Ivrel_samford
Trois jours que je travaillais à la carrière de pierres, trois jours dans la poussière et la sueur.
Ma fiancée mavait donné un enfant, un bébé joli, une petiote en pleurs, et les pierres volaient en mille étincelles blanches et le blé était mangé.
En milieu de journée un va-nu-pieds en guenille me porta une missive, jaurais dû me méfier, un messager en loque ne pouvait pas être lestafette dune fée, mais voilà moi jen avais tellement marre de piocher. Je lus vite et la perspective daller courir sur les remparts de la ville au clair de lune me fit sourire. Ainsi, larmée du Roy était aux portes de St Liziers ? Moi je navais rien entendu, décidément mon pic à pierres faisait trop de bruit .
Notre maire aurait trahi avec lespagnol et dérobé trois mille écus à la ville ? Là, je tiquai, notre bon maire me semblait honnête et intègre, mais bon, les hommes ont parfois des masques bien surprenants. Et puis on verrait bien à la mairie si le visage de la traîtrise perdrait son sourire.
Jenfilai ma cape et pris mon bâton tout neuf, il frétilla dans mes mains. Le soir à la maison on mangea sans faim, ma fiancée Wamarine était toujours de bonne humeur et était ma vie ici. Je laimais comme jamais, et avais toujours peur pour elle, la sachant si tempétueuse. Lallaitement lépuisait et je neus pas le courage de lembêter avec cette histoire de maire félon. Alors on parla de bébé, de Noël et autres douceurs sucrées.
Et puis surtout je ne voulais pas la voir sinquiéter Bon javoue tout monsieur le juge, javais peur quelle ne cherche à me dissuader daller à cette escapade nocturne. Elle, elle savait toujours tout.
Bientôt la belle sendormit et je passai chercher mon ami Coemgen, il rechigna comme toujours mais eut peur de me laisser seul dans cette aventure. Alors on rejoignit un petit groupe de villageois qui semblaient perdus eux aussi, ça partait mal et toujours cette envie de tout bousculer
Holà les amis de la révolte ! Quelquun a vu madame d'Ayfasai ?
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Ma fiancée mavait donné un enfant, un bébé joli, une petiote en pleurs, et les pierres volaient en mille étincelles blanches et le blé était mangé.
En milieu de journée un va-nu-pieds en guenille me porta une missive, jaurais dû me méfier, un messager en loque ne pouvait pas être lestafette dune fée, mais voilà moi jen avais tellement marre de piocher. Je lus vite et la perspective daller courir sur les remparts de la ville au clair de lune me fit sourire. Ainsi, larmée du Roy était aux portes de St Liziers ? Moi je navais rien entendu, décidément mon pic à pierres faisait trop de bruit .
Notre maire aurait trahi avec lespagnol et dérobé trois mille écus à la ville ? Là, je tiquai, notre bon maire me semblait honnête et intègre, mais bon, les hommes ont parfois des masques bien surprenants. Et puis on verrait bien à la mairie si le visage de la traîtrise perdrait son sourire.
Jenfilai ma cape et pris mon bâton tout neuf, il frétilla dans mes mains. Le soir à la maison on mangea sans faim, ma fiancée Wamarine était toujours de bonne humeur et était ma vie ici. Je laimais comme jamais, et avais toujours peur pour elle, la sachant si tempétueuse. Lallaitement lépuisait et je neus pas le courage de lembêter avec cette histoire de maire félon. Alors on parla de bébé, de Noël et autres douceurs sucrées.
Et puis surtout je ne voulais pas la voir sinquiéter Bon javoue tout monsieur le juge, javais peur quelle ne cherche à me dissuader daller à cette escapade nocturne. Elle, elle savait toujours tout.
Bientôt la belle sendormit et je passai chercher mon ami Coemgen, il rechigna comme toujours mais eut peur de me laisser seul dans cette aventure. Alors on rejoignit un petit groupe de villageois qui semblaient perdus eux aussi, ça partait mal et toujours cette envie de tout bousculer
Holà les amis de la révolte ! Quelquun a vu madame d'Ayfasai ?
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