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[RP]Inéxorablement attirée par le BA

Jehanne_du_genevois




Départ de la Savoie...

Je ne savais pas depuis combien de temps déjà j'étais là dans mon village de Bourg en Savoie mais ce que je savais avec certitude c'est que cela faisait déjà trop longtemps .Le Bourbonnais Auvergne me manquait .
Revenue en Savoie sur la demande du Duc de Savoie, mon cher frère le Duc régnant .C'est en arrivant que j'avais enfin comprit pourquoi il m'avait fait revenir.

Un mariage arrangé.

Il ne supportait pas de me voir seule depuis ...ma séparation d'avec ...à quoi bon citer son nom à cet homme qui n'avait pas supporté que je puisse passer quelques jours en retraite après quatre mois de voyage, première taverne rencontré, première jeunette accoster et la table de taverne avait fait office de couche à cet homme incapable de douceur et de sentiments .
Egoïste de tout son estre voila ce qu'il estait .

Donc le Duc voulant chasser la peine qui m’habitait m’envoie un escorteur pour me ramener en Savoie .Ce que je ne savais point c’est que cet escorteur était censé estre mon futur époux .
Un homme bien en apparence .
Très respectueux, cela me changeais de l’autre qui n’avait jamais prit la peine d’utiliser le vous .Enfin un seigneur qui connaissait les convenances .
Le voyage retour se passa sans encombres.

A peine franchit les portes de la ville de Bourg que le Duc m’annonçait que j’avais voyagé avec mon futur époux.
Bon certes charmant, gentil avec une conversation ce qui n’est point donné à tous les hommes, c’est vrai que cela aurait pu estre facile avec un homme tel que lui.
Les jours passaient, on apprenait à ce connaître et tout devenait si simple avec lui .

Mon cher frère de Duc avait il eu enfin une merveilleuse idée en me le présentant ?

Un mois après il allait demander ma main comme il se doit au Duc mais cela ne se passa point ainsi.

Du jour au lendemain le bel homme partit quittant son village, Savoie, rendant ses terres à sa suzeraine et partit sans un mot .J’attendis des nouvelles le lendemain de son départ car chaque jour un pigeon m’amenait douce missive mais rien, le lendemain rien non plus, le surlendemain non plus .
Je pris la plume pour avoir explication de son silence et là j’ai apprit son départ soudain .Il n’avait mesme pas prit la peine de me le dire.
En faite l'homme charmant cachait un goujat de la pire espèce .Les titres encore les titres ...
C'est en hollande qu'il avait déjà d'autre épousaille en vue .Un double jeu il menait .

Décidément le sort s’acharnait dès que je mettais un pied en Savoie.
Décision de partir à nouveau fut prise .Le temps de préparer cette fuite comme beaucoup le disait je passais de temps en temps voir mes amis en taverne le soir, histoire de penser à la lâcheté de mon futur époux.


Un soir au détour d’une conversation un jeune homme recherchant un travaille dans une famille m’intrigua .Ensuite il parla de ses envies de voyages.
Je ne réfléchis point trop longtemps et lui proposa de devenir mon escuyer et de voyager avec moi .Pure folie ou simple aide .Je ne pouvais le dire .
Ici a Bourg tout estait si dur, solitude ennemie, tapi dans l'ombre de mon esprit rit de mes ennuis et de mes erreurs sans répits .
Un nouveau départ ,je veux renaitre et oublier .

Quelques jours avant le départ le jeune homme de la taverne, Nerval de son prénom se présenta aux écuries du Genevois .Je voulais voir comment il s’en sortait avec les chevaux .Je savais avec Opis cela serait dur car elle mordait automatiquement tous les hommes que s’approchait d’elle .

Le jeune homme estait décontracté jusqu'à qu’Opis essaye de le mordre, il fit un bon en arrière en cria que cette beste estait enragée, je riais de la scène .La frayeur passé je lui demandais de panser Opis et ensuite Erin le frison qui se méfiait de l’inconnu .Bon c’est bien ce que je craignais nerval ne connaissait rien aux chevaux.

Avec patience je lui montrais comment utiliser les brosses, les panser en douceur tout en étant calme .Il ne fallait pas les brusquer sinon l’accident estait vite arrivé surtout avec ces deux là .Puis je lui montrais sa monture pour le voyage .Un joli petit âne.



Nerval fut fort surpris quand l’âne vint lui lécher le visage,il estait adopté ,l’âne l’aimait déjà mais ce n’estait point le cas de Nerval qui reculait pas à pas suivit par l’âne .

Je riais à en avoir mal au ventre, leur rencontre fut un coup de foudre on ne pouvait pas dire le contraire mais Nerval n’appréciait guère la beste grise. Je pris l’âne et le remis dans son box et on retourna vers ma jument lipizzan et le frison.

Il revient tous les jours apprendre son métier avant le départ et aussi a monter non pas l’âne qui continuait ses assidues poursuites mais le frison caractériel, Après quelques jours de pratique Nerval s'en sortait bien ,il arrivait mesme à éviter les dents d'Opis mais point les mamours de l'âne .
Dès le lendemain à l'aube ils prendraient le départ direction le Bourbonnais Auvergne .


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Nerval
[Caché derrière un masque]


Enervé par la colère
Désillusion
Quelque chose de brisé
Lent et silencieux fracas d’une destinée qui glisse le long de ses joues pour la dernière fois

Regarder les flammes danser sur tout ce qu’elle a pu voir, toucher, sentir, tout brûler, vêtement, sentiments. Se retrouver à Bourg en plein mois de novembre, la cuisse à l’air, tremblant de froid, tremblant de colère. Il lui l’avait bien dit son libertin de père, l’amour ne mène qu’à la déception et à l’amertume. Sa mère l’avait aimé à en mourir, lui n’aimait que son corps et les maisons de débauche. Il avait tout fait pour aller contre ses gènes, mais il était rattrapé par tout cela. Elle l’avait conquis, elle l’avait aimé, elle l’avait abandonné sans même un seul mot. Il avait pris la mentalité de sa mère et cela l’avait plongé dans une tristesse sans fond. La droiture de son âme venait de fléchir. Peu importe le reste il n’irait plus contre son destin, contre ses envies. Il se cacherait derrière ses envies épicuriennes pour aller de l’avant et ne plus s’attacher, plus jamais. La bataille du sang venait d’être remporté... il ne lutterait plus jamais contre cela.

Le froid pigmentant sa peau l’obligeant à se réchauffer la ou il le peut. Il avait fait à Bourg des rencontres, de très bonnes connaissances, se réchauffant autour d’un feu n’étant pas le sien mais appréciant cette douce chaleur lors de longues joutes verbales ci et la, se présentant tel qu’il est sans prétention, juste un homme qui veut profiter de la vie. Premier feu de joie, premier entrelacement de corps brûlant d’ardeurs et de désir, le sang maudit de son géniteur bouillonne dans ses veines, masquant tout ce qu’il veut oublier. Passion, débauche et sincérité, pas de poussière dans les yeux, elle le sait, un feu de paille mais qui vaut la peine d’être vécu. Première maîtresse, premier secret d’épicurien qui restera à jamais en lui. Pas d’explication, pas d’attente, rien qu’un plaisir partagé lui donnant le droit de recevoir chemise et habits. Chaste cadeau d’une noble à un épicurien.

Entre amusement à énerver la tavernière, les sourires à la Bourgmestre, la recherche d’une occupation moins futile et la dégustation sans limite de bières le temps s’écoule rapidement. Mais son envie le titille de nouveau, une envie de voyage, de rencontre qu’une Dame glaciale de Saint Remy va lui permettre d’assouvir. S’occuper de ses chevaux durant son voyage qui les mèneront jusqu’à Montbrisson. Pas vraiment son truc mais il accepte sans donner aucune explication, il ne veut se justifier mais un challenge intéressant se profile. S’occuper de ces bêtes qu’il n’aime pas vraiment et en profiter pour faire fondre une glace des plus intéressantes. La noble à du verbiage, du répondant, de la conversation. L’intérêt n’est pas que physique.

Un départ tôt le matin l’enthousiasmant en compagnie de la Dame de Saint Remy conjugué à une pointe de regret, mais il ne laisse rien transparaître, nouvelle vie, nouvelle façon de vivre. Ne jamais rester au même endroit pour vivre pleinement l’instant présent et ne plus jamais rien regretter. Voyage presque idyllique si on omet les soucis de la conduite de cheval, d’un âne collant. Faut dire ce qu’il est, ce n’est pas pour s’occuper de ses bêtes qu’il est la.

Echange de bon procédé entre lui et la maîtresse de voyage, elle lui apprend, il lui tient compagnie sans aucun tabou ni retenu, allongeant les nuits afin de profiter d’une autre étreinte que celle du froid qui lui glace le visage. Profiter de la chaleur des différents âtres qu’ils rencontrent pour regarder danser les ardentes flammes dégageant une chaleur salvatrice lui réchauffant une peau ne cherchant qu’à connaître une nouvelle fois l’ivresse. Un jeu du chat et de la souris ou les rôles s’inversent sans cesse pour son plus grand plaisir.

Recommencer dans un désir d’infinité avant de laisser le règne du sommeil prendre place pour mieux recommencer chaque soir. Une arrivée à destination pour une fin précaire du voyage. L’épicurien se laisse aller à ses envies entre nouvelles connaissances et envie de jouer de nouveau avec la glace enflammée. Subtil mélange d’un froid glacial et de braises, le voyage fait une pause. Ne pas penser au lendemain, juste à l’instant présent, à ses plaisirs, à ses désirs pour se créer des souvenirs et non des regrets...
Jehanne_du_genevois




Le Bourbonnais Auvergne ,Première halte Montbrisson .

Partit à l'aube de Bourg ,mon escuyer et moi mesme prirent la route direction Mâcon .Nerval était nerveux sur le frison ,il cachait son appréhension derrière un masque .Je me doutais qu'il n'avait point l'habitude de monter tout comme de s'occuper des chevaux .

Qu'importe il fallait partir loin et vite de se Duché maudit emplit de fantômes qui aimaient hanter et se venger .

Je restais silencieuse une bonne partie du voyage ,nous avions passé Mâcon quand la nuit vint remplacer le jour .Il nous fallait s'arrester pour la nuit et Nerval trouva une cabane de chasseur ou on passa la nuit .
L'homme était peu bavard lui aussi ,il me donnait l'impression de cacher un lourd secret .Mais je ne voulais point savoir ,cela ne me regardais point .Nous bavardions de tout et de rien .

La route de Lyon se passa dans les mesme conditions ,aucun soucis ,point de brigands seul quelques paysans dans les champs ,semailles d'automne ,laboure des terres .
Le paysage perdait de sa beauté ,les arbres se défeuillaient et perdaient leurs couleurs .Les branches nues apparaissaient indiquant que l'hiver approchait doucement .

Perdues dans le décor de monts d'Auvergne qui se profilaient à l'horizon je ne vit pas que l'on arrivait aux pieds des remparts de Montbrisson .

Je me dirigeais automatiquement vers l'auberge ou je descendais à chacun de mes passages le jeune palefrenier de l'auberge me reconnu et me sourit et ne prit point les chevaux .Il savait maintenant que je m'occupais toujours de mes montures moi mesme .

Ce dont je n'avais pas parlé bien évidement à mon escuyer qui lui apprenait tout juste à connaistre les chevaux .En trois jours de voyage les chevaux s'estaient habitués à Nerval ,Opis n'essayait presque plus de le mordre mais nostre belle ânesse elle le poursuivait toujours autant .

L'auberge était calme ce soir là .
Peu de monde au village .
La guerre faisait toujours rage au nord du duché et peu de monde estait reste ici .Tous partis pour aider le Duché .
Mes amis estaient encore à Bourbon .

Nous priment quelques jours de repos mais bien vite les journées mornes se succédèrent .
Les tavernes fermaient leurs portes .
Visiter le village .
Aller au lac ou tout estait paisible .

Je profitais de ces soirées calmes pour apprendre à connaistre mon escuyer .Peu loquace le jeune homme ,plus discret et secret qu'une tombe mais un jour je réussis à en apprendre d'avantage .

Je comprenais mieux maintenant ce masque derrière lequel il se cachait .Je n'insistais guère plus .

Trois jours que nous estions à Montbrisson et nous allions reprendre la route pour Polignac .



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Nerval
Du mal a suivre...


Les duchés se ferment mais l'air circule toujours de la même manière. Il y a des choses incontrôlables et le sang ainsi libéré ne fait pas exception à la règle. Aucun changement notable dans sa façon de faire entre la Savoie et le Bourbonnais. Peu importe les routes, les lieux, être égal à soi même et ne jamais se mentir. Réapprendre à vivre de façon libre après avoir été enchaîné par un être conjuguant mensonge et traîtrise. Déguster chaque instant comme si c’était le dernier pour briser ces chaînes se nommant raison. Mordre à pleines dents dans ses envies voulant conjurer le sort et se cacher derrière son masque habituel. La Dame de Saint Remy n’en prend pas ombrage loin de la, le respectant autant qu’il la respecte.

La Baronne se fait muette comme à chaque fois qu'elle chevauche. Elle préfère se laisser porter sans avoir à réfléchir selon l'avis du noble gueux. Toute façon vu la maîtrise qu'il a du cheval cela ne serait pas facile de pouvoir établir une conversation sans voir apparaître sur le visage de la Dame un sourire moqueur. Il préfère laisser son regard vagabonder sur son dos ou sur les paysages rencontrées. Il ne peut la voir autrement quoiqu'il en soit, bien du mal à avancer sur cette maudite bête. Nerval en profite pour admirer les arbres, les autre gueux semant leurs champs, la cascade brune coulant sensuellement pour venir mourir au creux des reins, les monts du Forez s’approchant.

Alors il pense, réfléchit, marmonne de temps a autre, sourit tout seul. Tout mais ne pas penser a ces choses qui nuiraient a ce voyage et le transformerait en une chevauchée des plus inutiles en ne cherchant qu'a fuir les spectres d'un passé qui a tué tout ce qu'une personne normalement constituée peut ressentir. Un paradoxe, une haine caché au fond de lui, il serait inconcevalbe qu'il ai survecu si elle ne l'aimait pas. Mais ce feu infernal le consume risque de consumer tout ce dont il entreprend, elle devient un boulet enchainé a ses ailes. La haine pigmentée de décéption comme s'il marchait sur une fine couche de glace. Une seule certitude, il est la et il est vivant. Les pensées se perdent dans le méandre de sa fonction mais aucun mot de sort. En bon homme de compagnie doublé à un écuyer il doit savoir quand se taire ainsi quand soutenir une conversation lorsque la Baronne le désire. Soumis? Non ! Respectueux du bien être de la Baronne? Oui!

L'apprentissage se poursuit débloquant les sourires et les rires. La glace fondant très légèrement laissant transpirer quelques confessions. Pas d'étonnement, le coeur lourd a quelque fois besoin de se lâcher, quand il existe encore. Alors écouter, sûrement pas grand chose mais c’est toujours ça. Il est des choses que l’épicurien a du mal à saisir et le fait que la Dame veuille le faire parler sur son passé en est une.

Les routes sont calmes, tant mieux, il n'est pas de ce genre d'hommes qui compensent une certaine frustration par la virilité des armes. Puis ça n'aurait pas été sérieux que sa future suzeraine sorte les armes pour le secourir lui.

Montbrisson.

Une de ces villes fantômes sans grand intérêt. Heureusement que la compagnie est des plus agréable. Les soirées sont animées en discutions agrémentées ci et la par une petite course a pied afin de rattraper des mots maladroitement sorties. Une virée près du lac malgré la fraîcheur de la nuit. Un moment, un instant de plus, un autre de gravé dans sa mémoire et qui y restera bien qu'avoir les pieds au frais risquait de le rendre malade. Mais la flamme devant laquel il se réchauffe empeche ses pensées noires de resurgir. Lorsque la glace se fait moins froide, l'âme se libere quelque peu laissant echapper quelques complaintes sans interets laissant en lui beaucoup de questions sur le pourquoi de l'interessement de la Dame de Saint Remy. Par respect pour lui?

Beaucoup de discutions avec la Dame de Saint Remy, un piolet dans la main afin de briser un peu de glace et de comprendre le pourquoi du comment. Un gros défaut... la curiosité mais l'épicurien est ainsi et ne peut s'empêcher de demander. Une envie... il ne perd pas son but de vue, contenter sa future suzeraine, dompter les chevaux afin de pouvoir enfin se balader plus tranquillement et assouvir tous ses désirs...
Jehanne_du_genevois




Après Montbrisson endormit ,Polignac legèrement plus éveillé ...Murat... Eveillé ou ...endormit ?


[i]Polignac ...Petite halte d'un jour .Pas grand chose à faire ni à voir .
Presque personne en taverne ...A peine éveillé le village .Ce n'était que pour une journée demain ils partaient pour Murat ou je devais revoir mon ami Death .

J'aurais le droit à un sermons pour avoir voyager sans escorte mais il pourrait crier tant qu'il voudrais je ne le craignais point .

Le chemin entre Polignac et Murat fut rapide .
Deuxième fois que je venais en ce village .Nous arrivions par le haut du village ,les remparts passés nous descendions jusqu'au centre par le chemin d'en haut .

L'auberge des anges était non loin de là .
Nerval suivait doucement ,je me doutais qu'il devait en avoir assez de chevaucher ,cela était dur au début pour quelqu'un qui n'était point habitué .

Il aurait tout le temps de se reposer car je voulais profiter de quelques jours en ce village .
A peine arrivée dans la cours de l'auberge que j'emmenais les chevaux aux écuries .Je laissais Nerval s'occuper d'Elixir le frison sa monture tandis que je m'occupait de ma jument je ne pouvais me résoudre de à lui laisser .
La brosser ,la panser me manquais .

Nerval serait surement furieux de savoir que je prenais soin moi mesme de mes montures en général mais il voulait travailler et le seul emploie était celui d'escuyer mais il avait tellement de mal avec les chevaux .
Je ne sais pourquoi il n'aimait pas ce majestueux animal .

Sans doute à cause de sa fidélité ,un comble pour un épicurien .

Première soirée à Murat et on s'aperçoit vite que les rues ,les tavernes sont plus animées que dans les autres villages .

Rencontre avec la douanière fort gentille du village d'ailleurs seule douanière rencontrée depuis nostre arrivée en Bourbonnais Auvergne .
Les gens sont fort accueillant et sympathique comme la première fois que je suis venue en aoust dernier.

Le soir venu je me dirigeais vers une taverne ,nouvelle rencontre ,le Diacre de Murat .Chaleureux au début mais je m'aperçoit vite que la noblesse lui fait horreur ,pas de chance c'est moi qui me trouve là et prend pour tous les nobles hautains du royaume .

Jugé sans mesme me connaistre ,n'aurait il point oublier les belles paroles d'Aristote le curé ?

Colère noire contre le donneur de leçon ,mais rira bien qui rira le dernier .
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Murat ...................


Voilà maintenant plus de dix jours que j'étais à Murat .
Nouvelles rencontres fort sympathiques ,d'anciennes tout aussi plaisante .Une invitation au mariage du Duc de Roanne ,une vie tranquille en ce village ,trop tranquille d'ailleurs .Besoin d'action .

Une envie de reprendre la route ,un petit voyage au village voisin ,une envie de chevauché folle ,d'une balade dans ce duché .Aurillac petit village à l'air sympathique .Je visite dès mon arrivée ,trouve une petite auberge fort douillette ,ma jument laissée aux écuries je pars faire un tour .

Mais tout est calme.
Pas âmes qui vivent ,tous aux champs ? J'allais voir dans les tavernes ,toutes vident .

Un village fantôme .Petit tour au verger pour ramasser quelques fruits encore là sans doute oubliés ,je retourne à l'auberge un peu lasse .je repartirais surement rapidement d'Aurillac ,venue là pour me changer les idées ,rencontrer du monde mais cela n'était point évident dans un village ou personne ne sortait le soir venu .

Je m'ennuies vraiment ,certaines personnes me manque .
Il me faut pourtant ne plusy penser mais quand on reste seule à ruminer ses pensées sans croiser une seule personne le passé nous rattrape vite .
Une bonne nuit de sommeil .
Un petit déjeuner gourmand à l'auberge et je reprenais la route pour Murat .

Besoin de voir du monde après cette isolation de deux jour sans parler à personne à part à moi mesme .
S'amuser ,rire ,j'en avais besoin et ici à Aurillac je ne pensais qu' à ...A quoi bon !
Soupir tout le long du retour ,pressée d'arrivée je lance ma jument au galop ,les remparts se profile vite à l'horizon ,le faible soleil fait sa douce descente à mon arrivée à Murat .Je traverse le village plus animé qu'Aurillac ,je salue quelques passant rencontré ici et là dans le village ou en taverne .

Arrivée à l'auberge des Anges je me dirige directement vers les écuries pour m'occuper d'opis ma jument .Un hennissement m'accueil ,le cheval de ma mère ,le frison est la la teste passer par la porte de son box ,je m'approche de lui et le caresse doucement .Ensuite les soins donné à Opis je file directement vers l'auberge et fait demander un bain dans ma chambre étant donné que Murat ne possède pas de bains publics .

Une soirée en taverne avec du monde ne me ferait pas de mal .je pensais aussi au mariage du Duc Pierre .Enfin une occasion de rencontrer du monde et s'amuser .

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Montbrisson-Son lac gelé.....


Voilà quelques jours que j'estais à Montbrisson .Arrivée avec Semias et mon escuyer après estre passé par Thiers .Semais avait du repartir pour son village Montpensier et ses fonctions d'ambassadeur l'appelait à Montluçon ensuite.

Après de belles et mensongères paroles j'errais ici et là dans le village.Je tourne et vire dans ma chambre à l'auberge .Une nuit sans sommeil. Le jour n'est pas encore levé,je sors de ma chambre pour faire un tour ...


Le froid ,la solitude moment parfait pour la réflexion .J'avais décidé de repartir en Savoie mais après cette nuit à réfléchir j'avais prit la décision de rester .Pourquoi quitter un village qui me plaisait et un duché que j'affectionnais pour ne pas avoir su comprendre que l'on se jouait de moi .

Les erreurs nous rendaient plus fort me disait sans cesse ma préceptrice Hildegarde souvent je ne comprenais pas ce qu'elle voulait me dire quand j'estais enfant mais cette nuit j'avais prit conscience enfin de quoi il en retournait .Blessée certes je l'estais mais j'avais apprit à ne plus croire les paroles des hommes ce n'estait que mensonges.

C'est le sourire aux lèvres qu'après une nuit sans sommeil mais tellement enrichissante que je me dirigeais vers le lac du village.

Il estait gelé et le faible soleil de l'hiver qui se levait tout juste derrière les montagne faisait briller la glace .La neige tombée en abondance ces derniers jours cachait tout de la nature .Un manteau blanc immaculé recouvrait la verdure ,les rochers et les abords du lac.

Je décide de rentrer pour écrire à Dame Korydwen et d'accepter son invitation .Passer quelques jours avec elle,Althiof et leurs enfants m'enchantais.

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Santiagoriccardo
Le matin se levait sur Montbrisson. Il avait eu le plaisir d'y passer une semaine complète, logé, nourri, mais en prison.
A sa sortie des geôles, il fut ébloui par le reflet de la lumière sur la neige. Il n'avait pu contempler cette dernière depuis longtemps, ayant vécu ses derniers hivers au bord de la méditérranée, à Marseille. La neige est chose rare là-bas.

Durant son séjour en cage, il avait pu réfléchir, penser, organiser. Il avait croisé Jehanne à Montbrisson. Il l'avait déjà rencontrée auparavant à Bourg, lorsqu'il avait tenté avec un groupe d'amis de prendre la mairie savoyarde, sans succès hélas.
Jehanne... Son frère, Pierre_von_Kolspinne, Duc de Savoie, avec qui Santiago avait déjà eu un accroc. Il avait là l'occasion de se venger...

Après avoir remercié les matons de leur chaleureux accueil, il partit en direction du centre-ville, passa dans la première taverne qu'il croisa afin de s'y nourir convenablement. Une fois fait, il se mit en quête de la fameuse Jehanne. Peut-être était-elle déjà partie ? Pour savoir cela, rien ne valait un mendiant aux portes de la ville, ce qu'il trouva facilement.


- Salut ! Est-ce que tu aurais vu passer une jeune femme, blonde et vêtue de blanc, sauf son col qui est noir.

- Combien ? Demanda le mendiant.

Santiago sourit. Il avait de quoi donner, ce n'était plus un problème désormais. Et il ne devait pas se montrer trop radin, afin de ne pas arriver à un échec.

- 50 écus.

L'homme écarquilla de grands yeux, puis répondit.

- Hmmm... Il me semble avoir aperçu une dame de ce genre là, ce matin, elle partait en direction du lac.

Après l'avoir vivement remercié et lui avoir donné son sous, Santiago se mît en route vers le fameux lac de Montbrisson. Il devait être gelé à cette époque. La neige crépitait sous les pas du petit portugais au fur et à mesure qu'il avançait.
Soudain, il aperçut au loin une silhouette féminine. Sans hésiter un instant, il chercha rapidement un endroit où se cacher et se plaça derrière un arbre au tronc immense. C'était du vieux, du bon, et du solide.

La silhouette se rapprochait, et il pouvait apercevoir d'un oeil, la démarche, le visage, de sa victime.
Il entreprit de retirer sa cape, qui lui servirait à étouffer sa proie, à l'empêcher de crier et à ne pas se faire reconnaître.

Jehanne passa, innoncente, ne sachant pas ce que le destin lui réservait. Santiago, tel un renard, bondit de sa planque pour sauter sur sa proie. D'un geste, il plaqua sa cape contre le visage de la femme avant de lui donner un coup d'avant-bras au niveau de la nuque, ce qui la fit s'évanouir.

Aucun son, aucun bruit, rien. "C'était du travail de pro'" se disait Santi'.
Il prit soin de lui attacher les poignets derrière le dos à l'aide de sa ceinture avant de la traîner vers les bois de Polignac.

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Jehanne_du_genevois




Ou suis je ? Dans quelle étagère ? ^^

Ma décision prise je repartit gaiement vers l'auberge pour écrire à Dame Korydwen .
A cette heure matinal tout estait calme dans le village .
Point de pêcheurs imprudent sur le lac .
Point de fou bravant le froid du matin .
Sourire aux lèvres ,heureuse d'avoir enfin pu réfléchir et surtout de m'estre décidée enfin .

Je passe tranquillement près d'un grand arbre ,nu de feuilles mais vestut d'un léger manteau blanc qui donne à ses branche un air de feste .
D'un seul coup le noir s'abat sur moi .Un sorte de voile noir comme si ma vue s'échappait .
Juste le temps de sentir cette odeur ...
Odeur connue et insupportable...
Mon esprit tourne à toute vitesse ,je sais a qui appartient ce tissus infecte ...Santiagoriccardo !
Que me voulait il ?
Me faire peur ?
Se venger ?

Pas le temps d'émettre un son ,ni mesme un cri pour appeler à l'aide que je sens un coup sur la nuque .
Je résiste contre cette nonchalance qui m'emporte ,j'essaye de toute mes forces de lutter contre mon corps que je sens devenir moue .

Cette fois c'est le noir total .
Je perd pied de la réalité ....
Mon corps devient lourd ,je m'effondre .
Je suis en veine pour ce début d'année 1458 !

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--Santiago_le_vilain
Santiagoriccardo a écrit:
Il tirait le corps, s'enfonçant dans les bois de Polignac. Personne n'avait rien vu, du moins, il le pensait.
Il connaissait une petite cabane, celle du garde forêstier, qui était située au fin fond de la forêt.
C'est donc à cette endroit précis qu'il comptait emmener Jehanne.

Il poussa violemment la porte, installa la femme sur une chaise, s'assurant que ces poignets étaient toujours bien liés. Il prit soin d'attacher chacune de ses chevilles à un pied de la chaise.
Une fois chose faite, il retira la cape qui couvrait le visage de sa victime.

Il la regarda, la dévisagea, tourna autour avec appétit, telle une bête en manque de sang.

Il décida de la laisser reprendre ses esprits d'elle-même... Il avait quelque chose à écrire en attendant. Une lettre, à un vieil ami.

S'armant d'une plume, il sortit un long parchemin sur lequel il se mit à écrire.


/SPAN>
Citation:
Cher Pierre,

Je crois qu'il est inutile que je me présente.
J'ai, devant moi, ta soeur, ligotée sur une chaise et à ma merci. je te le confie, elle ne me laisse pas indifférent.
Bien entendu, je n'ai pas encore décidé de son sort. Pour cela, il faudra que tu me répondes.
Etant donné que tu es le fier Duc de Savoie, tu ne dois pas manquer d'argent, n'est-ce pas ?
10 000 écus. Ni plus, ni moins. A envoyer via un M-A à Lyon. En échange de cette coquette somme, tu retrouves ta soeur.
Je trouvais ça équitable.
Sinon, j'ai le choix : épée, couteau, hache. Elle décidera elle-même ce qu'elle préfère si tu refuses ma petite offre.

Bien à toi,
Ton ami,
Santiago Riccardo.

PS : Ci-joint, une mèche de cheveux de ta soeurette. Si tu n'y crois pas, je peux toujours t'envoyer l'un de ses doigts, un oeil, un bras, bref, ce que tu veux pour pouvoir t'assurer qu'il s'agit bien d'elle.
Jehanne_du_genevois




Quelque part mais ou ????????

Le froid et une vive douleur derrière la teste ...
J'essaye de bouger mais je ne peux point ,je sens des liens qui retiennent mains et chevilles.
Dans quel pétrin m'estais je encore mise ?
Je me souviens rentrée pour écrire à Korydwen et Althiof et aussi Naudéas ,pis c'est le trou noir ...
Reste que cette odeur ,infecte et tenace .

Ma teste est lourde et cette douleur qui me vrille les tempes ...Machinalement je passe ma langue sur mes lèvres sèches,pas de bâillon,crier ou se taire ?
J'ouvre doucement les yeux ,regarde attentivement autour de moi ,bougeant le moins possible afin que celui qui m'avait enlevé ne s'aperçoive pas de mon réveil .
Ma longue chevelure brune cache à moitié mon visage ,teste baissée j'observe à travers le rideau de mes cheveux la cabane ou je me trouve .
Juste un table ou l'affreux Santiago est .
Il écrit ,la plume crisse sur le parchemin .

Un peu étonnée qu'il sache écrire celui là mais maintenant que je le vois là assit non loin de moi j'ai confirmation à l'odeur .Je ne m'estais point trompée .

Il fait froid ...Ligotée ainsi je ne peux bouger ,j'ai les mains et les pieds engourdis .
Un regard sur le coté ,une cheminée ou aucun feu est né .
Il a pas froid le bougre ?
Mais non il estait habitué aux geôles et le froid qui y régnait .
Si il croyait que j'allais le supplier à cause du froid il se trompait le vilain .Une question restait .Pourquoi moi?

Je cherchais raison à tout cela .
Sans doute une demande de rançon ,l'argent je ne voyais que cela .
A moins qu'il se venge de son échec de la prise de la mairie de Bourg .Échec cuisant ...
Pour le moment valait mieux faire semblant d'estre encore évanouie ,le temps de savoir ce qu'il voulait .

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Jehanne_du_genevois
Althiof a écrit:
Depuis le début de sa garde une étrange sensation l'habitait. Comme si tout cela était bien trop calme et qu'il oubliait un point important, quelque chose de suspect qu'il ne percevait pas, une présence dangereuse qu'il ne définissait pas. Mais elle était là telle une épée de Damoclès et il fouillait dans son esprit pour mettre enfin le doigt dessus.

Et cela arriva enfin lorsqu'il pensa aux prochaines semaines. Organiser le trajet vers la Savoie. Jehanne ! C'était ça. Kory lui avait dit qu'elle l'avait invité à séjourner chez eux et ils ne l'avaient pas vu venir. Ils n'avaient non plus eu de nouvelles et ne l'avait croisé dans le village depuis cinq jours qu'il en harpentait toutes les rues et les commerces animés. Lorsqu'il commença à poser des questions il n'obtint que des hauchements d'épaules jusqu'à ce qu'on lui indique qu'une étrangère correspondant à la description avait été vue partant vers le lac.

Il prit peur d'abord se disant que si elle avait pris mal elle était peut etre morte là quelque part et qu'il pourrait ne jamais la trouver. Et pis il repensa à son sentiment, celui que quelqu'un rodait et que le village n'était pas aussi sûr qu'il l'y paraissait. Une noble... une héritière... Il fallait qu'il sache alors il se dirigea vers le lac.

La neige fondue par les pas des villageois s'était transformée en boue mais le lac et ses alentours restait immaculé. Point de pêcher en cette saison autre que des braves qui creusaient leur trou pour tenter leur chance. les berges restaient vierges et il ne mit pas longtemps à trouver plusieurs pistes. D'abord quelques oiseaux, surement des moineaux à la recherche de n'importe quoi qui puisse les nourir, des traces plus marquées, surement celle d'un cerf espérant trouvé de l'eau et puis enfin des traces humaines. La taille et les traces de boues ne trompaient pas. Heureusement il n'avait plus neigé depuis plusieurs jours.

Il suivit la piste s'éloignant petit à petit du village et s'approchant de la forêt à l'autre extrêmité de l'étendue de glace. Il s'arrêta brusquement et se baissa mais il savait déjà. Une zone de lutte. Encore qu'elle n'avait eu trop l'occasion de se débattre et puis les traces de jambes d'un corps tiré vers la forêt. Ces doutes se confirmaient mais il ne pouvait aller plus loin pour le moment, il lui fallait de l'aide pour s'aventurer dans cette zone couverte.

Il fit rapidement demi-tour pour rejoindre sa maisonnette non loin de là d'un pas lourd et neverux pour prévenir sa femme. Combien de jours déjà ? Beaucoup trop surement. Les premiers étaient les plus importants. Après... Cela lui rappela un autre enlèvement, une amie qu'il aimait tant, celle là même dont il retrouvait certains trais en Jehanne et qui l'avait attiré vers elle un soir dans une taverne. Il l'avait perdue mais pas celle là. Il voulait tellement apprendre à mieux la connaitre.
Jehanne_du_genevois




Dans une cabane mais ou ??????????


Cela faisait maintenant plusieurs jours que Santiago m'avait enlevé et ficelé sur une chaise.
Il avait envoyé un pigeon à Chambéry à mon frère lui demandant une rançon de 10 000 écus m'avait il dit .Je le savait fou mais à ce point ! 10 000 écus une véritable folie mais j'avais espoir que mon frère réunisse au moins la moitié de la somme pour me sortir de là .
Trois jours après l'envoie du pigeon toujours aucunes nouvelles de mon cher frère .
Santiago commençait fortement à estre énerve et moi désespérée.
Le matin du quatrième jour un pigeon arriva enfin ,pas celui attendu malheureusement .Un ami du vilain lui écrivait que mon frère avait rit puis s'estait emporté après avoir reçut sa missive mais qu'il n'avait rien fait pour me sauver .

Le vilain se délectait à me lire la missive et les agissement de mon cher frère .
Il ne paierait pas !

Ha ! Ha ! Ha ! Pauvre petite fille riche ...Tu vois tout l'amour qu'à ton cher frère pour toi !

Santiago froissa la missive contrarié et en colère .J'eus le droit à une gifle magistrale comme si j'estais la responsable du refus de payer de mon frère .
Il décida de partir en Savoie afin de réclamer son du me dit il après quelques heures .
Il me laisserait là le temps d'aller à Chambéry et de recevoir la rançon .Si mon frère continuait à ne point vouloir payer je le paierai de ma vie .

Un frisson d'horreur me traversa .
Il allait me laisser seule dans cette cabane .
A mes pieds il déposa une gamelle avec du pain rassit et une autre avec de l'eau d'une couleur douteuse .
J'avais à peine mangé depuis quatre jours préférant refuser ce qu'il me servait plustot que de m'empoisonner .Il mit quelques buches supplémentaire dans l'âtre et partit ...

A peine la porte fut elle refermé sur lui que j'essayais de me libérer de mes liens .
Impossible de les desserrer .
Ils estaient bien trop serrés et je m'écorchais les chairs à force de frottement .
Lasse ,épuisée par mes efforts j'abandonnais temporairement et sombrais dans un profond sommeil .C'est le hurlement d'une beste qui me tira de mon sommeil .
Dehors il faisait nuit noire .
Quelques braise rougeoyantes restaient dans la cheminée .Le feu allait s'éteindre .
Le froid commençait déjà à prendre place et s'installer dans la cabane .

Je ne pouvait rester ainsi ,il me fallait défaire mes liens .
Je secouais rageusement pieds et mains pour les défaire ...
Rien à faire ...
A force de secousses je réussit seulement à faire basculer ma chaise ,tombant au sol dans un bruit fracassant sur la gamelle d'eau .
Avec espoir je vérifiais si la chaise avait cassée et de se fait je pourrais me libérer ...Mais rien la chaise avait résisté et moi j'estais toujours solidement attachée.

Je me mis à prier dans l'espoir que mon frère cède enfin aux exigences de Santiago et que je sois enfin libre .Je ne pouvait croire qu'il m'abandonnait ainsi après tout ce que j'avais fait pour lui .Toujours je l'avais soutenu fasse à nostre mère ,je l'avais aider tant que j'avais pu dès qu'il avait un soucis .Toujours là pour ce frère qui aujourd'hui se moquait pas mal de mon sort .

Soupir ...

Hurler ?
Me faire entendre ?
Faire du bruit ,une idée qui me traversa mais j'en avais plus la force ,le sommeil ma gagnait à nouveau .

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