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[Rp] Recueil des Rumeurs

pnj
Il parait que je me sent bien parmi vous
Leylalil
Images subtilement esquissées ...
Paradis infernal où elle aspirait à se perdre... et... voluptueusement, sa voix écouter, dans un souffle lui murmurer des paroles insensées...

Pour Ley, longue et blanche fut la nuit... si proche du Céleste...

Il paraît que Damien Saez a dit :

Rien que toi, rien que moi
Faits de fièvres et d'envie
Dans la suie on se noie
Assoiffés d'interdits;
Rien que toi rien que moi
Au sein de l'incendie
Je t'invite au combat et toi,
Tu me dis oui...

_________________
Tita201
Tita DEVAIT venir écrire ce quelle ressenait a ce jour:
Il parait que l'amour peut prendre de multiples formes
Mais qu'il est fragile
Il parait que je l'ai trouvé et provoqué
Il parait qu'il m'a envoutée
Il parait qu'il a de nombreux noms
Il parait que que pour moi ce sera:Chantome49

Tita/¤/

Puis,elle repartit,d'une démarche joyeuse
_________________
pnj
Dormeur entrant dans la batisse se receuillat


Il parait que les nuit à Bourbon sont magnifique
Il parait que sa présence est magique
Il parait que j'aime
Nohell
La lune se reflétait par terre, noHell marchait seule, des reflets argentés sur ses cheveux sombres ; elle ne voyait rien tant elle était occupée à sonder ses émotions contradictoires qu'elle décida finalement de jeter sur le recueil.

Il parait que le mensonge protège
alors qu'il fait des ravages
Il parait que la vérité éclaire
alors qu'elle blesse
Il parait que l'amour finit un jour
alors que que l'amitié perdure
Il parait que les sentiments s'effacent
alors que le plaisir grandit


Se sentant soulagée -un peu- elle sortit sans bruit et se dirigea vers la forêt où elle se mit à pleurer.






"Ecoute ce que tu entends mais crois ce que tu vis."
Barbepapap
Les nuages voilaient les étoiles,Barbepapap baluchon sur le dos,comprit qu'il devait écrire


Il parait que...

Il parait que l'amitiée perdure



Barbepapap partit sans jamais se retourner
Leylalil
Plus de rayon à poursuivre et pas une goutte de pluie! Des nuages qui s'entassaient et se traînaient comme un dôme noir et menaçant sur la ville qui semblait toujours endormie...

"Mais où sont les Bourbonnais? Cherchent-ils encore des oeufs de Pâques?"

Un vent léger mais humide et froid balaya ses pensées.

Ley pesta et tapa du pied car elle détestait le vent.

Elle eut un instant l'idée saugrenue d'aller s'abriter dans le bureau du Censeur mais elle se ravisa aussitôt, se souvenant du dernier tour qu'elle y avait joué et se dit en riant toute seule qu'il valait mieux se faire oublier quelque temps...

"Humm... quoique..." se dit-elle en se cambrant et en passant ses mains sur ses fesses.

Le sourire retrouvé, elle décida donc de se réfugier dans la bâtisse aux rumeurs.

Elle fut un peu surprise par la teneur des deux derniers écrits et se demanda s'il y avait un lien entre les deux, la bouche en coeur elle se promit d'éclaircir cela.

Ensuite elle prit la plume et la fit courir en ces mots :

Il paraît que Bourbon dort
Et que même si la ville sommeille
Certains la veillent
Dans les pleurs, la joie, ou l'amour, jusqu'à l'aurore


Elle posa la plume et ajouta mentalement:
"Il paraît que la vie est ainsi
Du chaos à l'infini
Et pour moi toujours plus de folie
et d'envies..."


Le soleil avait reparu et Ley reprit son jeu de cache cache avec la lumière.

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Scheherazade
Schéhérazade qui depuis longtemps n’était pas venue se délecter des rumeurs délicieuses, l’œil curieux et la mine inspirée ouvrit le terrible confesseur, que les bourbonnais aimaient à utiliser pour se délester du poids de leurs fautes, de leur envies, amères jalousie mais aussi de beaucoup, beaucoup d’autres choses , la sarrasine se pencha donc et commença à lire , la ou elle s’était arrêtée…

« Pppffff, que c’est gnangnan, ou sont les crimes, les médisances d’autans, les accusations qui faisaient fureur, Bourbon serait-elle devenue l’havre de paix et d’hypocrisie tant attendue par nos gentils bourbonnais, que nenni, je vais tout de suite y remédier… et j’espère que mon époux en fera de même… » Se dit-elle à voix haute, prise d'écoeurement

Schéhérazade sourit, machiavélique et cynique, ses sentiments étaient rare chez elle, mais les rumeurs sainte-nitouche et mielleuses lui donnait envie de souffler sur le grimoire de sa sœur Leylalil, un vent de tempête et de rébellion, histoire de rendre hommage à la nature ophidienne de sa sœur chérie…
La sarrasine attrapa la plume près du recueil et de sa jolie écriture, se mit à raconter de vraies rumeurs, celles –là !!!


« Il paraît que la nuit quand Bourbon s’endort, les couples se font et se défont au gré des envies…
Il parait qu’à la lumières des bougies, se crée des désirs inavoués et interdits…
Il parait que dans certaines tavernes, les « je t’aime » dégoulinent comme de la crème…
Il parait que si j’en surprends quelques uns, moi aussi je parlerais, qu’ils en soient certains…
Il parait que j’adore m’annoncer par « je dérange ? » mais les lèvres collées répondent : « non ! » alors qu’ils pensent « oui »
Il parait que certains ici s’ennuient, que Bourbon à trop le gout de paradis, ou trop peuplée de gens ou Q.I de bulots cuits ?
Il parait que si c’est le cas, déménager au loin ou une corde, lestée d’un gros caillou peuvent être une solution.
Il parait que mon mari est revenu et que même si tout le monde s’en fout, Moi, j’en ai le sang qui bout…
Il parait que ma sœur de cœur est devenue bouchère, et que ca va saigner près des cimetières…
Il parait que mes enfants sont comme moi et leur père, et que notre tribu, dans les tavernes désespère…
Il parait que si tu es jaloux change de voisin ou crève toi un œil, ce te fera du bien…
Il parait que pour aujourd’hui, j’en ai assez dit, mais il parait aussi que je patrouille et que mon œil lui, luit dans la nuit et qu’il sait voir même le gris, alors à tous les matous, attention ! Cachez vous ! Voila le loup…


Hilare et moqueuse, Schéhérazade posa la plume, cela n’était pas du grand art mais comparée a d’autres, sa rumeur valait autant qu’une autre et puis cela faisait tellement de bien de déblatérer un peu…
Elle laissa le livre bien ouvert et sortit reprendre sa garde, la pause était bel et bien finie, peut-être que son époux, lui, sera plus méchant, après tout, n’était il pas le Diable ???


P.S: " il parait que j'attends toujours mon dû et que certains sont morts comme ça à force d'attendre... A bon entendeur, salut!" Repartit après avoir ajouté cette petite phrase taquine, elle adorait se plaindre la bédouine, ce defaut chez les autres , était une qualité chez elle^^
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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Deilayra
Ah mon dieu mais que vois-je, des rumeurs!! a Bourbon....

Des il parrait dans tout les sens, et des langues bien pendues.... et bien je vais mettre aussi des il parrait juste pour montrer qu'on peut en mettre des gentil:

Il parrait que je suis là pour deux journée seulement
Il parrait que je suis ravie de rendre visite aux Bourbonnais
Il parrait que j'espère revoir certains et en bonne forme s'il vous plais
Il parrait que je profite un peu
Il parrait que les amis font oublier la douleur
Il parrait que j'ai plus rien a dire
Puce019
Aprés quelques heures passée dans les rues de Bourbon, Puce apperçut le soleil se levé et décida de se rendre au bureau des rumeurs pour enh écrire une, elle pris la plume et se mise a écrire

Il paraît quedans les Tavernes, les gens Médise
Il paraît qu'un sujet particulier les intéressents
Il paraît que des secrets ils en ont tous
Il paraît que la plupart je les connais
Il paraît que les divulger je pourrais mais que si besoin j'ai!
Il paraît que les gens de Bourbon sont spéciaux et qu'ils jouissent des "On dit"
Il paraît que toucher ma famille était la dernière chose a éviter et que certains vont regreter
Il paraît que la "Puce" gentil n'est plus, et qu'a présent la réalité va fuser
Il paraît que certaines histoire remonte juqu'a Moulin , et qu'une langue de vipère à trouver sa seule jouissance possible
Il parait qu'apres avoir vaincu un Ange ses disciples se présentent à nos porte mais mauvaise porte que celle du Démons!!!!
Il paraît que pour aujourd'hui je dépose ma plume , mais sacher que si les rumeurs en tout genre et autres histoires calomnieuse, je reviendrait poster des verité inavouer!!!!!!



Puce posa la plume et retourne a son activité preferé
Kingcesarus
King s’avança prés du livre et se mit à écrire ses rumeurs, d’une façon mystérieuse

Il parait qu’à Bourbon, battre le meeting fait la Une,
Il parait que pour certain les dés sont pipés,
Il parait que pour d’autres ca ne paie pas de mine,
Il parait que je connais peu, d’avoir le cœur sur la main,
Il parait que pour beaucoup sont aller dans le mur,
Il parait que pour d’autre ils devront afficher la couleur,
Il parait que certains discours c’est du pipeau, à mon sens ils ont intérêt à changer de ton,
Il parait que chercher des crosses à quelqu’un, n’est pas un secret pour certain,
Il parait que dans les tavernes, cirer les bottes c’est permis, mais aussi conter fleurette c’est autorisé,
Il parait que clouer le bec à une personne c’est facile, surtout lorsqu’on se trompe de vipère,
Il parait que selon le cas c’est l’arbre qui cache la forêt,
enfin bref…, j’espère ne pas avoir crier quelque chose sur les toits


King déposa la plume sur le table et disparut dans la nature
Leylalil

Quelques heures après son réveil, sa sœur Schéhérazade lui avait fait part de bruits qui la nuit couraient dans la ville.

Etrange d’ailleurs que ceux-ci aillent d’une bouche à une oreille au lieu d’être consignés dans le recueil des rumeurs…

Leylalil, passablement énervée par ces larves qui partout cherchaient à ruiner le bonheur de sa sœur et qui, par la même occasion, avaient parasité les merveilleux rêves qu'elle avait fait, comptait bien y remédier.

C’est donc d’un pas rapide, le port fier et altier, le sourire meurtier et les yeux plein de mépris, qu’elle rejoignit la bâtisse aux rumeurs.

Elle y découvrit celle de Puce et éclata de rire, se disant en elle-même « Ah ma deuxième sœur tu m’as doublée sur ce coup là ! Quoi de plus normal pour une bouchère si preste à couper les chairs ?! »

Ley parcourut celle de King sans en comprendre un traître mot puis, son sourire se fit assassin et ses yeux de glace au moment où elle plongea la plume dans l’encrier avant d’écrire ceci :

Il paraît que je suis une tante incestueuse…
Il paraît que les personnes qui disent cela
En vérité sont très vicieuses
Et hélas bien plus que moi !
Toutefois il est évident qu’en vraie Babylonienne
Il n’est pas un plaisir que je dédaigne
Mais malheureusement pour vous je ne mange de ce pain-là !
Il paraît que pour imaginer un si piteux manège
Il faut être au choix :
Terriblement pervers
ou tristement amer...
Il paraît que parmi ceux qui médisent, nul ne pourra affirmer
Qu’entre mes cuisses mon neveu j’ai tenu
Ou que dans mon lit il ne soit venu
Il paraît d’ailleurs qu’aucune âme ici
Ne puisse jamais se vanter de ce privilège…
Aussi, à la façon dont certains s’enivrent de leur propre lie
Il paraît que cette rumeur j’écris.
Car il paraît que moi Leylalil j’aime et je fais ce que JE VEUX
Sans m'attarder sur ce que disent ou pensent les gueux
Qui souvent, noyés dans leur bêtise, ne discernent pas
Que la vie dans ces Royaumes n'est qu'un JEU
A moins bien sûr, qu’ils n’aient que celle-là !


Elle rangea la plume sur le côté et se dit qu’il était décidément établi que les gens détestaient ceux qui étaient libres, réellement, profondément, incontestablement libres!

Elle haussa les épaules et s’en retourna en virevoltant dans ses voiles qui laissaient justement son corps et ses mouvements libres de toute entrave comme elle était dans son esprit !

En sortant elle se dit aussi : "Ah c''est bien, au moins les rumeurs ont-elles repris !"

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Antechristsuperstar
Un secret muet, un murmure dans une taverne, un souffle dans une ruelle, et... Une rumeur naquit... Après avoir bataillé en taverne sur des bruits qui couraient, le jeune homme excédé par tant de bêtises et de visions aveugles, décida d'aller jeter un oeil aux rumeurs... Il ne fut point déçu... Il prit alors la plume qui gisait dans une flaque d'encre, et se mit à écrire...


Il paraît que, pour une fois, j'étais contre ces rumeurs
Il paraît qu'elles me mettent de plus mauvaise humeur
Il paraît qu'elles ne sont ni lumière ni lueur
Il paraît que je ne pourrais les nommer que « ennuie, torpeur et lourdeur »
Il paraît que je ne sais combien de temps nous devrons supporter ces horreurs
Il paraît que m'attirer les foudres de quelqu'un ne me fait pas peur
C'est pourquoi je vais faire honneur
Il paraît que lorsque le feu est allumé, il ne faut plus se débiner
Il paraît que c'est presque de la lâcheté
Il paraît donc qu'il faut pas se surprendre des langues qui se sont déliées
Il paraît que maintenant il va falloir assumer
Il paraît que seuls vous vous débrouillerez
Il paraît que point je ne vous défendrai
Il paraît même que quelques uns j'enfoncerai !
IL paraît qu'à tout le monde je l'avais indiqué
Il paraît qu'à part répondre à ces stupidités
Je ne m'en mêlerai
Il paraît que je ne vais pas épargner
Il paraît que par du venin je serai probablement éclaboussé
Il paraît que je n'en suis pas étonné
Il paraît que je m'y suis habitué
Il paraît que tout de même vous me connaissez
Il paraît que je vais bien m'amuser
Il paraît que moi aussi je sache égratigner
Il paraît que je ne vais pas m'en priver !
Il paraît que certains et certaines avant de partir vont bien pleurer
Il paraît comme toujours que ceci n'est pas inventé
Car il paraît que ceci est la vérité.


Puis, fermant le livre, il secoua la tête, dépité, blasé et résigné. En sortant de la bâtisse, il pensait que très bientôt il aurait à revenir...
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La vie voyez-vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on le croit...
Puce019
Apès une longue journée d'observation et de marche puce erinté alla au bureau des rumeurs lieu qu'elle adore tant


Il paraît que des rumeurs se font
Il paraît que je vais donc les écrires
Il paraît que tout le monde sera content
Il paraît qu'en Bourbon vie des femmes aux grand adultères
Il paraît que le compagnon n'est pas au courant et qu'en plus de ses oeilleres il a des cornes
Il paraît que Marier ou non messieurs vous serait interessent
Il paraît que dans une ville on a pu voir des femmes aux larmes chaude couller à flot, tel une fête de la Mousse
Il paraît que je vous met en garde mesdames tener bien vos mari prêt de vous



Après c'est quelques ligne Puce repartit direction les tavernes pour y saluer ses amies
pnj
Il parait qu'un jour nous étions amies
Il parait que ce lien était précis
Il parait que des amies ne se volent pas
Il parait qu'une amie sur l'autre ne crache pas
Il parait qu'une amie ne vole pas a l'autre son mari
Il parait qu'une amie ne raconte pas ses déboires avec celui ci
Il parait qu'une amie est une confiance
En cet amie je lui dédie ma méfiance
Et je défais en ce jour ce lien qui n'est que souffrance
A toi kelan qui un jour m'a fait comprendre que l'amitié n'est que supercherie ainsi que ta vie.. Bon courage a ceux qui n'ont toujours pas compris
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