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[RP/IG] Bureau du maire (2)

Aphrodyti
Aphrodyti jeta un regard en biais a son amie, toujours animee d'un vif enthousiasme. Puis elle salua d'un signe de tete le maire.

Mr le maire ............ Voila, nous avons le desir, et il semble que ce soit un besoin pour la ville, d'ouvrir un dispensaire medical. Celui ci sera ouvert a tous, surtout aux personnes pauvres ou de passage a Chambery et qui ne savent ou se diriger en cas de necessite de soins.
Bien evidemment les personnes aisees ou les militaires pourront egalement en beneficier, bien qu'ils aient leur propre service medical.

Bien evidemment nous avons besoin du soutien de la ville, notamment d'un point de vue financier (bien que nous comptions sur un eventuel mecenat) et egalement sur le plan de diffusion de l'information aupres de la populace.

Voila ! Qu'en pensez vous ?

Aphrodyti se tut apres son long monologue et fixa le maire en scrutant sa reaction.
Thornton
Le maire se gratta la tête quand Aphro parla de soutien financier, c'est que la mairie ne croulait pas sous l'or, même si ça allait mieux.

Et combien vous voulez? Vous comptez vous installez ou?
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Aphrodyti
Aphrodyti vit le maire hesiter devant la question des fonds.

Hummm ! Je sais que la mairie ne croule pas sous les ecus. N'auriez vous pas un batiment appartenant a la ville, suffisament grand et vide pour accueillir notre projet ?
Mini.
Mini laissa parler Aphro puis ajouta...

Si ce n'est un batiment peut être juste une salle aussi petite soit elle,cela fera très bien l'affaire?

L'idée avait germé dans leurs esprits après quelques discussions en taverne et les deux jeunes femmes tenaient beaucoup à ce projet...Elles espéraient bien qu'il verrait le jour assez rapidement!Mini sourit et attendit impatiemment la réponse du Maire...
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"Rôlistes restez. On viendra à bout du "clic"! "(Breiz24)
Thornton
Oui ça merci, je sais pour les écus... J'ai beau les semer mais c'est le seul truc qui pousse pas, mais une somme ça m'aiderait plus facilement que des écus sans le montant. Après une salle... Ben non, à part la réserve ou je mets les produits, non, ya rien de plus je crois... Ou plus grande chose, à part l'égilse et les bâtiments des brigadiers ou des cantonniers et leur grange à eux.

Vu que les deux femmes ne buvaient pas, lui leva son verre et but d'un trait le vin, il cherchait un endroit où ouvrir ce dispensaire mais ne voyait pas où...
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Mini.
Mini finit par siffler son verre de vin en espérant que cela lui donnerait du courage pour la suite des opérations...

Bien!Bien!Cela ne fait rien...Nous allons finir par trouver et l'ouvrir ce dispensaire!Nous n'allons pas plus nous attarder,nous avons du pain sur la planche!Merci pour votre aide Monsieur le Maire...

Mini esquissa un sourire et prit le chemin de la sortie,se retourna et lui dit...

Merci pour le verre!Bonne journée!

Puis sortit pour se mettre à la recherche de ce qui serait leur futur dispensaire...
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"Rôlistes restez. On viendra à bout du "clic"! "(Breiz24)
Aphrodyti
Aphrodyti repousa son verre sans y avoir touche (allez savoir pourquoi ) et secoua la tete.

Bien, effectivement , nous n'allons pas vous deranger plus longtemps. Nous sommes pretes a retrousser nos manches. Encore merci pour votre soutien.
N'oubliez pas d'en parler autour de vous ..... Bonne journee, Monsieur le Maire !

Elle se leva et suivi son amie en direction de la porte.
Thornton
Le maire regarda les deux femmes partir... Étranges femmes vu que quand il leur demanda combien elles voulaient, elles ne lui répondirent pas. C'était bien la première fois qu'on lui demander de l'argent, sans vraiment lui en demander. Comme quoi, ce projet n'était peut être pas si sérieux que ça... Il alla ranger la bouteille de vin dans le placard puis fit de même avec les verres. Un verre était plein, il le descendit d'une traite et ils allèrent rejoindre le bouteille. Fermés à double tour dans le placard, personne ne viendrai les lui prendre.
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Roland_fr


Le 10 octobre, par une matinée humide d'automne.


Roland avait installée Enel à l'auberge, déposé les sacs de voyages. Il profita d'un semblant d'accalmie dans la pluie fine qui les avaient accompagnés toutes la nuit, et se rendit à l'hostel de ville. Il découvrait Chambéry et erra un peu avant de parvenir au majestueux batiment.
Quelques gardes, un peu assoupis par la nuit de veille, le jaugèrent du regard et le laissèrent entrer après lui avoir indiqué la direction du bureau. Il parvint ainsi aisément jusqu'à la porte du Bourgmestre. Il frappa et entra en entendant une voix grave lui répondre.

Un homme de noble stature était plongé dans ses registres derrière un immense bureau. La pièce respirait la solennité.

Bien le bonjour Messire d'Estriviers.
On m'a dit que je vous trouverai ici, malgré l'heure matinale.

Permettez moi de vous présenter mes respects.
Je suis Roland du Fil des Routes, compagnon charpentier d'Aurillac, sujet de sa majesté le Roy de France. Nous sommes arrivés de Belley à l'aube avec ma fidèle amie Enelram.
Nous avons un peu de retard par rapport à notre arrivée que nous vous avions annoncée pour le début de la semaine écoulée. Le passage de brigands à Belley, fuyant en direction de Bourg ne nous a pas incité à reprendre la route trop vite.


Thornton fixait le visiteur, visiblement agacé par la cape ruisselante de celui ci qui goutait sur ses tapis.
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Roland
Thornton
Thornton regardai l'inconnu qui lui parlait, tout en se demandant qui ça pouvait bien être. Hum, surement un camelot de plus qui venait vendre ses babioles par ici, puis l'homme se présenta et le maire se souvint alors du courrier.

Ah oui, je me souviens maintenant, vous devez venir avec votre compagne ici non? Bienvenue alors! Et bon séjour! Bon, vous m'excuserez mais demain il y a un autre maire qui prendra ma place, donc, si vous avez des choses à vendre, je vous suggère de voir avec lui...

Le passage de brigands dites-vous? Ah bien bien et qui étaient-ils ces brigands?

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Roland_fr
Un nouveau maire dites vous. Alors vous passez donc la main.
Je peux comprendre, la tache de bourgmestre est fort lourde.

J'espère que nous pourrons partager une pinte ou deux à un moment ou un autre, une fois que vous aurez passé le relai et aurez plus de temps.

J'ai croisé le Sieur Douanier ce matin en taverne et lui ai confirmé nostre présence dans la cité par pigeon.

Pour les brigands, n'étant pas dans la brigade protégeant Belley, je n'ai pas accès à ces informations. Mais le brigadier semblait soulagé qu'ils ne se soient contempté que de passer brièvement boire des chopines avant de reprendre la route.


Roland salua le bourgmestre, conscient qu'il avait besoin de calme pour boucler ses dossiers avant le passage de témoin. Il se retira, laissant une flaque derrière lui, sa cape étant maintenant presque sèche.
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Roland
Roland_fr


Lundi 12 octobre de l'an de grâce 1457

La semaine commençait. Le voyageur quitta l'auberge pour se rendre à nouveau à l'hostel de ville. Les soldats en faction le saluèrent. Il apprit d'eux aisément le nom du nouveau bourgmestre.
Est il dans le bureau ?
Un soldat hocha la tête de façon évasive.

Roland retrouva aisément le chemin et frappa. La porte s'ouvrit.
Un homme blond dans la force de l'âge, d'allure joviale, lui faisait face.

Pardonnez moi Messire Bourgmestre.
Etant de passage dans cette bonne cité de Chambéry, je tenai à vous présenter mes respects et vous féliciter pour vostre élection.

Je suis Roland, compagnon charpentier d'Aurillac.
Nous allons passer quelques jours dans la cité avec mon amie Enelram, dans l'attente paisible de nos laisser passer pour Genève.
Si vous avez besoin de paires de bras solides, de coeurs généreux et courageux, ou d'un peu de bois coupé en chemin à Belley et Bourg, nous sommes descendus à l'auberge.

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Roland
Almandian
Almandian offrit une poignée de main ferme et généreuse au jeune homme.
Charpentier dites vous ?
Il sourit
je suis Charpentier !
Il rit et mit une grosse tape amicale dans le dos du visiteur.
T'es un bon gars! montre moi ta marchandise !
et je verrais ce que je peux faire pour toi ...
--Jeanjean
JeanJean courrait vers la mairie. Il frappa à la porte et entra sans attendre la réponse :

M'sieur l'Maire, y'a Augis qui m'envoie vous dire qu'y a p'us d'pain sur l'marché ! Mais surtout, les boulangers, y peuvent p'us travailler pasqu'y a p'us d'bois ni d'farine !


Le garçon restait là, debout, attendant manifestement de son interlocuteur un remerciement ou une récompense pour sa mission accomplie et éventuellement un message à porter en réponse.
Hawksmoore
ni maïs non plus, ce qui veut dire que la ville va tomber en rade de bidoche...
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