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[RP]Attaque du chateau de Dole...(ou simple echec..)

Annyah


Les gardes l’obéissent tel des chiens devant un maître…il n’y a pas de doute que cet homme est leur chef… Il allait lui donner du fil a retordre celui-là.

Le mot de « caporal » parvint à ses oreilles et soudain son esprit s’éclaire.
Elle avait devant elle un homme de combat…un adversaire comme elle les aime.

Puis soudain, il parle de son charme…et là elle ne peut s’empêcher de rouler des yeux..
S’il fait comme le soldat à Orléans qui a préféré fermer les yeux sur le meurtre qu’elle avait commis juste pour ne pas la voir en geôle ou la faire souffrir, le combat n’allait avoir aucun intérêt.

Les soldats s’éloignent et se dirige vers les brigands non loin dans l’espoir de les attraper…peine perdu à son avis…

La brigande plonge son regard dans celui du caporal et sourit malicieusement, tout en jouant de ses doigts sur la lame de ses dagues.
Tu as raison, tu n’oserais pas frapper ou blesser une si belle femme n’est ce pas….femme qui n’est pas indifférente à l’élégance d’un soldat…
Elle lui adresse un clin d’œil emplie de provocation puis elle lance le premier assaut.

Annyah fonce sur lui, mettant son bras devant son visage et en positionnant la lame de manière à longer son avant bras et ainsi éviter que la lame du soldat ne lui entaille cette partie du corps en cas de riposte
Sa main droite brandit la dague, pendant qu'elle raccourcit les quelques mètres qui les séparent.

Au dernier moment la brigande suffisamment proche de lui, balance son pied avec force contre son flanc droit.
Des attaques en traitre de la sorte, elle en connaissait bien mais celle-là était de loin sa préférée.
Sans attendre elle se recule rapidement, toujours en prenant soin de protéger son visage puis elle se met en position de manière a retrouver un bon équilibre sur ses deux jambes.

Vous avez de la chance d’habitude j’entaille la joue dès la première attaque…Je suis sûre que cela ne fait que vous mettre en appétit, je me trompe ?

Elle se met en position de défense attendant la revanche de son adversaire….

Me trouvez vous toujours aussi plaisante pour ne plus vous battre et vous laisser faire avec....La brigande n'a pas le temps de finir sa phrase qu'une explosion attire son attention...Elle ne fait plus attention au soldat tant sa surprise et grande et soudain elle s'inquiète pour celle qu'elle nomme Regi...
Son visage impassible fait passe à l'inquiétude....

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Saramarinettee
Sara cherchait toujours et encore, errait au milieu de cette foule sans vraiment la trouver. Mais voilà que Kenny se trouvait face à elle, il s'en était chargé... Tout le monde hurlait autour d'elle, les enfants pleuraient et les gens gémissaient la perte de leur maison. Des tas de gens qui se retrouveraient sans foyer à cause de ces rats...

MAIS...

Elle se sentit soudainement tirée et se retourna brusquement portant la main au pommeau de son épée mais ce fut un visage familier qui apparut devant elle. Elle la suivit sans grande conviction regardant autour d'elle les gens déséspérés, que pouvait-elle faire pour les aider ?

Mais attend... on les abandonne là... Dodo

Son amie la menait vers les portes de la capitale, loin des bas-quartiers où les gens tentaient de mettre fin à cet incendie. Elle n'avait pas retrouvé un seul chien et Kenny qui provoquait cette jeune femme en duel... s'il lui arrivait quelque chose ? Elle n'avait pas le temps de réfléchir, perturbée par toutes ces plaintes et ces cris... Elle se retrouva bien vite devant les portes, prête à défendre Dôle de n'importe quelle arrivée suspecte se jurant de retourner bien vite sur les lieux du duel.
Charlotte
Kenny partit plus loin s'occuper de la pyromane ; Charlotte quant à elle resta au château. Mais rien ne bougeait de ce côté-ci. Avec une pointe d'optimisme, Charlotte se mit à espérer que les brigands avaient finalement abandonné l'idée d'attaquer le château. Ainsi pourrait-elle rentrer s'abriter dans une taverne. Et réchauffer les extrémités de ses membres, qu'elle ne sentait pratiquement plus. S'il devait y avoir un combat, elle ne savait pas si elle serait à même de se défendre. Comme on le dit, l'espoir fait vivre.

Au loin, Charlotte vit une autre maison s'embraser. Elle espéra que cela réchaufferait l'atmosphère, tout en étant triste pour les occupants de cette maisonnée qui n'avaient rien demandé à personne.

Tout à coup, elle entendit un bruit étrange. Elle qui n'avait jamais entendu d'explosion de poudre ne pouvait pas décrire ce phénomène, mais c'était pourtant ce qui venait d'arriver. Charlotte se dirigea vers l'origine du bruit. Une femme gisait allongée auprès des murs du château. Sans savoir si cette femme était une simple Doloise, une touriste ou une brigande, Charlotte se précipita vers elle. Elle vérifia qu'elle vivait encore, et la retourna sur le dos. Elle eut un instant d'hésitation, puis se débarrassa de son mantel et l'étendit sur la femme inconsciente. Puis elle lui prit la main, et lui demanda d'une voix inquiète :
« Dame ! M'entendez-vous ? »
Kenny78
Cette femme délicieuse était une combattante aguerrie ça se voyait de suite. Rien qu'à sa garde, il savait qu'elle s'était battue de nombreuses fois. Les débutants hésitaient ou laissaient des failles. Il n'en voyait aucune. Il décida de rester en garde tout en la surveillant. A la moindre faille, il la découperait en tranches.

Un clin d'oeil plus tard, elle fonçait déjà sur lui. Elle courait vite. Plus le temps de se pousser, il allait devoir parer la dague. Mais au dernier moment, il reçut non pas un coup de dague comme prévu, mais un bon coup de pied au flanc droit. Il l'encaissa avec un grognement de douleur. Elle visait bien en plus, mais ça l'excitait. Enfin un adversaire valable ! De plus elle avait reculé de manière vive et assuré son équilibre d'un mouvement fluide.


Citation:
Vous avez de la chance d’habitude j’entaille la joue dès la première attaque…Je suis sûre que cela ne fait que vous mettre en appétit, je me trompe ?
lui demanda son adversaire.

En effet. En plus d'être jolie vous êtes souple, et rapide. Un adversaire comme je les aime. On va bien s'amuser vous et moi.

Il déposa rapidement son bouclier et sortit une dague de sa botte. Etant ambidextre, il n'avait pas de handicap au niveau du maniement des armes.

Citation:
Me trouvez vous toujours aussi plaisante pour ne plus vous battre et vous laisser faire avec...


Il lui fit un sourire charmeur, lorsqu'une explosion retentit dans la nuit. Ce bruit caractéristique il le connaissait.

Poudre noire.pensa-t-il aussitôt.

Un soupçon d'inquiétude passa sur le visage de la brigande, qui ne faisait plus attention à lui. Il en profita pour courir vers elle, et lui décocha un coup de pied dans le ventre, avant de reculer. Il se remit en garde, la dague parallèle au sol devant le nez, l'épée prête à frapper. Il redéplaça ses pieds pour conserver son équilibre et dit à la jeune femme :


Règle numéro un en combat ma chère. Ne jamais quitter son adversaire des yeux. J'aurais pu vous tuer d'un coup de lame, mais le plaisir aurait été court. Vous l'avez aimé celui-ci j'espère. Car la suite promet d'être encore plus excitante.

Il la regarda avec un plaisir certain. Plaisir dû aux formes agréables de la jeune femme, mais aussi plaisir de se battre avec un adversaire de cette qualité. Les comtois sous-estimaient les brigands. Le caporal avait la preuve vivante que certains d'entre eux étaient des combattants redoutables.

Il ne savait pas comment le combat allait finir, mais il savait qu'il allait s'en souvenir toute sa vie.

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Annyah


Son souffle se coupa brutalement et une douleur se fit sentir au niveau de son ventre…
Le bougre n’y était pas allé de main morte…et il avait profité de sa surprise.

Elle porta par réflexe sa main, maintenant toujours solidement sa dague contre son abdomen et elle flanchât sous le coup.
Un genou a terre elle l’observa se remettre en position…un soupire s’échappa de ses lèvres puis elle releva la tête, un sourire vicieux en coin.

Sa main droite rangea la dague sur sa ceinture, prête pour être sortie avec rapidité puis elle se plongea dans la neige…

La brigande le laissa parler se contentant de plonger son regard dans le sien et se mordiller la lèvre d’envie…Elle espérait surtout attirer son attention sur ses lèvres….

Sa main saisit la neige fraîche et elle la jeta subitement au visage de caporal, profitant de l’effet de surprise pour se relever et empoigner la dague.

Cette fois elle ne jouait plus…

Annyah frappa le bras qui lui servait de garde avec sa dague, laissant le bruit des lames se rajouter aux cris environnants. Son autre main toujours un peu froide empoigna la dague et elle entailla sa joue légèrement…

Elle retourna rapidement sa dague et laissa la lame en contact avec la paume de sa main pendant que le pommeau, lui, heurtait les côtes du soldat.

La jeune femme retourna rapidement à sa position, et elle observa sa lame…découvrant cette nouvelle couleur qui venait de raviver la simple froideur de sa lame…

Et mon conseil sera…moins de parlotte plus de méfiance…

Ses pieds prennent des marques dans le sol, comme pour mieux s’y accrocher et garder un meilleur équilibre puis elle ne peut que lui adresser léger haussement des épaules en signe de compassion…




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Sirius7
Ah Dole... Quoi de plus ennuyeux que Dole ? Censée être le centre nevralgique de la Franche-Comté, elle n'était pourtant réellement animée que lorsque les franc-comtois se faisaient la guerre entre eux. Cette fois, l'action allait être tout autre, puisque le Franc-Comte en personne l'avait invité à se rendre en la capitale afin d'assurer la défense. Il ne recevait plus d'ordre au sein de l'armée, depuis que certains avaient tenté d'abuser de leur grade pour faire de l'armée leur jouet personnel. Sans doute n'était-il plus membre de cette armée, mais il restait franc-comtois tout de même, et avait donc répondu à l'appel de son suzerain. C'est donc accompagné de sa vassale et de quelques hommes en armes et aux couleurs de Saulx, que le Margny avait investit la capitale.

C'est ainsi que le Vicomte avait passé ces derniers jours à se rendre à l'université, afin de perfectionner ses connaissances, pourtant déjà très grandes, dans moult domaines, son favori étant l'art héraldique. Malheureusement, les ouvrages à ce sujet n'étaient pas légion et rapidement il dût se rendre à l'évidence : il ne restait plus que les tavernes pour se divertir. Certaines femmes se dévouaient, semblait-il, à l'art du massage, comme par exemple la maire de Dole et future Franc-Comtesse, Alaellyra, qui avait eu l'immense privilège et le grand honneur de relaxer le Vicomte, l'espace d'une soirée.

C'est suite à cette soirée, alors que la maire était partie rejoindre Occorax on ne savait où pour faire certainement ce que personne ne voulait savoir, et que le Vicomte commençait à s'endormir sur sa table, entre les chopes vides et renversées, qu'un soldat dolois fit son entrée en défonçant à moitié la porte de la taverne municipale. Essoufflé, les joues rougies par le froid, et la mine sombre, l'homme parcourut rapidement la pièce du regard avant de s'arrêter lorsqu'il reconnut le Vicomte, qui entre temps avait reprit de son aplomb.


Monseigneur ! L'alerte a été donnée, des toits brûlent et le château est menacé !

Le Vicomte sortit de sa stupeur, pour se lever subitement, bousculant sans ménagement la table en bois, et renversant au passages quelques chopes.

Bien, que l'on aille mander ma fidèle vassale et quérir mes hommes, Saulx va respecter son serment.

Et le garde quitta la taverne sans demander son reste, réfléchissant sur le lieu où pouvait bien se trouver la vassale du Vicomte de Saulx, qu'il connaissait bien puisque personne ne devait ignorer le nom des proches du Margny, car ce dernier en avait décidé ainsi.
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M.reginae
Citation:
« Dame ! M'entendez-vous ? »



Reginae entend une voix jeune au loin, et une chaleur autour de sa main.

L'explosion, le choc, la douleur de la brulure...tout lui revient soudain en mémoire.

Au dessus d'elle, dans une nimbe vaporeuse,un visage de très jeune fille. Mais qui est ce?

Reginae ne la connait pas..mais elle ne connait personne en fait. Elle a suivi Aileron ici, par passion, les yeux fermés..et n'a été informée de l'attaque que le matin même.

Habituellement, elle ne fait que se jeter sur les passants, agissant au mieux en duo. Elle a bien croisé quelques têtes connues à la grotte, mais ne saurait distinguer les assaillants des défenseurs.

Rapide analyse..la fille semble très jeune..peu de chance pour être une brigande..pourtant ce regard vif, elle n'a pas l'air d'une faible crétine..tout est possible.

En pleine attaque de chateau, il ne faut pas prendre de risque.

D'un bond, Reginae se lève et tente de pousser au sol celle qui est venue la secourir, profitant de l'effet de surprise.

Mais c'est sans compter sur le choc de la déflagration, qui l'a fortement amoindri..elle est à deux doigts de vaciller.
Hanadora
Un instant de torpeur, un seul. Ou tout se mêlait instinctivement sur les mêmes personnes, les mêmes gestes, les mêmes actions. C’était ce soir, que se déroulerait l’événement ! Lequel, soit, on ne le sait, elle ne le sait encore ! Mais elle le saura, puisqu’elle avance, imperturbable, dans les couloirs noirs, sombres, pièges de cette forêt abrupte.
Un instant de solitude, de recherche, de visage. Toujours ces visages. Un cri, un peu plus loin ! Etrange, grave, guttural, voir même monstrueux ! Il s’approche de plus en plus. Elle se tourne à droit, à gauche. Personne, personne, sauf elle, lui, eux !


Ma Dame ? Ma Dame, levez-vous, on m’envoie vous chercher.
Un instant de lumière, puis,... Rien ! Un visage au dessus du sien. Une femme rousse. Valentine.
Ola vilaine ! Ne vous a-t-on jamais appris qu’il ne faut point éveiller les Demoiselles qui dorment ? Elle grommela, et chassa sa dame de compagnie d’un mouvement brusque qui la fit reculer de deux mètres. Des bougies éclairaient la pièce à droite à gauche. L’ambiance était feutrée, et des bruits divers se faisaient entendre à l’extérieur ! Encore des bêtises, quelle heure devait-il bien être. Pas l’heure de la grande mangeaille en tout cas.
Ni l’heure pour une visite quelconque. L'heure simplement de ne rien faire.
La vilaine, deux mètres plus loin, la regardait d’un air anxieux ! Quelle fourbe ! La Dame se leva. Dubitative. Certes elle avait été brusque, mais la mioche l’avait cherché !
Cherchant, de ses deux mains, une vêture à se poser sur les épaules, la jeune femme toisa sa demoiselle de compagnie du regard

Que me vaut ce réveil si subtil ? Lui posa-t-elle d’une voix ferme en fermant les cordons de sa veste.
Un envoyé du Vicomte de Saulx m’est parvenu à l’instant, il voulait lui-même entrer mais,…Hanadora la fit taire d’un geste de la main.
Un envoyé du Vicomte de Saulx ! Son suzerain la mandait pour une cause ! Soit ! Il fallait qu’elle fasse vite.
Etant à Dole pour un état d’alerte, elle ne pouvait qu’agir promptement. S’habillant en deux trois gestes, ajustant sa coiffure avec l’aide de sa demoiselle, elle enfila ses bottes s’arma d’une écharpe, et sortit dans le petit salon ou le garde attendait !


Hanadora Grimwald ? La jeune femme acquiesça en serrant son col. Ma Dame !
L'alerte a été donnée, des toits brûlent et le château est menacé ! Le Vicomte vous attend, je me dois de vous conduire à lui à l’instant !


Bien, Valentine, mon épée, mon bouclier, en vitesse ! Je vous suis mon brave, dépêchez-vous.
Le garde sortit dans le noir de la nuit, qui, finalement, n’était plus si noir que ça avec la Dame à sa suite ! Des ombres de lumières vacillantes semblaient lécher le ciel et les toits sombres de la ville ! Ils coururent, leurs pas raisonnant dans les étroites ruelles puantes ! Le Vicomte était là, devant une taverne vide attendant sans doute son arrivée. Reprenant son souffle, elle s’inclina devant son suzerain et fixa son épée à sa ceinture.

Monseigneur, me voici à vos ordres !
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Charlotte
L'inconnue cligna des yeux puis les ouvrit totalement. Charlotte planta son regard dans celui de la femme. Surprise, elle y vit passer une expression qui lui fit subitement peur, sans qu'elle ne sût pour quelle raison. A ce moment-là, l'autre se jeta sur elle. Charlotte ne s'y attendait pas le moins du monde, mais la faiblesse de l'attaque ne la fit pas chuter. Elle parvint à garder l'équilibre en plantant son bâton au sol et en s'y appuyant de toutes ses forces. Elle saisit également un des bras rougis de son adversaire pour s'y tenir brièvement. Mais face à elle, l'autre était maintenant debout, quoique vacillante.

Charlotte ne réfléchit pas, ce n'était plus le moment. Elle savait qu'elle avait agi sottement en secourant une personne qu'elle ne connaissait pas. Mais au fond d'elle même, elle savait également qu'elle aurait été bien incapable de regarder une blessée sans lui apporter la moindre aide. La prochaine fois, elle saurait prendre garde à ses actes, sans doute. Encore fallait-il qu'il y eût une autre fois !

Charlotte était désemparée, elle ne savait que faire. Elle tenta une molle attaque avec son bâton, puis décida que la fuite était décidément une formidable preuve de courage. Elle se retourna, trébucha, s'appuya une nouvelle fois sur son bâton pour ne pas tomber, et s'enfuit à toutes jambes en direction des autres membres de son groupe de maréchaux, abandonnant la brûlée à elle-même.
--Salamander
[Devant l'église de Dole]

Les deux hommes avaient sorti leur sica en voyant arriver l'individu. Lorsque ce dernier montra son médaillon, ils les rangèrent et sourirent à demi.


Nous devons placarder tous ces papiers, mais pourquoi ne pas aller faire un tour dans l'église. Ce sera un plaisir.

L'un d'eux sorti un trousseau d'objets longs et métalliques, aux formes plus ou moins coudées. Il en introduisit un dans la serrure de la lourde porte sans succès. Il en pris un second, puis un troisième. Un lourd déclic se fit entendre. L'homme poussa un grognement de satisfaction. Il tourna la poignée, la porte s'ouvrit. Ils entrèrent dans l'édifice.

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Kenny78
La jeune femme se plia sous la douleur. En effet, sa botte avait du la faire souffrir mais le caporal s'en fichait royalement. Son opposante plongea dans la neige et l'observa attentivement tout en se mordillant la lèvre d'une manière très sensuelle.

Kenny était connu pour aimer les jolies dames. Et celle-ci, bien que brigande, était magnifique. Il se contenta de l'observer tout en restant en garde. Grave erreur. En effet, il reçut une poignée de neige en pleine figure, ce qui le désorienta.

La jeune femme en profita pour frapper à gauche. Il para avec sa dague par réflexe. Le bruit des lames qui s'entrechoquaient se mêlait aux cris de la population affolée. Mais un autre cri se fit entendre. De douleur, mais surtout de surprise. En effet, le militaire avait récolté une belle entaille à la joue ainsi qu'un bon coup dans les côtes qui le fit reculer de deux pas.

Personne n'avait réussi à blesser son visage. Il pensait qu'elle aurait pu faire une compagne d'armes fantastique, mais il se reprit. Là on ne jouait plus, on se battait pour de bon.

Le jeune homme essuya rapidement le sang sur sa joue avec sa manche et se remit en garde. Il avançait prudemment, aussi souple qu'un chat, vers son adversaire. Il tenta deux ou trois passes avec sa dague, pas bien dangereuses, mais il voulait tester les réactions de son adversaire.

Tout à coup il vit une toute petite ouverture. Il allait en profiter. Il se permit de distraire son ennemie avec sa dague, lorsque, sans prévenir, son épée fendit l'air de haut en bas. Il entendit le bruit du tissu qui se déchirait, mais il vit du sang sur la pointe de son épée.

Il recula et observa son adversaire. Il aperçut une blessure. Superficielle, certes, mais il avait réussi son coup.


Un partout demoiselle.
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Annyah


Le cri de douleur qu’il émit la fit légèrement sourire…il souffrait c’était pas trop tôt.
Alors qu’il recula suite à son attaque, elle se positionna et attendit l’offensive.

Elle ne tarda pas… Il approcha d’elle avec une certaine aisance et elle contra la plupart de ses attaques avec ses dagues.

Concentrée elle essaya de ne pas perdre de vue ces gestes.

Mais en vint, l’un d’eux lui échappa et elle vit la lame de son épée s’abattre sur elle…

Harg..Bougre de…. ! cria t’elle alors qu’elle porta l’une de ses mains à son épaule gauche.

Elle amena sa main devant elle et constata avec stupeur que le bout de ses doigts étaient recouvert de sang…
Son épaule était entaillée et sa chemise était dans le même état…

Encore une blessure de plus sur son corps...Annyah ne pu s’empêcher de lui adresser un large sourire quand il lui adressa « Un partout demoiselle »…

La jeune femme s’approcha de nouveau de lui et voulu lui montrer sa véritable nature….fourbe…

Tout comme sa première attaque elle porta ses lames en direction de son visage, qu’elle avait déjà marqué, de manière à ce que son attention se porte que sur la partie supérieure de son corps.
Elle fit plusieurs attaques qu’il contra sans soucis….Cet homme était vif et véritable adversaire, elle le reconnaissait…

Une fois très proche de lui elle leva son genou et lui assena un coup dans son entrejambe avec une certaine force.

Le soldat perdit son équilibre puis sans hésiter elle saisit son visage, entre ses mains, et déposa un baiser sur ses lèvres. La brigande le lâcha pour qu’il se rende entièrement compte de la douleur puis elle le regarda…

Rien de mieux que de gouter les lèvres d’un soldat souffrant…Maintenant on est a 2 pour moi et 1 pour toi il me semble non ?

La jeune femme resta sur ses gardes, elle se doutait bien que l’humiliation et la douleur qu’elle venait de lui infliger allait lui être rendu…Elle se méfiait de sa réaction avenir, ce coup là il l’aurait certainement en travers de la gorge…
Cependant l’impertinence de la brigande n’avait pas de limite et ce combat allait certainement lui apprendre où elles se trouvent…


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Kenny78
La brigande faillit lâcher une insulte mais elle avait été surprise d'être blessée. Elle eut même le sourire. Cependant, bien que ce sourire était ravissant, il restait concentré. Une blessure au visage lui avait suffi.

Elle attaquait à présent au visage. Kenny parait et contre-attaquait. mais Annyah était douée aussi. Aucun des deux ne prenait l'avantage sur l'autre. Le jeune homme se demandait même si elle n'avait pas été entrainée dans une armée, car elle arrivait à prévoir ses attaques et à les parer sans effort.

La distance entre les deux opposants était infime. Annyah en profita pour lui décocher un bon coup de genou dans les parties génitales. Il sentit ses poumons se vider et son souffle se couper.

Il perdit l'équilibre. La pyromane en profita pour l'embrasser sur les lèvres avant de le lâcher. Il tomba un court instant à genoux pour souffler un peu. Ca faisait très très mal ça. Mais il se releva péniblement et trouva même la force de sourire lorsque son opposante lui annonça le score actuel.


En effet. Bravo.

Ce combat était plus que ça. Pour lui ça devenait un jeu. Jeu mortel certes, mais cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas autant amusé. Il savait qu'il devrait en finir rapidement, mais il s'amusait beaucoup. Il décida donc de faire durer son plaisir encore un peu. Il attaqua, tantôt aux jambes, tantôt sur le haut du corps. Ces attaques de diversion étaient parées ou esquivées sans effort.

Pourtant il se rapprochait doucement mais surement. Une fois assez près, il lâcha son épée et empoigna la jeune femme par le devant de sa chemise pour l'attirer à lui. Il entailla légèrement la gorge de la jeune femme de manière superficielle, et mordit la plaie.

Le goût du sang de la jeune femme était exquis. Mais il lui chuchota à l'oreille :


Deux partout ma belle.

Il lui mordit la lèvre inférieure puis la repoussa. Annyah fut légèrement déséquilibrée, ce qui lui permit de ramasser son épée. Il la regarda avec un petit sourire coquin et se remit en garde.
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Annyah


Désormais il attaquait….Il avait de la hargne et il savait y faire. Ces gestes, ces attaques ne lui étaient pas étranger….Elle avait reçut le même entrainement quand elle était dans l’armée.

Période de sa vie qu’elle préférait oublier…

La fatigue commençait à se faire sentir alors qu’elle contrait et attaquait…le froid caressait son visage et celui-ci commençait à brûler ses joues…

Alors qu’elle s’apprêtait encore à se défendre elle fut saisit par le col de sa chemise pour être approcher du corps de Kenny, ce qui lui arracha un léger soupire.

Annyah grimaça quant elle sentit sa gorge être entaillée..puis soudain elle sentit les lèvres de Kenny se poser contre sa plaie pour ensuite la quitter et sentir sa lèvre inférieure se faire mordiller.

Il manquait pas d’audace…elle aimait cela…

La brigande fut repoussée, de manière à ce qu’il puisse ramasser l’épée qu’il avait du abandonner.

Elle passa aussitôt ses doigts contre ses lèvres et sourit à Kenny.

Ne crois pas que tu vas t’en sortir aussi facilement…

Annyah esquissa un sourire mesquin et fonça sur lui. Au dernier moment elle se baissa et elle fit basculer violement une de ses jambes pour faire une « balayette » au soldat.

Une fois celui-ci tombé au sol, elle lâcha une de ses dagues dans la neige et plaqua le soldat au sol…

Ses cheveux basculèrent et effleurèrent le visage de Kenny alors que sa main libre se porta contre la gorge de celui-ci.
Son autre main qui gardait précieusement sa dague se positionna contre son abdomen..
Elle lui adressa un sourire et se contenta de l’embrasser avec douceur pendant qu’elle lui entailla le ventre…

La brigande recula son visage et essaya de forcer pour le laisser dans cette position mais il avait plus de force qu’elle…

Je crois que nous sommes à égalité mais…aussi que c’est peut être la fin pour toi…


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Kenny78
Le combat n'en était plus vraiment un. Ca devenait une danse mêlant art du combat et une pointe d'érotisme provenant des deux adversaires. Ils se provoquaient mutuellement, et chacun répondait à l'autre d'une manière adaptée.

Un léger sourire plus tard, Annyah fonça vers lui et d'un mouvement souple, lui faucha les jambes. Il bascula au sol, ce qui arrangeait la brigande qui lui mit une main sur la gorge. Il sentit la pointe d'une dague lui ouvrir l'abdomen et il pensait que c'était la fin. Mais la blessure n'était que superficielle. Annyah l'embrassait avec douceur et il lui rendit ce baiser. Le mélange de la douleur et du baiser était fort plaisant. Mais s'il ne voulait pas mourir, il devait réagir.

Il lâcha ses armes qui l'encombraient. De sa main droite il écarta la main armée de son ventre, et la tint fermement. De l'autre, il attrappa la brigande par les hanches et la fit pivoter. Là il était en position de force. Il ramassa sa dague de la main gauche et entailla légèrement un sein de la femme. Il se permit d'embrasser ses lèvres en même temps. Après tout, autant en profiter.



La fin ? Non pas encore. Mais si tu veux que ça se termine maintenant, je peux arranger cela facilement.

Tout en disant ceci, il avait posé sa lame sur le ventre d'Annyah. Il devait la tuer, mais il voulait voir si elle allait avoir peur de la mort ou si elle l'accepterait sans souci.
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