[RP] Bénédiction du Conseil Ducal

Ivrel

Alors que le fracas des armes semblait s'éloigner, même si l'on était loin de voir un traité de paix signé, le duc du BA avait demandé à l'évêque de benir le conseil ducal. C'est toujours avec joie que cette dernière souhaitait aux conseillers succès dans leur charge, mais en ces temps troublés l'évêque voulut élargir sa bénédiction.
Souvent cette cérémonie avait lui sur la place devant Clermont, entre la cathédrale et le palais ducal, mais là, le temps de Novembre étant mauvais avec un petit crachin qui vous glaçait jusqu'à l'os en un rien de temps, l'évêque fit sonner les cloches de la cathédrale pour inviter les fidèles à se réunir dans la grande batisse de pierre noire, certes elle n'était pas très chaude, car les braseros ne suffisaient pas à faire régner une bonne chaleur sous les hautes voutes, mais au moins, tout le monde serait à l'abri du vent et de la pluie.

L'évêque alla accueillir les conseillers à l'entrée de la nef pour les mener avec elle dans le choeur près de l'autel.

Bienvenue en ce lieu de paix, que Dieu vous garde et qu'il veille sur notre duché !
Puis un signe de la main en direction du duc et de son conseil.

Si vous voulez bien venir près de l'autel.

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Natafael

Natafael arriva devant la grande Cathédrale.
Aujourd'hui, Son Eminence Ivrel allait bénir le Conseil.

Après avoir salué les personnes présentes ainsi qu'Ivrel,
elle laissa tomber la capuche de sa cape sur ses épaules puis entra dans le lieu Saint.
Elle se signa puis à la demande de l'eveque elle s'avança au devant de l'Autel avec le Duc et les autres Conseillers.
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Natafael de Roserey, Vicomtesse de Salers
Chancelière du Bourbonnais-Auvergne

Princesselaure

Laure arriva à son tour devant l’imposante Cathédrale de Clermont, elle gravit une à une les imposantes marches, franchit la double porte, se signa dans l’allée, salua les quelques personnes connues déjà présentes… Fit une révérence à sa Grâce le duc, puis s’avança derrière Natafael devant l’Evêque, maîtresse de la cérémonie.

La bénédiction n’allait plus tarder…
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Lanfeust86

Lanfeust entendit les cloches de la cathédrale sonnaient, aujourd'hui avait lieu la bénédiction du conseil ducal et pour une fois il irait sans en faire parti.

Le Duc avait décidé d'aller assister à la bénédiction de ce nouveau conseil car bien souvent peu de monde venait. Un désintéressement de la religion ou du conseil, difficile de choisir.

Les conseillers commençaient à arriver, le Duc de Souvigny leur gratifia d'un sourire à chacun : Laure, Natafael, deux femmes qu'il appréciait.

Il se plaça ensuite sur l'un des bancs réservés au nobles derrière le conseil ducal.
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Fabien74

Alors qu'ils palabraient au Conseil sur tel ou tel sujet, Anselme, page de l'Evêque de Clermont, se fit annoncer et coupa le débat du Duc et du Conseil, leur indiquant que Son Eminence Ivrel les attendait en la Cathédrâle pour la Bénédiction. Fabien fut ravi de cette nouvelle, il avait en effet un sacré retard à rattraper car il n'avait pu assister à la messe de la veille.

En effet ce dimanche il avait du descendre dans les mines pour encourager les mineurs à leur tâche, donnant au passage quelques coups de pioche par-ci par-là. Ces derniers étaient à féliciter, et le CAM qu'il était avait tout lieu de le faire, en effet l'occupation des mines auvergnates remontait de jour en jour depuis le début de la semaine, et aucune perte de niveau n'était à déplorer.

Dans son appartement au Château ducal, le Consul se fit aider pour se vêtir. La bénédiction était une cérémonie importante et l'enjeu était grand, il s'agissait aussi bien d'une totale dévotion au Très-Haut qu'un spectacle à donner au peuple du Bourbonnais-Auvergne. Il se vêtit d'un pourpoint à languettes, dont les extrémités étaient réhaussées de fils d'or. Il se fit parer ensuite du collier de l'Ordre du Mérite, orné du symbolique chêne d'argent. Puis, après avoir enfilé la bande bordeau des Conseillers et sa couronne, il mit de l'ordre dans ses cheveux et sortit rejoindre Noeline dans le hall d'acceuil du Château.

Son épouse était comme à son habitude resplendissante, et c'est ensemble qu'ils traversèrent la grande place de Clermont jusqu'à la Cathédrâle, dans laquelle ils pénétrèrent. Le couple se signa et remonta l'allée centrale jusqu'au banc des Conseillers. Il n'y avait pas grand monde mais Fabien reconnu Lanfeust, qu'il gratifia d'un large sourire, il faudrait qu'il aille le féliciter pour son élévation au rang de Duc.

Sourire et embrassades aux autres Conseillers et hop hop hop le regard était vissé en direction de l'autel, où Ivrel attendait l'arrivée du reste du Conseil.
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Noeline

Une robe, deux robes ,trois robes .... pffff elle n'arrivait pas à choisir comme très souvent. Fabien dirait encore qu'elle avait des malles trop pleines ... qu'importe !

Noeline était un peu pressée par le temps depuis qu'elle était au conseil, elle empilait les affiches et les parchemins sur son bureau et un page était venu lui rappeler que la bénédiction allait commencé alors qu'elle avait encore plusieurs annonces à faire paraitre.
Elle était de toutes façons trop tendue pour travailler correctement, une halte lui apaiserait les nerfs.
Après quelques essais et un monceau de jupons, bustiers et capes empilés par terre, elle se décida et revêtit une robe bleue azur assortie à ses yeux clairs.

Elle eut le plaisir de découvrir Fabien qui l'attendait pour se rendre à la cathédrale. Elle déposa un baiser sur la joue de son époux et en souriant prit son bras pour l'accompagner.
C'était toujours un immense plaisir que de paraitre à ses cotés, elle était tellement fière de lui.

Ils entrèrent dans la nef et saluèrent les conseillers déjà présents. Peu de monde encore pour cette messe, Nata et Laure à qui elle fit une rapide bise.
L'ancien duc Lanfeust était venu lui aussi et Noeline dans sa lancée l'embrassa sans aucune gène. Après tout, il avait été son consul suffisamment longtemps pensa t-elle.

Le couple s'installa auprès des deux conseillères et attendit en silence le début de la bénédiction.
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Ivrel

Ivrel salua les premiers arrivés près d'elle et attendant les retardataires, elle discuta un moment avec les conseillers pour avoir quelques nouvelles des soldats engagés dans la bataille... elle espérait que les enterrements seraient le moins nombreux possible. S'adressant à la vice-duchesse :

Dites-moi, Dame Princesselaure, vous avez des nouvelles de nos soldats à Bourges ? Vont-ils bientôt retourner dans leur foyers ? C'est que j'ai nombre de dames qui dès potron-minet viennent prier icelieu pour leurs époux ou promis et qui s'inquiètent.
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Ivrel

Le carillon des cloches était fini.. et le duc était en retard. Ivrel envoya Anselme au chateau ducal avec mission de revenir avec le reste du conseil.
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Cruzzi

Cruzzi avait ouïe dire que la bénédiction du conseil se tenait aujourd’hui, et donc par conséquent un moment important pour sa femme qui était entré dans le conseil pour la première fois.
Il était sur Clermont ayant des choses à faire au château, et quand les cloches lui rappelèrent l’événement il se pressa laissant ses dossiers sur place.
Il entra dans la cathédrale où il s’attendait à voir l’intégralité du conseil déjà présent… mais pas grand monde était là encore… même Amandine n’était pas arrivée ! Il salua de la tête les personnes présentes Laure sa nouvelle consœur, le Duc de Souvigny, Fabien, Natafael, son Eminence Ivrel qui allait officier, ainsi que la porte parole Noeline.

Il s’installa discrètement en tant qu’observateur puis attendit l’arrivée du reste de l’équipe, qui trainait le pied apparemment ce qui semblait agacer le cardinal.

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Sunburn71

Le jour était arrivé pour la bénédiction du Conseil Ducal auquel elle n'avait aucune envie d'assister .
Trop de choses à penser , à préparer ...
Elle soupira en repoussant ses innombrables dossiers sur le bureau puis se leva , s'étirant lentement .
Nul besoin de se rendre à Pérignat , sa tenue suffirait amplement .
Rapide regard sur celle-ci , une robe noire avec pour simple ornement , un fin laçage rouge sombre puis ses lèvres s'étirèrent d'un doux sourire en contemplant son ventre bien arrondie ou elle glissa une caresse apaisante .
Passa sa cape sur ses épaules puis quitta la pièce en s'éloignant d'un pas lent pour se diriger à l'extérieur du château et rejoindre le lieu de la cérémonie .
Elle pénétra dans le lieu saint , se signant rapidement .
Ne fréquentait guère les églises et ne le faisait que par obligation .
Elle salua d'un signe de tête les personnes présentes tout en s'avançant jusqu'à l'autel ou le Conseil devait se placer .
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Petitrusse

A la fin de l'allégence du Cardinal Ivrel au Duc Petitrusse, ce dernier lui avait demandé de préparer la Bénédiction du Conseil en la Cathédrale de Clermont.
Son amie Ivrel avait accepté avec plaisir.

Petitrusse commençait à se préparer, tout en attendant une missive provenant du Berry. Car plus tôt dans la journée, les régnants de l'AdC avaient envoyés un ultimatum au Berry, signifiant que si ces derniers ne détruisaient pas la dernière de leurs armées retranchée dans les murs de Saint Aignan, l'AdC attaquerait la ville, et de nombreux Berrichons y laisseraient leur vie.

Les dernières missives réçues supposaient que les Berrichons voullaient l'affrontement. Le Duc ne voullant pas donner l'assaut trop tôt, décida de rester encore dans son bureau de Duc, espérant, une issue non violente, pour la destruction de cette armée.

Il étudiait les plans du Berry et de la Touraine lorsqu'on lui apporta un nouveau courrier. Il provenait du Capitaine de l'AdC. Le Duc remercia le porteur du courrier, puis ouvrit le courrier.

Le visage du Duc changea, un sourire apparut. Les Berrichons, avaient enfin détruit cette armée, il n'y avait donc plus d'armée ennemis en Berry. Le Duc redigea une note pour les chefs d'armées de l'AdC qui stupulait la capitulation du Berry, et la fin des combats. Maintenant, on pouvait rentrer dans la phase de discussion. Il fit envoyer les courriers.

Le Duc se dirigea vers la Cathédrale. Il était un peu en retard, mais cette bonne nouvelle en vallait le coup. Il monta les marches de la Cathédrale et entra.

Des chuchottements s'arreterent à son arrivée.

Il monta l'allée centrale, salua son amie Ivrel, malgré que celle-ci lui faisait les gros yeux. Il s'installa entre Natafael et PrincesseLaure.
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Amandine0287

Entre un dossier pour trouble de l'ordre public à lancer et un réquisitoire à faire les heures défilaient rapidement dans le pôle justice. Plongée, comme souvent dans des dossiers, la conseillère ducale nommée pour la première fois releva la tête vers la fenêtre qui donnait une vue imprenable sur la capitale. La vue de la cathédrale lui fit drôle d'impression.

ENHHHHHHHHHHHHH la bénédiction! b@ù*$)) de :§!¤£# !
Elle qui était rarement vulgaire c'était dire combien le retard à l'évènement importait!
Passant devant le bureau du juge elle cria au cas où il serait lui aussi attelé à ses verdicts.

ALBANNNNNN! MAGN.. euh DEPECHES TOI Y 'A LA BENEDICTION DU CONSEIL!!!!!!!!!!!

Sans savoir s'il était là où pas elle n'attendit pas et couru vers clermont.

Lieu de culte si proche, cloches qui résonnent une seule chose venait en tête: elle espérait ne pas arriver la dernière. Alors qu'elle enjambait les marches du parvis un arrêt brutal se fit. Les souvenirs du 22 septembre remontent, jour d'un mariage extérieur avec son maréchal toujours présent pour elle, mais aussi de la naissance d'un nouveau moulinois. Et comme par hasard c'est au moment q'il ne faut pas rêvasser qu'elle rêvasse! Heureusement pour elle sa tête est pourvu d'une petite voix lui disant: "héhooooo la bénédiction! ou tu vas encore te faire remarquer par petitrusse!" Ca y est retour à la réalité elle entre se signe et remarque qu'elle n'est pas la dernière!!!!

Hmffffff long soupir de soulagement qu'elle ne put retenir.

La bénédiction allait être célébrée par Ivrel qu'elle connaît davantage pour son rôle de cheftaine au sein de la manufacture de luern... C'était une habitude que le cardinal avait de célébrer cette bénédiction elle allait découvrir cela pour la première fois. Elle avança d’un pas pressé voulant rattraper son retard, prit place puis soudain aperçu son époux sur un des bancs...
Ah bah là...
Ni une ni deux elle se releva et prit la direction de Cruzzi à qui elle donna un long baiser se sentant mieux d’un coup, et ajouta à son oreille quelques mots.
Je suis contente de te voir ici, mon coeur. Je voudrais te parler aprés...
Cette fois elle reprit place auprès de l’autel et des autres conseillers saluant chacun d’un signe de tête ou d’un sourire prête à écouter Monseigneur Ivrel.
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Ivrel

Le duc et d'autres conseillers étaient arrivés... mais certains manquaient encore à l'appel. L'Evêque décida quand même de commencer après avoir saluer les retardataires.

Accolade fraternelle avec le duc et quelques mots échangés sur le sort des soldats, sourcils réprobateurs voyant la tenue du CaC.
Décidement, dès potron-minet, Ivrel se dit qu'elle allait envoyer à Dame Sunburn sa fidèle Cunégonde avec des tissus de la Manufacture.
L'evêque débuta la cérémonie par la Prière du matin, pour saluer ce nouveau conseil et l'aube d'un jour nouveau pour le duché, un jour de gloire et de victoire.

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.

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Princesselaure

Laure écouta l’évêque avec attention puis s’efforça de répondre simplement…

Pour l’instant certains de nos soldats assurent encore le maintien de la paix dans ce duché tourmenté par cette guerre… La blessure est encore trop fraîche et non cicatrisée pour que l’ensemble de nos soldats membres en majorité de la vénérable COBA rentre ce jour… Laissons le temps au temps et bientôt tout rentrera dans l’ordre je vous en fais la promesse ma mère… Enfin sachez que je prierais encore pour les habitants partis au front et leur famille restée ci lieu… Et il en est ainsi pour l’ensemble du conseil…

Léger sourire… Puis le duc fit son entrée dans la Cathédrale… Puis enfin moment de prière et de repos de l’âme… La bénédiction commençait…
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Magakrav

Maga était arrivé en retard comme d'hab se glissa discrètement dans un coins et écouta
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prévôt des Maréchaux

Bénédiction du Conseil Ducal

Ivrel

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Natafael

Natafael de Roserey, Vicomtesse de Salers
Chancelière du Bourbonnais-Auvergne

Princesselaure

Lanfeust86

Fabien74

Noeline

Ivrel

Le carillon des cloches était fini.. et le duc était en retard. Ivrel envoya Anselme au chateau ducal avec mission de revenir avec le reste du conseil.
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Cruzzi

Sunburn71

Petitrusse

Amandine0287

Ivrel

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Princesselaure

Magakrav

Maga était arrivé en retard comme d'hab se glissa discrètement dans un coins et écouta
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prévôt des Maréchaux

Jules.cv

Jules se faufila derrière Maga, et s'installa sur le banc à coté puis récita le... heu... restant de Credo :

Euh...
...Qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
Inspire ceux qui s'écartent de ta parole Divine
Pour qu'ils nous aident à préserver le monde.
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Fabien74

Fabien récita de manière pieuse la prière initiée par Ivrel.
Dans la nef s'élevait tout un choeur de voix, s'entremêlants à l'unisson jusqu'à atteindre le Très-Haut.

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.
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Petitrusse

Le Duc récita sa prière.

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.
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Magakrav

maga vit arrivé Jules lui fit un petit sourir et recita la prière en même temps

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.
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prévôt des Maréchaux

--Anselme

Anselme arrive la mine défaite un parchemin froissé à la main. Le secrétaire du Cardinal lui tend la missive et l'on entend distinctement dans le choeur ces quelques mots etouffés qui sortent de la bouche de l'évêque...

Assunto.... église... Nevitta... Mémé Marguerite... horreur !

Ivrel

L'évêque blémit et reste coite, le parchemin à la main, son secrétaire Frère Anselme avec une certaine présence d'esprit fait signe au choeur des musiciens de la cathédrale pour qu'ils meublent le silence le temps que sa maitresse retrouve ces esprits.

La musique emplit l'edifice.
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Lanfeust86

Le Duc de Souvigny regarda les différents conseillers entraient, le Duc Petitrusse fit également son entrée, il se leva et fit une révérence à son passage avant de se rasseoir.

Pas grand monde était venu assister à cette bénédiction comme d'habitude. A part Cruzzi qu'il salua d'un signe de tête, il se doutait bien qu'il était là pour Amandine.

Lui aussi aurait aimé avoir une épouse à ses côtés durant ces trois derniers mandats mais non elle avait préféré ce pays de barbares qu'est l'Irlande. Mais ça c'était finit, plus aucun lien avec elle si ce n'est Arthur.

Ivrel commença et il répéta ses paroles.

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.
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Noeline

Noeline récitait le credo comme les autres personnes présentes à la bénédiction lorsque un valet affolé entra dans la cathédrale et vint déranger la messe.

Des murmures s'en suivirent, quelques mots étouffés, Noeline tendit l'oreille mais ne réussit pas à comprendre la teneur de la discussion.

D'un oeil, elle surveillait puis continua la prière

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.
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Ivrel

La plupart des conseillers avaient répété après l'évêque la prière du matin, alors que les échos de la musique s'éloignaient sous les voûtes, un membre du chapitre était venu apporter un autre message à l'évêque, à sa lecture, elle retrouva sa sérénité et se prépara à continuer la bénédiction. Ivrel se tourna vers l'assemblée et d'un voix forte commença son discours.

Avant de bénir ces hommes et ces femmes qui ont juré de servir aux mieux de leurs compétences leur duché, j'aimerai que nous ayons une pensée pour tous les vaillants soldats qui sont tombés au combat et que vous repreniez, après moi , cet hymne composé pour les 2 ans du BA, l'hymne officiel de notre terre chanté en leur hommage...

Citation:

Refrain :
Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

1

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

2

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

3

Prêts à défendre nos frontières
Et fiers de notre identité !
Avec ce courage spectaculaire
Nous défendrons nos Libertés !

_________________

Jules.cv

Afin de rattraper son manque de ponctualité, et surtout d'honorer comme il se doit les amis et tous les soldats partis, Jules reprit le chant avec plus de ferveur :

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Prêts à défendre nos frontières
Et fiers de notre identité !
Avec ce courage spectaculaire
Nous défendrons nos Libertés !

Et toutes ses pensées se tournèrent au Nord...
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Alban_d_azayes

Bien bien, en retard...

La cérémonie avait commencé et c'est sans bruit qu'il entra dans la cathédrale. Il vint rapidement recoller aux autres et tenta de passer innaperçu.

On allait certainement lui reprocher ce retard mais tant pis, on ne faisait pas toujours ce qu'on voulait...
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Princesselaure

Laure fit sa priére en silence... Pour une fois qu'elle ne parlait pas... Elle ferma les yeux un instant symbole de paix, symbole de pensée envers ceux et celles qui s'etaient vaillament affrontés avec le Berry... Puis Ivrel invita l'assistance a chanter en coeur l'hymne Bourbonnais Auvergnat... Laure suivit le pas et chanta en choeur

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Prêts à défendre nos frontières
Et fiers de notre identité !
Avec ce courage spectaculaire
Nous défendrons nos Libertés !
_________________

Natafael

Lorsque son Eminence invita tout le monde à reprendre en choeur l'Hymne du Bourbonnais-Auvergne, Nata mela sa voix aux autres et chanta en hommage aux soldats tombés au combat...

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !
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Natafael de Roserey, Vicomtesse de Salers
Chancelière du Bourbonnais-Auvergne

Cruzzi

Cruzzi, bien assis, attendait le début de la cérémonie en silence. Il entendit des bruits de pas qui provenaient de l’entrée de la cathédrale et tourna légèrement la tête pour apercevoir la silhouette de sa femme. Il sourit puis regarda de nouveau devant lui, ne doutant pas qu’elle le verrait et qu’elle viendrait le voir avant le début de la cérémonie… Et bien faut croire que non … elle continua son chemin pour s’installer prés des autres conseillers. Quand elle se retourna pour voir qui était venu assister à la cérémonie, ce qui fut vite fait puisqu’il n’y avait que Lanfeust et Lui présent… elle le vit et se releva aussitôt pour venir l’embrasser et lui souffler à l’oreille :

Je suis contente de te voir ici, mon cœur. Je voudrais te parler après...

Il acquiesça de la tête avant de la voir repartir vers sa place initiale. La cérémonie allait commencer.
L’évêque débuta parla prière du matin qu’il répéta à la suite

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée ! Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes, Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté. Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin, inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine, Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.

Puis ensuite, elle invita les personnes réunis pour cette occasion particulière à entonner l’Hymne du B.A, il chanta à la suite en ayant bien sur une pensée pour toutes ses personnes meurtris au combat.

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

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Agna

A la fin de la cérémonie qu'elle avait du donner à contre-coeur, Agna se rendit à la bénédiction du conseil. Elle n'aurait pas manqué pour rien au monde cette cérémonie vu qu'elle soutenait dans l'ombre ces Fondus depuis des années. Elle entra dans la Cathédrale, plongea ses doigts dans le bénitier, se signa en faisant une génuflexion et vit que déjà beaucoup de monde était présent ce qui lui réchauffa le coeur et lui mit en tête que la vie continuait malgrés la perte de son amie.

Agna resta sur les bancs des invités étant donné qu'elle ne faisait pas parti du conseil à proprement dit. Quand SE Ivrel commença la prière du matin elle se mit à la dire en joignant ses mains.

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.

Agna pensait à tout moment à ses soldats qui se battaient au loin pour défendre une cause ou elle ne comprenait strictement rien mais elle se mit à chanter l'hymne d'une voix forte et puissante comme ci elle voulait que cette appel soit entendu à l'autre bout du Duché.

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Prêts à défendre nos frontières
Et fiers de notre identité !
Avec ce courage spectaculaire
Nous défendrons nos Libertés !

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[ baptême de Sofio et Lelmax]

Ivrel

Ivrel était satisfaite d'avoir entendu de nombreuses voix chanter pour soutenir les soldats de la COBA. Ce chant lui faisait chaud au coeur et montrai l'attachement des gens à leur terre.
Elle se dirigea vers le Livre des Vertus et l'ouvrit...

Je vais maintenant vous parler des vertus et plus particulièrement du don de soi.
Dieu nous a créés à partir de Lui. Nous faisons donc partie intégrante de Lui et notre existence est vouée à le servir.

Ainsi, vivre dans la vertu consiste à vivre comme Dieu le veut. Vivre dans le péché consiste à nier la volonté divine et donc à nier notre propre nature divine. Cela revient donc à nous nier nous-même, à travers la négation de Dieu.

La vertu parfaite, de nature divine, est divisée en sept vertus, afin que nous puissions plus facilement nous en rapprocher: l’amitié, la conservation, le don de soi, la tempérance, la justice, la plaisir et la conviction. A chacune d’elles s’oppose un péché: l’avarice, la gourmandise, l’orgueil, la colère, l’envie, l’acédie et la luxure.

Le don de soi, est la faculté de se sacrifier au profit de la communauté aristotélicienne et de la république, abstraction faite de sa propre individualité. Elle est la conscience de faire partie d’un tout. Au don de soi correspond le vice de l’orgueil, qui est le sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, ou d’être capable d’atteindre le statut de divin.

Puis elle fit signe au duc et à ses conseillers de s'approcher de l'autel et prit des mains d'un chanoine du chapitre le goupillon afin de les bénir.

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Lanfeust86

Ivrel continua la cérémonie de bénédiction du conseil par l'hymne du Bourbonnais Auvergne, c'était la première fois qu'il entendait cela pour une bénédiction mais c'était tout à fait approprié après tout.

Il fit donc comme tout le monde et répéta les paroles.

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Prêts à défendre nos frontières
Et fiers de notre identité !
Avec ce courage spectaculaire
Nous défendrons nos Libertés !

Elle enchaîna ensuite sur les vertus, bien difficiles à atteindre pour tout le monde. Le don de soi...Lanfeust réfléchit alors à cette notion, il avait beaucoup donné de lui pour son duché mais était-ce cela le don de soi ?
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Fabien74

Fabien entreprit de chanter avec tous l'hymne du BA.

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Prêts à défendre nos frontières
Et fiers de notre identité !
Avec ce courage spectaculaire
Nous défendrons nos Libertés !
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Jules.cv

Jules écoutait avec attention, et à l'appel des conseillers, regardait autour de lui.
Il pensait que le premier à se présenter devant l'autel devait sûrement être Petitrusse, il le suivrait alors par la suite.
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Petitrusse

Le Duc chanta l'hymne du BA.

Terres de Bourbon et Terres d’Auvergne !
Toutes deux unies, Toutes deux amies !
Duché au service du Règne,
A l’encontre de la tyrannie !

Par delà les prés et Les Puys,
Notre Duché éblouit,
Chaque région de notre pays !
Au son de la vielle et de nos voix épanouies !

A ces Provinces du Royaume,
Nous leur devons tous allégeance !
Pour le bien de la Couronne,
Nous nous défendrons avec prestance !

Prêts à défendre nos frontières
Et fiers de notre identité !
Avec ce courage spectaculaire
Nous défendrons nos Libertés !

Ivrel fit signe au duc et à ses conseillers de s'approcher de l'autel et prit des mains d'un chanoine du chapitre le goupillon afin de les bénir.

Petitrusse s'avance en direction d'Ivrel et s'arrete à un pas du Cardinal.
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Ivrel

Prononçant les paroles rituelles de bénédiction, Ivrel aspergea d'eau bénite la chevelure du duc incliné devant l'autel.

Que Dieu te bénise mon fils, qu'il t'aide et de soutienne dans ta tache en accord avec les principes de notre église.

Puis elle attendit que chacun des conseillers s'avance devant elle.
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Petitrusse

Le Duc se decale pour laisser la place au conseiller qui se trouvait derrière lui.
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Jules.cv

Jules prit la suite de Petitrusse après avoir observé le Duc recevoir la bénédiction et se présenta devant Monseigneure Ivrel à son tour.
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Petitrusse

Petitrusse regarde Jules.cv se faire bénir.
C'était la première expérience de Jules.cv dans un Conseil Ducal, donc cette bénédiction, il ne connaissait pas.
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Ivrel

Ivrel continua d'agiter son goupillon en récitant
Benedicti filius

Avec une double dose pour ceux qui ne se levaient pas le dimanche pour assister à l'office.
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--Assasin_bourguignon

L'assasin bourguignon, s'était rendu à clermont avec sa douce, sur ordre de sa grace ingerbuge, pour assassiner le duc petitrusse.

Car si officiellement, elle ne pouvait soutenir le berry, sans crainte de représailles de l'A.D.C, elle ne voulait pas officieusement, manquer à ses devoirs en laissant son allié dans le besoin.

Malgré que sa grâce lui est formellement interdit d'agir, dans la cathédrale, ou tous autre lieu appartenant à la très sainte église, l'occasion était trop belle, surtout qu'une habitante de clermont ayant une charge à l'église, lui avait affirmer que tous les conseillers allaient être présent.

L'assassin relis une dernière fois son ordre de mission, avant de le laisser dans sa poche.

Citation:

A l'assasin xxx.
Nous Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Duchesse de Bourgogne.

Ne pouvant laisser nos frères berrichons se faire opprimées et déshonorer, car nous sommes liés à eux par traités, nous vous demandons de partir pour clermont et de mettre fin à la vie du duc tyrannique petit russe.
Nous vous demandons néanmoins de ne point outrager les lieux saint.

Fait le 13 novembre 1456 à Dijon.

L'assasin qui s'était assit deux rang derrière le duc se leva, sortit son couteau et le lança en direction de la nuque du duc.

Agna

Comme Agna n'avait jamais assisté à une bénédition d'un conseil Ducal, elle n'en loupait pas une miette. Elle eut un petit sourire malin lorsqu'elle vit Ivrel magner le goupillon avec tant de souplesse du poignet et elle failli se mettre à rire en voyant la sainte eau rebondir sur les cranes des conseillers et de son petit Duc P'titrussinet. La cérémonie continuait son petit bonhomme de chamin tranquillou quand elle vit un homme se lever puis une lame briller dans la lumière chancelante des candélabres et le dit homme se lancer sur son Duc ...

NAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNN AAAAAAAAAAAAAAAAAAAA LAAAAAAAAAAAAAAAA GAAAAAAAAAAAAAAAARDE ................

Tout en hurlant, Agna bondit de son banc en direction de cet homme qui voulait faire du mal à cet homme qui se démenait pour le bien du Duché...
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[ baptême de Sofio et Lelmax]

Croxanvic

Croxanvic, l'ambassadeur bourguignon, s'était assis dans la foule. Il sursauta à ce cri, et se releva d'un bond, se retournant vers la foule. Ainsi donc, tout été vrai?!

Il n'eut que le temps de voir un éclair argenté. Il suffoqua, le souffle coupé par la surprise. Puis, lentement, il pencha sa tête sur son torse. Ce n'était pas la surprise qui lui avait coupé le souffle.

Il prit le manche qui dépassait de sa chemise. Il releva les yeux, mais ne put voir qui avait lancé l'arme.

la lame toujours dnas le corps, l'ambassadeur bourguignon tourna de l'oeil, et s'écroula dans la rangée de siège. Il fut angloutit par l'obscurité alors que son corps tombait sur le sol froid.

Les mains crispées sur le manche de la lame, il perdit connaissance avec pour dernière pensée : "L'honneur est sauf."
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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA

--Anselme

Anselme qui priait lors de la bénédiction, leva les yeux vers l'autel... et soudain il vit

Un homme qui semblait flotter au dessus de l'autel, un homme fait d'une chair translucide, un homme portant une simple robe de curé, la face rougeaude et l'air bien portant mais en même temps un homme autoritaire qui devait avoir l'habitude de mener son troupeau de fidèles. Il le reconnut, oh bien sur, il était encore tout jeune lorsque la cathédrale avait échappé au bucher allumé par des hérétiques, mais on lui avait décrit l'intervention du presque saint père Assunto.
Et là c'était bien lui, le protecteur de ce lieu.

Ce saint homme montra du doigt un homme assis devant Anselme, et soudain le jeune secrétaire, frappé par un illumination venue du soleil compris au moment où l'homme levait sa main qu'un malheur se préparait, il vit un éclair d'acier.
Et sans même réfléchir, emplit d'un sens du devoir venu d'outre-tombe, il bouscula l'homme... au même moment un cri perçant retentit dans l'édiffice.

--Assasin_bourguignon

L'assassin fut bousculer au moment ou il s'apprêtait à lancer, ce qui eut pour seul effet de lui faire manquer son lancer, son couteau viens finalement se loger dans le poumon gauche de l'ambassadeur bourguignon, qui lui sembla bien empotée, si jamais il survivait, il en ferait par à sa grace.

Il saisi aussitôt un autre poignard, caché dans sa botte, qu'il lança en direction du duc, visant l'estomac.

Agna

Avant même de pouvoir arréter l'homme, la lame s'envola pour atterrir dans le corps d'un autre homme qui s'écroula sous le choc. Agna stoppa nette sa course estomaqué par ce qu'il se tramait dans le Saint édifice. Vu qu'elle se trouvait dérrière l'agresseur, elle était aux premières loges afin de voir que cet vil scélérat reprenait une lame et viser de nouveau son Duc adoré. La son sang ne fit qu'un tour, elle attrapa son baton de pélerin et le flanqua sur le crâne de l'agresseur au risque de se faire blesser puis elle leva les yeux vers le plafond.

Désolée mon Très-Haut mais mon baton m'a échappée ... Je ne voulais pas lui faire de mal ... Mais il commence à me mettre les nerfs à vif ...

Agna regarda aux alentours et se précipita vers le bléssé pour lui porter secours.

Allons mon enfant accrochez vous un médicastre va surement bientôt arriver... Puis Agna releva le nez et s'adressa à l'assistance . Mais vous attendez quoi pour arréter ce gredin ... Protégez Sa grâce et Son Eminence ... AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA L'AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE...

Agna ne savait plus à quel Saint se vouer et se demandait ou était passé les gardes.
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[ baptême de Sofio et Lelmax]

--Assasin_bourguignon

Soudain au moment même ou le couteau venait de partir, l'assassin ressenti soudain une grande douleur avant de s'évanouir, le couteau continuant à tournoyer vers le duc.

Jules.cv

Jules commença à se retirer lorsqu'un détraqué arriva. Une panique dans les bancs.
Le fou avait attenté aux jours du Duc en vain, mais insatisfait, ne semblait pas avoir fini ses horreurs. Le jeune homme bouscula Petitrusse...

A terre, Jules remarqua un pli cacheté. Il se faufila en s'en empara.
Ingeburge ? La grande Dame Ingeburge ?
Ca puait le coup monté, une femme aussi importante avait sûrement reçu une éducation poussée, et donc savait écrire correctement !
Elle ne pouvait être l'auteur de ce chiffon.

Étant intimement persuadé que la Bourgogne ne pouvait être lié a une telle hérésie que ce qui se passait, Jules laissa la garde s'emparer de l'assassin.
Il se précipita vers l'homme qui avait été touché :

Messire ! Messire !
De l'aide !

Pour une cérémonie qu'il attendait tranquille, Jules était servi...
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Croxanvic

Après avoir retrouvé ses esprits, l'ambassadeur se tenait au col de la dame. Peu importait la lame fichée dans sa poitrine, le sangchaud imbibant sa chemise. Il serra les dents et essaya de se relever. Trop de sang, le bourguignon ne peut que s'appuyer sur un coude.

Il se devait pas se laisser aller, pas encore : il avait un devoir. Voyant qu'il n'était pas en état de se relever, il attrappa la dame par le col, et l'attira à lui. D'une voix faible, il chercha, paniqué à l'idée de perdre à nouveau connaissance, à se faire bien comprendre :

...pas Bour...gogne!...m'a p...prévenu....un imposteur....c'est ...un imposteur....le document...est faux.... Pas...la Bourgogne... Qu'on le...sache... mon duché...innocent...

Dans un mouvement, la lame était venu toucher un nerf. Il ferma les yeux et son visage se crispa, réprimant un cri de douleur. Il regarda à nouveau la dame, halletant plus que jamais.

Devais...empêcher...ça, éviter... le meurtre... Mon duché...innocent...
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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA

Natafael

Nata qui venait de recevoir la bénédiction sursauta lorsqu'elle entendit un cri dans la Cathédrale.

Elle se retourna et eu le temps de voir l'ambassadeur Bourguignon s'écrouler entre les bancs.

Mais qu'est ce qui se passait encore?

Agna avait fait un saut sur la droite, en direction d'un homme...
Un homme qui venait de se relever en levant un bras au dessus de son épaule et..

Sans réfléchir, Nata poussa violement Petitrusse qui tomba sur le sol.
Elle vit une lame passer non loin et se planter dans le bois de l'Autel.

Nata regarda Jules, regard interrogateur des deux Maréchaux.
Agna avait appelé la garde.
Nata choppa Petitrusse par le bras, qu'il se relève, et l'emmena vers le Présbythère...
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Natafael de Roserey, Vicomtesse de Salers
Chancelière du Bourbonnais-Auvergne

Princesselaure

Laure qui allait s'enfiler derriére Natafael pour recevoir la bénédiction de l'église fut
vite interrompue...

Un homme tomba au sol... Laure scruta celui-ci... L'air déconfit... Ne comprenant pas réellement ce qu'il pouvait bien se passer...
Puis une nouvelle lame fait son entrée sur le tableau... Laure regarde pétrifiée la Chanceliére se jeter sur le Duc pour le coucher
au sol... La Vice~Duchesse resta plantée sur place... Scrutant la dague s'incruster dans l'autel...

Debout... Figée... La d'Orsenac comtemplait la scéne... Un mélange d'idées toutes plus sombres les unes que les autres... Les yeux roulant dans leurs orbites...
Et cette crainte affreuse...

Laure fut secouée par un soldat qui courrut en direction d'Agna... La garde ducale... Laure sans s'en rendre bien comlpte se retrouva assise... Ne pouvant parler... Ne pouvant se lever et courrir... Laure ne pouvant vivre comme fait habituellement... A deux doigts de l'évanouissement...

La pensée faite... La Vice~Duchesse glissa du banc... Les yeux clos... L'ame au repos dans ce saint lieu... Gisant telle une morte sur les pavés... Glaciale... Telle fut sa réaction... Ou du moins son sentiment... Les cheveux bouclés étalés comme la litiére d'un canasson... La robe pourpre laissant apparaitre les chevilles... Une légére égratinure sur le front... Laure gisante... Ce tableau aura pu en ravir plus d'un... Mais à cet instant, Laure plongait dans ce sommeil occupait son esprit... Une personne la hantait... Elle savait qu'elle n'allait pas mourir, pas maintenant, pas comme ça... Mais il fallait refaire surface... Fatigue, tristesse, deuil avaient eu raison de son courage... L'esprit était fort mais le corps avait laché... Elle savait que bientot l'appel serait fait et qu'ils s'appercevraient qu'elle manquait... Bientot...
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Petitrusse

Le Duc se retrouva à terre sans rien comprendre. Tout s'était passé dans son dos.

Avant que Natafael le prit par le bras pour l'aider à se relever, le Duc eu le temps de jeter un oeil sur la scène qui se déroulait derrière lui.

D'un côté, un homme à terre, avec Agna a ses côtés, de l'autre, un autre homme à terre, avec un couteau planté dans le torse.

En se relevant, il vit le second couteau planté dans le bois de l'Autel.
Il comprit alors pourquoi Natafael l'avait poussé à terre.

Jules tendit un morceau de papier au Duc, celui-ci le prit, juste avant de disparaitre, tirer par Natafael.
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Agna

Agna se sentit tiré par le col et sentit le souffle du Messire bléssé lui chatouiller la joue. Elle regarda avec des yeux ronds comme des petits pois et s'apperçut que le Messire murmurait quelqus mots. Elle approcha son oreille près de cette bouche chuchottante entenadant quelques bribes de phrases.

Croxanvic a écrit:

...pas Bour...gogne!...m'a p...prévenu....un imposteur....c'est ...un imposteur....le document...est faux.... Pas...la Bourgogne... Qu'on le...sache... mon duché...innocent...

Agna ne comprenait de moins en moins à ce qu'îl se passait; Mais que pouvait bien vouloir dire ce Messire au bord de l'agonie; puis il continua et Agna essaya de garder en mémoire ses dires.

Croxanvic a écrit:

Devais...empêcher...ça, éviter... le meurtre... Mon duché...innocent...[/i]

Agna se mit à genoux, lui souleva doucement la tête et la mit sur ses genoux puis mit sa main sur son front pour le calmer d'un geste rassurant.

Ne vous faites pas de soucis Messire calmez vous nous allons nous occuper de vous. Lui murmura-t-elle d'une voix maternelle.

Du coin de l'oeil Agna suivait ce qu'il se passait, elle vit Petitrusse s'affaler comme une feuille en autemne sur les dalles de la Cathédrale, puis ce fut le tour de Princesselaure qui avait rejoind le gredin déjà affalé de tout son long le crane fracassé auparavant par le baton magique de la petite archidiaconesse qui allait devoir aller se confesser après cet acte de violence.

Mais il se passe quoi maintenant ... on est pourtant pas à un match de soule ou alors je suis dans un mauvais rêve et je vais me retrouver au milieu du terrain la soule dans les bras moi ...

AAAAAAAAAAAAAAH enfin les gardes ... Vite vite protégez notre Duc et pis Ton Eminence ... Mais elle est ou d'ailleurs ... Y A-T-IL UN MEDICASTRE DANS LA SALLE

Agna chercha du regard si elle voyait sa grande cheftaine .
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[ baptême de Sofio et Lelmax]

Ivrel

Ivrel en pleine aspersion avec son goupillon vit du coin de l'oeil son secrétaire Anselme bousculer un homme, son archidiaconesse Agna hurler à la garde puis assommer ce même homme Au même moment un sifflement, une dague se plante dans l'autel, Le duc tiré par son chambellan va dans la sacristie alors que la vice-duchesse tombe en pamoison.
Son sang s'échauffe, qui ose interrompre la cérémonie... des gardes se précipitent pour immobiliser l'homme, mais que voit-elle, un autre homme, un inconnu bien habillé surement une personne de qualité, qui se saigne comme un goret, un poignard planté près du coeur.

Ivrel indique aux gardes épiscopaux de prêter main forte aux gardes ducaux.

Vous me le saucissonnez, qu'il ne puisse pas s'échapper avant de passer à la question hein, sinon c'est vous qui passez sur le chevalet à sa place, c'est compris !

Elle envoie Anselme encore tout étourdi par la bousculade prendre des nouvelles du duc et de son chambellan. Et sa servante Cunégonde munie d'un flacon de sel et d'un calice d'eau froide est chargée de la vice-duchesse - nul doute que Cunégonde saura s'y prendre avec elle.
Puis elle se dirige vers l'homme saignant à terre pour voir la gravité de sa blessure, et essaie de le ramener à la conscience...
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Jules.cv

L'agitation passée, tout le monde en sécurité, Jules se souvînt... du moins essayait. Le Dauphiné... Le Bourgogne... Et si cet homme n'était pas le pauvre fou qui avait lancé la rumeur de guerre ?

Mais Jules fut vite interrompu dans ses réflexions.
Il s'approcha rapidement, près de la servante et de Laure inanimée.
Il ne lui fallut pas plus d'une seconde pour deviner la cause de son mal

Laure ! Réponds !
C'est Jules ! Allez !

Il serra sa main, comme pour y retrouver le peu de vivacité qui lui restait.
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Croxanvic

Croxanvic ouvrit un oeil. Où était-il, que c'était-il passé?

Peu à peu, les derniers événements lui revinrent à l'esprit : l'assassin, les couteaux...le duc! Il essaya de se relever d'un bond, ce qui lui arrache un couinement.

Le duc?... Où est...le duc?!

Il chercha sa Grâce des yeux, mais ne le vit nul part...L'homme aurait-il réussi son coup?

Il laissa sa tête retomber sur la sol...Ce coup de chaud avait eu raison de ses quelques forces...
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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA

Soizic

Elle s'était rendue là, l'air de rien. Clermont, elle ne connaissait pas bien, et n'y était passée qu'une fois. Alors pourquoi pas... Outre les bondieuseries auxquelles elle allait assister, elle allait surtout voir de plus près les hautes sphères du duché. Enfin !

Elle s'installa au fond de la cathédrale, de manière à voir tout le monde. Durant la cérémonie, elle s'attardait plus à regarder les autres occupants de l'illustre bâtiment qu'à répéter avec monotonie les crédos récités par Ivrel.

Soudain, un mouvement. Un homme, derrière Petitrusse, se lève, sort un objet de sa poche, et d'un coup... Non pas possible ! Un homme à terre, un cri, un autre couteau, un bâton, le duc, tombé, puis envolé, des cris encore...

Un soupir, l'homme touché. Bourgogne ? La Bourgogne ?? Non ! non pas ça ! Elle, l'ancienne bourguignonne, la nouvelle bourbonnaise mais pour toujours bourguignonne de coeur, ne pouvait pas en croire ses oreilles ! Ni ses yeux ! Rien ! Elle s'y refusait !

Elle s'approcha de l'homme à terre. La lame était planté dans son torse, du côté gauche. Le couteau avait évité le coeur, mais pour le reste, c'était moins sûr. Elle était médicastre. Elle allait tenté quelque chose pour lui. Mais pour le moment, elle voulait surtout le sauver parce qu'il était Bourguignon.

Apportez moi du linge, une bassine d'eau, de l'eau bouillante ! De la sauge et du pavot !

Réfléchir vite et bien. Rincer la plaie, la compresser, désinfecter avec la sauge, lui faire boire un infusion de pavot pour la douleur. Oui, voilà !

Si elle sauvait cet homme, elle rétablirait la vérité sur son duché d'origine ! Il le fallait à tout prix !
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--Cunegonde

Cunégonde, la servante du cardinal arriva vers la vice-duchesse. Elle était dans les mains expertes d'un fort bel homme, à priori cela aurait du la ranimer.... mais non. Alors elle déboucha le flacon de sel et le passa sous le nez de la damoiselle... aucun succès non plus, bon elle employa donc son calice...........

Et splash, l'eau froide aspergea la femme étendue à terre...

Noeline

Tout c'était passé très vite, si vite que Noeline eut à peine le temps de comprendre la scène qui venait de se dérouler devant ses yeux.

Un fou était venu pour assassiner Petitrusse ? mais ... un autre homme était à terre couvert de sang un couteau planté dans son torse.
L'agresseur avait parlé de la Bourgogne, de la Duchesse Ingeburge ... comment cela pouvait il être ?

Petitrusse fut évacué par les bons soins de Nata et les autres conseillers s'affairaient pour maitriser l'assassin. Agna avait eut le bon réflexe, l'homme était désarmé.

Une fois le danger passé pour eux, Noeline se précipita vers l'homme blessé.
Il y avait longtemps qu'elle n'avait pas prodigué ses soins à un blessé grave, en fait, elle hésitait beaucoup. Elle n'était pas médecin, juste très orientée plantes séchées, ce qui n'avait pas la même efficacité lorsqu'il s'agissait de recoudre des chairs.

Elle se pencha sur l'homme qui avait l'air mal plutôt mal en point, l'étendue de ses blessures n'augurait rien de bon.
Elle déchira le bas de son jupon pour éponger le sang et faire pression sur l'entaille.

Il faudrait un médecin .... quelqu'un doit aller chercher un médecin !!

Alors qu'elle sentait une irrésistible panique l'envahir, une femme surgit du fond de la cathédrale et vint apporter son aide.
Elle donna des instructions rapides et précises, preuve qu'elle avait l'air de s'y connaitre.
Noeline lui proposa son aide, ses maigres connaissances pourraient toujours aider.
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Ivrel

Le cardinal s'approcha de la Dame inconnue mais qui semblait savoir manier le clystère et la lancette.

Vous pensez qu'il va s'en sortir, dit-elle, restant en retrait afin de lui laisser faire son travail de médecin du corps.

Au cas où vous auriez un doute, dites-le moi, que j'ai le temps de préparer son âme au jugement divin.
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Croxanvic

Croxanvic ouvrit les yeux. Tant de monde pour lui... Il crut reconnaitre une des dames penchées sur lui, à la description qu'on lu iavait donné... On lui avait ouvert la chemise, et il sentait les linges sur sa plaie...

Il rouvrit une seconde fois les yeux...

Je vais ...bien ...ne vous en faites pas pour moi...

Cependant, son teint livide, sa faible voix le démentait. Il referma les yeux...Ca tournait d'un coup... Il frissonnait, la fièvre s'installerait-elle?
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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA

Agna

Agna entendit Ivrel qui donnait ses ordres aux gardes ce qui lui déclancha un fou rire nerveux. Comme elle ne la voyait pas elle l'imagina juché sur l'autel sa crosse à la main telle le Très-Haut donnant ses ordres à ses apôtres.

Puis l'homme bléssé la tête posé sur les gnoux d'Agna se releva d'un bond et celle-ci n'eut pas le temps de retirer son petit minois qu'elle se prit en plein menton le dessus du crâne du messire ce qui lui fit trembler les belles émailles qui lui servait de salle à mastiquer. Elle vit un bel éclaire de lumière puis le noir et de nouveau des images un peu floues avant de reprendre leur netteté. Elle regarda le Messire d'un oeil noir mais vit bien vite que le pauvre homme commençait à délirer grave.

Une damoiselle qui lui sembla connaitre s'approcha et se mit à donner des ordres pour soigner le pôvre bléssé et ce fut au tour de Noeline qui se mit à déchirer son jupon ce qui fit dresser les cheveux sur la tête à Agna quand elle découvrit les chevilles de Noeline à la vue de tout le monde. Agna restait à genoux sa houpelande pleine de sang à regarder toute cette agitation et elle se demanda d'un coup ce qu'elle avait bien pu faire dans une vie entèrieur pour qu'à chaque fois qu'elle assistait à une cérémonie il se passait des évènements plus qu'insolite. Elle regarda les deux femmes soigner le mourrant quand Ivrel commençait à parler de derniers sacrements. Elle la regarda surprise.

Rhoooooooooooo Ton minence n'enterrez pas déjà ce pauvre homme qui a sauvez de son corps notre Duc bien aimé...
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[ baptême de Sofio et Lelmax]

Androlyne

Comme à son habitude, Androlyne était en retard pour assister à la bénédiction du Conseil Ducal, elle avait d'ailleurs beaucoup hésité avant d'entrer dans la cathédrale, mais sur le parvis elle sentit comme un appel.

Installée au fond, elle avait une vue sur toute l'assemblée qu'elle détaillait tout en laissant vagabonder son esprit.

Quand un homme leva le bras et qu'elle vit briller une lame dans sa main, elle n'eut aucune réaction et de sa place, figée elle assista à toute la scène hébétée.

C'est la voix du cardinal Ivrel qui la sortit de sa torpeur

Citation:

c'est compris !

Androlyne se précipita au milieu de l'agitation.

Ses souvenirs médicaux lorsqu'elle était l'infirmière de son parrain, dans son cabinet médical à Bourbon lui revinrent.

Elle courut chercher au presbytère ce qu'une dame très élégante venait de demander à la cantonade d'un ton très sur et qui ne souffrait aucune discussion.

Elle y croisa le Duc un peu pâle entouré de quelques gardes et près de lui, Natafael qui lui tournait autour, le scrutant sous toutes les coutures pour vérifier qu'aucune lame n'était venue le blesser.

Elle leur sourit

Tu ... euh ... Vous n'avez rien Pet... euh votre Grâce ? et toi Nata ?

Je vais vite apporter de quoi soigner le blessé...

Un peu bafouillant, elle s'excusa et s'activa pour trouver du linge propre, et prit la bouilloire fumante posée sur le poêle.

Elle apporta le tout à la dame

Je pense avoir quelques plantes et onguents qui peuvent vous être utile dans la sacoche de mon cheval, je vous apporte ce que j'ai... [/quote]
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Ivrel

Ivrel répondant à son archidiaconnesse favorite.

Mais non, soeur Agna, loin de moi la pensée de l'enterrer avant son heure, mais comme je ne connais pas l'avenir, je dit juste qu'il faut être prêt pour le jugement divin, ça ne fait pas de mal.
Bon il a pas l'air trop mort encore, je vous le laisse Mesdames.

et se tournant vers les gardes...

Plus serré les liens bandes d'empotés ! Un mécréant qui ose profaner un lieu saint, ça mérite un bon bucher. Mais d'abord, je suis sure que le bourreau aura quelques questions à lui poser.
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Soizic

Une femme lui proposa son aide. Elle acquiesça :

Trouvez moi du linge propre, en grande quantité. Quand on enlèvera la lame, il saignera... beaucoup...

Oui beaucoup, la lame n'était pas allée profondément, mais tout de même. La plaie n'était pas belle à voir.

Puis avait suivi celle qui avait orchestré la cérémonie. En entendant ses dires, elle eut comme une envie démoniaque, mais elle se contenta de lancer un regard noir.

Priez Aristote. Ce sera déjà bien assez pour vous !

Le conflit médecine-église venait de prendre tout son sens en ces quelques mots. Mais pas le temps de s'y attarder. Aristote, une petite pensée quand même. Au cas où. Ca ne pouvait pas faire de mal de toutes façons.

L'homme reprit ses esprits, balbutia quelques mots.

Restez calme monsieur, restez calme je vous prie. La Bourgogne a besoin de vous. Battez vous ! Je vais faire tout mon possible pour vous aider.

Agna était là depuis le début, et pourtant, elle ne l'avait pas aperçu. Elle avait dû lui prendre la place qu'elle occupait à côté de l'homme quand elle l'avait entendu parler de sa Bourgogne.

Un regard autour d'elle lui fit prendre conscience de sa présence :

Agna, je vous prie. Aidez moi à maintenir la foule à distance suffisante pour que cet homme puisse respirer. Vider la cathédrale de ses badauds me semble impossible, mais au moins, qu'il respire !

Sa demande avait été entendue. Et une personne était arrivée avec du linge en grande quantité, et une bouilloire également. Elle proposait plantes et onguents.
Voyant en elle l'aide dont elle avait besoin, Soizic acquiesça.

Faites, faites ! J'ai besoin d'aide. J'ai des connaissances, mais... Je n'ai jamais pratiqué encore.

Ces quelques mots la firent tressaillir. Elle doutait. Il ne fallait pas douter. Agir avec précision et rapidité. Ca ne laissait pas de place au doute ! Aucune !
Se reprenant, elle regarda l'homme.

Messire, Ami Bourguignon, je vais enlever la lame qui vous fait tant souffrir.

Je vais agir vite. Mordez fort dans le tissu que je vais mettre en votre bouche.

Elle s'exécuta. Un peu de tissu dans la bouche de l'homme. Elle se releva. Il fallait également qu'elle se concentre. La dame qui avait proposé de l'onguent était revenue. Elle la prit en aparté.

Dame, je vais enlever la lame qui lui déchire le torse. Dès que ceci sera fait, il faudra presser fort la plaie avec du linge. Si vous avez des connaissances supplémentaires, n'hésitez pas. Faites.
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Croxanvic

Croxanvic ne cherchait pas à comprendre, ni à savoir ce qui se passait. L'ambassadeur ouvrit la bouche, comme il lui sembla qu'on le lui demandait, et il mordit dans le tissu.
Il avait mal. Pourquoi est-ce que cette douleur le lançait ainsi, près du coeur?
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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA

Agna

Agna se releva laissant ce corps meutri à même les dalles froide de la cathédrale mais elle ne voulait pas géner le travail de la médicastre qu'elle avait appelé à corps et à cris. Elle se mit à obéir aux ordres comme un pantin repoussant les badaux curieux comme des mouches sur un pot de miel les demandant gentiment mais avec un soupçon de fermeté de laisser un peu d'air afin que les dames soigneuses puissent oeuvrer pour sauver cet homme bléssé.

Quand le calme fut revenu, Agna prit son panier et alla dans la sacristie pour changer de houpelande car une Archidiaconesse taché de sang comme un boucher qui vient d'égorger un cochon ce n'était peut être pas comme cela qu'elle arriverait à trainer ses ouailles à l'église...
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[ baptême de Sofio et Lelmax]

Natafael

Elle avait emmené le Duc jusqu'au présbytère, lui demandant de s'assaoir et de ne pas bouger,
jetant un oeil rapide à l'une des fenêtres au cas ou un autre danger surgirait.
Des gardes les avaient rapidement rejoints se postant à différents endroits.

Nata tourna autour de Petitrusse, vérifiant qu'il n'était pas blessé.

Ca va Petitrusse? Tu n'as rien?
Elle s'était jetée sur lui, sans se poser de question lorsque l'attaque eu lieux afin de le proteger.
La lame n'était pas passée loin, mais avait cependant finie sa course plantée dans un des panneau en bois sculpté de l'Autel.
Désolée, tu auras surement un beau bleu Ta Grace.

A cet instant, Andro entra à son tour, elle cherchait de quoi soigner le blessé.
Ca va Andro, le Duc n'a rien! Comme je venais de lui dire, il finira surement avec un gros bleu, mais bon..
Moi? oh, moi ça va aussi, merci Andro, pas de soucis, mais comment va l'homme blessé?
Je n'ai pas eu le temps.. ..enfin, je l'ai juste vu tomber...j'espère que ce n'est pas trop grave.

Andro expliqua, tout en attrappant une bouilloire et du linge, que l'homme avait une lame plantée dans le torse et repartit vite.
Si tu as besoin, n'hésite pas à m'appeler, d'accord

Nata se retourna vers le Duc.

Nous allons attendre que les lieux soient sécurisés pour te faire sortir.
Les gardes resteront près de toi

Nata regarda vers la porte, qu'était devenu l'homme qui s'en était prit au Duc?
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Natafael de Roserey, Vicomtesse de Salers
Chancelière du Bourbonnais-Auvergne

Androlyne

La jeune femme qui avait pris les soins au blessé en main accepta son aide et Androlyne partit chercher sa trousse en courant.

Elle la déposa près d'elles, l'ouvrit et en fit un inventaire rapide.

Elle remercia d'une prière silencieuse, feu son parrain de lui avoir appris la prévoyance et frère Benoit, de lui avoir enseigner les vertus de plantes et leur conservation.

Dans les propos de la jeune femme, Androlyne perçut un léger doute, mais elle sembla vite retrouver son assurance lorsqu'elle lui expliqua le geste qu'elle allait faire

Citation:

Dame, je vais enlever la lame qui lui déchire le torse. Dès que ceci sera fait, il faudra presser fort la plaie avec du linge. Si vous avez des connaissances supplémentaires, n'hésitez pas. Faites.

Androlyne revit alors les blessés qui étaient arrivés en masse lors de l'attaque d'une meute de loups dans le village quelques mois auparavant et sortit un pot qu'elle tendit à la jeune femme

Mes connaissances tiennent dans cette mallette, mais j'ai été l'aide d'un médecin à Bourbon, je l'ai vu soigner des plaies qui ressemblaient à celle là.

Il faisait bien comme vous le dites, Madame,

Il fallait presser très fort avec beaucoup de linge pour enrayer les saignements et ensuite il mettait une grosse couche de cette pâte à base de chou et de géranium, puis faisait un pansement fort serré.

L'odeur est très forte.. et peu agréable, mais j'ai vu de méchantes plaies se refermer en quelques jours.

Elle s'approcha de l'oreille de la médicastre et lui chuchota

le pauvre bougre va sans doute souffrir, j'ai une petite fiole de passiflore mais je doute que ce soit suffisant ... un alcool bien fort serait plus efficace.
je n'en ai pas, mais je suis bien certaine que plus d'un dans cette belle assemblée cache une bouteille à portée de main

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Ivrel

L'oreille très fine lorsqu'elle entendait le mot alccol, l'évêque sortit de ses manches une fiole ouvragée, la tendit discrètement à son archidiaconesse en lui murmurant dans le creux de l'oreille.

Tenez, vous donnerez ça aux dames qui soignent ce pauvre homme, mais motus sur sa provenance, officiellement je ne suis pas adepte de Sainte Boulasse, enfin pas trop, on se comprend... par contre vous pouvez leur dire que ça vous endort un cochon en moins de 5 minutes et que dedans il y a de la pomme et autre chose...

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Fabien74

Un instant il priait et chantait bien fort l'hymne du BA, et celui d'après, la panique régnait dans la Cathédrâle. Les nobles dames et jouvencelles criaient horrifiées et les hommes scrutaient les rangs pour trouver l'auteur du maladroit putsh. Finalement ce fut l'archidiaconnesse Agna qui perdit son sang froid et asséna un bon coup de bâton sur le crâne de l'odieux personnage.

Aidé par les gardes qui avaient faction devant les portes du saint lieu, Fabien entreprit de ligoter l'affreux, sous les directives de l'Evêque.

Citation:

Ligotez-le mieux que cela, bande d'empotés!

Sang qui ne fait qu'un tour, léger rougissement du visage, Fabien se relève d'un bond et dit:

Mais oui empotés, voyons, plus fort...

Petit sourire gêné.

En réalité il ne savait comment réagir, jamais une telle situation ne s'était produite auparavant.
Il vit une missive circuler de Jules à Petitrusse. De la Bourgogne? Mazette ce n'était pas la première tentative d'on-ne-savait-qui. Il se dirigea vers Petitrusse:

Tout va bien mon ami?
Tu peux remercier Nata et aussi cet Ambassadeur bourguignon, sans qui tu ne serais plus de ce monde...

A propos de cette missive, ce n'est pas la première fois que l'intégrité de la Bourgogne est mise à mal, il y a quelques temps une fausse déclaration de guerre contre la Provence, il me semble, avait été lancée, et bien vite démentie par la véritable Princesse Ingeburge.
Je pense que Nata saura tirer cela au clair avec nos homologues... En attendant, je pense que tu devrais t'adresser au peuple et les rassurer, leur montrer que tu es bien vivant. Et remercier cet homme une fois qu'il sera guéri... Je pense que d'entre nous tous il a été le plus courageux.

Il esquissa un sourire puis se dirigea vers le groupe de gardes, qui s'étaient attroupés autour du bandit, et le tenaient fermement.

Gardes! Suivez-moi! Nous allons conduire cet impudent aux geôles! Nous lui ferons subir un interrogatoire corsé.

Avant de prendre la direction des geôles clermontoises, il sourit à son épouse, qui était bien occupée auprès du blessé, et s'excusa auprès d'Ivrel.
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Lanfeust86

Le Duc de Souvigny suivait avec attention la bénédiction ducale, Son Eminence venait de bénir le Duc ainsi que Jules, le Bailli.

C'est alors qu'un cri retentit.

Le Duc se leva et resta tétanisé par la surprise en voyant la scène qui se déroulait sous ses yeux. Un homme qu'il avait croisé dans les couloirs de la chancellerie s'effondra. Petitrusse fut mit à terre et un autre homme envoya une dague dans leur direction.

Lanfeust se fit frôler par la dague car elle fut déviée lorsque l'homme fut percuté pour finir dans le fond de la cathédrale.

Une brochette de duc, voilà ce qui avait faillit arriver.

Tout le monde s'affoler et déjà on prenait soin de l'homme qui semblait être un ambassadeur étranger. L'autre, l'assassin se faisait ligoté et c'est le CAM qui se chargea de lui.

Il s'approcha mais se sentait bien inutile.

Fabien, c'est une fausse déclaration de guerre de la Provence en fait. mais il semblerait que cela tourne autour de ces duchés, bien étrange que tout cela. Vouloir tuer notre duc. En tout cas cet ambassadeur est arrivé à point nommé.

Quelqu'un a besoin d'aide ?
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Fabien74

Fabien sourit à Lanfeust.

Mince désolé, c'est l'émotion qui me fait dire n'importe quoi... Il s'en passe tellement aussi en ce moment!

Deuxième sourire gêné...

Euh...Peut-être voudrais-tu m'accompagner aux geôles? Nous ne serons pas trop de deux pour interroger ce vil personnage.
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Princesselaure

Laure plongée dans un sommeil profond…Que le repos auprès du très haut était bienfaisant… Le repos du corps et de l’esprit… Une sensation de bien être complet… Rien ne pouvant perturber ce sommeil qui se voudrait centenaire… Mais force est de constater que toutes les bonnes choses ont une fin… Laure n’étant plus une bambine, elle le savait… Et pourtant elle s’efforça s’y croire… Encore un peu… Non… Laissez-moi dormir… Ne me réveillez pas maintenant… Encore un instant…

Et voilà qu’on essaye de la faire revenir dans le temporel… Grrr… Pour peu elle aurait mordu… Enfin si elle avait pu ouvrir la mâchoire… Bref… Elle entend ce qui se passe mais ne voit rien… Là elle sent une présence qui se veut réconfortante, caressant légèrement le bras gauche… OH NON PAS LE SEL… Arfff… Résiste Laure… Résiste… Ne cède pas… La Vice~Duchesse ne réagit pas enfin pas le corps mais alors l’esprit… Pouaaaah il vient d’en prendre un coup là… Un sérieux même… Et faute de suffire… Voilà une cruche d’eau gelée sur le visage… Bon ben ma fille tu n’as pas le choix là tu vas réagir et revenir à toi… Puis une voix douce, connue, plus que réconfortante… Son gendre est là à ses cotés… Jules… Le bailli soucieux de voir sa belle-mère ainsi… Derniers moments de non-présence… Derniers plaisirs et voilà un battement de cils gracieux, signe appréciable qu’elle est encore là… Et sa main qui se soulève au gré des paroles de Jules… Enfin Laure ouvre les paupières… La main libre se posant sur son front là ou se trouve la légère blessure…

Aieeeeeee…

Laure regarde sa main et voit une file pellicule rougeâtre… Le sang avait été humidifié par la dame de compagnie improvisée…

Et bien je dois être bien présentable comme çà… Jules aides moi je te prie à me relever…

Elle ronchonne c’est qu’elle est en bonne santé globale… L’égratignure est superficielle… Et fer vite sa disparition…En attendant Laure se remet doucement de ses émotions regardant de droite et de gauche pour voir ce qu’il se passe… Elle allait demander des explications à Jules quand elle aperçut Fabien s’agiter dans tout les sens… Laure ne comprenait plus trop quand tout à coup elle se souvint de ce couteau qui avait fini dans l’autel et ce clampin de soldat qui l’avait faite chuter… Les yeux qui roulent une nouvelle fois inspectant les moindres détails… Prise de panique, elle se tourna aussitôt vers Jules, la soutenant par le bras…

Ou est passé Sa Grâce le Duc Petitrusse ?
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Jules.cv

Laure revenait enfin à elle. Soulagement.
Bon, son humeur et son caractère étaient intactes, plus d'inquiétude.
Et tout de suite les question, ralala l'a pas changé !

Ne t'inquiète pas, Petitrusse est en sécurité avec Nata.
Un fou a failli commettre le pire. Les gardes l'ont emmené aux geôles, Fab et Lanfeust vont se charger de son cas.
Je me demande si je ne vais pas aller les aider...
Reprends tes esprits, prends ton temps, tout va bien.

Jules se voulait rassurant, il savait comme elle pouvait être ronchon, la belle-mère... quand elle vient de se réveiller !
Un léger sourire se dessinait, il était soulagé de la voir reprendre du poil de la bête.
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Val1

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Soizic

le pauvre bougre va sans doute souffrir, j'ai une petite fiole de passiflore mais je doute que ce soit suffisant ... un alcool bien fort serait plus efficace.
je n'en ai pas, mais je suis bien certaine que plus d'un dans cette belle assemblée cache une bouteille à portée de main

De l'alcool, on lui en apporta. Elle enleva le tissu de la bouche de l'homme, et lui fit boire du breuvage anesthésiant, voire même assommant. Laissant passer quelques minutes, elle regarda Androlyne. C'était le moment.

Elle remit le tissu dans la bouche de l'homme, s'approcha de lui, respira un bon coup, et d'un seul geste, sans aucune hésitation, elle enleva la lame du corps bourguignon.

Le sang s'écoula alors plus rapidement. Empêcher qu'il ne se vide, c'était le principal. Avec l'aide de la dame, elles pressèrent la plaie.

Du tissu ! Plus de tissu !
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Croxanvic

Un cri retentit à nouveau dans la salle. Cette fois, il venait de Croxanvic. la douleur le fit se réveiller totalement. Ce n'était pas la plaie d'où couler le sang, qu'ils cherchaient tous à penser, mais bien son bras qu'il regardait.

Lors de l'attaque du premier "brigand", il avait ressenti une étrange douleur au bras. POur la première fois depuis quelque temps, Croxanvic avait retiré son écharpe...à tord?

Cro observa son bras après avoir tourné la tête. Etait-il le seul à avoir remarqué l'angle étrange de son bras? POurquoi son coude l'avait-iul réveillé? peut-être parce qu'il semblait complètement retourné...

Lorsque qu'on lui avait retiré la lame, on s'était appuyé sur le bras. Il faut croire que le brigand avait fait plus de mal qu'il n'y paraissait, que la personne sur son coude n'avait rien arrangé... Et surtout, qu'en cherchant à se retirer du poid de son médecin, il s'était bousillé le coude.

Il laissa sa têt eretomber, la tourna dnas l'autre sens et ferma les yeux, refusant de voir ça. Il semblait que les médicastres autours de lui avait remarqué son léger problème.

Evidemment, Cro ne ressentit pas ainsi les choses, ce ne fut que douleur et horreur...mais il fallait faire comprendre ce que Cro ressentit en une fraction de seconde.
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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA

Ivrel

L'Evêque ne voyant plus l'utilité de continuer la cérémonie, qui par aileurs avaient été interompue alors qu'elle était quasiment finie, demanda à l'assamblée de fidèles de sortir dans le calme, afin de laisser les médecins officier et les gardes ducaux faire leur travail en raccompagnant le duc dans ses appartements au chateau.
Les serviteurs de l'évêché devaient nettoyer le sang sur les dalles afin que l'office dominical puisse se dérouler comme d'habitude en cette fin de semaine.
Elle offrit les locaux voisins de l'évêché aux medecins et à leur blessé si il désiraient avoir un endroit plus confortable et mieux chauffé.
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Soizic

Outch désolée

La lame était enlevé et l'homme, comme elle l'avait prévu, avait hurlé. Comme prévu également, les deux femmes s'affairaient à compresser la plaie béante sur le torse du Bourguignon.

Mais pourtant, un fait inattendu venait de se produire : l'homme criait encore. Certes la souffrance devait être importante, mais fallait-il que ce soit une chochotte pour qu'il continue à crier de la sorte ?
Assurément, non.

Soizic se redressa. Observant l'homme, elle remarqua qu'il regardait son bras. La douleur semblait en provenir. Un truc clochait. Mais quoi ??

Soudain, les sourcils se froncèrent. Elle venait de comprendre. Le bras du pauvre homme était sacrément bien amoché. Cassé, sans doute dû à la chute.

L'évêque avait réussi à faire évacuer peu à peu la cathédrale. C'était une bonne chose. Elle leur proposa même de transférer Crox dans une salle plus à même de recevoir un blessé. Soizic la remercia et accepta sans plus attendre.

Le corps fut transporté dans ladite pièce.

Androlyne continuait à compressait la plaie, tandis que Soizic avait entrepris de redresser le bras du blessé. Ce fut rapide, bref et efficace.

Apportez-moi deux petites planches de bois, du tissu propre encore... s'il vous plaît !
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Petitrusse

Le Duc, avant son départ pour son hotel, désira voir le blessé.
Il s'approcha du blessé qui hurlait.

Il salua son amie Androlyne et la dame qui s'occupait du blessé.
Il s'accroupit à côté du blessé et lui prit la main.

Messire,

je ne sais qui vous etes, mais le BA, en mon nom, vous remercie pour l'acte héroïque que vous venez de faire.
Je ne sais comment vous remercier pour l'instant, mais si besoin, les meilleurs médecins de mon duché seront aux petits soins pour vous.

Dès votre rétablissement, j'espère que vous me ferez l'honneur d'accepter une invitation dans mon hôtel, pour que je puisse présenter a ma fille et mes petits enfants, celui qui a defendu au risque d'y perdre la vie, la vie d'un père et d'un grand père.

Se retourne vers la dame qu'il ne connait pas, mais qui a l'air d'avoir de bonnes connaissances en médecine.

J'espère que vous aussi, vous pourez accepter une invitation dans mon hôtel. Car je vous remercie de votre aide, pour avoir assurer les premiers soins a cet homme.
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Croxanvic

On avait posé une atelle à son bras. Il était allongé dnas une salle de la cathédrale. Il se reposait et faisait le bilan. On avait beau l'voir drogué, il voulait faire le point sur les dernier évènements avant de sombrer.

Depusi son départ, il était tombé dans une embuscade, tendue par un ennemi de la Bourgogne. Il avait gagné une ville, refait des provisions minimes et était repartiau galop. CEtte fois un brigand. Il avait bien essayé de se défendre, mais son bras, déjà mis à mal, finit par lacher l'épée de douleur et il reperdit tout.
Il était arrivé le ventre creu, le visage cadavérique, et le bras cuisant. Devant se rendre à la cérémonie, l'ambassadeur avait décidé que l'écharppe devait être enlevé : il ferait juste très attention dans la foule.
Il fallait croire que ce n'était pas qu'un problème bénin, puisque, aujourd'hui, il se retrouvait le bras immobilisé et en morceaux. La plaie du couteau, il lui faudrait quelques jours pour se remettre...Mais le bras!

Croxanvic s'endormit sur ces dernières pensées. Il ne se réveilla pas la journée suivante, mais celle d'après. Encore faible, il avait du travail à l'ambassade. Aussi, il se leva en grimaçant... Son torse brûlait, mais peu importait. Il s'enfuit donc comme un voleur, sûr que les médecins n'approuveraient pas son choix, et se rendit à son bureau. Il prit juste sur le marché un petit pain et quelques fruits.
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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA

Soizic

Alors que Soizic venait de poser l'attelle au blessé, le Duc apparut. Il se dirigea vers eux. Il remercia l'homme, puis, à son grand étonnement, il la remercia aussi, et l'invita même à son hôtel.

Elle acquiesça humblement, à la fois intimidée et heureuse. Elle regarda le Bourguignon et lui lança un regard bienveillant. Tout ça, c'était en quelques sortes grâce à lui.

Quelques jours plus tard :

Croxanvic était resté là, étendu sur le lit mis à disposition. Soizic lui changeait ses pansements chaque jour, remettant chaque fois un peu de l'onguent donné par Androlyne.

Un soir, comme d'ordinaire, Soizic éteignit la bougie qui éclairait la pièce, laissant l'ambassadeur dans son lit. Elle le laissait sous la surveillance d'Aristote.

Au matin, alors qu'elle arrivait comme chaque matin pour faire son travail, elle fut surprise de voir la porte de la chambre entrouverte. Elle passa le nez, et poussa un petit cri d'effroi : l'homme avait disparu !

Aucune trace de lutte, pas un mot pour justifier l'absence, rien !
Elle se posa là pour réfléchir à la procédure à suivre..

Prévenir le duc ? Prévenir Ivrel ? La Bourgogne devait elle savoir ? Qu'en était il ?
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[RP] Bénédiction du Conseil Ducal