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[RP] Annonce de l'Alliance Féodale.

Occorax


Un bon petit crachat, sortie des entrailles, il était beau, il avait mis du cœur a l’ouvrage en plus l’affiche avais l’honneur d’avoir sa crache, et en plus, oui en plus il avait donné un de ses écus, faudrait le remercier pour tout sa, même plus que sa mais bon faut pas exagérer.
Il vit un homme à coté du Comte de Beaufort, de lui parler de sa salive et de la conserver surtout, il lui dit en souriant.

- Ne vous inquiéter pas, il me reste encore de la salive, je sais qu’il faut la conserver mais voyer vous un petit crachat ne fait rien de mal.

Pendant qu’il parlait encore, le Seigneur venais de se rappeler qu’il avait une chose importante à faire à son château, et l’homme en question parlais encore, le Seigneur ne comprenais pas du tout se qu’il disait et s’en allais en direction de son domaine, il ne comprenait pas trop se qu’il lui voulait mais bon, en tout cas il s’intéressait de sa salive, enfin peut être un vagabond en quête d’écus , ou un gentilhomme tout simplement , en tout cas il allais peut être revenir a l’affiche du traitre en question.

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Occorax de Sparte , Seigneur de Creveney.

Artifice
Désolé de pas avoir répondu plus vite, mais bon mon perso étant Prévôt et il a eu d'autres choses plus importantes à régler aujourd'hui




Il se tourna vers Jontas

Par les droits qui me sont octroyés, je vous demande de déchirer cette affiche devant tous, pour prouver votre bonne foi à ne pas troubler l'ordre publique. Je ne dois sûrement pas vous dire ce que vous risquez si vous ne le faites pas.

Il continua pour tous

Je vous demande de vous éparpiller, et de ne pas prêter attention à cette affiche. Celui qui continuera à y prêter attention en favorisant le trouble de l'ordre publique engendrera son arrestation par les services de l'ordre

Il attendit que le Comte face ce qu'il fallait pour ne pas enfreindre l'ordre et réglé ce trouble à l'amiable

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Prévôt des Maréchaux de Franche-Comté
Monifred


Loin de toutes ces querelles , Monifred se tenait à l'écart , mais restait préte à agir au moindre signe du Prévôt .
Elle écoutait les uns et les autres en se demandant vraiment pourquoi tant de personnes se déchiraient entre elles .
Les Franc Comtois s'ennuyaient donc tant que ça qu'ils se cherchaient la guerre entre eux ?
Elle vit alors Artifice se retourner vers la foule .


Je vous demande de vous éparpiller, et de ne pas prêter attention à cette affiche. Celui qui continuera à y prêter attention en favorisant le trouble de l'ordre publique engendrera son arrestation par les services de l'ordre

Dans un grand calme , elle se tourna vers les personnes le plus près d'elle .

S'il vous plait , rentrez vous , il n'y a plus rien à voir .

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Infirmière de la prévôté

Adjudant de Pontarlier
Sirius7
Allons, allons...

Faisant partie lui aussi de l'alliance féodale depuis ce fameux traité signé par les nobles les plus importants de Franche-Comté, Sirius se devait bien de faire acte de présence auprès du Comte de Beaufort. Il se doutait qu'une fois de plus le petit peuple ne comprendrait pas ce genre d'acte, visant pourtant au bien être du comté, mais il était étonnant d'entendre ce genre de propos de la bouche du Baron de Montaigu. Le Vicomte apostropha donc le prévôt.

Baron, je trouve étonnant que vous cautionnez cette jacquerie populaire de deux ou trois paysans qui ne comprennent même pas les évènements qui les entourent, ni la portée du geste qu'a pu avoir ce...

Désignant du doigt l'affiche aux roses de sable, il déglutit sa salive.

Ce traître.

Joignant le geste à la parole, il jeta une bourse pleine de pièces d'or en direction de Jontas. Certes la somme ne devait pas être très grande, mais pour que le Vicomte daigne débourser le moindre écu, l'action lui tenait à coeur.

Oh bien sûr je ne nie pas tout ce que cet homme a fait pour la Franche-Comté... Est-ce pour autant qu'il faille lui pardonner pour ses actes ? Voilà donc la politique du Conseil... Tenter de calmer le jeu, même au risque de passer pour faible ? Bientôt, vous me direz que lorsque l'assassin de Pinss sera retrouvé il sera remercié si par le passé il aurait oeuvré pour la Franche-Comté ?

Il afficha un léger sourire, avant de s'approcher de l'affiche concernée.

Le peintre est plutôt doué.
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Danytr
Toujours dans le coin lorsqu'il entendit le prévôt demander à Jontas de déchirer son affiche il ne put retenir son sourire, cette fois, son vria sourire... Il marchait en compagnie de Soeli et se retourna brusquement vers d'où ils arrivèrent, même s'il lui avait fait la promesse de ne plus rien rajoutter, il devait voir de ses propres yeux cette homme déchirer cette affiche ou encore mieux, ce faire arrêter.

Il marcha aussi vite qu'il le pouvait, n'écoutant pas trop les bonnes suggestions de sa collegue, comme de rester calme et de tenter de se contrôler.

Une fois arriver en place, il souria, voir cette homme qui était si arrogant voilà à peine un quart d'heure, le voilà maintenant bredouille ce demandant quesce qu'il allait faire. Restant en place, ne le lachant pas du regard, maintenant c'était a lui de lui renvoyer son sourire si arrogant, lui qui l'avait envoyer à tous... Il se rappela d'une phrase qui lui avait dit avant de partir de cette place, Ceux qui se croit les plus haut sont souvent ceux qui sont en réalité les plus bas.

Son regard fut détourné, lorsqu'il entendît une voix familière parlé au baron, il eu un léger sourire très sympathique en revoyant son ancien sergent instructeur qui lui avait bien apprit tous les ruages du métier de soldat, Bonjour Sirius, heureux de vous revoir même si je ne pense pas comme vous... De un, je crois que ceux qui ont défendu ce ''traîte'' comme vous dites ne sont pas que des paysans et même si cela aurait été le cas, ils ont droit eux aussi à leur paroles. De deux, celui que vous appelez un ''traîte'' à, selon les dires du prévôt, réglé cette chose qu'ils auraient comisent en dehors de la justice... C'est maintenant à Jontas de faire la même chose. Et je suis bien d'accord avec ce que lui demande le prévôt... Il pensa, biensur qu'il est d'accord, il lui avait demandé le premier d'enlever cette affiche. Il ria un peu en pensant à ca, se retournant encore une fois vers Jontas pour voir ce qu'il ferait...
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Avocat de Franche Comté.
Conseiller de Poligny: Aide Sociale et Animation
Soldat- Aide Infirmier
Sapeur-Artilleur
Fabulous


Tout cela rappelait étrangement quelques souvenirs à Fabulous. A croire que la Franche-Comté avait toujours cherché des traîtres dans ses rangs. Lui-même avait été traité de la sorte, il se souvenait, c'était alors la guerre civile. Finalement, les franc-comtois ne faisaient bien la guerre qu'à eux-mêmes. Toutes les batailles menées avec l'extérieur échouaient chaque fois lamentablement et cela l'attristait, il était temps qu'il quitte les lieux...

Il avait à peine eu vent de l'assassinat du fameux parlementaire Pinss, il vivait alors reclu. Mais cela était donc vrai. Et aucun coupable n'avait été trouvé. Il trouvait cependant étrange qu'on ne fasse porter le chapeau à aucun franc-comtois, un militaire par exemple...après tout l'armée avait toujours été en quelque sorte le mouton noir du parlement franc-comtois. A croire que les tempéraments forts et le sens de l'honneur dérangeaient les nobles aux bonnes manières du parlement. Par jalousie peut-être. Fabulous décida de répondre au comte Sirius.


-Je n'ai personnellement rien à faire que l'assassin de Pinss soit châtié ou non. Je n'arrive d'ailleurs même pas à me décider si il mérite d'être puni. Et puis de toute façon il court toujours n'est-ce pas? Le pauvre n'aura même pas l'honneur d'être vengé...

Quoi qu'il en soit je n'arrive pas à me mettre dans l'idée que le sénéchal Zéphirin puisse être un traître à la Franche-Comté. Je le connais trop pour ça. Et comme je sais que le mot traître sort un peu trop facilement à mon goût de la bouche de certains franc-comtois, je réserve mon jugement. Et je le répète je ne suis au courant de rien, je n'ai rien vu, rien entendu et finalement je crois que ce n'est pas plus mal...tout cela devient pathétique.


Il était temps de se retirer. L'air lui semblait vicié. Trop de non-dits, trop de subjectivité, trop de rancoeur. Il allait reprendre sa route désormais. Mais il avait au moins la conscience tranquille, Zéphirin ne risquait pas grand chose, si ces gens étaient ici et maintenant à parler et à jouer au jeu de celui qui a les plus beaux titres, le sénéchal avait le temps de voir venir et de préparer sa défense en conséquence, si elle était nécessaire tant ses ennemis semblaient inoffensifs.
Fccasper
Adossé contre le mur juste à coté de l'affiche, le Comte Fccasper observait les différents intervenants et écoutait attentivement les conversations.

L'arrivée de Sirius donnait un peu de hauteur au débat, en quelque sorte, et les gens semblaient de suite moins agressifs. Le Vicomte serait il un bienfait apaisants ?? Probablement pas... Fccasper se mit à rire de ses pensées

Il finit par prendre la parole plus sérieusement.


Quelle histoire pour une affiche ! La tête de ce traite ne revient pas à certains qui préfèrent la voir au bout d'une pique, et bien soit... Qu'avons nous à dire de cela. Hormis le fait que nous pourrions voir débarquer quelques mercenaires attirés par l'or, il me semble que tout cela ne nous regarde point.

L'or ne vous intéresse pas ??? Passez votre chemin. Au contraire, si la somme pourrait vous permettre de mettre une poule dans votre soupe, alors allez donc faire la peau à cet asticot. Et que la prévôté reste donc à attraper les brigands, les vrais.

De toute façon, personne ne sait qui a collé cette affiche... Le Comte de Beaufort la lisait à haute voix, ce qui a fait croire à tout le monde qu'il en était l'auteur...


Se retournant vers l'affiche, il la relue encore...

Personnellement, 200 écus, je préfère encore les jouer au tripot, tiens...

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Artifice
Artifice commençait à sentir monter l'envie de passer à l'acte quand il vit certains partir mais d'autres restaient. Il se tourna une dernière fois vers le dernier venu, qu'il n'appréciait pas particulièrement.

Cher Vicomte, ne croyez pas que je cautionne quoi que ce soit. Je suis là pour que l'ordre ne soit pas perturbé, Donc je vous prierai, pour la dernière fois de tous retourner en vos demeures ou ailleurs.

Il regarda l'affiche une dernière fois, et lança un regard franc à Jontas voulant lui montrer qu'il ne voulait plus la voir.

Je ne patienterai pas plus longtemps, enlevez moi ça maintenant!

Il mit la main sur le pommeau de son épée pour montrer qu'il ne rigolait plus et se tenir prêt à intervenir pour arrêter quiconque irait contre ses ordres.
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Prévôt des Maréchaux de Franche-Comté
Lothilde
Bras croisés sous sa cape, immobile mais affichant un sourire narquois, la vicomtesse de Dampierre assistait au spectacle...Elle se demandait bien ce que répondraient certains badauds si on leur demandait à brûle-pourpoint de quoi on accusait l'homme sur l'affiche...Et la noblesse comtoise...elle n'en savait pas plus mais elle aboyait avec les loups, courageusement....et surtout opportunément !

Etait-il de bon ton de brocarder celui-là ?
Regard à gauche, regard à droite...Bah...pourquoi pas ? si le comte de Pied-de-Cochon ou le vicomte de Grande-Goule le faisaient, à quoi bon se fatiguer à se forger une idée personnelle...L'essentiel était d'être là où il fallait être vu par le peuple...et peu importe si la cause était juste ou non...

Elle regarda tour à tour le comte Jontas...qu'elle n'avait pas croisé dans les couloirs de Dole depuis une éternité à tel point qu'elle le pensait parti de la région...Le vicomte Sirius...qu'on n'avait pas revu sur les places depuis longtemps, lui aussi...
Seraient ils appâtés par des plaisirs dont les gueux se délectent...les plaisirs du cirque..ceux que les empereurs romains offraient au peuple pour s'en faire un allié et pouvoir mieux le berner et l'endormir ??

Le prévôt s'essayait à l'autorité sur plus nobles que lui, la situation devenait décidément cocasse...

La neige s'était remise à tomber, drue, et dessinait des rigoles sur l'affiche...avant la fin de la nuit, il ne resterait qu'une ombre salie du portrait...
Elle frissonna sous sa cape, de froid, de dégoût devant tant de lâcheté, de médiocrité, de gâchis...l'homme dont le visage peint s'effaçait lentement...allait lui aussi partir loin d'ici. Elle allait perdre un ami, et la région, un guerrier hors du commun...

Elle tourna le dos au spectacle pitoyable et s'enfonça dans le dédale des ruelles
Sirius7
Alors qu'il scrutait l'affiche avec un oeil intéressé, on vint adresser la parole au Vicomte à deux reprises, successivement. Il ne lui semblait pourtant pas qu'il avait sollicité de ces personnes une quelconque intervention, puisqu'il avait interrogé le prévôt et personne d'autre. Lorsque celui-ci, enfin, lui répondit, Sirius détourna le regard de l'annonce de l'Alliance Féodale pour s'adresser à nouveau au Prévôt, l'air faussement embarrassé, après que Fccasper fut intervenu à son tour.

Voyez-vous, Baron, la cause de ces perturbations ne provient pas forcément des personnes auxquelles vous semblez penser. Comme l'a si justement fait remarqué le Comte de Saint-Amour, ceux à qui telle affiche déplaît peuvent passer leur chemin, et s'en retourner chez eux réfléchir aux actes de cet homme incriminé, plutôt que de jeter de l'huile sur le feu. Quant à ceux qui seraient intéressés, grand bien leur fasse, le montant de la prime ne cesse de croître à ce que je peux voir.

Exaspéré par la façon dont le Prévôt avait osé s'adresser à Jontas, le Vicomte se permit d'enchérir de nouveau.

Et épargnez-nous vos injonctions, voulez-vous. Vous ne voudriez tout de même pas que nous allions nous référer à notre Franc-Comte de la façon dont vous traitez ses vassaux, n'est-ce pas ?

Satisfait, Sirius daigna répondre enfin aux précédents intervenants. Il se tourna d'abord vers le premier, en la personne de Dany, soldat dont il avait pu faire profiter toute son expérience lors de son passage relativement récent comme Instructeur.

Je puis vous confirmer que je souhaitais bien employer le terme "Paysan". La majorité de la population appartenant à la caste paysanne, les probabilités pour que quelques franc-comtois exprimant leurs mécontentements soient donc des paysans sont très grandes. Pardonnez donc mon érudition et mes grandes connaissances qui ont pu permettre d'établir ce simple constat à partir d'informations connues de tous.

Mais pourquoi insistez-vous donc tous pour que Jontas retire cette affiche ? Le Comte de Beaufort n'y est pour rien dans toute cette histoire, il y a encore quelques heures à peine, il se trouvait avec moi, à Saulx, afin que nous réglions quelques affaires d'importance. Je pense qu'il y a méprise.


Un grand sourire vint illuminer le visage du Vicomte tandis qu'il salua de la tête le jeune soldat.

Heureux d'avoir pu vous permettre de tirer un enseignement de mon intervention, Dany.

Puis le Margny entreprit de répondre à Fabulous, qui avait été dans l'ensemble un bon Capitaine. Comme tout bon Capitaine, il avait donc prit la défense du traître puisqu'il avait eu l'occasion de travailler avec lui, maintenant aveuglé par l'amitié.

Pathétique, vous avez raison, c'est exactement cela.
L'ignorance est la richesse du bienheureux. En l'occurrence, si vous décidez un jour d'ouvrir les yeux, faites moi signe, nous reparlerons de tout cela ensemble.


Il ne voyait pas quoi rajouter à cela. La remarque sur l'assassin de Pinss lui aurait permis de répondre à ce sujet, mais à vrai dire, il ne voyait pas l'utilité de relancer le débat à ce propos.
Silencieusement, le Vicomte s'écarta du groupe, tandis qu'au loin, son vassal semblait filer droit vers eux.

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Jontas


Si il était bien des choses qui rendaient indifférent le Comte, c'étaient bien les ordres, d'autant que cela satisfaisait quelques gueux, seulement. Voilà la seule chose qui importait en ce jour, la considération plus grande aux traîtres qu'à la Franche Comté.

Sans un mot, le Comte s'approcha de l'affiche et d'un coup sec, arracha le tout.




Se retournant et se dirigeant, l'affiche à la main, vers l'un des bords de la place, il fit un arrêt devant le Prévôt.

Baron, il est des gens qui refusent l'autorité du Parlement, crachant sur celui-ci, mais se cachant derrière ses lois quand la vie les desserts. Mais il est aussi du Parlement de se faire cracher dessus pour mieux servir ceux qui lui ont crachés dessus. La finalité en est la même. Mais demain, le Parlement se fera cracher dessus et les traîtres continueront de le déservir. C'est la voie choisie par notre institution.

Se dirigeant vers le Vicomte de Saulx et vers son frère d'un sourire, le Comte regarda le pauvre militaire qui n'avait su que se cacher derrière quelques lois.

Chers amis, la gueusaille cherche à devenir intelligente par ici et même si cela ne fonctionne pas réellement, il faut admettre qu'ils sont bien encouragés.

Le Comte donna l'ordre au petit gosse qui le suivait d'aller poser l'affiche sur son cheval, face découverte, qu'on puisse voir partout où passerait le Comte la dite affiche.

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Fabulous


Bien que décidé à partir rapidement d'ici. Il ne put s'empêcher de réagir aux propos du vicomte. Il parla d'un ton maussade, empli de déception. La rage l'avait finalement quitté.

-Mes yeux sont malheureusement bien trop ouverts vicomte...ils me laissent voir la bêtise crasse des nobles franc-comtois, leur dédain et leur manque de respect envers les gens du peuple, tant de choses qui me donnent envie de me crever en effet les deux yeux.

Mais pensez juste que les vôtres ne sont peut-être pas si bien ouverts que vous ne le pensez. Je crois que l'éclat de vos parures marquées de vos armoiries voile quelque peu votre regard. Mais je ne vais pas vous embêter plus longtemps vicomte. Vous avez surement beaucoup à faire encore,comme vous vautrez dans votre luxe écoeurant avec vos amis et jouer à celui qui a la plus grande...propriété.


Il reprit dans un soupir.

-La richesse est l'ignorance du noble.

Je prends note. Nous reparlerons de tout ça.

Bien à vous vicomte.


Jetant un regard lourd de sens au vicomte qui semblait également s'éloigner, il prit congé, cette fois-ci on ne le reverrait plus...mais cela ne signifiait pas que l'on entendrait plus parler de lui. Il se retourna une dernière fois pour voir l'affiche déchirée par le comte Jontas , puis continua son chemin.
Danytr
Le jeune soldat écouta ce que son ancien sergent instructeur lui disait, il lui rendît son sourire après qu'il eu terminé de parler.

Il se retourna et aperçu enfin Jontas retirer cette affiche, presque l'air insulté. En s'approchant de lui, le comte conclu cette longue journée sur la place publique;

««Chers amis, la gueusaille cherche à devenir intelligente par ici et même si cela ne fonctionne pas réellement, il faut admettre qu'ils sont bien encouragés.»» En le regardant.

Face à cette remarque, avec son sourire qu'il à toujours lui répondit;

Bien, passez une belle fin de journée...

Il le regarda accrocher l'affiche qui était en piteuse état sur son cheval, le monter et partir de cette place, c'était enfin terminé. Il ne le reverait plus de si tôt ce qui était un grand bien pour lui. Sifflotant, il sourit au gens en place, décrocha un petit coup de tête en signe de salutation à Artifice et parti rejoindre son armée.
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Avocat de Franche Comté.
Conseiller de Poligny: Aide Sociale et Animation
Soldat- Aide Infirmier
Sapeur-Artilleur
Occorax


Le Seigneur qui était allez rédiger quelque papier a son domaine, allais revenir sur ses pas ou il avais laissez quelque gueux , et une affiche d’un traitre de la FC ou il avais en plus eu l’honneur d’avoir laissez sa salive , en passant il vit son suzerain son ami le Vicomte de Saulx qui était en train de parlementer avec certain a ses coté qui était des gueux , comment pouvais t’il donner sa science infuse et sa sagesse de parole a de simple gueux , il décida d’allez voir se qu’il se passais tout en restant discret.

Il vit alors une chose surprenante le Vicomte apprenais des choses au gueux, il leur expliquait plein de chose importante en espérant que les gueux comprenne alors, il vit aussi le prévôt des maréchaux, avec accompagné d’un gendarme, apparemment l’affiche avec alerter les autorités locales, mais la noblesse avais t’il a se plier a la justice pour un acte de noble cause et d’Aristote reconnaitra que Zephirin était un vil félon, enfin le Seigneur pris la parole pour confirmé cela , et en effet il crée une surprise a ses interlocuteur qu’il ne l’avais pas vu arriver.


- Aristote est le seul à savoir si c’est un traitre, pourquoi ne pas tout simplement tester si Aristote est avec lui ou pas en le jetant a l’eau avec une pierre accroché au pied , si il revient saint et sauf , cela voudra dire qu’Aristote est la pour lui…

Se qu’il vit le scandalisa, l’affiche avais était arraché, enlevé par Aristote qui avais osé ? L’affiche en question il s’en foutait mais son crachat …

- Foutaise ! Ma salive ou est t’elle passer ?!

Il prit une mine vexée.

- Je suis tout simplement outrée …

Il se tourna alors vers le Vicomte.

- Vois tu mon ami, même l’honorable salive des nobles est bafoué en plus non d’Aristote j’y ai mis du cœur a l’ouvrage, franchement il était beau, même plus que beau , magnifique et voila on l’enlève …

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Occorax de Sparte , Seigneur de Creveney.

Dwiral
il attrapa un petit gamins qui marchait non loin de Lui.

PSSSS petit, viens la. 10 ecus pour toi si tu me ramenes dans les minutes qui viennent un bon fruit ou legumes bien pourries. allez files.
sans nul doute attiré par l'argent, le garnement se mit a courir en vitesse dans la premiere taverne proche de la place, et ramena un seau de fruit bien pourris.


Tiens mon petit gars, c'est pour toi. lui fit le seigneur en lui donnant les 10 ecus promis!allez files maintenant, il va y avoir du grabuge ici je pense.

Le Seigneur de Chenevrey se recula de plusieurs metres du coeur de l'esclandre entre le Comte et le prevot. une fois a bonne distance; il prit dans ses mains un fruit pourries, une pomme apparement.
il se faufila derriere un grand gaillard, regarda autour de lui si personne ne le regardait


et comme il n'y avait personne pour le voir, il se mit a crier[/i]




FUMIERRRR DE PREVOTTTTT!!!!!!!!!!


tout en lançant le projectile en direction de la tete du representant de l'autorité du conseil. il chuchota au gaillard devant lui.

50 ecus pour toi si tu ne dis pas que cela vient de moi.
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Dwiral de Sainte Binouse, Dict le sanguinaire.
Seigneur de Chenevrey
Vassal de Debenja de Marnay.


pour l'amour d'une bouteille.
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