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[RP] Bénédiction du Conseil Ducal

Croxanvic
Croxanvic ouvrit les yeux. Tant de monde pour lui... Il crut reconnaitre une des dames penchées sur lui, à la description qu'on lu iavait donné... On lui avait ouvert la chemise, et il sentait les linges sur sa plaie...

Il rouvrit une seconde fois les yeux...

Je vais ...bien ...ne vous en faites pas pour moi...

Cependant, son teint livide, sa faible voix le démentait. Il referma les yeux...Ca tournait d'un coup... Il frissonnait, la fièvre s'installerait-elle?

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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA
Agna
Agna entendit Ivrel qui donnait ses ordres aux gardes ce qui lui déclancha un fou rire nerveux. Comme elle ne la voyait pas elle l'imagina juché sur l'autel sa crosse à la main telle le Très-Haut donnant ses ordres à ses apôtres.

Puis l'homme bléssé la tête posé sur les gnoux d'Agna se releva d'un bond et celle-ci n'eut pas le temps de retirer son petit minois qu'elle se prit en plein menton le dessus du crâne du messire ce qui lui fit trembler les belles émailles qui lui servait de salle à mastiquer. Elle vit un bel éclaire de lumière puis le noir et de nouveau des images un peu floues avant de reprendre leur netteté. Elle regarda le Messire d'un oeil noir mais vit bien vite que le pauvre homme commençait à délirer grave.

Une damoiselle qui lui sembla connaitre s'approcha et se mit à donner des ordres pour soigner le pôvre bléssé et ce fut au tour de Noeline qui se mit à déchirer son jupon ce qui fit dresser les cheveux sur la tête à Agna quand elle découvrit les chevilles de Noeline à la vue de tout le monde. Agna restait à genoux sa houpelande pleine de sang à regarder toute cette agitation et elle se demanda d'un coup ce qu'elle avait bien pu faire dans une vie entèrieur pour qu'à chaque fois qu'elle assistait à une cérémonie il se passait des évènements plus qu'insolite. Elle regarda les deux femmes soigner le mourrant quand Ivrel commençait à parler de derniers sacrements. Elle la regarda surprise.

Rhoooooooooooo Ton minence n'enterrez pas déjà ce pauvre homme qui a sauvez de son corps notre Duc bien aimé...
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[ baptême de Sofio et Lelmax]
Androlyne
Comme à son habitude, Androlyne était en retard pour assister à la bénédiction du Conseil Ducal, elle avait d'ailleurs beaucoup hésité avant d'entrer dans la cathédrale, mais sur le parvis elle sentit comme un appel.

Installée au fond, elle avait une vue sur toute l'assemblée qu'elle détaillait tout en laissant vagabonder son esprit.

Quand un homme leva le bras et qu'elle vit briller une lame dans sa main, elle n'eut aucune réaction et de sa place, figée elle assista à toute la scène hébétée.

C'est la voix du cardinal Ivrel qui la sortit de sa torpeur


Citation:
c'est compris !



Androlyne se précipita au milieu de l'agitation.

Ses souvenirs médicaux lorsqu'elle était l'infirmière de son parrain, dans son cabinet médical à Bourbon lui revinrent.

Elle courut chercher au presbytère ce qu'une dame très élégante venait de demander à la cantonade d'un ton très sur et qui ne souffrait aucune discussion.

Elle y croisa le Duc un peu pâle entouré de quelques gardes et près de lui, Natafael qui lui tournait autour, le scrutant sous toutes les coutures pour vérifier qu'aucune lame n'était venue le blesser.

Elle leur sourit

Tu ... euh ... Vous n'avez rien Pet... euh votre Grâce ? et toi Nata ?

Je vais vite apporter de quoi soigner le blessé...


Un peu bafouillant, elle s'excusa et s'activa pour trouver du linge propre, et prit la bouilloire fumante posée sur le poêle.

Elle apporta le tout à la dame


Je pense avoir quelques plantes et onguents qui peuvent vous être utile dans la sacoche de mon cheval, je vous apporte ce que j'ai... [/quote]
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Ivrel
Ivrel répondant à son archidiaconnesse favorite.

Mais non, soeur Agna, loin de moi la pensée de l'enterrer avant son heure, mais comme je ne connais pas l'avenir, je dit juste qu'il faut être prêt pour le jugement divin, ça ne fait pas de mal.
Bon il a pas l'air trop mort encore, je vous le laisse Mesdames.


et se tournant vers les gardes...

Plus serré les liens bandes d'empotés ! Un mécréant qui ose profaner un lieu saint, ça mérite un bon bucher. Mais d'abord, je suis sure que le bourreau aura quelques questions à lui poser.
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Soizic
Une femme lui proposa son aide. Elle acquiesça :

Trouvez moi du linge propre, en grande quantité. Quand on enlèvera la lame, il saignera... beaucoup...

Oui beaucoup, la lame n'était pas allée profondément, mais tout de même. La plaie n'était pas belle à voir.

Puis avait suivi celle qui avait orchestré la cérémonie. En entendant ses dires, elle eut comme une envie démoniaque, mais elle se contenta de lancer un regard noir.


Priez Aristote. Ce sera déjà bien assez pour vous !

Le conflit médecine-église venait de prendre tout son sens en ces quelques mots. Mais pas le temps de s'y attarder. Aristote, une petite pensée quand même. Au cas où. Ca ne pouvait pas faire de mal de toutes façons.

L'homme reprit ses esprits, balbutia quelques mots.


Restez calme monsieur, restez calme je vous prie. La Bourgogne a besoin de vous. Battez vous ! Je vais faire tout mon possible pour vous aider.

Agna était là depuis le début, et pourtant, elle ne l'avait pas aperçu. Elle avait dû lui prendre la place qu'elle occupait à côté de l'homme quand elle l'avait entendu parler de sa Bourgogne.

Un regard autour d'elle lui fit prendre conscience de sa présence :


Agna, je vous prie. Aidez moi à maintenir la foule à distance suffisante pour que cet homme puisse respirer. Vider la cathédrale de ses badauds me semble impossible, mais au moins, qu'il respire !

Sa demande avait été entendue. Et une personne était arrivée avec du linge en grande quantité, et une bouilloire également. Elle proposait plantes et onguents.
Voyant en elle l'aide dont elle avait besoin, Soizic acquiesça.

Faites, faites ! J'ai besoin d'aide. J'ai des connaissances, mais... Je n'ai jamais pratiqué encore.

Ces quelques mots la firent tressaillir. Elle doutait. Il ne fallait pas douter. Agir avec précision et rapidité. Ca ne laissait pas de place au doute ! Aucune !
Se reprenant, elle regarda l'homme.

Messire, Ami Bourguignon, je vais enlever la lame qui vous fait tant souffrir.

Je vais agir vite. Mordez fort dans le tissu que je vais mettre en votre bouche.


Elle s'exécuta. Un peu de tissu dans la bouche de l'homme. Elle se releva. Il fallait également qu'elle se concentre. La dame qui avait proposé de l'onguent était revenue. Elle la prit en aparté.


Dame, je vais enlever la lame qui lui déchire le torse. Dès que ceci sera fait, il faudra presser fort la plaie avec du linge. Si vous avez des connaissances supplémentaires, n'hésitez pas. Faites.
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Croxanvic
Croxanvic ne cherchait pas à comprendre, ni à savoir ce qui se passait. L'ambassadeur ouvrit la bouche, comme il lui sembla qu'on le lui demandait, et il mordit dans le tissu.
Il avait mal. Pourquoi est-ce que cette douleur le lançait ainsi, près du coeur?

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L'amour est dangereux, dit-elle.
Très, fit l'ange. Et alors?
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Ambassadeur de Bourgogne auprès du BA
Agna
Agna se releva laissant ce corps meutri à même les dalles froide de la cathédrale mais elle ne voulait pas géner le travail de la médicastre qu'elle avait appelé à corps et à cris. Elle se mit à obéir aux ordres comme un pantin repoussant les badaux curieux comme des mouches sur un pot de miel les demandant gentiment mais avec un soupçon de fermeté de laisser un peu d'air afin que les dames soigneuses puissent oeuvrer pour sauver cet homme bléssé.

Quand le calme fut revenu, Agna prit son panier et alla dans la sacristie pour changer de houpelande car une Archidiaconesse taché de sang comme un boucher qui vient d'égorger un cochon ce n'était peut être pas comme cela qu'elle arriverait à trainer ses ouailles à l'église...

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[ baptême de Sofio et Lelmax]
Natafael
Elle avait emmené le Duc jusqu'au présbytère, lui demandant de s'assaoir et de ne pas bouger,
jetant un oeil rapide à l'une des fenêtres au cas ou un autre danger surgirait.
Des gardes les avaient rapidement rejoints se postant à différents endroits.

Nata tourna autour de Petitrusse, vérifiant qu'il n'était pas blessé.


Ca va Petitrusse? Tu n'as rien?
Elle s'était jetée sur lui, sans se poser de question lorsque l'attaque eu lieux afin de le proteger.
La lame n'était pas passée loin, mais avait cependant finie sa course plantée dans un des panneau en bois sculpté de l'Autel.

Désolée, tu auras surement un beau bleu Ta Grace.

A cet instant, Andro entra à son tour, elle cherchait de quoi soigner le blessé.
Ca va Andro, le Duc n'a rien! Comme je venais de lui dire, il finira surement avec un gros bleu, mais bon..
Moi? oh, moi ça va aussi, merci Andro, pas de soucis, mais comment va l'homme blessé?
Je n'ai pas eu le temps.. ..enfin, je l'ai juste vu tomber...j'espère que ce n'est pas trop grave.


Andro expliqua, tout en attrappant une bouilloire et du linge, que l'homme avait une lame plantée dans le torse et repartit vite.
Si tu as besoin, n'hésite pas à m'appeler, d'accord

Nata se retourna vers le Duc.


Nous allons attendre que les lieux soient sécurisés pour te faire sortir.
Les gardes resteront près de toi


Nata regarda vers la porte, qu'était devenu l'homme qui s'en était prit au Duc?
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Natafael de Roserey, Vicomtesse de Salers
Chancelière du Bourbonnais-Auvergne
Androlyne
La jeune femme qui avait pris les soins au blessé en main accepta son aide et Androlyne partit chercher sa trousse en courant.

Elle la déposa près d'elles, l'ouvrit et en fit un inventaire rapide.

Elle remercia d'une prière silencieuse, feu son parrain de lui avoir appris la prévoyance et frère Benoit, de lui avoir enseigner les vertus de plantes et leur conservation.

Dans les propos de la jeune femme, Androlyne perçut un léger doute, mais elle sembla vite retrouver son assurance lorsqu'elle lui expliqua le geste qu'elle allait faire


Citation:
Dame, je vais enlever la lame qui lui déchire le torse. Dès que ceci sera fait, il faudra presser fort la plaie avec du linge. Si vous avez des connaissances supplémentaires, n'hésitez pas. Faites.


Androlyne revit alors les blessés qui étaient arrivés en masse lors de l'attaque d'une meute de loups dans le village quelques mois auparavant et sortit un pot qu'elle tendit à la jeune femme

Mes connaissances tiennent dans cette mallette, mais j'ai été l'aide d'un médecin à Bourbon, je l'ai vu soigner des plaies qui ressemblaient à celle là.

Il faisait bien comme vous le dites, Madame,

Il fallait presser très fort avec beaucoup de linge pour enrayer les saignements et ensuite il mettait une grosse couche de cette pâte à base de chou et de géranium, puis faisait un pansement fort serré.

L'odeur est très forte.. et peu agréable, mais j'ai vu de méchantes plaies se refermer en quelques jours.


Elle s'approcha de l'oreille de la médicastre et lui chuchota

le pauvre bougre va sans doute souffrir, j'ai une petite fiole de passiflore mais je doute que ce soit suffisant ... un alcool bien fort serait plus efficace.
je n'en ai pas, mais je suis bien certaine que plus d'un dans cette belle assemblée cache une bouteille à portée de main



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Ivrel


L'oreille très fine lorsqu'elle entendait le mot alccol, l'évêque sortit de ses manches une fiole ouvragée, la tendit discrètement à son archidiaconesse en lui murmurant dans le creux de l'oreille.

Tenez, vous donnerez ça aux dames qui soignent ce pauvre homme, mais motus sur sa provenance, officiellement je ne suis pas adepte de Sainte Boulasse, enfin pas trop, on se comprend... par contre vous pouvez leur dire que ça vous endort un cochon en moins de 5 minutes et que dedans il y a de la pomme et autre chose...

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Fabien74
Un instant il priait et chantait bien fort l'hymne du BA, et celui d'après, la panique régnait dans la Cathédrâle. Les nobles dames et jouvencelles criaient horrifiées et les hommes scrutaient les rangs pour trouver l'auteur du maladroit putsh. Finalement ce fut l'archidiaconnesse Agna qui perdit son sang froid et asséna un bon coup de bâton sur le crâne de l'odieux personnage.

Aidé par les gardes qui avaient faction devant les portes du saint lieu, Fabien entreprit de ligoter l'affreux, sous les directives de l'Evêque.


Citation:
Ligotez-le mieux que cela, bande d'empotés!


Sang qui ne fait qu'un tour, léger rougissement du visage, Fabien se relève d'un bond et dit:

Mais oui empotés, voyons, plus fort...

Petit sourire gêné.

En réalité il ne savait comment réagir, jamais une telle situation ne s'était produite auparavant.
Il vit une missive circuler de Jules à Petitrusse. De la Bourgogne? Mazette ce n'était pas la première tentative d'on-ne-savait-qui. Il se dirigea vers Petitrusse:


Tout va bien mon ami?
Tu peux remercier Nata et aussi cet Ambassadeur bourguignon, sans qui tu ne serais plus de ce monde...

A propos de cette missive, ce n'est pas la première fois que l'intégrité de la Bourgogne est mise à mal, il y a quelques temps une fausse déclaration de guerre contre la Provence, il me semble, avait été lancée, et bien vite démentie par la véritable Princesse Ingeburge.
Je pense que Nata saura tirer cela au clair avec nos homologues... En attendant, je pense que tu devrais t'adresser au peuple et les rassurer, leur montrer que tu es bien vivant. Et remercier cet homme une fois qu'il sera guéri... Je pense que d'entre nous tous il a été le plus courageux.


Il esquissa un sourire puis se dirigea vers le groupe de gardes, qui s'étaient attroupés autour du bandit, et le tenaient fermement.

Gardes! Suivez-moi! Nous allons conduire cet impudent aux geôles! Nous lui ferons subir un interrogatoire corsé.

Avant de prendre la direction des geôles clermontoises, il sourit à son épouse, qui était bien occupée auprès du blessé, et s'excusa auprès d'Ivrel.
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Lanfeust86
Le Duc de Souvigny suivait avec attention la bénédiction ducale, Son Eminence venait de bénir le Duc ainsi que Jules, le Bailli.

C'est alors qu'un cri retentit.

Le Duc se leva et resta tétanisé par la surprise en voyant la scène qui se déroulait sous ses yeux. Un homme qu'il avait croisé dans les couloirs de la chancellerie s'effondra. Petitrusse fut mit à terre et un autre homme envoya une dague dans leur direction.

Lanfeust se fit frôler par la dague car elle fut déviée lorsque l'homme fut percuté pour finir dans le fond de la cathédrale.

Une brochette de duc, voilà ce qui avait faillit arriver.

Tout le monde s'affoler et déjà on prenait soin de l'homme qui semblait être un ambassadeur étranger. L'autre, l'assassin se faisait ligoté et c'est le CAM qui se chargea de lui.

Il s'approcha mais se sentait bien inutile.


Fabien, c'est une fausse déclaration de guerre de la Provence en fait. mais il semblerait que cela tourne autour de ces duchés, bien étrange que tout cela. Vouloir tuer notre duc. En tout cas cet ambassadeur est arrivé à point nommé.

Quelqu'un a besoin d'aide ?

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Fabien74
Fabien sourit à Lanfeust.

Mince désolé, c'est l'émotion qui me fait dire n'importe quoi... Il s'en passe tellement aussi en ce moment!

Deuxième sourire gêné...

Euh...Peut-être voudrais-tu m'accompagner aux geôles? Nous ne serons pas trop de deux pour interroger ce vil personnage.
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Princesselaure
Laure plongée dans un sommeil profond…Que le repos auprès du très haut était bienfaisant… Le repos du corps et de l’esprit… Une sensation de bien être complet… Rien ne pouvant perturber ce sommeil qui se voudrait centenaire… Mais force est de constater que toutes les bonnes choses ont une fin… Laure n’étant plus une bambine, elle le savait… Et pourtant elle s’efforça s’y croire… Encore un peu… Non… Laissez-moi dormir… Ne me réveillez pas maintenant… Encore un instant…

Et voilà qu’on essaye de la faire revenir dans le temporel… Grrr… Pour peu elle aurait mordu… Enfin si elle avait pu ouvrir la mâchoire… Bref… Elle entend ce qui se passe mais ne voit rien… Là elle sent une présence qui se veut réconfortante, caressant légèrement le bras gauche… OH NON PAS LE SEL… Arfff… Résiste Laure… Résiste… Ne cède pas… La Vice~Duchesse ne réagit pas enfin pas le corps mais alors l’esprit… Pouaaaah il vient d’en prendre un coup là… Un sérieux même… Et faute de suffire… Voilà une cruche d’eau gelée sur le visage… Bon ben ma fille tu n’as pas le choix là tu vas réagir et revenir à toi… Puis une voix douce, connue, plus que réconfortante… Son gendre est là à ses cotés… Jules… Le bailli soucieux de voir sa belle-mère ainsi… Derniers moments de non-présence… Derniers plaisirs et voilà un battement de cils gracieux, signe appréciable qu’elle est encore là… Et sa main qui se soulève au gré des paroles de Jules… Enfin Laure ouvre les paupières… La main libre se posant sur son front là ou se trouve la légère blessure…


Aieeeeeee…

Laure regarde sa main et voit une file pellicule rougeâtre… Le sang avait été humidifié par la dame de compagnie improvisée…

Et bien je dois être bien présentable comme çà… Jules aides moi je te prie à me relever…

Elle ronchonne c’est qu’elle est en bonne santé globale… L’égratignure est superficielle… Et fer vite sa disparition…En attendant Laure se remet doucement de ses émotions regardant de droite et de gauche pour voir ce qu’il se passe… Elle allait demander des explications à Jules quand elle aperçut Fabien s’agiter dans tout les sens… Laure ne comprenait plus trop quand tout à coup elle se souvint de ce couteau qui avait fini dans l’autel et ce clampin de soldat qui l’avait faite chuter… Les yeux qui roulent une nouvelle fois inspectant les moindres détails… Prise de panique, elle se tourna aussitôt vers Jules, la soutenant par le bras…

Ou est passé Sa Grâce le Duc Petitrusse ?
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Jules.cv
Laure revenait enfin à elle. Soulagement.
Bon, son humeur et son caractère étaient intactes, plus d'inquiétude.
Et tout de suite les question, ralala l'a pas changé !


Ne t'inquiète pas, Petitrusse est en sécurité avec Nata.
Un fou a failli commettre le pire. Les gardes l'ont emmené aux geôles, Fab et Lanfeust vont se charger de son cas.
Je me demande si je ne vais pas aller les aider...
Reprends tes esprits, prends ton temps, tout va bien.


Jules se voulait rassurant, il savait comme elle pouvait être ronchon, la belle-mère... quand elle vient de se réveiller !
Un léger sourire se dessinait, il était soulagé de la voir reprendre du poil de la bête.

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