pas la peine. tout simplement.
vous n'etes qu'un chien tentant de protéger son Maitre d'une quelconque menace. peut etre devriez vous allez vous grattez les puces ailleurs?!
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Dwiral de Sainte Binouse, Dict le sanguinaire.
Seigneur de Chenevrey
Vassal de Debenja de Marnay.


pour l'amour d'une bouteille.
Soeli


S'étant retournée une dernière fois, pour avoir entendu Dany interpeler le Comte Jontas, Soeli s'était arrêtée avant de rebrousser chemin.

Mais c'est pas vrai!! Murmura-t-elle entre ses dents tandis qu'elle pressait le pas pour revenir à leur hauteur. Lorsqu'elle y fut parvenue, le Sieur Dwiral s'acharnait à son tour sur son ami. Elle poussa légèrement Dany pour le mettre à l'écart, puis se plaça entre lui, le Comte et le Prévôt. C'est à eux qu'elle s'adressa après une révérence:

Monsieur le Comte, Monsieur le Prévôt, je vous prie d'excuser mon ami, nous sommes tous un peu sur les nerfs ses temps-ci.

Elle répugnait à avoir à faire cela, surtout en publique, mais en aucun cas elle ne souhaitait que la situation ne s'envenime. S'excuser alors qu'elle avait été insultée, serrer les poings et les dents sans rien laisser transparaître. Elle releva doucement la tête avant de se tourner vers Dany, et de le prendre par le bras pour tenter de le tirer de là... Elle espérait tout simplement que celui-ci l'écouta et ne surenchérisse pas face à leurs provocations.


Dany, je te remercie d'avoir essayé de prendre ma défense...
Elle jeta un regard au Comte avant de poursuivre... Mais ce n'était pas nécessaire.
Se retournant finalement vers le jeune avocat, qu'elle tentait toujours de le sortir de là en le halant par le bras, elle lui esquissa un sourire.
Jontas


Alors que le Comte allait faire ravaler sa fierté à ce militaire, la jeune femme vint se placer devant lui, l'empêchant de décoller une droite au misérable vermisseau qui l'insultait.

Tenez un peu mieux votre petit garde personnel, il entâche votre réputation, ce serait dommage de vous retrouver à la rue, malencontreusement.
D'autant plus que le mur qui s'est fait clouter comprend plus les choses que cet... individu. Je l'ai déjà dit que je n'avais besoin de payer personne pour faire le boulot que je serai heureux de faire moi-même et que je n'ai payé personne. Mais bon, quand on est sourd, on est difficile à la compreniotte.

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Doko
Doko qui avait observé toute la scène se fessait une meilleur idée du personnage.
Il l'interpella de nouveau pour en savoir un peu plus



Excusez moi messire le comte Dit il sur un ton sarcastique
Depuis tout à l'heure vous dites que vous voulez régler vous même le différent que vous avez avec le sénéchal Zephirin.
Mais n'avez vous pas peur que quelque soudards de secondes zones le face à votre place vu que votre "alliance" à mit sa tête à prix?
Moi je dis ça car vous devez sûrement être un homme d'honneur et donc vouloir régler votre différent à la loyal.
Je ne me trompe pas messire?


Il fixa l'homme d'un regard narquois tout en ayant sa main sur la garde de sa rapière.
On sait jamais

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Fabulous


Un homme débarqua au milieu du groupe qui conversait autour de l'affiche de la tête mise à prix.

-J'ajoute 500 écus! On ne peut promettre moins pour la mise à mort d'un homme tel que Zéphirin, militaire de valeur. Et bien que ne souhaitant aucun mal envers lui, je trouve déshonorant qu'une somme si basse soit proposée pour un homme de sa trempe.

Regardant les personnes qui l'entouraient désormais, et plus particulièrement le comte Jontas, il ajouta.

-Excusez-moi de vous avoir interrompu messire le comte...mais que faites vous dans la rue à crier à tout va? Il est rare de voir un nobliau montrer le bout de son nez pour scander des propos tels que les vôtres. Certains membres de la noblesse se seraient-ils découvert une once de courage? C'est tout à votre honneur...mais quelle est la raison de l'emploi d'un tel dédain et d'une langue si acérée? Veuillez m'excuser, je n'ai pas vraiment suivi les derniers évènements et j'ai du mal à saisir ce qui pourrait justifier un tel fiel déversé pour des gens qui me semblent somme toute honnêtes...

Il accompagna ses dernières paroles d'un regard envers les militaires qui semblaient être de jeunes recrues. Se sentant détaché de tout, il souhaitait juste intervenir pour essayer de comprendre...et espérait secrètement que le tout dégénère en bataille rangée.

Jontas


Le Comte encore interpelé se tourna en direction de Doko qui lui posait une énième question, décidément, il aurait du envoyer un de ses gueux à sa place, il aurait perdu moins de temps.

Mais je m'en moque de ce traître, et je me moque que quiconque le tue, je serai ravi de le faire moi-même mais voyez-vous, les temps se font rudes et les routes jusqu'à Vesoul sont parsemées d'embuches, je ne veux pas me faire mal juste pour occir un traître.

Se retournant sans rajouter quoi que ce soit, le Comte observa l'ancien Capitaine qui avait bien changé, physiquement parlant.

Voyez-vous, cher Fabulous, si il y a bien une chose détestable, c'est de mettre en balance, la Franche Comté avec ses intérêts personnels. Voilà tout ce qu'il y a à comprendre à la chose.

Sans en dire plus, le Comte se contenta de sourire.

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Occorax


Le Seigneur passais par la, et vit une magnifique affiche placardé sur le mur, il descendit de son cheval et regardais combien d’écu il lui restait, il vit le Comte de Beaufort devant une de affiches et avec quelques hommes à coté de lui, il s’approcha de celui si et lui dis.

- 200 écus pour se traitre ! Il en vaut même pas 10 écus, même 10 écus c’est beaucoup trop, enfin tenez 1 écus pour sa tête.

Le Seigneur était trs radin et en plus l’ex Sénéchal n’en valaient pas du tout peine, il s’approcha de l’affiche, avala sa salive une fois, puis la deuxième fois il la cracha sur la tête du Blaireau.

- Voila se que mérite les traitres de son genre …

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Occorax de Sparte , Seigneur de Creveney.

Danytr
Le jeune homme sourit, enfin il avait fait sortir de sa cachette cette homme mystérieux et silencieux jusque là...

À la fin de son discours et ce sentant encore plus enfoncé dans ce conflit il s'arrêta de marcher, faisant demi-tour et regardant cette homme qui le traîtait de chien... Sourire au lèvre, il fût soudainement retenu par sa collegue à l'instant ou il s'apprêtait a dire quelques chose. Se laissant porter par Soeli dont il ne voulait aucun mal, il arriva enfin à placer ses mots;

C'est drôle de se faire traîter de chien par un chien, mais moi contrairement à vous j'aime beaucoup mieux être chien protecteur que d'être chien soumis suivant son maître, qui ne sait que lecher...


La sentent qui tirrait de plus en plus fort son bras, il se retourna alors pour faire comprendre à Soeli qu'il était désolé en marchant vers un endroit plus tranquille...

Tu sais désolé... Je sais que tu aurais pu te défendre toi même mais bon, il était allé trop loin à mes yeux... Mais bon je t'avous m'avoir bien amuser, voilà une soirée qui a passé vite... Souriant comme à son habitude, il esperait que l'infirmière la trouve drôle ou sinon il aura bien essayer... Il se calma facilement avec cette femme, s'éloignant de c'est petit qui se pensaient si grand...
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Avocat de Franche Comté.
Conseiller de Poligny: Aide Sociale et Animation
Soldat- Aide Infirmier
Sapeur-Artilleur
Doko
Doko chuchota à à Fabulous qu'il avait reconnu



Salut l'ami je ne sais pas si tu me reconnais mais je tiens à te mettre en garde.
Il savent bien manier leur langue mais en ce qui concerne de joindre les gestes à la parole c'est une autre histoire.


Doko interpella une nouvelle fois le comte

Messire le comte cette discutions fut très instructive
Si si j'insiste.
J'ai vraiment beaucoup appris sur l'orgueil en vous entendant et en vous observant.
De quel autre prestations allez vous nous régaler?
Allez n'hésitez pas le ridicule ne tue pas.

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Fabulous


Un peu déçu par la réaction un peu trop pacifique à son égard du comte Jontas, envers qui il conservait une certaine rancoeur sans qu'il ne puisse vraiment expliquer pourquoi, Fabulous eut l'occasion de réorienter sa verve lorsqu'un homme aux propos vifs s'avança vers l'affiche de l'ennemi public n°1 et, tout en tenant des propos grossiers, cracha sur l'effigie du sénéchal dont la tête était mise à prix.

-Hola hola l'ami, conserve ta salive, un peu de respect pour cet homme qui a beaucoup fait pour la Franche-Comté. Je ne te connais point, même si tu présentes quelques apparats de nobliau, sache que cela n'a aucune valeur à mes yeux. Le sénéchal Zéphirin, loin de posséder une quelconque terre ou un quelconque titre possède un coeur et un honneur qui fait défaut à beaucoup d'hommes de ta race.

Je ne sais ce qui te vaut un tel mépris et ce qui te permet de juger ainsi mais je te conseille vivement de ne pas recommencer à expulser ces quelques glaires immondes, ou bien il se pourrait que la prochaine chose qui sorte de ta bouche ne soit plus de la salive mais du sang. Je n'accepterais pas que l'on traite un ami de cette manière en ma présence. Et, n'ayant rien à perdre, celui qui faillira à cette règle pourrait bien goûter à la lame de mon épée.


Ne saisissant toujours pas ce qu'avait bien pu faire Zéphirin pour mériter un tel traitement, Fabulous n'en acceptait pas pour autant de telles réactions, et peu lui importait d'où et de qui elles venaient. Dorénavant, il se sentait prêt à sortir sa lame de son épée au prochain qui faillirait à cette règle.

C'est alors qu'un homme le tira par le bras, lui chuchotant quelques mots à l'oreille. Il se souvenait en effet de Doko, et gardait de bons souvenirs de lui. Il sourit à sa mise en garde mais finalement n'en tiendrait pas vraiment compte. Si ces gens dont parlait Doko n'étaient pas prêt à "joindre le geste à la parole", agressés par une épée, ils n'auraient plus vraiment le choix, à moins que la lâcheté les pousse à fuir la queue entre les jambes plutôt que d'accepter un affrontement direct...
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