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[RP/IG] Bureau du maire (2)

Babun


Babun, de l'air martial du bon perdant (rontudju! elle a gagné la bougresse! ...euh... non, on a dit que nous restions sportifs!), s'achemina aux portes de l'Hôtel de Ville. On le laissa entrer, et même, on le conduisit jusqu'à Yzalba.
Saluant de son chapeau, il s'inclina légèrement :

Dame Yzalba, le peuple vous a prêtés ses voix, je souhaite que vous en fassiez le meilleur usage pour Chambéry.

Comme promis lors de ma campagne, je me présente à vous afin de prêter mon concours à Chambéry. Comment envisagez-vous la chose?
Maewinda


Maewinda était venue féliciter son amie de sa réélection. Elle vit la porte ouverte et s'en approcha, lorsqu'elle discerna le bourgeois à la plume.
Elle ralentit, mais se présenta tout de même, curieuse de voir si le boucher avait toujours une dent contre elle depuis leur dernière discussion en place publique.

Sieur Babun, je vous souhaite le bonjour ! Votre couvre-chef est magnifique, si vous me permettez de vous le dire...

Chère Yzalba, je suis venue vous féliciter de votre réélection. Je suis ravie de vous savoir ici, mais ne doute pas que vous saurez vous entourer des personnes compétentes et dynamiques, telles que notre ami ci-présent, qui je n'en doute pas a bien des idées à partager. Je suis toujours à votre disposition au conseil municipal de Chambéry pour vous prêter main forte, bien entendu.

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Yzalba
Yzalba leva la tête à l'arrivée des visiteurs.

Baronne, Messire Babun, bien le bonjour à tous les deux. Maewinda, merci de votre soutien fidèle, il m'est précieux.

Elle sourit à son amie puis se tourna vers Babun :

Messire, j'ai l'intention en effet de faire le meilleur usage possible de la confiance qui m'a été accordée une seconde fois par les chambériens. Et votre collaboration me sera précieuse. Pour commencer, j'aimerais vous garder au conseil municipal et vous y voir un peu plus souvent, nous avons actuellement une question en débat sur laquelle j'apprécierai grandement votre avis.

Je mets un autre projet en chantier pour lequel votre avis éclairé me sera également utile, ainsi que le vôtre, Maewinda, en tant que CaC.
Je peaufine mes idées et devrais normalement convoquer une réunion sur ce nouveau projet ce soir ou demain.

En outre, mon cher Babun, j'ai vu que vous êtes mentionné comme simple conseiller, au conseil. Je souhaiterais quant à moi y ajouter une dimension importante, si vous le voulez bien, en vous nommant conseiller économique. Et à ce titre, je voudrais que vous vous sentiez libre de m'exposer toutes les idées que vous jugeriez utile de mettre en place pour le bien de notre ville et surtout celui de ses habitants. Elle seront discutées avec les autres membres du conseil si cela est nécessaire, entre vous et moi si cela est suffisant, et je pense sincèrement que vous avez beaucoup à m'apporter ici.


Elle leva un regard interrogateur vers Babun :

Qu'en dites-vous ?

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Babun


Babun se découvrit pour salue Maewinda et sourit :

Dame Maewinda, je ne vous tiens aucunement rigueur de notre discussion de l'autre fois. Je m'emporte quelques fois, peut être par excès d'enthousiasme.

Il se tourna vers Yzalba :

Bourgmestre, je ne comprends qu'à demi vos propos : j'entends que vous avez la volonté de me nommer conseiller municipal. Mais vous me dites que je le suis déjà. Mais c'est alors à mon insu, car cela fait plusieurs mois que je vis retiré. De même, pourriez-vous m'indiquer où siège votre conseil ?
Yzalba
Yzalba regarda Babun, perplexe...

Et bien, je ne vous ai fait entrer nulle part, votre nom figurait dans les registres quand je suis arrivée à la mairie !
La salle du conseil se trouve au Château (ici précisément http://chateau-chambery.fr-bb.com/conseil-municipal-de-chambery-f38/?sid=d70cd645a94d20dc64869d6921ae719c ) et en effet, je pense que votre expérience peut servir notre ville. Compte tenu de vos idées, le poste de conseiller économique me semble le plus approprié à vos talents.
Vous pouvez prendre le temps de la réflexion, bien entendu...


Elle sourit cordialement à Babun et se tourna à nouveau vers la Baronne de la Ravoire :
Maewinda, pouvez-vous passer au conseil si vous trouvez une minute ?J'aimerais avoir votre avis de CaC, en plus de celui des membres du conseil sur ce nouveau projet que j'évoquais tout à l'heure.

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Maewinda


Maewinda sourit à Babun, elle était contente qu'il ne lui en tienne pas rigueur et était heureuse de pouvoir travailler avec cette homme empli de bonnes intentions, tout autant que de bonnes idées.

Si vous me permettez, concernant la place de Sieur Babun au conseil municipal, je crois pouvoir répondre à cet imbroglio. J'avais en mon temps proposer à notre ami de nous rejoindre, mais, faut de temps, il n'avait pu répondre positivement à ma requête. Mon message est un peu ambigu au conseil, car je signale que je l'en ai 'avisé", mais ai omis de signaler qu'il avait décliné l'offre. C'est pourquoi Damoiselle Yzalba, reprenant mes propos, pensait que vous étiez déjà membre du conseil.

Sinon, ma chère amie, je passerai rapidement participer à vos discussions.
A ce propos, j'aimerais que nous avancions au sujet de l'implication de la noblesse et de l'aide qu'ils apportent à la population sur leurs terres.
Dans deux ou trois jours, j'aimerais entamer la procédure, le croyez-vous possible?

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Yzalba
Yzalba prit un air un peu ennuyé...

J'aimerais vraiment avoir l'avis de notre tribun, puiqu'elle va être très impliquée dans la mise en place... Donnez-moi une journée pour la recontacter. Je suis pour ma part très favorable à ce projet, mais je souhaite la pleine et entière collaboration de Valerie.

Elle sourit à Maewinda, quêtant son approbation

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Maewinda


Maewinda sourit.

Bien sûr, ma chère, c'est bien naturel. J'attendrai donc votre assentiment - et le sien - avant d'entreprendre les démarches concrètes.
Je vous retrouverai donc au Conseil municipal.

Sieur Babun, Damoiselle Yzalba, je vous souhaite une agréable journée...


Et, après les avoir salués, elle s'en fut.

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Babun


Babun se retourne vers Yzalba :

Serait-il possible que vous ordonniez que l'on me donne laissez-passer pour pénétrer au conseil municipal?
Cela fait deux jours que j'ai postulé, mais je n'ai point e usatisfaction à ce jour.
Yzalba
Mais bien sur ! Je vais envoyer immédiatement un pigeon à qui de droit ! Je suis heureuse de vous compter parmi les membres de mon conseil, Messire Babun.

Yzalba remercia Babun et le salua puis elle retourna à ses "chers" dossiers...

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Rollin
*Près d'une semaine était passée depuis la visite de Dame Maewinda et de Sieur Babun, et Rollin se dirigeait vers la Maison de Ville, l'air soucieux.*

*Passant le planton de l'entrée, il se dirigea sans détour vers le bureau dévolu au Maire de Chambéry. Le regard suspicieux, il inspecta le couloir qu'Yzalba empruntait tous les jours puis les abords de la porte de son bureau. Enfin, posant la main sur la chevillette, il la souleva et poussa sur le lourd panneau de bois. Le paysan sentit la résistance du pêne de la serrure engagé dans la gâche du chambranle, la porte était toujours étroitement close. Satisfait de cet état de fait, il emprunta le couloir, revint dans le hall d'entrée puis sortit.*

*Traversant la place, il alla se poster dans un angle où il savait avoir vue sur les fenêtres du bureau d'Yzalba. Les yeux plissés pour mieux voir au loin, il put se rendre compte que les vantaux étaient toujours fermés et que, du peu qu'il apercevait, tout semblait normal.*

*Content de lui, il se dirigea vers les Halles toutes proches et fit le tour des échoppes. Il acheta quelques fruits puis alla vérifier s'il restait suffisamment de bois et de pain.*

*Le paysan quitta les Halles avec cette mine toujours soucieuse qui ne le quittait plus depuis la veille. Au fond de lui il était satisfait, mais il ne pouvait s'empêcher de se faire du souci. Il reviendrait aux Halles plus tard dans la journée et ferait une nouvelle ronde à la Maison de Ville demain.*
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Rollin, membre de la corporation des cueilleurs de fruits de Chambéry.
Momohmedbreizh
Momo se présenta à la mairie, d'un pas décidé. Il salua les personnes à l'entré et demanda le bureau de la dame bourgmestre :

Merci bien ! Et se dirigea vers la direction indiquée.
Frappa à la porte et une voix à l'intérieure le pria d'entrer :

Bonjour dame bourgmestre, heureux de faire votre connaissance.

Il hôta son foulard et fît une révérence à l'intention de la dame derrière son bureau.

Je viens me présenter à vous, je me nomme Momo Hmedbreizh, humble vagabon, qui souhaite s'installer dans votre village.
Je voudrais savoir quelle échoppe avait vous besoin. Quitte à m'installer autant aider la communauté.
Je souhaiterais être tisserand, je vous l'avoue, mais je ferais ce qui ais bon pour le village.


Il faisait les cents pas dans le bureau, en attendant une réponse, en regardant les peintures et autres tapisseries ...
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Humble tisserand, en quète de quiétude ...
Yzalba
Yzalba leva le nez de ses dossiers, amusée de l'entrée de ce jeune homme à l'allure décidée.

Bien le bonjour à vous, Messire Hmedbreizh. Soyez le bienvenu en notre belle ville.

Elle lui adressa un sourire et reprit :

Pour répondre à votre question, je vous invite à vous présenter au bureau de notre tribun, Dame Valeriepc, juste à côté de la mairie, vous ne pouvez pas le rater.

Elle lui montra sur le plan de la ville fixé au mur derrière elle où se trouvait le bureau de Val.

Et si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à revenir me voir, hein ?

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Lord_pichard


Lord arriva en courant depuis Annecy, avec son chargement de 200 pelotes il avait l'air comique, mais peu importe! Il voulait arriver avant le départ de Madame la maire... Mais trop tard!

Il repris son souffle, puis décida, comme il devait de toute façon vendre de la laine à la mairie d'en mettre sur le marché pour que les tisserands de la ville ne doivent pas attendre le retour d'Ysalba.
Neocor
L'archevêque se présenta à la Mairie, un sourire de circonstance sur les lèvres... En cette belle journée ensoleillée, le trajet qu'il faisait à pied lui était agréable et il en profitait pour saluer avec grande amitié tous ceux qu'il rencontrait... Il s'adresse à le première personne qu'il aperçoit dans le bureau d'accueil...

Bonjour et qu'Aristote vous protège ! Je souhaiterais voir notre bon Maire afin qu'il me dise où se trouve mon bureau... Pouvez vous l'appeler ?
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Archevêque émérite de Tarentaise, Abbé de l'OCF, Dignitaire Cistercien.
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