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Vox populi

K.tchoo
Bruges, la forêt alentours, dans une petite clairière bordant un sentier

Blanche s’étira, jetant son trognon de pomme à quelques mètres derrière elle avant de s’accouder.

- "C’est fou qu’on n’ait encore croisé personne…"
- "C’est un détour, personne ne passe par là à moins de vouloir prendre tout son temps, ou de se perdre," lui expliqua Kat
- "Et ça c’est quoi ?", demanda Blanche.

La brune suivit la direction qu’avait indiquée Blanche.
Sur le chemin, une petite fille ravissante marchait gaiement, arborant un splendide chaperon rouge.
L’enfant était charmante mais simplette, tous le savaient, aussi l’appelait on « Petit Chaperon Rouge » pour qu’elle sache qu’on parle bien d’elle quand on l’appelait.
Un panier à la main, elle passa devant les brugeoises en chantonnant d’une voix claire quelque chose sur un petit pot de beurre, et une galette pour Mère Grand.


- "Qu’est ce qu’elle fout là, la gamine?", fit enfin Blanche. Déjà qu’elle se perd dans sa cour, alors dans les bois…
- "C’est pas la petite fille de la vieille aux chats, d’ailleurs ?"
- "Celle qui sent pas bon ?"
- "Tu connais des vieilles aux chats qui sentent bon, toi ?"
- "Un point pour cet argumentaire brillant"
- "En tout cas, elle a un look d’enfer," répondit la brune, perplexe en la regardant disparaitre dans un virage vertement boisé.

La discussion sur les bienfaits du chaperon sur une silhouette élancée les occupa une bonne partie de leur temps avant de dévier d’elle-même sur la musique andalouse et du degré d’inclinaison de la pente parfaite pour faire de la luge.


- "… m’enfin, au final, une inclinaison supérieure à…"


Kat interrompit Blanche d’un coup de coude. La rousse détourna son regard du monticule de pommes et de pain censé symboliser l’enchainement parfait de bosses.
Du coude précédemment emprunté, venait de surgir la gamine.
Elle était décoiffée, le teint livide, son si beau chaperon rouge froissé, taché… on aurait dit que quelqu’un l’avait mâchouillée toute entière avant de la recracher.
Elle serrait contre elle avec force son panier vide et courait à en perdre haleine…


- "Putain, comment elle est chelou le petit chaperon rouge", marmonnèrent elles d’une même voix…

Il y eut comme un instant de silence pendant lequel une oreille avisée aurait pu entendre la flopée retentissante de « plop » résonnant dans les confins des cerveaux brugeois.
Elles tournèrent lentement la tête l’une vers l’autre.


- "On l’a."
-" On le tient."
- "Il était sous notre nez si longtemps."
- "C’était si évident."
- "Merde, et c’est grâce à la simplette"
- "Un ban d’honneur sera donné en son nom."
- "Qu’est ce qu’on attend ?"
- "Je sais pas, mais dépêche toi !"


C’est ainsi que quelques heures plus tard ouvrait à Bruges une nouvelle taverne : Le petit Chaperon Louche.

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Forgeron, élève des cochons, Tavernière du "Petit chaperon louche", Fée brune de l'Inexistence , fière détentrice de feu Luchadore, cochon de 26 jours, Mécène des "Enfants de Bruges présentent" ...
K.tchoo
Bruges, tard dans la nuit



Atlantide marchait d’un pas léger dans les ruelles de Bruges, les mots entendus quelques jours auparavant bourdonnant toujours à ses oreilles.

**Flash-back **

La place de Bruges, le brouhaha de la foule et des différents sujets abordés ce jour là :
Qui a couché avec Théadeus au conseil ? Peut-on passer par l’Artois ? Mais pourquoi Sernays est il aussi méchant ?

Et puis, le Baron ! Le Baron qui avait toujours le mot qui faisait gratter le fond de la cervelle. L’art de vous rappeler pourquoi. L’art de vous rappeler comment. L’art de rappeler la source profonde…
Le baron, gigantesque, ombrageux, sa grosse voix fendant le ciel flamand pour égrener chaque mot avec une assurance fatale :


Citation:
« Zorg69 aussi avait eu le choix : et je l'ai exterminé, en moins de deux. N'ayant ni l'étoffe, ni le charisme d'un Zorg69, tu ne devrais pas tenir longtemps, dès que j'aurai commencé à m'occuper de toi. »


L’baron, il disait jamais rien pour rien, Atlantide en était sûre.

L’Histoire se fabriquait, il en donnait des preuves le Baron !
Les petites mains sales placardèrent l’affiche et s’éloignèrent après en avoir fait fleurir sur tous les murs de la tribune




« Les enfants de Bruges présentent un conte dans la pure tradition anglo-saxonne pour fêter la prochaine ouverture des ports: « I miss Guignol *», ou « De l’art de la solitude chez les grands de ce monde »
Une œuvre unique à représentation unique, avec, en avant première, une lecture d’un des Contes du Baron Noir : « Loup y es tu ? »


NB : Par soucis de sécurité, aucun spectateur ne sera toléré à moins de deux mètres de la scène
Un spectacle conseillé aux plus jeunes malgré l’emploi d’un vocabulaire ardu.


(* Guignol me manque)

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Forgeron, élève des cochons, Tavernière du "Petit chaperon louche", Fée brune de l'Inexistence , fière détentrice de feu Luchadore, cochon de 26 jours, Mécène des "Enfants de Bruges présentent" ...
Krystel_van_hoedezee
Bruges, à une heure plus matinale.

Une affichette, un écriteau, quelques mots. Pourquoi les yeux de Krystel se posèrent-ils dessus ? Peut-être, justement, à cause de ceci :

Citation:
Un spectacle conseillé aux plus jeunes malgré l’emploi d’un vocabulaire ardu.


Alors, Krystel entra dans une phase d'intenses réflexions, comme cela lui arrivait lorsqu'il fallait compter le nombre de coups à donner à un âne pour qu'il avance, ou à un serf pour qu'il recule. Etait-elle trop jeune pour ce genre de spectacle ? Non, apparemment, puisqu'elle y avait participé, même de loin.

Guignol... c'était quoi ? Encore une invention angloise, sans doute, vu le titre de la représentation, destinée à nous faire rire/sourire/pleurer (de rire). Puis, finalement, la jeune fille opta pour la solution la plus simple. Non, Guignol n'était ni anglois, ni d'ailleurs. Il était flamand.

Satisfaite (mais peu rassurée), Krystel s'en retourna vers la scène. Malgré les morts éventuelles au cours des débats, le spectacle doit continuer avant tout ! Ah ! Les saltimbanques !

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K.tchoo

Minuit sonnant dans les ruelles de Bruges. Prés de l'ancienne taverne des petits cochons, un seul tract témoigne des festivités nocturnes:

Citation:
Les Enfants de Bruges présentent: "I miss Guignol", ou "de l'art de la solitude chez les grands de ce monde", une pièce éphémère et imagée.



Kat referma la porte derrière elles et laissa ses yeux s’habituer à la pénombre. Elle suivit Blanche jusqu’à pouvoir s’adosser au mur de la vieille taverne désaffectée



- « Elle t’a laissée voir la répétition finale ? »
- « Non, pas le moindre coup d’œil mais je sais qu’elle la prépare en version anglaise, « au cas où on les envahirait et qu’on puisse aller là bas en représentation », » la cita Kat.

Le brouhaha s’estompa de lui-même lorsque la petite pièce fut plongée dans le noir, laissant un faible halo de lumière sur le petit théâtre rapiécé suite au dernier final (Voir: Le Procès de Guignol)

Le petit théâtre de marionnettes ouvre ses rideaux rouges sur l’intérieur d’un donjon. Une riche cellule, comportant un vaste bureau dans un coin, une fenêtre entrouverte devant laquelle flotte un rideau blanc et des étagères remplies de livres aux tranches épaisses.
Une cheminée dans laquelle la flamme d’une bougie éclaire nettement cet endroit de la chambre, et un fauteuil. On devine le passage d’une alcôve qui se fond dans la sortie gauche de la petite scène.

Le Baron Tout En Noir entre par la droite, légèrement courbé, ce qui lui donne un air maussade. Il s’assoit dans son fauteuil, et regarde le feu de cheminée tout en tapotant sur l’accoudoir d’un rythme soutenu.



Voix off :
« Il était une fois un homme cruel, despotique et carnassier qui faisait régner la terreur partout où il passait.
A l’approche des fêtes de fin d’année, il devenait de plus en plus agité, aussi, avait-il pris l’habitude de s’offrir un petit massacre pour patienter jusqu’à Noël.
Le voilà déjà agité quand commence notre histoire. »

On toque à la porte. Entre un garde.

Le garde :
- « Seigneur, deux bouseux demandent à vous voir. »

Le Baron Tout-En-Noir, avec un sursaut d’intérêt.
- « Des politicards ? »

Le garde :
- « Non, juste des bouseux à qui vous avez cassé les doigts la semaine dernière. »

Le Baron Tout-En-Noir, soupirant et agitant une main en se coulant un peu plus dans son fauteuil.
- « Je suis las des amuse-gueules. Casse-leur les jambes pour moi. »

Le garde hoche la tête et ferme la porte derrière lui. Le Seigneur a joint les mains devant son visage et semble réfléchir devant le feu, jusqu’à ce qu’une voix caverneuse le tire de ses pensées.

Voix, un peu étouffée :

- « Baron… »

L'interpelé ne bouge pas.


Voix, plus claire :
- « Baron… »

De derrière le rideau, à la faveur d’un léger souffle déplaçant le rideau de la fenêtre, apparait la silhouette de Guignol.
Vague de murmures surpris dans le public


Le Baron Tout-En-Noir se levant d’un bon, chopant l’autre marionnette à la gorge avant de s’exclamer, incrédule :
- « Guignol ! »

Guignol
, stoïque :
- « Baron. »

Le Baron Tout-En-Noir, lâchant Guignol :
- « Putain, Guignol, c’est bien toi ! J’croyais t’avoir pulvérisé… »

Guignol, hochant mollement la tête :
- « Vous l’avez fait. »

Le Baron Tout-En-Noir, continuant:
- « … t’avoir dégoutté d’la vie… »

Guignol, certifiant non sans poésie :
- « Je n’ai plus de palais. »

Le Baron Tout-En-Noir, concluant:
- « … et des Flandres ! »

Guignol :
- « Carton plein. »

Le Baron Tout-En-Noir, se frottant les mains :
- « Ah Guignol, ça fait plaisir de te voir ! Qu’est ce qui t’amène ? Une petite branlée en bonne et due forme ? »

Guignol,
laconique :
- « En fait, je viens vous prévenir… Cette nuit, vous serez visité par trois esprits. Je vous demanderai d’être attentif, il en va peut être de votre futur, qui sait, de celui des Flandres… »

Un coup de vent fait retomber le rideau. La marionnette disparait . On ne voit plus qu'un carré de nuit.


Le Baron Tout-En-Noir, criant à la fenêtre :
- « J’les attends de pied ferme, tes trois tapettes ! »

Une fondue au noir saisit la scène. Quelques secondes plus tard, quand, timides, de faibles lueurs l’éclairent à nouveau, le baron est assoupi dans son fauteuil. Une lumière vive irradie la nuit du carré de fenêtre d'un flash, découpant nettement la silhouette d’un intrus.

Le Baron Tout-En-Noir, réveillé brutalement :
- « Qui va là ?! »

L’Esprit des Guignols passés:
- « Je suis l’esprit des Guignols passés. Je suis venu te montrer ce que tu étais avant. »

A gauche rentre une troupe de marionnettes, guidée par un Baron Tout-En-Noir plus jeune, affichant un sourire sauvage. La troupe traverse bruyamment et lentement la scène sans jeter un coup d’œil aux deux spectateurs



L'Esprit des Guignols passés :
- « Tu avais alors des opposants, te souviens tu ? Fomenter mille plans, étudier pour préméditer tes futures infractions, recruter des soldats dont tu entrapercevais déjà de multiples carrières à des postes stratégiques… »

Le Baron Tout-En-Noir,
regardant le dernier lui passer devant:
- « C’était l’bon temps. »

La troupe disparait à gauche de la scène et l’on se rend compte qu’un nouveau Guignol a remplacé l’ancien.
Le Baron le regarde de haut en bas, soupçonneux.


L’Esprit des Guignols présents :
- « Je suis l’esprit des Guignols présents. »

Le Baron Tout-En-Noir, pour lui même:
- « C’est pour ça cet air con… »

L’Esprit des Guignols présents
, répliquant, un peu vexé:
- « Je suis ce que vous avez fait de moi. »

Le Baron Tout-En-Noir
, catégorique :
- « Moi j’t’aurais fait avec des couilles… »

La troupe apparait à droite et traverse la pièce, un Baron Tout-En-Noir en tête, légèrement plus morose On marmonne, on grogne et on ronchonne.

L’Esprit des Guignols présents
- « Il est peut être là le problème. Faudrait voir à pas le castrer trop jeune, l’Esprit des Guignols Présents, si vous voulez éviter l’ennui et l’embonpoint. »

Le Seigneur ne répond rien.

L’Esprit des Guignols présents, enchainant, fataliste :
- « C’est pourtant vrai. Vous avez assassiné, épuisé, rompu, écœuré vos plus valeureux opposants, ceux qui avaient fini par gagner un peu de votre respect, ne serait ce que pour leur coté coriace… Il va vous rester quoi sous peu ? »

La troupe finit de passer devant eux. La marionnette de Guignol a encore changé quand il laisse le champ libre sur la scène.

Le Baron Tout-En-Noir, impassible :
- « Laisse-moi deviner, l’Esprit des Guignols futurs ? »

L’Esprit des Guignols futurs hoche la tête.

Le Baron Tout-En-Noir :

- « Vous êtes encore nombreux ? »

L’Esprit des Guignols futurs :

- « Je suis le dernier. »

Le Baron Tout-En-Noir:
- « Tant mieux, l’effet commençait à perdre question rebondissements. »

L’Esprit des Guignols futurs :
- « Je suis venu te montrer le futur. »

Le Baron Tout-En-Noir enlevant sa cape et la posant sur le dossier du fauteuil:
- « Pas besoin, je crois que j’ai saisi le concept »

Le baron attrape Guignol par le col de sa chemise et lui colle un coup de boule, avant de le laisser retomber au sol

Le Baron Tout-En-Noir :
- "En fait, passé, présent et futur, tu me casses toujours autant les burnes, alors je vais encore une fois t’éclater la face et t’iras dire aux autres que tant qu’ils auront pas de poil au menton, ils lèvent même pas les yeux sur moi. **lui donne un coup de pied dans les cotes** T’en profites aussi pour retenir mon esprit présent **second coup de pied dans la tête** J’t’épargne parce que j’ai de l’affection pour toi, mais tu viens encore une fois m’emmerder avec tes leçons de morale et j'te casse en deux."

Il le relève en le tenant par le col de son manteau et l’époussette avant de lui confier.

Le Baron Tout-En-Noir, affectueux:
- « Tu m’as manqué Guignol… **puis, faisant volte face vers la porte** Garde ! »

Le garde, apparaissant en un clin d’œil :
- « Seigneur ? »

Le Baron Tout-En-Noir, lui désignant l’Esprit des Guignols futurs :
- « Fous moi ça dehors et trouve moi un bled où se tient une réunion de politicard utopistes, j’ai besoin d’action… »

La lumière s’éteint tandis que le Baron Tout-En-Noir sort de la pièce. Seule la flamme de la cheminée éclaire encore le petit théâtre.

Voix off :
"Ainsi se termine ce conte.

Si vous deviez y trouver une morale, peut être serait ce celle-ci : Qu’il soit assoiffé de sang, d’aventures ou d’amour, Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, l’homme reste constant sur un point : même sachant ce qui lui pend au nez, il ne change jamais."

La flamme de la cheminée fut soufflée, plongeant la salle dans le noir.
Applaudissements des habitués.

- « Rare, ça ne finit pas sur un incendie… »
- « Etonnant tu veux dire… Qu’est ce qu’ils foutent avec les lumières ?... hé les drôles, rallumez les bougies… »

Soudain, une immense flamme embrasa le petit théâtre de rue faisant reculer d’un bond les spectateurs et créant un remous de satisfaction dans le public.
Tonnerre d’applaudissements!


- « Autant pour moi, » conclut Katchoo.
- « Eloignons nous et faisons semblant de ne pas les connaître ou on va nous demander de nettoyer avec eux… »
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Forgeron, élève des cochons, Tavernière du "Petit chaperon louche", Fée brune de l'Inexistence , fière détentrice de feu Luchadore, cochon de 26 jours, Mécène des "Enfants de Bruges présentent" ...
Slamjack
Un Cavalier Noir, encapuchonné, n'avait rien manqué du spectacle. Il était probablement l'un des plus grands fans de Guignol et il se hâtait toujours lorsqu'une représentation était programmée. Plusieurs fois, on l'entendit rire à gorge déployée. Même quand les autres spectateurs ne riaient pas, comme s'il était le seul à percevoir l'une ou l'autre allusion. A l'issue, il se leva et applaudit énergiquement. Il n'esquissa aucun mouvement de recul lorsque le théâtre s'embrasa, comme s'il avait déjà vécu la scène. La lueur des flammes commença à éclairer son visage encapuchonné. Alors il partit sans trainer.


Excellent. Bravo. Merci.

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Krystel_van_hoedezee
Krystel s'était approchée pour mieux voir et mieux entendre. Elle rit beaucoup, je crois. Non, elle rit à gorge déployée. A la fin, remarquant un Cavalier Noir (sans canasson pour une fois) debout et applaudissant le spectacle, la jeune fille ne put que faire la même chose.

Bravo !

Puis, le théâtre s'embrasa. La jeune dame s'en éloigna le plus rapidement possible, non, sans cesser d'applaudir.

Ah, tout de même. Un conte slamjackesque sans incendie ne serait pas un véritable conte slamjackesque.

Didju, mon conte de Noël préféré ! Je me suis pissée dessus, c'est malin ! J'avais oublié de mettre une couche-culotte. En tout cas, bravo.

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Fred65140
fred intrigué par l'annonce de la représentation de guignol, était arrivé a l'heure pour ne rien manquer .
Premiere fois qu'il profitait d'un spectacle d'aussi bonne qualitée .
Pour sur il y reviendrait


Bravo !!!! bravo !!!!!

applaudit un grand sourire aux levres
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Zorg69
Quand je passe, c'est rare, je fais pas le voyage pour rien.
Un ptit coup sur la haute cour, un ptit coup sur la gargotte.
Je vois qu'ca bouge coté tribune, j'me jette...
Top top top ma Kat, de mieux en mieux. j'adoooooooooore.
Tu me les fais passer par mail la prochaine fois pour être sur de rien rater.
Biz...

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Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
{Guillotin}
Je vais faire du ménage ici, je vais enlever les 30 premières pages. Si vous avez des choses à sauvegarder sur ce topic, n'hésitez pas.

Je couperais dans la semaine, ne vous inquiètez pas.
Bon jeu à tous
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Pour les réclamations, n'y pensez même pas ou alors par MP.
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