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Vox populi

Adrienne
Un garde arriva hors d'haleine au Château de Bruges et manda audience auprès de la Comtesse. Faisant irruption dans la pièce, il s'inclina en une pompeuse révérence avant d'annoncer :

Dame Comtesse ! Un hurluberlu, juché sur une estrade, tente de jeter l'opprobre sur votre gouvernance.

Adrienne lèva ses yeux azurés de ses dossiers et sourit :

Oooh, ça ne peut être que le Sieur Zorg ! On le disait proche du trépas, il semble avoir repris du poil de la bête ! Que me reproche-t'il donc cette fois ?

Le patrouilleur sortit un parchemin tout froissé sur lequel il avait griffonné à la hâte quelques notes :

Il vous reproche de faire de la diplomatie de carpette, et d'avoir rappelé le Major Slamjack à l'ordre pour avoir proféré des insultes à l'encontre des normands !

La Comtesse gloussa, laissant échapper un rire franc qui fusa dans les airs :

Rhooo, venant de cet antagoniste, qui ne respecte ni ses dirigeants, ni notre Justice, ni nos alliés normands, ce n'est point surprenant ! Décidément ... Il n'en est plus à une contradiction près, n'est-ce pas encore lui qui s'insurgeait récemment contre mon manque flagrant de diplomatie ? Allons, calmez-vous, je vais lui répondre, il sort à peine des profondeurs abyssales d'un canal, je ne voudrais pas qu'il attrape un mauvais rhume à s'époumoner ainsi tout seul sous cette pluie battante.

Saisissant sa plume, elle s'appliqua aussitôt à rédiger une réponse à l'intention du miraculé.
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Zorg69
Zorg se rendit dans sa tribune, une lettre à la main, qu’il venait de recevoir.
Il s’assit sur un des bancs pour la lire.



A la fin de la lecture, un léger sourire égaillait ses lèvres. Il plia la lettre et la mis dans sa poche.

Il ramassa tous les coussins disposés sur les bancs, les rangea soigneusement dans le coffre sous la tribune, mis une bâche sur le pupitre de l’orateur et quitta la place.


-Pas sûr d’y revenir tout de suite, se dit-il à lui-même.
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Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Zorg69
Au matin frémissant, dans une aube qui naissait à grand peine, Zorg se rendait d’un bon pas - attitude dont on aurait pu dire que l’impétuosité le disputait à la vélocité - se rendait d’un bon pas, en sa tribune préférée. « Yodaïsant » sa pensée il se prit à songer qu’une fois n’impliquant pas coutume, de discourir, son intention n’était pas. Trois badauds frappant dans leurs mains à chaque effet de sa dialectique orientée suffisaient à son bonheur, mais en cette aube hésitante entre le chien et le loup, la probabilité d’un auditoire même minimaliste était infinitésimale. Zorg se rendait à sa tribune non point pour discourir, mais pour observer ce qu’il avait cru apercevoir ces jours derniers, en croisant non loin du vaisseau de bois, tribune de ses dires, caisse raisonnante de ses « chroniques Zorgiennes ».
Et qu’avait-il perçu ? La tribune se couvrait d’une production nouvelle ! En l’absence d’un auditoire régulier, elle s’entoilait !
L’ayant noté, Il souhaitait ce matin pouvoir observer en toute quiétude les délicates toiles façonnées, par les grandes maîtresses arachnéennes flamandes. Il débusqua avec célérité ce qu’il cherchait : Une œuvre considérable ornait désormais l’interstice vacant entre le deuxième et le troisième rang. Une suite de losanges circonscrits, « Vasarelien » dans l’esprit, imprimaient à l’œuvre une impression de profondeur qui pourtant était délicatement ouvragé dans le plan. De la belle construction se dit il, en observant les fils ténus qui fixait l’œuvre à la structure de bois, gage d’une éphémère postérité (*). Quelques perles de rosée, essentielles sphères improbables, accrochées à cette broderie, soutenaient les perspectives de ces lignes en fuite, livrant à l’œil affuté le témoignage irisé de leur spectre chromatique.
Subjugué par tant de beauté, qui n’avait d’égal que celle de ses yeux à elle – il faudrait qu’il s’en souvienne quand il écrirait ses mémoires à l’instar d’une marguerite qui avait écrit celle du romain – qu’est ce qui les séparait finalement ? Un peu de « h » à aspirer et point à fumer, un soupçon de féminin sur la terminaison, et le talent soyons réaliste, et cessons surtout de digresser pour l’évoquer elle – ému par temps de beauté donc, Zorg se perdit un grand moment dans l’observation des productions des créatures huit fois membrées, distinction discriminante de leurs cousines « non tissantes », qui ne se targuent que de six. Petite leçon de zoologie animalière appliquée à la situation, propice à la production d’un minimum syndical de mousse, pour ne pas ainsi décevoir l’auditoire plasmique.

L’aube finit par rendre l’âme dans un râle, laissant place à une journée prolixe en lumière, « photonisme exacerbé » qui écrasait de lux exubérants, ces œuvres extatiques, étudiées en exégète de cet art premier, démarche exutoire de mon ennui désormais récurent, « photonisme exacerbé » qui écrasait de lux exubérants disais-je, les ramenant à leur statut primitif : témoin des grains de temps qui s’écoule dans le sablier de la vie …
et accessoirement aussi, …du fait que …
« Décidément la femme de ménage ne passe pas dans tous les coins ».

Et Zorg coquin, de se dire qu’il était plaisant de faire des phrases avec des ex pas que des phrases d’ailleurs !

Un picotement sur sa nuque décou…verte qui devenait rouge sans doute (*2), picotement caractéristique de l’enhardissement des armées photoniques de Râ, rappela à Zorg, plus nemo(*3) que jamais, qu’il avait encore oublié de mettre un chapeau et qu’accessoirement il avait un étal à garnir.

Sortant de ses rêveries, il s’éloigna de cette bulle de beauté intemporelle, pour retomber dans la réalité crue des carcasses sanguinolentes et municipales, remisées de longue date par le fait d’un alinéa dans feu la grille de prix, alinéa d’alinéaire (fallait bien que je la fasse) qui avait activé le rachat automatique. A quoi tiennent les relations !
Zorg se rendait dans son échoppe sans se hâter et sans enthousiasme, quand il passa devant le panneau d’affichage réservé aux communications du conseil flamand. Il vit immédiatement que de nouveaux feuillets avaient été récemment poinçonnés. Il s’en rapprocha pour en prendre connaissance. (*4)



Ce qu’il y vit le dépita grandement. Ainsi donc la comtesse intronisait la cornette bigornée, renforçant encore l’orthodoxie de sa gouvernance. Légitimité des urnes disait « recto verso » ? Niant allègrement l’histoire des hommes…
La comtesse se rapproche de l’église… et s’éloigne encore un peu plus du peuple. Pas de conseiller spécial représentant des desideratas populaires … et quid des impasses judicaires ? Et quid de l’agonie savamment entretenue de l’institution sensée le représenter ?


- Bah ! Cela ne nous concerne plus ! Je vais m’abstenir… idées et critiques ne sont pas les bienvenues. Evitons reproches et plaintes d’acharnement, se dit-il à lui-même.

(*) Zorg qui cultive les contradictions … ou les oppositions (Comme tu aimes tu choises).
(*2) Ne négligeons pas le fait qu’il m’arrive de sombrer dans la facilité.
(*3) on sait, on sait, c’est dory, mais bon faut pas exagérer, ce n’est tout de même pas à ce point là, hein princesse !
(*4) ca c’est de l’intro ! Une belle grosse mousse *sourit*

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La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Princesse_blanche
Blanche, assise dans le coin de la tribune avec un coussin que Zorg avait oublié de ramasser, le regardait déambuler.

Elle s'approcha de lui et lui prit la main.


Reste pas là ! Allez accompagne moi faire un tour dans la campagne environnante ! On s'amusera plus que dans cet endroit poussiéreux !
On pourra regarder les fleurs pousser par exemple !


En sortant du grand bâtiment, elle pensait qu'elle devait faire quelque chose.
Oui, mais quoi ?
Zorg69
Polémiques Zorgiennes

Zorg profita du fait que le marché battait son plein pour rouvrir provisoirement une tribune qui avait été naturellement nettoyée par la pluie soutenue de ces derniers jours. Les filets à insectes avaient été balayés par les quelques gouttes d’eau. La tribune était redevenue pimpante et propre…

Zorg profita du rassemblement de quelques badauds pour se lancer dans une réflexion à haute voix …


Le parlement recrute a grand renfort de campagnes de communications qui pour successives qu’elles soient n’en demeure pas moins inopérantes. Les p’tits gars plein d’allant ne maîtrisent point encore toutes les ficelles d’une communication réussie et s’époumonent en cœur mais en vain pour attirer le chaland !
Le message publicitaire aussi brillant soit-il ne vaut rien en efficacité quand le déficit de notoriété est patent. Il faut au préalable informer de l’existence, tout simplement, et la gargote n’est pas le meilleur outil. Un marketing direct et ciblé serait plus efficace … relayé par quelques vieilles barbes influentes.

Mais …
… rien ne change au parlement, pourquoi les vieilles barbes y reviendraient-elles ? Il y est toujours question de débats qui n’avancent pas, de deux décisions par an, et encore, sans compter que c’est un endroit apolitique et « ajusticiable ».

La « a » privatif indique bien le fond de ma pensée !
On ne peut y faire de la politique et la justice n’a pas cour.

Le premier dragonminable venu peut y occire son prochain sans que le juge n’ait à frapper maillet.

Etrange particularité institutionnelle qui est directement issu de la sentence du procès du dit dragonminable, précisément. La responsabilité du comte de l’époque est avérée, celle du juge qui s’était dégagé avec une élégance discutable, ne l’est pas moins. Les têtes couronnées et les magistrats successifs laissent depuis le problème en jachère, espérant sans doute que de cette mauvaise graine naisse une belle semence !!

Mais on ne récolte que ce que l’on sème…et certains défenseurs du parlement à même de relayer le message publicitaire de ses membres actuels s’en garderont bien.

La désaffection parlementaire n’est qu’à son début. L’institution crèvera de ne pas se reformer, de son immobilisme, de ses ambigüités, coincée entre un conseil tout puissant et un peuple désinformé.

Maistre Pino, point de charrue avant les bœufs il ne faut mettre. Reformez d’abord et vous appâterez le chaland ensuite …

Le parlement doit s’ouvrir au peuple. Sa voix doit se faire entendre au conseil, si ce n’est par les parlementaires au moins par son président, sa communication doit évoluer, Les rythmes de débat et de vote doivent être accélérés, … Il existe moults chantiers pour en faire une institution efficace et prisée par les citoyens.

Sa voix doit se faire entendre au conseil, disais-je, d’autant que ...
L’église Aristotélicienne y a fait une entrée remarquée, avec l’ « exécutive cornettée », qui décidément suit un parcours sans faute dans la conquête d’un pourvoir toujours plus grand, marchant pour leurs biens sans doute, sur les museaux apathiques de ses brebis consentantes. Faut dire qu’elle s’est détachée des basses besognes qu’elle sous traite sans arrière pensée à son « bred arbulant » (*) préférée, qui bat la campagne pour évangéliser les foules sémesiennes à grand renfort de messages mal orthographiés.

Mais ou vont les Flandres ?

Zorg
De retour, revigoré, … jugé digne de recevoir quelques baisers magistrals (**) plutôt que des mauvais coup de maillet …

(*) Contraction de bras armé et bled ambulant
(**) La faute est volontaire pour préserver le jeu de mot avec magistrat

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La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Zorg69
Zorg se dit que c’était une date appropriée pour un feu d’artifice Zorgien. Après ses « polémiques » il se dit qu’il pourrait aussi livrer ses réflexions du moment …

Réflexions pamphlétaires Zorgiennes …

… Sur le concours de la ville la plus animée.

Zorg charitable se dit qu’il allait pour une fois exprimer ses pensées dans toutes les langues pratiquées dans les Flandres…

En François

Citation:
Quand Zorg eut prit connaissance de ce nouveau concours, il se dit que s’eut pu être une bonne idée…
Encore eut-il fallu que des critères objectifs soient fixés !
Que se fut-il agi de mesurer ?
Un aspect quantitatif ?
En ce cas, quid d’une votation ? Il eut suffi d’opérer dénombrement des animations actives ou nouvellement créées chaque mois, …
Un aspect qualitatif ?
En ce cas, sur quelles bases ?
Zorg cultivant son élitisme cortical et épistolaire se dit en des temps simples ou antérieurs, que les essais théâtraux et néanmoins guignolesques, n’auraient eu malheureusement aucune chance d’incrémenter le compteur.
Il s’abstint donc de formuler un avis …



En Flamand

Zorg qui ne connaissait pas bien le Flamand demanda à son ami « goût gueule » de lui donner un coup de main. Celui-ci lui répondit qu’il ne connaissait que le néerlandais. Ca fera l’affaire lui répondit-il

Citation:
Zorg hadden gezien de nieuwe concurrentie.
Hij zei dat het idee zou goed zijn geweest, indien objectieve criteria zijn vastgesteld.
Voor het meten van wat?
De hoeveelheid?
Waarom heb je een stemming in deze zaak. Het was voldoende om te rekenen van de actieve of nieuwe animaties elke maand
De kwaliteit?
Op welke basis?
Zorg dat het spel van de Kat zou waarschijnlijk niet in aanmerking worden genomen.
Hij heeft niet gezegd zijn mening.


En anglois Méhardien

Note : Une controverse pourrait naitre. Doit-on en effet dire Méharesque ou Méhardien ? Zorg pensa aussi à Méhariste, mais ce dit que c’était uniquement lorsque le sujet se marrait, ce qui n’était pas ici le cas. Il élimina cette possibilité. Zorg chercha alors des analogies dans la langue. Pour cauchemar on disait cauchemardesque, pour camping-car on disait camping-cariste, pour superstar on disait Jésus christ, pour var on disait varois et non pas véreux, pour Malabar on disait Princess, pour side-car on disait « à dieu va », pour tzar on disait tzariste, pour caviar on disait « ce n’est pas meilleur à la louche », pour calamar on disait poulpeux, et pour quasar on disait trounoirdesque ou servoblondesque (*).
Bien difficile de dégager une règle …
Zorg décida donc de rester sur son idée première et entérina le Méhardien.

(*) Le « Servo » renvoi à l’asservissement de la mécanique et non point au bulbe rachidien et ce qui l’entoure. Cela pourrait paraître impropre, mais en l’occurrence, vu le sujet, c’est acceptable !
Zorg se dit qu’il était parfois cruel et impitoyable, mais qu’en la circonstance, d’aucun savait bien que c’était pour rire


Citation:
Zolg saw the new contest.
He taught that it could be a good idea if objectives cliterias as been decided.
To measule what ?
Quantity ?
In this case, why do we have to make a vote ?
We just have to count actives or news animations each month
Quality ?
On what basis ?
Zolg tell himself that the kat’s theatlical could’nt be taken in account.
He does’nt give its opinion.


En bwana sémesien

Zorg se lança malgré l’absence de son professeur attitré, partie visiter toutes les rhumeries de l’ile de la baie des cochons (hé hé). Il se dit que les puristes de cette langue lui pardonneraient sans doute ses quelques erreurs.

Citation:
Zg vi le nouvo konkour
Il cedi ke c 1 bon id, sion disé sur koi
Pr mezuré koi ?
qté ?
Pkoi voT ? Sufi 2 KonT lé nouvo anim chq mwa
K li T ?
sur kelbas ?
Zg di ke la pièS de Kat seré pa Konté
Donpa son avi

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La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Mcem
Cambrai flamande!!!
Zorg69
pfff ...
... mais ce sont des bétises !

*sourit*
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La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Zorg69
Arabesques Zorgiennes et néanmoins contraires

Zorg se hâtait lentement pour réagir avec une douce violence aux faits et dires des rats en dentelle, hâte lente et empressements apathiques reflet de sentiments antagonistes. Il y avait là matière à un exercice de style, dans la première phrase débuté. Oh mais pas une « Queneauserie » itérative, oh non, plutôt une arabesque incontrôlée pour que de drôles de contraires s’épousent à l’image de ses discordantes impressions qui, tantôt, prêchaient le pardon pour le mauvais usage de cette fonction sinusoïdale infinie et même pas amortie que l’on désigne comme la bêtise, et, tantôt, dans la brume d’un quai, il avait des envies de têtes brillantes de mille pierres rétro-éclairées, roulant au bas d’un billot, idée en avance sur des siècles en retard.
La controverse battait son plein dans la cage corticale Zorgienne, souscrivant le cas échéant à la démarche, mais réfutant la forme et l’hypocrisie de propos, hors lignes visibles, et hors de proportions, par des mijaurées moralisatrices, sur le géniteur le plus fragile, forcement, on n’a que le courage de ses capacités et la couardise de ses impossibilités, rendant la farce tragi-grotesque. Farce dument éradiquée par un modérant téléguidé par des géniteurs éberlués, devant le hold-up d’un accord donné. Mais n’étais-ce peut être point ce que le commanditaire mal avisé attendait ? Mais au diable les hypocrisies, il est de notoriété que la génuflexion n’est pas le propre du cochon, qui a l’instar du bipède pensant préférera en toutes circonstances déployer sa gorge.
Zorg jetait un grand regard contempteur sur des attitudes comportementales « angstromiques », le mot est intensément faible.
Il se dit aussi que la confiture aux cochons, n’était pas un bon régime alimentaire et qu’il serait de bon ton de revenir au bon vieux maïs, dégoulinant de niaiserie.
Il formait aussi l’espoir que sa prose elliptique mais pourtant d’une clarté sans égal, voguerait à bon port, que le fond de sa pensée serait de qui de droit compris. Il avait ménagé les faces par un style qui ne serait pas démenti par les astrophysiciens (du latin nebula) accordant assez de synapses aux concernées pour en extraire l’essence.
« Mais de quoi parle-t-il donc se demanderont les autres ? » Zorg se dit « comme je suis charitable, je ménage le creux de la cuillère pour marcher sur des yeux. Cela ne m’empêche pas de terminer en sortant le majeur, pas le lac bien sûr, plutôt celui qui devrait plaire à sire Slam. J’exècre la vulgarité rare chez moi mais directe quand elle se fait écho. »

Zorg
Qui déteste se superposer à sa mauvaise réputation, cette fois valait coutume.
Qui est froid comme le marbre et déteste quand la médiocrité assassine la grâce.
Qui n'est plus drôle depuis que les bouffons du roi ne peuvent plus tout se permettre, malgré les usages historiques.
(Dors tranquille ma Kat, Mehar et moi on veille sur toi)

... Pour que la méchanceté soit, là où il est de bon ton de penser qu'elle est !
... Certaines rêvent leurs soufflets, d'autres les donnent.
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La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Skorwatchkha
Ce n'était pas la première fois que Skor voyait ce personnage imbuvable déverser encore en place publique sa rancoeur. Noyé dans les flots de son discours, le fond de sa pensée ne transparaissait toujours pas. Que de jeux de mots douteux, un verbe élitiste, écartant tout quidam de la compréhension de son discours embrouillé, enfouissant sa vision sous de pauvres métaphores. Quel était le but de ce personnage qui ne faisait rien de constructif, et ne donnait qu'une vision négative des choses ? Pourquoi toujours étaler ses sentiments personnels en publique ? Et enfin, que voulait-il vraiment faire passer comme message ? Skorwatchkha n'y prêta qu'une demi oreille et passa son chemin.
Zorg69
Que voilà une affaire singulière, Messire Shormachinchose qui répond à une pensée !
Mais que fait l’inquisition ?

Comme je suis d’excellente humeur, m’en vais lui répondre à la sienne dans un style adapté.

Imbuvable ? Oui c’est normal, je suis insoluble.
Et paf un jeu de mot à deux balles, non, un jeu de mot douteux, j’adoooooore !

Imbuvable encore ? Oui certes, j’apporte grand soin dans la « cultivation » de mon impopularité.
Et t’as vu gars, ca marche ! Tu me connais ni des lèvres ni des dents et tu me détestes déjà. Quel talent !

Un verbe élitiste ? Je revendique ! Mais je sais faire petit bwana si tu veux, voire sémésien, j’ai d’excellents professeurs et je progresse chaque jour.

Pauvres métaphores ? On fait s’qu’on pneu ! Encore que dans ce texte là, je n’en vois pas des masses. Se pourrait-il que je métaphorise - ou que j’allégorise, mieux non ? Coté « verbe élitiste » - sans le savoir ? Tu confondrais pas métaphores et références dès fois ?

Moi j’aurais dit « pauvres jeux de mots » et « métaphores douteuses », ca sonne mieux !
Voir même si tu veux faire encore plus méprisant : « pauv’jeux d’mots ».

Discours embrouillé ? Ah non, que nenni ! Discours parfaitement clair quand on sait de quoi je parle, jeune paltoquet qui réagit à quelque chose dont il n’a pas les tenants et les aboutissants.

Le message ? Point de message mon brave, juste le fond d’une pensée sur un événement précis. Les destinataires sauront ainsi à quoi s’en tenir ! Et un exercice de style bâti sur des oppositions, parce que ca m’amusait. C’est ballot dès fois la motivation !

Rancœur ? Diable ! Pas de rancœur, juste que je signale la bêtise quand je la vois passer, et quand j’ai le temps ! Je fais comme une sorte d’intolérance. Après ca me passe …

Passer ton chemin ? Tu fais bien ! Allez, à la revoyure. Viens donc boire une chopine dans la taverne des cochons à l’occas., on t’expliquera pourquoi t’es un peu à l’ouest sur ta réaction.

Zorg
Qui espère n’avoir pas été trop nébuleux
Qui adore ceux qui ouvrent leur clapet sans qu’on le leur demande (1er degré)
Qui du coup va offrir à Shorbidule un collector :

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La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Skorwatchkha
Interpellé par le sieur qui précédemment se donnait à ses pensées (que Skorwatchkha n'aurait jamais du entendre il est vrai ), Skorwatchkha se retourna et lui fît face.

- Je ne crois pas messire vous avoir interpellé de quelque manière que ce soit, à moins que vous n'ayez comme moi le don de lire dans des pensées.
Cessons toute télépathie, l'inquisition pourrait tout aussi bien vous inquiéter.
Vous ne me connaissez point, et vous vous permettez un tutoiement que je ne me permettrais pas à votre égard. Je n'ai jamais laissé transparaître de haine, comment pourriez-vous savoir si je vous déteste ou non. Bien des conclusions hâtives sortent de votre bouche. Seriez-vous perpétuellement sur la défensive quand quelqu'un ose une pensée alors que vous vous étalez ?
Vous employez un verbe élitiste, et cela je le confirme. Mais point besoin d'avoir votre rang pour savoir de quoi vous parlez, je ne parle point bwana, encore moins sémésien, et je doute que cela aide à la compréhension.
Sans me connaître, vous estimez que je ne connais point les affaires du Comté. Sachez Messire que je m'y intéresse, et suis avec passion le niveau comtal de notre région. Je comprend donc votre discours, et sais de quel évènement vous parlez contrairement à ce que vous en pensez. Je ne cherchais pas à vous mépriser, ni à vous rabaisser. Comme vous prenez la mouche.
Votre message, qui n'existe point selon vous, est bien de condamner une réaction légitime à mon sens face à un sabotage, et cela a été reconnu par les principaux intéressés, d'un symbole fort de notre institution. Ne croyez pas que je sois un simple jeune paltoquet qui réagit à quelque chose dont il n’a pas les tenants et les aboutissants, comme vous aimez le préciser. Ne condamnez pas une personne qui justement fait des efforts pour s'inquiéter des choses du Comté.
Votre rancœur, oui, je parle bien de rancœur, comment faire autrement alors que je vous vois, et ce depuis quelques temps, toujours intervenir de manière si négative, vous empêche d'avancer. Vous contestez, et ne proposez point. Quel dommage que quelqu'un possédant autant de culture et d'intelligence apparente n'en fasse pas profiter le peuple qu'il semble mépriser.
Je répondrai avec plaisir à votre invitation de boire une chopine, si vous êtes prêts à écouter, même les petites gens, ce dont je doute fort dans ce que vous venez de faire passer. Je ne pense pas avoir été à l'ouest, en reprenant vos termes, et ce malgré mes origines bretonnes, ma réaction a été beaucoup plus simple que la vôtre. Auriez vous une telle prétention que l'avis d'autrui, même des jeunes, ne compte point ?
Je n'ai aucun a priori sur vous, mais sur la forme de votre discours. C'est cela que je juge imbuvable, le fond quelque part importe peu ici. Votre avis est respectable, respectez donc le mien.
Et de grâce messire Zorg, n'écorchez point mon nom, ayez la décence de respecter ceux qui me l'ont donné, et qui je pense n'ont rien a y voir.


*Se saisit du collector , pas la chance de voir ça tous les jours !!*
Zorg69
[/hrp : Désolé pour la réponse tardive, je dispose de très peu de temps en ce moment /hrp]

Messire Skorwatchkha, oui j’ai écorché votre nom et vous ai affublé de quelques diminutifs. Je l’ai fait non point pour marquer mon mépris mais pour dédramatiser la situation, vous sembliez prendre les choses tellement à cœur ! Visiblement l’intention n’a pas été comprise et vous l’avez assimilé à une marque de mépris. Il n’en était rien.

Il en va de même pour le tutoiement qui pour être irrévérencieux, n’en est pas moins un facteur d’allégement du ton, ton et style que j’ai simplifié à votre intention, pour tenir compte des objections formulées. Dans ma réponse à votre « pensée », je m’étais rendu accessible au quidam, pour reprendre votre propos. Là non plus je n’ai visiblement pas été compris et vous avez pris ce tutoiement pour de la causticité ! Mais qu’importe, laissons cela pour en revenir au fond.

Ce préalable étant fait, je m’en vais corriger quelques perceptions inadéquates et quelques affirmations erronées que vous avez proférées. J’ajoute que bien que vous croyant très affuté vous êtes passé à coté de quelques passages notables du texte d’origine. Je ne vous en veux guère, il est volontairement très elliptique, et il faut être au cœur de la polémique pour en tirer la substantifique moelle.

Citation:
Je n'ai jamais laissé transparaître de haine, comment pourriez-vous savoir si je vous déteste ou non.


C’est vrai que votre réponse était élogieuse. Ca sentait la déclaration d’amour à plein nez. Suis-je ballot tout de même de l’avoir pris de travers !!

Citation:
Seriez-vous perpétuellement sur la défensive quand quelqu'un ose une pensée alors que vous vous étalez ?


Je ne crains pas les contradicteurs. D’aucun pourrait vous le confirmer. Au demeurant je ne crois pas être sur la défensive. J’ai simplement ironisé sur votre « réponse ». J’entends bien que cela ne vous ait pas plu. Ca n’était pas précisément le but recherché *sourit*

Citation:
Vous employez un verbe élitiste, et cela je le confirme.


Nul besoin de le confirmer ! Il me serait infiniment agréable que vous me lisiez. Comme je vous l’ai déjà dit, je le répète donc, je le revendique !!

Citation:
Mais point besoin d'avoir votre rang pour savoir de quoi vous parlez


Heu … c’est quoi au juste le rang d’un gueux ?
Vos « connaissances » ne sont pas charitables, elles auraient pu vous prévenir !
Je vais m’autoriser un bon mot pour vous designer quelqu’un qui pourrait vous « briefer » utilement sur qui je suis.
Le saviez-vous ?
Comment se dit « pratiquer l’intox en taverne ? » …
… Bartox évidement !

Citation:
…/… je suis avec passion le niveau comtal de notre région.


Sacrebleu, vous vous passionnez vraiment pour n’importe quoi !
Qu’il y a-t-il donc de passionnant pour une vache à observer un train à l’arrêt sur les rails, si je puis me permettre cet anachronisme.
Le seul intérêt de la politique comtale des derniers mois c’est d’évaluer à chaque comte qui passe, le degré d’immobilisme dans lequel les Flandres sont plongées !
J’ai oui dire que les fâcheux qui nous gouvernent vont enfin passer la main, enfin si mes informations qui datent un peu, sont toujours d’actualité. Gageons que les repreneurs de cette gestion comtale - notez que je n’ai pas dit les successeurs - sauront remettre les Flandres en marche, et remotiver sa population qui a sombré dans l’indifférence la plus totale au cours de la mandature actuelle.

Citation:
Je comprend donc votre discours, et sais de quel évènement vous parlez contrairement à ce que vous en pensez. Je ne cherchais pas à vous mépriser, ni à vous rabaisser. Comme vous prenez la mouche.


Prendre la mouche, oui bien sûr, chaque jour quand je vais pécher. Pour le reste, vous n’y êtes pas…

Citation:
Votre message, qui n'existe point selon vous, est bien de condamner une réaction légitime à mon sens face à un sabotage, et cela a été reconnu par les principaux intéressés, d'un symbole fort de notre institution.

Comme je le disais en introduction, quelques passages vous ont échappé dans le texte d’origine.
Relisez donc cela :
« Farce dument éradiquée par un modérant téléguidé par des géniteurs éberlués, devant le hold-up d’un accord donné. »
Et quand vous l’aurez compris vous viendrez me donner des leçons sur la légitimité des réactions !!
Quand à ce que vous considérez comme un sabotage, cela n’engage que vous. L’intervention n’a pas été considérée comme un sabotage, juste son contenu.
Enfin, je note l’humour de votre formulation « … sabotage … reconnu par les principaux intéressés … ». C’est un peu normal non ? Et c’est vrai que si les principaux intéressés le reconnaissent, alors c’est que c’est avéré. Ca ne fait pas l’ombre d’un doute.
Ah ce n’était pas de l’humour ?
Bigre ! Je suis taquin.
Le pluriel est savoureux aussi, n’est-il pas ? … Principaux intéressés.
J’entends d’ailleurs que l’affaire n’est pas finie, et génère encore quelques remous parlementaires. Il est question d’un procès, pour un soutien courageux et pas vraiment étonnant. Il va s’en dire que j’en rêve …


Citation:
Votre rancœur, oui, je parle bien de rancœur, comment faire autrement alors que je vous vois


Je vous ai déjà dit que de rancœur il n’était question. L’affirmation ne semblant pas suffisante pour arracher votre assentiment, je m’en vais donc développer un peu …
La rancœur est un sentiment, et comme tous les sentiments elle a besoin d’un objet pour s’exercer. Pour faire un parallèle on n’aime pas dans l’absolu, on aime quelqu’un ou quelque chose.
Quel serait exactement l’objet de ma rancœur selon vous ?
Je porte à votre connaissance avant que vous n’énonciez une ineptie supplémentaire, que je me moque comme de ma première paire de braies, de la considération des « principaux intéressés ». Cette précision mise en exergue, je maintiens la question !

Citation:
Votre rancœur, oui, je parle bien de rancœur, comment faire autrement alors que je vous vois, et ce depuis quelques temps, toujours intervenir de manière si négative, vous empêche d'avancer. Vous contestez, et ne proposez point.


Là encore, vous êtes mal informé. Je ne suis pas qu’un critique polémiste. Je le suis aussi, c’est entendu, mais pas uniquement. Je pratique une critique dites constructive, mais non triviale parce qu’ensevelie dans une gangue épistolaire abondante et élitiste. *rit* - je pratique parfois l’autodérision - Celle la même qui m’a valu le qualificatif d’imbuvable dans votre bouche. Il n’en demeure que mes dires ne sont pas toujours dépourvu de propositions ou de questions orientées sensées générer réflexion, enfin pour celui ou celle qui consent à s’en saisir. Mes questions ne trouvent pas toujours acquéreurs, et nombres sont restées sans réponses. « Les principaux intéressés » ne les ont pas jugé digne d’intérêt dirons-nous ! Ou bien est-ce autre chose … ?
J’ajoute pour finir, que j’ai été parlementaire, et que sous une plume assagie et non polémique, il m’est arrivé de soumettre quelques idées saugrenues.
De grâce donc, quand vous affirmez, prenez le soin de vous renseigner un peu …

Citation:
Quel dommage que quelqu'un possédant autant de culture et d'intelligence apparente n'en fasse pas profiter le peuple qu'il semble mépriser.


Merci messire, merci pour cet éclat de rire : Zorg … mépriser le peuple !!
C’est savoureux.
Reprenez ce topic et relisez le depuis la première page, et nous en reparlerons…
Prenez connaissance aussi des très modestes prises de position et des encore plus modestes actions dont je peux faire état sans rougir, et nous en reparlerons encore.

Merci de bouffonner ainsi, cela fait bien longtemps que je n’avais pas rit d’aussi bon cœur.

Citation:
Je répondrai avec plaisir à votre invitation de boire une chopine, si vous êtes prêts à écouter, même les petites gens, ce dont je doute fort dans ce que vous venez de faire passer.


Venez boire chopine, je renouvelle l’invitation.
Je ne sais pas si je vous écouterez. Il faudrait pour cela que votre avis soit étayé par une démarche de documentation pour cerner votre contradicteur. Je n’accorde que peu de crédit à ceux qui affirment sans avoir fait cet effort. A bon entendeur …
Je boirai cependant volontiers avec vous. Je salue en effet votre démarche de contradicteur, même si elle repose sur des fondations bien fragiles. Mais c’est prometteur, …
A vous voir donc, à Bruges !

Citation:
Auriez vous une telle prétention que l'avis d'autrui, même des jeunes, ne compte point ?

L’avis des jeunes est tout à fait recevable. J’ai même été en son temps le promoteur d’une double ouverture du parlement, qui participait pour partie à cette idée.
J’entends donc ce que vous dites.
Je vous renvoie simplement au point précédent.

Citation:
Je n'ai aucun a priori sur vous, mais sur la forme de votre discours. C'est cela que je juge imbuvable, le fond quelque part importe peu ici. Votre avis est respectable, respectez donc le mien.


Un a priori sur la forme de mon discours … hum …
Voilà une idée étrange !
Et qu’a-t-elle au juste la forme en question ?
Et quel est exactement cet à priori dont vous faites mention ?

Si je vous entends à demi-mot, vous affirmez que la forme annihile le fond, que l’emphase est incompatible avec l’émission d’une idée.
Quelle affirmation courageuse.
J’ai hâte de vous entendre argumenter sur ce point.

Voilà cher ami, quelques réflexions nocturnes à vos affirmations matutinales mais néanmoins erronées. Je vous attends à la rentrée du coté de Bruges, pour deviser avec vous des bienfaits de la politique comtale actuelle ! *rit*

Zorg
Qui espère avoir été assez arrogant
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Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Louishubert
Certains sont minables par leur attaque à demi-voilé. Il prétend ne pas l'avoir interpelé. Assurément que textuellement il ne l'a pas fait, mais à partir du moment où il répond à la prose Zorgienne, il s'expose à une réponse, une réponse cherchée même. Alors venir se cacher sous de faux prétextes de soi-disant pensée - pauvrement tournée en mon sens - pour empêcher toute réponse, c'est faible, très faible. Et c'est pas du genre à arrêter le Zorg.

Sinon la couleur criarde qui accompagne ses dires a eu tôt raison de ma patience; le orange me donne un mal de tête fou. Du fait, je n'ai pas suivi toute la tentative de joute oratoire du nom-trop-long-qui-commence-par-S, mais j'ai assez souvent vu la situation pour savoir qu'il va se faire mettre en boîte - si c'est pas déjà fait - par l'habile Zorg.

Au passage, je salue l'Zorg. J'te lis tu sais, parfois. Perd pas la main, si ça t'amuse, tant pis pour lui.

P.S. Il faut savoir nuancer verbe élitiste et longueur.
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Skorwatchkha
Eh bien voici Messire Zorg un exposé tout à fait à propos qui a le mérite d'être beaucoup plus clair et explicite. Et cela je l'apprécie. Je n'ai absolument rien à rajouter à vos dires, et comme je le conçois aisément j'ai encore nombreuses choses à apprendre, même si mes opinions m'appartiennent. Je m'abstiendrai donc à l'avenir d'intervenir à propos de sujets qui ne me regardent finalement que de très loin, pour le moment. Ah si, une petite précision tout de même, concernant un briefing que j'aurais reçu de la part de qui que ce soit. De cela il n'a point été question, et je ne me souviens même pas avoir entendu votre nom en taverne à Anvers ... je vous ai découvert ici même, et ma démarche est tout à fait personnelle, même si déplacée je l'admet. Votre personnage m'intéresse au plus haut point, disons-le en vérité. Ne croyez pas que cela soit à prendre comme flatterie, ni pour ironie, c'est seulement ma curiosité qui s'exprime. Je suis ravi de vous avoir fait rire quelque part, même si ce n'est pas forcément à prendre de la meilleure des manières, mais je pense que cela ne doit pas être donné à tout le monde.

*change de ton, entendons bien sûr de couleur*


Messire LouisHubert ... je vous souhaite bien le bonjour ! Je change ce ton criard qui vous insupporte apparemment, afin que vous entendiez mes paroles jusqu'au bout cette fois. Je tiens à vous féliciter pour cette intervention dans ma première expérience Zorgienne. En effet, vous avez du juger qu'il fallait rajouter une deuxième couche à la réponse du sieur avec qui j'échangeais à l'instant. A mon humble avis, il n'avait nul besoin de soutien pour me mettre en boîte comme vous dites, mais votre démarche altruiste est à saluer. Dommage que celle-ci remette en cause les dires de Zorg qui me paraît tenir à son élitisme du verbe. Aussi, permettez au minable de conclure avec mon interlocuteur afin que je libère cette place.

*se retourne vers son interlocuteur principal*

Messire Zorg, merci de m'avoir accordé un peu de votre temps, j'ai trouvé cet échange très enrichissant, et vous entendre m'a bien donné l'envie de vous lire plus souvent, même si je ne vous rejoindrai pas sur tout assurément. A bientôt à l'occasion, si je passe par hasard dans la capitale.

*met son collector dans sa poche et salue le sieur, moins arrogant qu'il ne le pensait au départ*
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