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[RP] Les échos du lavoir

---fromFRTaka
Taka vit que Aelys trempait ses vêtements au milieu de... choses qui... flottaient...

- Euh... Si vous voulez, j'ai une source toute propre à côté de chez moi... Je serai ravie de partager. Non, Solva, ne t'approche pas du bord, tu vas...


TROP TARD!
---fromFRArkentos
Arkentos arriva au lavoir ba eu pour ein faire et vit Aelys faire son linge et Taka qui empecher Solva de sauter dans l'eau mais le pensable se produisi Solva dans l'eau. Il ne peut s'empecher de rire

"Mouahaha!!"
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Arkentos le seul l'unique
Booulanger
Cultivateur de blé
---fromFRTaka
Taka râla en essayant de sortir sa fille adoptive de l'eau. Aelys voulut l'aider mais la pauvre semblait souffrir d'une sirose de l'équilibre chronique. Tant bien que mal, la petite fut repêchée. Les larmes aux yeux, tremblante, elle crachouillait l'eau nauséabonde (ce qu'Aelys n'aurait jamais fait, semblerait-il).
Elle enveloppa Solva dans le linge le plus propre qu'elle put trouver, puis elle entendit le "Mouhaha" du Sieur Arkentos.

- Attends que je t'y mette, moi, dans le bain...

Chose promise, chose due. PLOUF!
---fromFRArkentos
Arkentos fut mit a l'eau par Taka. Il se releva et se dirigea vers Taka pret a la faire tomber. Il l'attrapa et la fit tomber dans le lavoir
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Arkentos le seul l'unique
Booulanger
Cultivateur de blé
---fromFRTaka
PLOUF !!!

Mé eueueuhhh!
---fromFRArkentos
Arkentos rigola d'une telle intensité que son rire fit echo dans le lavoir"tavai qua faire attention"
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Arkentos le seul l'unique
Booulanger
Cultivateur de blé
---fromFRTaka
Solva tendit à Taka un grand drap mouillé. Celle-ci l'enroula prestement autour des jambes d'Arkentos, tira d'un coup sec et PLAF! le popotin de monsieur dans le bassin!

Solva éclata d'un grand rire aigu.
Puylaurens
Le lavoir était désert, donnant ainsi un relativement bon aperçu de l'activité de Péronne ces derniers temps... Bon, pour être honnête, la sombre histoire de sorcellerie qui avait touché l'ancien maire et tout ce qui s'ensuivait, révoltes, remboursements, avaient mis un peu d'animation. Mais pour peu que l'on soit un peu pessimiste (ou réaliste ?), il y avait tout lieu de craindre que la mortelle routine reprenne ses droits.

Puylaurens, errant par là, s'arrêta soudain et contempla les reflets sur l'eau, magnifiés par un superbe soleil automnal. Il s'assit tout près du bord du lavoir, et ôtant ses chausses laissa tremper ses pieds dans l'onde fraiche. Maintenant c'est son reflet qu'il apercevait. Il se fixa longuement, avant de finir par se saisir d'une pierre qui traînait là et de la jeter sur l'image. La surface se troubla, et le point d'impact devint le centre de cercles s'élargissant sans cesse jusqu'à disparaître.

Comment en était-ce arrivé là ? Question dont il ne connaissait que trop bien la réponse : car il avait tout laissé se perdre... Il n'avait pas agi lorsqu'il en était encore temps, pire, c'était lui qui avait signifié la fin de l'histoire par une missive injuste... Sa main se referma sur un second caillou, et il le lança rageusement dans l'eau. A force de reculer, de fuir, il ne se retrouverait qu'avec une montagne de regrets.

Imbécile ! dit-il entre ses dents. Et il le pensait de toute son âme. Mais à quoi bon se tourmenter songea-t-il finalement. Le mal était fait - infligé par ses propres soins - et jusqu'à preuve du contraire, il était irrémédiable. Il soupira, sortit ses pieds de l'eau et se leva lentement. Prenant ses chausses à la main, il décida d'aller marcher. Oui, marcher, marcher le long de la Somme, marcher jusqu'à ne plus sentir ses pieds, marcher jusqu'au soir, marcher...
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Azzera
Azzera avait du linge à laver, diantre que c'était lourd, le poids de son panier la faisait se dandiner comme un petit canard...
Sa démarche aurait pu faire sourire, heureusement, il n'y avait pas grand monde par ici....
En regardant circulairement elle vit une silhouette, chausses à la main, marcher vers nulle part...

Hier, en taverne, elle avait rencontré la personne qui l'avait fait entrer au guet... revoir cet homme, avait fait remonter en elle des souvenirs qu'elle voulait enfuir pour toujours... mais, au lieu de cela, elle lui avait parlé du bon vieux temps, il avait évoqué sa ville, elle lui raconta ses voyages...

Voyage... ce mot lui faisait le même effet que la première fois qu'elle était partie... mais tout était cette fois différent, elle devait être prête car l'annonce du départ n'allait pas tarder.
C'est la raison de sa présence ici... Toutes ses affaires devaient être en ordre... juste au cas ou...

Elle se mit à la tâche, très précise dans ses actes... son dos la faisait souffrir à force d'être dans la même condition depuis longtemps, mais elle n'y prit pas garde.
Laver, décrasser, frotter, pétrir, rincer....
Ses mains s'endolorissaient par le froid... elle n'y prit pas garde...
Laver, décrasser, frotter, pétrir, rincer...
Inlassablement....

Quand elle eu terminer, elle se releva, fourbue par position... un peu de marche lui ferait le plus grand bien.
Elle saisit son panier, le linge mouillé était encore plus lourd qu'à l'arrivée...
Elle rentra chez elle...l'esprit guidé par le voyage que s'annonçait.

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Theriagan
Theriagan approcha du lavoir en silence. Peut-être surprendrait-il certaines conversations compromettantes, peut-être même des conversations le concernant qui sait ?!! Il rigola intérieurement et glissa une tête derrière un des piliers soutenant le toit ...

Diantre! Encore personne ! C'est à penser qu'aucun Péronnais ne lave son linge dans le coin !
BANDE DE DEGUEULASSES !!! cria-t-il en souriant sachant que certainement aucun Péronnais ne l'entendrait.

Il en profita pour se déchausser et rincer ses pieds poussiéreux dans l'eau du lavoir. Il remit en place la paille dans ses chausses et se frotta un peu le postérieur pour faire tomber la terre battue. Le lavoir étant l'endroit le plus calme de Péronne, il décida d'y faire une petite sieste et s'adossa contre un pilier du fond, ainsi il était à l'abri des regards de passants et d'éventuelles femmes venant laver leur linge (bien improbable d'ailleurs ...).

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In medio stat virtus
*aelys*
Bien sur, depuis longtemps, il n'y avait personne aux alentours du lavoir...
D'un autre côté qui aurait envie de tremper ses bras jusqu'aux coudes dans l'eau glaciale et douteuse, pour que le linge -pas vraiment plus propre qu'avant- mette 10jours à secher près de la cheminée, tenant l'humidité dans la maison?...Pas grand monde, pour sur...Ceci expliquait celà...

Par habitude, Aelys, avant d'aller à son échoppe fit le détour par ce lieu culte...
Et là, quelle surprise!
Une silhouette, assise sur le rebord de pierre, en train de... Nom didious!
de se tremper les pieds dans l'eau!?
Aelys commençait à comprendre pourquoi l'eau était si sale...
Si la silhouette en question était Flyod, tout était fichu, il n'y aurait plus de poisson dans la Somme avant 5ans...

Aelys avancait d'un pas rapide...l'homme, puisque vu sa stature, c'était un homme, retira ses petons de l'eau puis alla s'installer contre un pilier...

Là, Aelys se mit à courir sur la pointe des pieds... Elle reconnue Theriagan, à peine rentré, il faisait déjà des bêtises...pire que les enfants pluchon!

S'approchant à pas de loups, elle lui pinca l'oreille entre ses deux doigts et disant d'une voix forte :


Je vais t'apprendre petit malautru!
Salir notre lavoir avec tes pieds, ta punition sera exemplaire! Tu seras rossé!


Theri ouvrit de grands yeux, et Aelys éclata de rire, s'asseyant près de son ami.
Theriagan
Theriagan commençait à se détendre, les pieds au frais à présent, prêt à s'endormir avec les bruits d'eau. Une douleur fulgurante à l'oreille vint le tirer de ses rêveries. Il ne put réprimer un cri couvrant les paroles du responsable de cet acte

aaaaAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!!
Didiou d'nom didiou !!!!!!!!!! Mais ça fait mal !!!

Il avait sorti un de ses fameux manches, bien connus à Péronne, prêt à rouer de coups l'affreux. Ou plutôt l'affreuse.

Aelys !!! Eh bien, tu n'y vas pas de main morte. Mais bon, comme à ton habitude, hein !!!!

Il se rassit en se frottant l'oreille, rouge qu'elle devait être. Il dut grimacer quelque peu sous la douleur. Aelys s'assit à ses côtés, riant encore de son méfait.

Ah tu es contente !! Eh bien au moins, on arrive encore à rigoler malgré ce que Péronne endure en ce moment. C'est une bonne chose. Sursaut sur sursaut, peut-être réussira-t-elle à retrouver sa splendeur d'antan, en tout cas en son sein ? Le lavoir est toujours debout, lui. Je sais bien que plein de choses primordiales à Péronne ont disparu ces derniers temps, mais il faut réussir à conserver quelques symboles. Péronne a sûrement encore des ressources.

Les yeux plongés dans le vague, Theriagan essayait de se convaincre de ses paroles. Il avait déjà maintes fois ressassé ces idées. Il s'éloignait régulièrement quelques jours de Péronne pour réfléchir à tous les évènements qui se déroulaient dans sa vie.

La foi nous sauvera-t-elle, Aelys ? Péronne subit-elle une punition divine ? J'ai tendance à le croire. Trop de fléaux en un même endroit et en si peu de temps ...

Theriagan pensait tout haut, ayant toute confiance en la jeune femme assise à ses côtés. Il tourna la tête vers elle et lui sourit:

Il faut jeter toutes nos forces dans l'église, aider le baron et toutes les bonnes âmes à reconstruire l'édifice sacré !
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In medio stat virtus
pnj
Philibert marchait dans la ville, il avait besoin de réfléchir. Tellement de choses se produisaient en ce moment !
Sa guérison miraculeuse, la disparition de l'Eglise dans la même nuit, la nouvelle dévotion des péronnais, sa rencontre avec Navigius... Tout cela lui semblait avoir un lien, mais il ne voyait pas encore lequel.

Il sentait que sa vie devait choisir un chemin... son coeur le menait vers Aristote, tandis que sa fougue le poussait vers la vie des armes... Il lui faudrait choisir, mais comment ?
Dieu avait toujours été à ses côtés, jusque dans cette maladie si terrible. Avait-Il des desseins pour lui ? comment être sûr ?

Même Navigius ne semblait pas capable de lui répondre... il faut dire que Philibert ne lui avait parlé de son trouble que de façon cachée, incapable de prononcer certains mots, si lourds de sens.

Ses pas le menèrent naturellement au lavoir. Il aimait cet endroit si calme où l'on ne croisait que rarement du monde ; et lorsque l'on voyait quelqu'un, c'était souvent une vieille dame au dos arrondi, frappant silencieusement son linge dans l'eau froide.
Cela avait toujours surpris Philibert que de voir un lavoir si calme. Tous ceux qu'il avait croisé dans son voyage était toujours vivants, bruyants, remplis de femmes joyeuses papotant de tout et de rien, de choses futiles... des bavardages de femmes quoi !

Il soupira... les femmes... il ne comprenait pas pourquoi elles l'intéressaient si peu. Quelques unes lui avaient quémandé ses faveurs, certaines étaient même jolies. Mais il trouvait leur babillage superflu, et leurs atouts ne l'attiraient pas. Il préférait largement les discussions viriles entre homme, et les grandes séances de méditation et de prières.

En parlant d'homme, il entendit une voix. Surpris de trouver du monde au lavoir, il s'avança en restant caché. Une autre voix... celle d'une femme ! celle d'une des rares femmes qu'il aimait : Aelys !

Visiblement, elle n'était pas seule, sans doute en présence d'un galant. La discussion semblait sérieuse. Il entendit parler du baron... ce devait être lui.
Il se décida donc à se montrer, fixa un sourire sur son visage.


Le baron ? que lui veut-on au Baron ?
*aelys*
Aelys écoutait silencieusement la plainte de Theri...de temps en temps, elle hochait là tête; étrange situation, d'habitude, ce sont les femmes qui parlent et les hommes qui font semblant d'écouter...
Sauf que là, Aelys écoutait! Si si, pour de vrai! Elle ne savait que répondre et ne pouvait arrêter de sourire, même avec la gravité des événements énnoncés... Elle était trop contente de retrouver Theri...

Tout à coup, Philibert fit son apparition. La jeune femme s'exclama, ravie :


Philou! Que fait tu ici?! Voilà Theriagan, tes parents l'ont connu il me semble... Il fait l'hermite de temps en temps, et ressort parfois de son trou pour constater les médiocres événements, alors déprime et reppart dans son trou!^^ Je plaissante bien sur!

Elle fit un grand sourire aux deux hommes, puis se retournant vers Philibert : Te sens tu mieux? La maladie aurait elle quittée ton corps?
Je souhaite que oui...Il faudra remercier Soeur Justine, Naviguis et Aristote...
Theriagan
Theriagan posa un genou à terre, bien que la présentation ne fut pas très officielle :

Seigneur Baron, enchanté de vous rencontrer. J'ai effectivement croisé quelquefois vos parents plus que je ne les ai connu réellement. Mais pour le peu que j'en sachais sur eux, ils m'étaient sympathiques.
Quant à mon association avec le statut d'hermite, Theri lança un regard réprobateur amusé à Aelys, hum, eh bien, ce n'est pas tout à fait faux à vrai dire. Vous savez ce qu'on dit : nous avons tous nos démons.

Il n'alla pas plus loin dans cette idée, souhaitant qu'il n'ait pas trop parlé. Theriagan toussota et se releva devant le baron. Il regarda rapidement ses propres habits et les trouva bien sales pour se présenter à un baron. Il s'épousseta rapidement et discrètement. Il se mit à sourire un peu bêtement.
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In medio stat virtus
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