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[RP] DE L'AUTRE CÔTÉ DU MIROIR...

Petitelilie
Lilie l'ame poétique ce jour la (ce qui est bien rare!!) décida d'écrire un petit poéme pour quelques proches. De sa main légére elle se mit à écrire:

A toi ma meilleure amie
Qui m'a toujours soutenu...
A toi l'amie
Dont on peu tous réver...
A toi mon frére
Qui a su me protéger
A toi mon frére
Qui quand mes larmes coulaient
A su les sécher
A tous les secrets confiés
Que tu a su garder
A toutes ces soirées
Ou quand je déprimais
Tu as su me réconforter

Puis elle reposa la plume et repartit le coeur léger.
_________________
"Avant de blesser un coeur, regarde si tu n'es pas à l'intérieur."

Puce019
Ma Soeur, Mon amie


Depuis que je l'ai rencontré,
Mes sentiments se sont bousculés.
Elle est celle qui peut me toucher,
Me prendre dans ses bras sans avoir à la repousser.

Une amitié s'est créée,
Le jour où j'ai commencé à me confier,
Puis, elle s'est aussi dévoilée
Et m'a confié son passé.

Elle sait ce que c'est de saigner,
De prendre sa lame pour couper,
Pensant qu'elle pourrait se soulager.

Cette fille est arrivée à résister,
Alors que moi, encore envahie pas l'envie de verser.

Mais elle est là pour me soutenir,
Me soulager de mes peines,
Afin que j'arrête de mutiler mes veines,
Et me redonner l'envie de sourire.

Alors je tiens à dire que je tiens à elle
Et je ferai tout pour préserver cette amitié.
Scheherazade
Tres émue par ce qu'elle venait de lire, la bédouine repondit ceci :

A toi ma petite sœur de cœur, juste pour se souvenir ...


Par plusieurs secrets, on est liées, mais c'est par l'amitié la vraie, qu'on est attachées, l'une à l'autre pour l'éternité...
Par plusieurs gibiers, on a été attaquées...
Bêtes sanguinaires, rapaces aux dents aiguisées, serpent fielleux et rusés
Mais à toutes les deux, on les a toujours combattus et annihiler…
Beaucoup même se sont fait dévorés sans pouvoir broncher^^
Avides de chairs fraiches et de tendreté, les sœurs calamités affamées
Se sont doucement alimentés au gré de leurs chasses et de leurs virées…
Sans rien lâcher, tournant au ridicule ce qui ne pouvait être mangé ou tout du moins être gouter
Et cela en restant toujours avec le sourire, joueuses et fair play !
Sans jamais se battre ni se détester, s’aimant avec tendresse et honnêteté !
A toi ma Puce, je te dis FTT et sœur à jamais, et même si je suis loin de toi quelques fois
Saches que de mon esprit et de mon cœur je resterai toujours à tes cotés…
Ta grande sœur qui t’aime …

Schéhérazade

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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Petitelilie
Lilie l'ame un peu poétique décida d'écrire un poéme pour sa maman Shé qu'elle adorait:

Une maman, c'est un coeur pour consoler,
Une confiance inégalée et plus de bonheur
Qu'on ne peut en imaginer
Le sourire d'une maman, séme la joie en un instant
La caresse d'une maman, réchauffe notre coeur longtemps
Rien n'est plus précieux, rien n'est plus charmant qu'une maman
Rien n'est plus émouvant que le sourire d'une maman

Puis ne savant plus quoi écrire^^ se relit corrigea les petties fautes^^ et repartit.
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"Avant de blesser un coeur, regarde si tu n'es pas à l'intérieur."

Scheherazade

En ouvrant le grimoire qu’elle ne fut sa surprise de voir ce que sa fille adorée lui avait concocté, immédiatement après avoir lut les vers écrits d’une jolie et fine écriture, appréciant particulièrement l’effort pour l’orthographe, la sarrasine le visage lumineux et souriante , prit son Qalam, et laissa parler son cœur qui piaffait d’impatience de laisser exploser son amour maternel…



POUR MA FILLE …


La couleur bleue est la couleur du bonheur que tu m’as donné en t’adoptant,
La couleur rouge celle de mon cœur qui chavire de joie et se gonfle de sang
Chaque fois que tu m’embrasses en me disant «JE T’AIME FORT MAMAN ! »
La couleur rose est celle de tes joues quand tu ris et que je te rends tes bisous !
La couleur verte celle de l’espoir et d’un futur de longue durée…
La couleur dorée, celle de ne plus mourir oubliée…
La couleur argent pour tout l’amour que tu m’as donné sans compter
Et la plus magnifique, la couleur arc-en-ciel, TOI
Ma fille Petitelilie la plus belle étoile de ma vie…
Celle qui éclairera longtemps mes nuits et me guidera dans la vie




A ma fille que j’aime tendrement !

Signa la bédouine émue ,y glissant une petite gravure que son père avait fait faire d'elle, le mois où, ils l'avaient recueillie, afin qu'elle puisse se voir, alors qu'elle n'était encore qu'un bébé, petit angelot adorable et adorée...

(A la JD LILLIE que j’apprécie énormément, c’est un pur régal d’être ta mère RP ^^)
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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Puce019
Puce avait envie d'écrire, souvent la frénésie des mots la comblé ou l'ennuyer alors elle les écrits au bureau de sa soeur , histoire de partager ses pensées et humeurs

Muse condamnée.

Quelle ironie, de se condamner à écrire dans l’éther

Quand ces maux ne raisonnent que sur le parchemin

Etouffant ses clameurs, diluées jusqu’aux confins de l’univers

Se déroulant de la cime de tes épaules aux creux de tes reins.



Munie d’une plume de cristal trempée dans l’encre de chine

J’y grave à jamais nos soupirs et mes rondes heures

Je compose une partition à mesure que tu courbes l’échine

Subitement, mon trait pesant et lourd te sort de la torpeur.



Je révèle ce qui nous accroche,mes pensées noires

Une goutte rubis jaillit et se mêle à ton sang d'encre

et réinterprète toutes mes nuits blanches de mémoire.



Les lamentations mélodiques d'un manuscrit vivant et haletant

J'accélère le tempo,incrustant profondément chaque note

Malgré les trémolos, c'est de moi dont le point d'orgue dépend.
Scheherazade
Toute joyeuse , et enfin sereine, Schéhérazade prit son Qalam et mit à écrire un poème qui lui tenait à coeur, une sorte exultation de joie mélée de tendresse, plus elle la page se noircissait , plus l'envie de courir vers lui la prenait...

Palabres et candélabres…


A la lumière vacillante des bougies, dans mon boudoir,
Étendue, alanguie sur mon sofa rouge…
Je pense, je réfléchis, idées noires, espoirs gris…
De temps à autre, je laisse échapper de ma bouche,
Des volutes de fumées aux visages bleuis, sortis, aspirés de mon narguilé parfumé
Respirant, exhalant cette chicha aux senteurs d’orient …
Chaque bouffée m’offre l’ivresse et l’oubli…
Plus je fume, plus j’exhume mes envies…
Votre image devient plus précise, mes ennuis se volatilisent
Votre voix devient une vérité, votre nom une prophétie…
Et comme la déesse Déméter, terre mère nourricière,
Je veux du cadavre de mes souvenirs d’hiver,
Faire un grand feu de cette misère et la laisser loin derrière...
Faire renaitre l’avenir et ces printemps embaumant les sourires…
Comme l’oasis dans le désert, et moi l’assoiffé de tendresse
Vous m’avez redonné à boire, patiemment, longuement,
Montrez le chemin, guider ma route, jusqu'à vos bras, mon ange…
Grâce à vous j’ai gagné ma place au paradis, c'était juste une question de survie…
Et c’est dans vos bras que je m’envolerais vers les mille et une nuits…



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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Puce019
Puce entra dans le bureau de sa soeur , qu'elle avait désertée depuis trop longtemp, elle pris sa plume et se mise a écrire

L'encens Se Consume

L'encens Se Consume, La Fumée Se Répand,
Chez Moi, Trouble Pensées, Avenir Brouillé,
Des Sentiments Dévoués Mais Que Des Oublieuses Répliques,
Une Vie Indéterminée, Une Mort Fixé,

L'encre Coule, Le Sang Se Répand,
Je Réfléchis, J'agis Puis Je Me Repens,
Chaque Jour, Une Ame Décolle,
Chaque Soir, Un Corps Atterrit,

La Vie N'est Qu'un Voyage,
La Mort Est Une Destination,
Alors Un Conseil, Restes Sage,

Ne Partage Pas Tes Souffrances, Restes Dans Ta Cage,
Un Malheur Peut Toujours T'arriver, Fais Attention,
Alors Sois Prudent, Avant De Tourner La Page...




Puce reposa sa plume est sortit rejoindre ses amis
Tita201
Tita vint rajouter un de ses poèmes,car c'étaila seule façon pour elle de se soulager de ses pensées.

Ode à la nuit

Ô nuit,
Reine du sommeil des mortels
Quand tout le monde dort dans son lit
Tu étends ta noirceur infinie.

Ô nuit,
Ton coeur a la dureté du diamant la noirceur de l'ébène
Toutes nos actions,toutes nos peines
Contre toi,seront vaines.


Puis ,elle repartit,en pensant que la nuit n'avait pas fini de l'inspirer..
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chez moi :> http://parcelle-159-bourbon.xooit.fr/index.php
Scheherazade
D'humeur poétique et un tantinet nostalgique, Schéhérazade prit son grimoire , après avoir lu, un à un tous les écrits déposés par ses amis, elle y ajouta le sien, texte lui même inspiré par ses lectures, témoignages indélébiles de moments de vies, de sentiments et de douces poésies...


La porte fermée

Elles sont froides comme une lame
Les cinq lettres de ton adieu
Rouges comme le sang
Que tu n'as pas versé pour moi
Chaudes comme les larmes
Où je me noie...
Porte fermée
Rideaux tirés
Je suis allongée sur le sol
Les bras en croix
Priant fort
Pour ma dernière heure
Qui ne vient pas...
La douleur s'insinue en moi
Jusqu'au vertige
Porte fermée
Rideaux tirés
Ne plus penser...
Briser la souffrance
Le mal et ses racines...
Elles sont froides comme une lame
Les cinq lettres de ton adieu
Porte fermée
Rideaux tirés
Je vais soigner cette agonie
Que la mort ne me prendra pas...





Elle y ajouta aussi une gravure qui illustrait à merveille le texte, l'insérant entre deux pages de parchemins, souffla un léger souffle chaud et doux sur l'encre et referma le livre, le coeur moins oppressé, la gorge moins nouée...
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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Scheherazade
Juste pour le plaisir d'écrire... Et pour toi Baborcco...

LE CHAT




Le chat,
4 pattes silencieuses, glissant sur l’herbe verte et soyeuse, coussinets de velours, aux griffes sans pitié, crocs acérés, sourire sadique, figé…

Corps musclé, élastique, fait pour les courses rapides, effrénées, le matou de gouttière, en Seigneur et maitre du jardin avance doucement…

L e félin aux yeux couleur d'absinthe enragée, déambule avec assurance, affichant une dédaigneuse nonchalence, une impudeur insolente, fier, altier, épris de liberté même apprivoisé; seul le chat peut revendiquer ce genre de domesticité…

Tout à coup, il s’arrête, ses oreilles pointues dressées, dans ses pupilles une lueur glacée, brille, son instinct meurtrier en alerte…
Il vient de détecter ce qui sera assurément son diner!

Grace à sa vision nocturne, à l’affut, il ausculte le moindre bruit, planté immobile au cœur de la nuit, à quelques mètres de là, surgit, un parfum captivant, délicieux, enivrant, d’une victime insouciante de son funeste sort, qui s’active dehors…

L’assassin à l’allure fière et altière se redresse, humant le vent, qui caresse son ventre et les hautes herbes les sens en exergues …

Ce qui ressemble à du hasard souvent devient un rendez-vous de la fin qui donne faim. Tranquillement, un sourire de prédateur aux lèvres, il marche en direction de son diner…

Il se fige, tout à coup à deux pas de son repas, ses yeux plongent dans ceux minuscules de la faible chose, boule de poils gris, le chat penche la tête, on a l’impression qu’il sourit, qu'il prend son temps, qu’il se délecte …

La pauvre victime vient de comprendre , que cette nuit sa vie est bel et bien finie, qu’elle ne verra plus jamais le jour se lever. Trop tard, un cri retentit dans la nuit, il sonne le glas pour la souris…

Souplesse et rapidité font que d’une seule détente, il bondit sur le morceau de viande, la petite chose tremblotante aux yeux rubis, lâche un râle plaintif, mais d’un coup de patte griffue, le sadique l’assomme d’un coup. Content de lui, il joue avec son jouet, lentement, miaulant de plaisir, contre ses coussinets, il sent le cœur de son jouet, battre, affolé, battre, cogner et puis s’emballer.

Feulement d’extase et de supériorité, il la brinqueballe comme une balle, joue avec ce bout de chair mou et sanguinolent, malicieusement, s’abreuve de sa peur, lèche le sang, déguste les tremblements de son palpitant, la victime résiste mollement, histoire de mourir dignement, de mériter le coup de grâce, qui arrêtera ce jeu cruel et méchant.
L’infâme minet, émet un dernier miaulement, la souris, un ultime couinement, chant sinistre qui résonne dans la noirceur complice …

Puis le minois angélique, d’un coup de crocs engloutis la grise, savourant l’horrible craquement que font ses petits os sous ses dents…
Bien funeste enterrement que voilà, pour une souris surprise par un chat!

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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Tita201
Tita vint déposer un poème.
Un ami
SEule dans le noir,
Je me saoulais du déséspoir.
Cloitrée dans la routine,
J'étai sans but,sans rime,
Je me lassait de tout sur terre,
Des des animaux,des hommes,
De l'herbe.

Soudain,un homme apparu,
Il sut me sortir de ce cocon
Et devint mon ami,mon confident,
Et il le sera jusqu'a la fin des temps.

A Patoufior
Puis tita repartit,laissant un peu de sa tristesse dans ce poème.
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Puce019
après une longue abscence a Bourbon , Puce qui revient de chez les bonne soeurs eu envie d'écrire quelques vers, elle entra ne vit personne et se mise a écrire au calme

La Nuit

La nuit, lentement, ouvre grandes ses paupières,
Caressant du regard, les amants endormis,
Elle réchauffe leurs cœurs, d’une douce lumière,
D’une clarté subtile, qui brille dans l’infini.

Elle est calme et sereine, dans son immensité,
Se jouant des étoiles, et dansant sous le vent,
Une brise légère, s’est en effet levée,
Sur la blonde lune, qui luit au firmament.

Elle est divinement belle, dans sa robe bleutée,
Habillée de satin, avec comme ornement,
La plus belle des parures, à jamais recensée,
Posés sur sa poitrine, des milliers de diamants.

Elle se montre sans pudeur, tend son sein dénudé,
Séduisant le poète, qui entame un chant,
A sa gloire, sa splendeur, à sa sensualité,
Elle fascine les hommes, bien amoureusement.

Elle rayonne de douceur, tout en subtilité,
Irréelle, magnifique, pour les yeux d’un enfant,
Se dégage des ses larmes, un parfum de muguet,
Une senteur qui épanche, chacun de nos tourments.

Elle est telle une vestale, maitresse du feu sacré,
Reine de l’univers, de tous les continents,
Elle règne dans le céleste, et toute l’éternité,
Sublime à regarder, amante d’un conquérant.

La nuit, est cette femme, à l’allure un peu fière,
Heureuse d’exhiber, des formes si jolies,
Elle pose dans le ciel, remerciant de prières,
L’artiste créateur, qui lui donna la vie…


Après avoir fini Puce laissa l'encre secher puis referma le grim et retourna chez elle
Tita201
Tita ce matin était bien lasse...
Elle vint consigner un de ses poèmes,le dernier en date.




Etrangetés

Neige d'été et chaleur d'hiver
Lune de jour et soleil de nuit,
Tremblement de ciel et brise de terre,
Tant d'opposés,tant de choix
Tant de royaumes,tant de roys,
le chien parle,l'homme aboie
.
Désolée si ceci n'est pas a votre gout,
Mais,voyez vous
Je ne fais que décrire mes envies,
Et mes ami(e)s.


Puis elle reparti,songeant a sa journée,et a sa vie...
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Scheherazade
Je dédie ce poème à tous ceux qui ont un jour perdu quelque chose de précieux et qui ne l'ont jamais retrouvé, à tous les accidentés de la vie et du bonheur, à tous ceux qui un jour ont senti s'arrêter leur coeur... je dédie aussi ce texte à une femme fantastique qui souffre du même mal que moi... Et j'offre cette Ode à un JD qui se reconnaitra...


Un chagrin n’est jamais dérisoire ! Un chagrin n’est jamais Rien !

Chut ! Mon chagrin ! Tais-toi un moment !
Une seule seconde seulement que je puisse reprendre mon souffle…
Le cours de ma simple vie, de ma triste vie ! Pauvre femme meurtrie que je suis…
A jamais je l’ai perdu peut-être … Ô Seigneur !
Pourquoi ne peut –on pas mourir instantanément ? Faire cesser la torture du manque, du besoin,
Qu’il était difficile de lui dire adieu, j’ai le cœur fendu en deux !
De laisser son souvenir devant ce feu… je l’aime tellement que cela me brise, me blesse, m’écorche
Chut ! Ma douleur ! Tais-toi ! Juste là ! Ce soir ne laisse pas couler mes larmes…
Mon cœur implose et te supplie de l’écouter, d’avoir pitié, il supplie d’entendre
Celui qui murmurait à ces oreilles des mots doux, sucrés, merveilleux…
Mon souffle expire puis se coupe dans ma poitrine …
Ma gorge crie des mots d’amour qu’elle ne connaissait pas hier encore :


« Attends ! Pas encore ! S’il te plaît, reviens-moi ! Reste ! Dis-moi que tu m’aimes ! Je t’en prie parle moi, garde moi auprès de toi, donne moi ton amour qu’enfin je respire ! Offre moi l’absolution, la délivrance, ne me punie plus… ton silence et ton absence sont comme deux poignards acérés et pointus»



J’étouffe, je manque d’air et d’espace dans ce corps meurtri, blessé, saccagé
Par ton absence, mon esprit est dans un étau, je crois qu’il te pense de trop !
J’ai hurlé en silence ma souffrance, mais personne n’a entendu…





Ce visage qui semble impropre à l’amour je voudrais l’écarteler, le déchirer
Le découper en morceaux, je veux le jeter à la mer, faire cesser cette douleur qui m’accapare, me désespère…
je veux que mon âme ne souffre plus…
A qui ? Vais-je confier mes peines, mes sombres secrets, mes peurs et même l’inavouable…A qui ?
Chut ! Ma peine ! Chut ! Ma souffrance ! Chut ! Ma douleur !
Ce soir bercez vous ensemble, enlacez vous, et taisez vous !
Mon âme est meurtrie, les larmes de mes yeux finissent par déborder sur mes lèvres;
des lèvres que je croyais juste dessinées pour embrasser, pour aimer.
Elles remplissent ma bouche d’amertume … Pluie éternelle qui refuse de se résigner, de s’arrêter de couler, elle arrose ma douleur, la nourrit, lui donne vie dans mon cœur…
Il s’est enfui avec mes lendemains aux couleurs d’espoir et de doux matins, mon ailleurs est parti, Il a tout emporté avec lui, ma joie de vivre et mon envie de vie…
J’ai beau méditer, réfléchir, je ne fais face qu’au vide, un néant géant, immensément effrayant…Atteinte d’un virus empoisonné , obsédant, d’un mal obscur dont on ne guérit pas , je n’ai d’autre choix que de me laisser dévorer par cette horrible chose , monstrueuse souffrance qu’on appelle l’absence…

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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

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