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[RP]"Entre Oli mais pas au lit et Lily mais restons polis"

Lily-jane


La jeune comtesse avait dormi juste quelques heures en cette nuit agitée.
Sans comprendre ce qui se passait, elle fut tiré du lit en un bond de chat qui aurait reçut un baquet d'eau froide, bien qu'il ne fut pas échaudé auparavant...
Oui donc.

Un bond de chat, la brunesque damoiselle qui se dirige pieds nus et épaules à l'air vers la grande fenêtre de sa chambre.

Voyant les drapeaux des armées flotter.... Se retient de hurler de rage contre un certain homme à plume pour ce jour. Se dit qu'il doit avoir une excuse valable et le fera venir prochainement.

N'empêche qu'elle rage la Lily.
Hurlant des ordres de ci de là à quelques jeunes filles venus l'aider à se préparer, elle fut bientôt prête et vêtus de sa tenue de cavalière.

Fenêtres ouvertes en grands. Peur? Non.

Elle rédigea missive pour cet Oli...
Elle allait se diriger ensuite d'elle même pour la remettre en main propre, mais Henri, un des ses gardes la ramena à la raison lui rappelant qu'il y avait peut être danger.

Bon.... Certes.... Missives fut donc envoyées au "chef" de l'armée dicte de la Rose noire


Citation:
A Messire Oli13, chef de l'armée de la Rose Noire,
De Nous, Lily-Jane de Cognin Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Dame de Labastida Sant Pèir, Comtesse de Toulouse,




Demandons à vous-même ainsi qu’à vos soldats de quitter les terres toulousaines immédiatement.
Aucune autorisation pour cette armée ne vous a été fourni.
De plus, nos amis et voisins, leurs Grandeurs, Coms du Comté d’Armagnac et Comminges et la Coms du Béarn, vous ont donnés informations similaires.

Vous n’êtes pas les bienvenues en Toulouse. Vous n’êtes pas les bienvenues au sein de l’Entente Pyrénéennes.
Puisse Aristote vous redonner raison et détruire cette armée du Sans Nom comportant excommunié et hérétique.
Que soit su de vous que si vous ne quittez point les Terres Toulousaine ce jour et que cette armée dicte de la Rose noire n’est point détruite, nos forces militaires se mettrons en marche contre vous.
Bien entendu nous préfèrerions que vous quittiez de vous-même ces Terres. Vous avez donc le choix. Par la force ou pas.

Cela fait maintenant plusieurs jours que votre armée se joue de nous et des Comtés voisins et amis.
Cette situation a trop duré et nous la condamnons fermement!


Dans l’espoir que vous retrouverez le chemin de la Vrai Foi et qu’Aristote vous éclaire de sa sagesse.

Fait en l’enceinte du Château Narbonnais, le 23 Novembre 1457 par nous, Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, Comtessa de Tolosa,



_________________
Lily-jane


La missive envoyé, Lily fit appeler le Capitaine. Il allait devoir lui rendre des comptes.
Mauvaises excuses avaient été donné. Elle avait ordonné pourtant que cette armée ne franchisse pas les terres toulousaines. Le capitaine le savait, au moins trois fois par jour elle lui répétait.
Pourtant elle était là, presque devant elle. Son drapeau orgueilleux flottant au vent.
Les soldats n'avaient pas comprit eux non plus pourquoi le capitaine n'avait pas voulu attaquer. Incompéhension. Trahison?

La jeune femme était songeuse. Elle espérait se tromper. Mais en tout cas une chose était certaine, il avait désobéit à un ordre direct.

Il y aurait donc sanction. Pour le reste, cela serait avisé en lieu concerné.

Elle s'installa et attendit la venue de Leyoun, et peut etre réponse de cet Oli13.

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Nainainus
Monseigeur Nainainus, évêque de Castres et d'Albi envoya également une missive à messire Oli13, ched de l'armée de la Rose Noire

Citation:

A Messire Oli13, chef de l'armée de la Rose Noire,
De Nous, Monseigneur Nainainus de Nivellus, Evêque de Rodez, Préfet du Saint Office, Missus Inquisitionnis de la Sainte Inquisition,

Informons qu'un dangereux hérétique et excommunié, Pepe_Kaly, semblerait se trouver dans les rangs de son armée, et rappelons que tout contact avec une personne autant dangereuse qu'impure est un grave péché.

Nous vous demandons donc de révoquer cette personne de votre armée et de revenir dans le chemin de la vertu par la confession. Nous serons là pour vous entendre à cette confession.

Dans l'espoir que votre âme se retrouve et revienne vers Dieu.

Fait en la Cathédrale de Rodez, le 23 Novembre 1457,

Mgr Nainainus de Nivellus, Evêque de Rodez


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Kaly_du_bayet
Kaly lût l'affiche du missus et décidât d'écrire au chancelier inquisiteur
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Kaly du Bayet
Caro
Oli était très occupé depuis notre arrivée et lorsque missive de Monseigneur Nainainus de Nivellus lui parvenait, il s’empressait de venir me voir afin de me dicter rapidement réponse.

A peine dit que le voilà déjà à tourner les talons pour aller s’affairer ailleurs.

Plume, encre et me voilà à rédiger la lettre. Le tout terminé je la relisais avant de la fermer et de mander un messager afin qu’il amène au plus vite le parchemin à l’Evêque de Rodez



Citation:
Monseigneur,

Je vous remercie pour votre missive et tenais par la présente à vous informer que j’ai pris bonne note de votre demande et que votre volonté sera respectée.

Cependant je tenais tout de mesme à porter à votre connaissance que Messire Pepe_kaly a toujours montré en présence de ma personne, une aversion extrême que ce soit contre l’ennemi de l’Eglise Aristotélicienne ou contre des personnes ayant pu avoir des propos éhontés, fallacieux envers Aristote. Ne serait-ce que ceux tenus par les membres du Lion de Judas pour vous citer exemple.

Comprenez donc que de ce fait et ce sans vouloir vous offenser que, Messire Pepe_Kaly est à mes yeux un ami avec qui je partage cette cause commune et qu’à mes yeux comme aux siens il est inconcevable que l’on puisse ainsi vouloir bafouer l’Eglise Aristotélicienne.

Qu’Aristote vous protège

Oli13



[HRP ljd Oli ayant des soucis pour se connecter au fofo, je me permets de faire sa porte parole autant RP que HRP ^^ ]
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En cours de changements
Caro
Citation:
A Messire Oli13, chef de l'armée de la Rose Noire,
De Nous, Lily-Jane de Cognin Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Dame de Labastida Sant Pèir, Comtesse de Toulouse,




Demandons à vous-même ainsi qu’à vos soldats de quitter les terres toulousaines immédiatement.
Aucune autorisation pour cette armée ne vous a été fourni.
De plus, nos amis et voisins, leurs Grandeurs, Coms du Comté d’Armagnac et Comminges et la Coms du Béarn, vous ont donnés informations similaires.

Vous n’êtes pas les bienvenues en Toulouse. Vous n’êtes pas les bienvenues au sein de l’Entente Pyrénéennes.
Puisse Aristote vous redonner raison et détruire cette armée du Sans Nom comportant excommunié et hérétique.
Que soit su de vous que si vous ne quittez point les Terres Toulousaine ce jour et que cette armée dicte de la Rose noire n’est point détruite, nos forces militaires se mettrons en marche contre vous.
Bien entendu nous préfèrerions que vous quittiez de vous-même ces Terres. Vous avez donc le choix. Par la force ou pas.

Cela fait maintenant plusieurs jours que votre armée se joue de nous et des Comtés voisins et amis.
Cette situation a trop duré et nous la condamnons fermement!


Dans l’espoir que vous retrouverez le chemin de la Vrai Foi et qu’Aristote vous éclaire de sa sagesse.

Fait en l’enceinte du Château Narbonnais, le 23 Novembre 1457 par nous, Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, Comtessa de Tolosa,




A peine le temps de terminer, de trouver le messager, que celui revienne pour m'informer que missive avait été remise, que me voilà à nouveau à devoir le faire courir une fois de plus.

Il allait finir par me maudire à force de lui faire faire des aller-retour. Tant pis devrais-je dire, je n'étais plus à l'une ou l'autre foudre près....


Citation:
A sa Grandeur Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, Comtessa de Tolosa,

De nous Oli13, seigneur des bas fond et commandeur de l'armée de la rose noire

Faisons réponse à votre ...missive....que jamais n'avons reçu mais qu'avons aperçu par hasard trainant à ruelle... et que par mensonge éhonté vous affirmez,

Que point ne suis le bienvenu en terres toulousaines..... Permettez, Votre Grandeur...votre peuple m'aimera très bientôt, si le temps m'en laissez.

Que mesme en terres de l'Entente Pyrénéenne, je ne suis le bienvenu.... permettez que je rectifie vos dires... la dernière déclaration du coms d'AC me donne sauf conduit en ses terres, pour les traverser... et le Béarn me demande prestement de rentrer chez eux.

Là aussi j'ai du mal à vous suivre ...mais vous pourrez vérifier...tout se trouve en salle du Haut Conseil de l'Entente Pyrénénenne.

Ensuite vous me portez insultes en disant que mon armée est une armée de sans nom....

Armée, apprenez le, comtesse, qui a servit et organisée en Béarn la lutte contre les Lions de Juda ennemis d'Aristote, et de l'Eglise Aristolicienne... Lion de Juda que vous avez laissez passer sans mot dire peu avant l'attaque contre le Béarn....

Alors sachez une chose...c'est que si pendant 10 jours plein je me suis promené en armée en AC, c'est bien qu'Aristote me protégeait, et que je suivais le bon chemin.... celui de la foi...que ni vous, ni l'AC et le Béarn n'avez voulu suivre, faute de véritable foi pour combattre les Lions en leur terres maudites de Genève...

Certes je vais donc quitter ces terres faites d'infidèles... et Aristote me protégera de votre peu de foi, et de votre machiavélisme...

Ainsi donc devant Aristote... si armée se dresse devant moi lors de mon départ de ces terres incultes... je prendrais pour ma part aussi les armes, et vous ferais rendre raison de ces paroles impies....qu'Aristote protège les fideles...et punissent les traitres et les fourbes


oli13

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En cours de changements
Lily-jane


Lecture fut faites et la demoiselle se retint de courrir face à cet immonde personnage qui osait parler de Toulouse en ces termes.
Elle lui aurait volontier craché au visage et elle aurait allumé un feu pour jeter au bucher cet hérétique qui se clamait Enfant du Très Haut alors qu'il fréquentait hérétique et amis du Sans Noms.

Réponse rapide fut faites et transmise par le messager en mains propre à Messire Oli13, avant une certainement plus longue qui viendrait ensuite.



Citation:
A Messire Oli13, chef de l'armée de la Rose Noire,
De Nous, Lily-Jane de Cognin Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Dame de Labastida Sant Pèir, Comtesse de Toulouse,


Nous n'acceptons pas Messire que vos propos salissent ainsi le Comté de Toulouse dont la religion officielle est la religion Aristotélicienne!
Nous n'acceptons pas les traitres en terres Toulousaines!
Hors la présence de Messire Kaly du Bayet, jugé pour Haute Trahison et condamné puis bannit du Comté se trouve être votre allié.
De plus cet homme est excommunié et nous condamnons les hérétiques.

Nos frontières sont fermées et vous êtes cependant entré en Comté de Toulouse sans demander d'autorisation. Ce qui prouve vos mauvaises intentions!
Sachez que si menaces il y a envers le Comté de Toulouse, ou envers son Peuple, nous ne resterons jamais impassible!
Condamnons fermement toutes attaques envers ceux ci!
Détruisez votre armée pour prouver votre bonne Foi dès à présent puis quitter les terres Toulousaines.

Si cela est fait vous n'aurez donc pas à craindre nos forces armées.

Qu'Aristote vous aide à retrouver la raison

Fait en l’enceinte du Château Narbonnais, le 23 Novembre 1457 par nous, Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, Comtessa de Tolosa,


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Leyoun
Leyoun arriva dans la soirée après y avoir été convoqué...il avait dû quitter les militaires en faction devant l'armée ennemie...c'était contraire à ses principes mais si la Comtessa l'avait demandé c'est qu'il y avait raisons.

Il s'y présenta...la Comtessa lui présenta ses mécontentements. Il resta durant tout le temps incliné devant Sa Grandeur et lui expliqua sa stratégie militaire qui l'avait amener à ce que cette armée soit aux portes de la ville.
Il lui expliqua que son éclaireur l'avait prévenu au milieu de la nuit qu'une armée tenté de pénétrer sur le sol de tolosa par les champs à l'ouest de la Capitale. Le temps de mettre en place les hommes le jour allait se lever et les dangers pour les militaires d'Estela De Rason se multipliaient à l'infinie pour toutes tentatives d'attaque. Il pris donc la responsabilité de repousser l'attaque à la tombée de nuitée prochaine pour assurer la vie aux militaires et réduire à néanmoins l'armée ennemie.

Il lui annonça qu'il se battrait seul contre cette armée.

L'épée sur le coeur, il quitta la pièce en priant Aristote pour Tolosa...les gardes présent le regardèrent d'une façon étrange. Comme s'il était condamné à mort.

Le Capitani s'étant retranché dans sa tente en attendant la tombée de la nuitée, se mit à écrire une longue missive...


Citation:
De nous, Leyoun, Capitani del Comtat de Tolosa
A vous, Vostre Grace Lily-Jane De Cognin-Franchesse Casaviechhi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, Coms del Comtat de Tolosa


En ce 23 novembre 1457, la nuitée vient à nous. Elle commence à nous entourer et va venir nostre attaque dans le camp ennemi. Aucune sensation n'est en nous, simplement l'envie continuelle de servir nostre Comtat.
Ce Comtat que nous avons toujours défendu quoiqu'il en coûtait à nostre personne.
Nous avons encore trop de vengeance a assouvir, par exemple face à ce Jeod qui nous a mis en déroute. Le rôle de maire n'était pas en nos compétences et nous avons appris a le devenir.
La teste de Viny et Arfadette nous serons vues d'une meilleure façon lorsqu'elles seront plantées sur un piquet et non pas vivante. Leur traîtrice nous a valu énormément d'expérience.
En Tolosa, nous n'avons pas le temps à une formation que nous sommes déjà avec des responsabilités auxquelles nous n'avons aucune expérience.

Vostre Grace, nous ne savons, de cette obscurité, si nous en ressortiront conscient, mais je vous pris de croire que comme à vostre allégeance, nous vous portons toujoursla plus grande sécurité. J'ai toujours porter grand intérêt aux militaires placés sous l'oriflamme de Tolosa, certe nous sommes très souvent dure avec eux et c'est pour la Grandeur de vos terres de Tolosa.

Si demain nous ne pouvons nous relever, nous vous offront nostre avis pour les changements a effectuer à la COCT.
Le sergent Antinaelle de Tolosa devrait estres nommée loctenant de sa caserne. Son expérience est presque complète pour cela. Le loctenant Vonlichtenchein sera un très bon maréchal d'arme et sans aucun doute devra jouer le rôle de loctenant chaurriens pour quelque temps. Le temps pour former un nouveau loctenant. Cette caserne ayant subit trois changement en si peu de temps. Le sergent Voda est sans aucun doute le futur loctenant d'Albi, son expérience est maintenant bien au niveau de celle de loctenant.
La lance fuxéenne est stable depuis quelque temps. Nous pensons qu'une visite s'impose par le Capitani pour remonter le moral des troupes.
La lance Castraise est celle que nous avons toujours chéri au fond de nous. Nous leur avons souvent cachés pour qu'ils deviennent les meilleurs militaire du Comtat. Ils y sont arrivé, nous ne leur avouerons jamais mais ils le sont au fond de nostre coeur. Nous vous prions de croire que le dizenier Taliesin peut devenir Loctenant, son défaut de respect de la hierarchie se changera peu à peu lorsqu'il aura le grade de loctenant. Nous étions comme lui...nous espèrons qu'il le sera moins longtemps que nous. Le dizenier Spartan est très prometteur. Il fait tout parfaitement et très vite. Le grade de sergent en second lui ira très bien mesme s'il mérite bien plus. J'espère qu'il trouvera l'ouverture de carrière qui lui est destinée.

Nous vous prions de recevoir toute nostre loyauté envers le Comtat de Tolosa.
Qu'Aristote vous garde. Nous le prions chaque jour.



Senher Leyoun, Capitani del Comtat de Tolosa


...puis il s'habilla de tout son apparat de Capitani. Tout se fit avec la plus grande délicatesse et la plus grande attention à la perfection. Il était concentré comme jamais, il se préparer à l'épreuve. Une fois terminée, il glissa entre son sous vêtement de soie et son uniforme en lin au niveau du torce..la missive plié sur son secrétaire.
Il fit un signe étrange..comme s'il embrasser un médaillon qu'il n'avait pourtant pas sur lui...il accompagna ce geste par un regard porté vers l'étoile qui commençait à s'illuminée dehors.
Il s'équipa de son épée longue...de sous armure légère et de son bouclier lancé dans le dos.
Casque à plume sous le bras droit...il sortit de la tente et s'arrêta sur l'entrée...il respira profondément et admira avec un large sourire l'obscurité naissante...

Un bon moment après, il plongea dans une tente du camp ennemi et envoya son épée sur la personne qui était censé estres le Capitani de l'armée rebelle...mais leyoun s'aperçu en portant le coup que il n'en était rien qu'un bougre militaire...il dévia la trajectoire de son épée pour ne pas tuer ce dernier...sa course finie dans une cruche d'eau qui se brisa violemment. Il enchaîna comme un éclair un revers de bouclier dans la tête du militaire qui tenté de se lever...le bougre se recoucha aussi net...
Lily-jane




La jeune femme attendait l'arrivée du Capitaine. Puis le moment vint. Il se présenta à elle, et expliqua ses actes de la nuit.
Pourquoi avait il fait cela.
Ordre avait été donné de repousser l'armée de la Rose Noire si elle venait à pénétrer en Toulouse. Il avait désobéit à cet ordre direct, se fiant à ses idées, et la Rose noire était entrée en la Capitale, laissant Toulouse en grand danger.

Lily balaya d'un geste de la main les excuses du Capitaine. L'armée Toulousaine était apte à repousser la Rose. Il n'aurait pas dut faire marche arrière et les laisser entrer ainsi.
Les soldats Toulousains eux même n'avaient pas comprit.

Mais le Capitaine était têtu. Certes il avait fait de grandes choses. L'erreur est humaine également.
Mais mettre ainsi en danger le Peuple de Toulouse mettait Lily hors d'elle.
Elle appréciait ce capitaine malgrès qu'il soit aussi borné... qu'elle peut être.

Lorsqu'il lui annonça qu'il irait se battre seul contre l'armée d'Oli, Lily se leva et hurla lui demandant s'il avait perdu raison.
Elle lui demanda de repousser cette idée démentielle et de défendre Toulouse.

Mais elle voyait bien dans son regard qu'il allait tenter quelque chose... Quoi... Seul lui et le Très Haut le savait en cett heure.

Elle le regarda quitter la pièce, une boule d'angoisse l'avait saisit.
Elle se tourna brusquement vers un de ses gardes, Henri


"Suis le, ne le quitte pas d'une semelle. Qu'il ne s'aperçoive pas de ta présence. Je veux un rapport demain aux matines. Vas et qu'Aristote veille sur toi.... Et sur lui..."

Henri quitta la pièce et Lily se mi à prier en attendant le retour de son garde.

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Henri, incarné par Lily-jane


Henri, le jeune Henri… Ah qu’il était fier de servir la Comtesse. Un peu amoureux aussi, bien qu’il fut bien plus jeune qu’elle.
Mais il aurait tout fait pour la demoiselle. En même temps elle lui en faisait voir de toutes les couleurs. Entre ses balades nocturnes à cheval, ses insomnies qui la faisaient aller à droite à gauche dans le Castel de Toulouse.
Ce soir là il était encore présent à ses côtés. Bon il n’était pas dupe non plus. Ce n’était pas pour la défendre qu’elle l’avait choisi. Il était plutôt maigrichon, et loin d’être doué au combat.
Mais il était malin, très rusé, il savait se glisser partout, et était un espion hors pair.
Il était resté dans un coin de la pièce tandis qu’elle conversait avec le Capitaine.
Ce Leyoun… Il fit une grimace de dégoût. Il avait osé contrarier sa Comtesse… Et il se pavanait là avec son casque à plume et ses airs pédant toute la journée…
Bon il était aussi sans doute un peu jaloux de ce captaine, comme disait la Comtesse. Faut dire que Lily parlait beaucoup de lui en ce moment, et il n’aimait pas ça.
Il avait déjà du mal à supporter en peinture le Ryan. Mais bon ça, il évitait de le montrer…
Surtout vu la corpulence du sujet… Fallait mieux pas l’contrarier.

Quand l’emplumé fut parti, il sortit de son coin et s’approcha doucement de la Comtesse. Il vit à son regard que ça n’allait pas. Il la connaissait sans doute mieux que personne. A force de l’observer, de la suivre inlassablement. Il savait tous ses secrets, ses envies.
Et là elle avait l’air vraiment inquiète.
Pour ce Leyoun.
Pfffff. Quel crétin celui là !


Citation:
«Suis le, ne le quitte pas d'une semelle. Qu'il ne s'aperçoive pas de ta présence. Je veux un rapport demain aux matines. Vas et qu'Aristote veille sur toi.... Et sur lui… »


Ah sa voix si chantante, charmante… Et ses yeux qui malgré cette peur brillaient d’une flamme changeante…
Il se reprit d’un coup, se mit au garde à vous et fila hors de la pièce.

Les couloirs du Castel de Toulouse ne lui avaient jamais parut si longs… Une fine poussière volait autour de lui tandis qu’il foulait le sol des lieux à pas rapide et discrets.

Il était resté à bonne distance du Captaine et enfin ils sortirent du château de Toulouse.
Le froid le frappa de plein fouet. Peste soit de lui… A chaque fois c’était pareil, perdu dans la contemplation de sa Comtesse, il en oubliait toujours quelque chose. Et là c’était sa cape.
Une main à la ceinture….
Et son arme.
Maudit soit il…. Il jura intérieurement et continua à suivre Leyoun…

Celui-ci finit par arriver aux tentes et il entra dans la sienne. Henri la contourna et par une légère ouverture de la taille d’un pouce, il jeta un œil et observa le Capitaine.

Écriture d’une missive… c’est noté. Regard dans la vague…. C’est noté… Change de vêtements… tiens, aurait il un rendez vous galant…. Non… tenu de capitaine, épée, armure, bouclier….Et son fameux casque.
Boudiouuu il allait désobéir encore à la Comtesse et se battre !
S’il avait pu, il serait intervenu de suite pour lui dire sa façon de penser. Mais bon. Il n’avait pas été envoyé pour ça, et en plus vu sa carrure de tige de roseau, il ne ferait pas long feu face à cet homme…
Il attendit donc et après un long moment, Leyoun ressortit..

Henri se hâta de le suivre, mais il commençait à avoir les chocotte le pauvre. La nuit était aussi noir que dans le c…. Heum… que noir… Le vent froid sifflait aux oreilles et une brume inquiétante parcourait le sol terreux
De plus ils étaient face au camp ennemi.
Un frisson de peur traversa le corps du jeune garde qui tremblait de la tête aux pieds…
Où Est-ce qu’il s’était encore fourré…

Mais il n’eut pas le temps de se poser bien longtemps la question.
Leyoun avait sortit son épée et était entré dans une tente.

Le jeune homme se demanda quoi faire… Il avança doucement.. Des cris avaient retentis à l’intérieur… Des bruits d’armes qui s’entrechoquent… Le temps passait…
Il avança encore, terrorisé…
Puis quand il fut près de la toile rêche de la tente, il risqua un regard par la fine ouverture.
Et là ce qu’il vit le fit tomber en arrière….
Les fesses dans la terre, il reculait, visage blanc et yeux fous…
Puis comme si le feu le poursuivait, il se leva d’un bond et courut jusqu’au Castel de Toulouse.

Sa course ne s’arrêta pas… Pas tant qu’il n’aurait pas raconté à Lily… Par Aristote… Comment lui dire, elle allait être chamboulé….

De nouveau il parcourut les couloirs, puis enfin, la porte des appartements de la Comtesse.
Le garde le regarda étonné, mais il connaissait l’espion de Lily et lui ouvrit la porte.

Le jeune Henri pénétra bruyamment et tomba à genoux, en larmes, effrayé, aux pieds de sa Comtesse….


Votre Grandeur…. C’est affreux….










































Caro
Après avoir fait partir le message pour la Comtesse et certitude qu’elle l’avait bien eu, discussion avait eu lieu et décision avait été prise selon les missives envoyées.

Je regardais Oli sortir de la tente et décidais avant de ranger les affaires et de se préparer au départ, d’écrire une dernière missive

Regard vers le lointain avant de me pencher sur le parchemin et d’y laisser courir la plume

Citation:
Ma très chère fille

Voilà déjà un long moment que nous nous sommes quittées. Je sais, j’aurai du te donner de mes nouvelles mais depuis mon départ il se passe tant de choses que je n’arrive pas à comprendre. Tant de bassesses, de mensonges et de malhonnêteté en ce bas monde. Pourquoi Aristote permet-il autant de fourberies ?

Tu dois sans doute te demander ce qu’il se passe, mais le temps ne me permet guère de t’expliquer tout cela, mais sache que si je n’ai pas voulu te prendre avec moi pour ce voyage c’est qu’un mauvais pré-sentiment c’était emparé de moi et qu’après ton enlèvement par les genevois, il m’était impossible de te faire courir d’autres dangers.

J’espère cependant que tu ne m’en veux pas trop. Je vais essayer de contacter rapidement Aurélien, je pense qu’il pourrait t’accueillir quelques temps, il est ton frère et je sais qu’il t’affectionne beaucoup et prendra grand soin de toi.

Quoiqu’il arrive ma fille, sache que je serai toujours près de toi….

Je t’embrasse
Maman


Reposant ma plume, un long soupir s’emparait de moi. Je me levais, cachetais la missive, avant de l’enrouler soigneusement.

Mettant ma cape, remontant la capuche et d’aller vers le pigeon qui rejoindrait Pau. L’animal ayant pris son envol je retournais à la tente. La nuit était déjà bien tombée et il fallait songer à ranger pour le départ. La nuit était plus que fraiche… l’hiver n’était plus très loin. Quelques affaires soigneusement mis dans ma besace, je tournais le dos à l’entrée de la tente quand soudain des bruits de pas plus que discret se faisaient entendre. Méfiante et aux aguets je l’étais depuis plusieurs jours. Mais que faire ? sortir mon épée du fourreau ? chercher ma dague qui était toujours cachée au même endroit ou me retourner ?

Se raviser au dernier moment, les deux premières idées n’étaient pas bonnes, elles me prendraient trop de temps…et de toute façon d’une manière ou d’une autre je me ferai piéger.. et….. si c’était Oli qui revenait discrètement ? Tant pis je verrai bien en me retournant …. adviendra ce qui adviendra

Sans plus attendre je me retournais et me trouvais nez à nez avec Messire Leyoun, mais pas le temps de réagir, de dire quoi que ce soit que déjà il m’infligeait un coup d’épée qui au dernier moment déviait vers la cruche d’eau. Sous le coup de la force de frappe je tombais à genoux et me pliais en deux, la douleur venait de traverser tout mon corps. Par réflexe je cherchais ma dague dissimulée dans ma cuissarde et tentais de me relever. A moitié debout, un autre coup venait de retentir et à cela…. Le noir total… de tout mon poids je tombais au sol

_________________

En cours de changements
Oli13
[dans le campement de l'armée de la rose noire - début de soirée - lundi2 23 novembre 1457]



aprés avoir aperçu torchon trainant dans une rue de la citée mère du comté de tolosa, lui intimant l'ordre de partir de ces terres, en contrepartie d'une promesse de ne point attaquer, et signé de la comtesse elle mesme, oli réunit ces hommes, pour décider de la conduite à tenir....

les discussions allaient bon train, et les esprit s'échauffaient... cependant aprés moults débats fort houleux et dont je ne puis ici vous narrer le contenu peux honnorasbles des paroles prononcées, décision fut prise, et chacun retrouva ses quartier pour exécuter les ordres donnés... et plier le camp

oli, aprés avoir fait rédiger par sa douce quelques missives en réponses à diverses allégations, fit le tour des tentes pour remercier les hommes et femmes qui l'avaient suivi... et, leur faisant donner dernières provisions, il les regarda quitter le campement dans l'oscurité de la nuit.....

la dernière tente...celle de kaly.... un étrange ami... repoussé par tous...mais si fidèle a ses idées..., et j'ai pu le tester ...dans sa foi...

bien plus que certains dirigeants dans les contrées traversées....

une dernière poignée de main, en guise d'amitié, et le voilà parti...sans se retourner fier qu'il était, mais si fidèle...

oli connaissait les risques... dégager tout le monde de l'armée n'était pas vraiment bonne idée...mais il avait foi en la nature humaine... et aristote devait surement guider ses pas pour avoir fait si long chemin....

il fallait maintenant lever le camp... la lune était déjà haute dans le ciel, et il n'était point sur, des véritables intentions de la comtesse.

Oli se dirigea vers la tente de commandement pour retrouver caro....

il aimait tant la surprendre le soir lorsqu'elle était affairée à rédiger les missives et autres annonces .... il aimait à la faire sursauter, et la voir brandir sa dague se redressant comme un félin...elle était toujours aux aguets, preste à riposter à la moindre tentative d'attaque... l'un des meilleurs soldat que qu il eut rencontré...et avant tout, elle était sa dame de coeur....

passant par le coté opposé de la tente encore ouverte ou la lueur de la bougie laissait penser qu'elle était encore à étudier les plans, ou préparer l'annonce de leur départ imminent des terres de tolosa, oli pénestra à pas de loup à l'intérieur.....

il n'eut pas besoin d'entrer plus avant, qu'il remarqua trace de lutte ... la cruche brisée au sol, la chaise à terre, et... et....



Caro!!!! ....ma douce..... !!!

pris de panique il s'approcha d'elle, et la serrant dans ses bras, tenta de voir si elle respirait encore....

elle respirait, le coup à la testene versait plus le sang, et ne semblait point si grave, mais elle demeurait inconsciente....

oli tenta moultes manières de lui faire reprendre ses esprits, pour enfin réussir à la " réveiller".....


le cap...le...capitaine...celui de tolosa...il ...il voulait me.... tuer..... la comtesse ...elle a trahit sa parole....partons oli...partons loin de ces terre de trahisons!



...
_________________
Leyoun
La cruche à droite était en mille morceaux sur le sol, l'épée dirigée vers l'arrière de leyoun...à gauche le bras avec le bouclier est resté droit tellement leyoun y avait mis force. Il regarda un temps la réaction du militaire...il s'aperçut rapidement qu'il s'agissait d'une femme...il ne retira point son casque pour confirmer sa vue...que ça soit une femme l'importer peu...il ne voyait seulement qu'un militaire.
Il regarda autour de lui...le coin derrière lui à gauche semblait assez sombre...et s'y logea dans l'attente que quelqu'un vienne après avoir entendu le bruit de la cruche brisée.

Le corps du militaire était par terre au centre...l'appât parfait...le froid de l'extérieur n'était plus sentit par le Capitani. L'adrénaline du combat le portait entièrement.
Alors que d'habitude des animaux viennent souvent aux abords des campements pour y trouver quelque brins de nourriture...après ce vacarme plus rien ne trainait et plus aucun bruit n'était.

Un homme arriva dans la tente droit vers l'appât...il s'y jetta dessus...pendant qu'il essayait de la réveiller leyoun se mit très calmement à un ou deux pas derrière lui et lui posa doucement sa lame glaciale d'épée sur la nuque. Au mesme moment le militaire essayait de prononcer quelques mots auxquels leyoun ne porta aucun intérêt tellement il était consacré sur sa proie...

Un moment encore plus étouffant de silence retentit...qui allait parler ou faire un geste en premier...
Stiv
[Une Missive arriva à Foix.]

Stiv l'Archidiacre de Toulouse savait depuis quelques jours que l'armée de la Rose Noire venait sur les Terres Toulousaines, il était Bourgmestre de Foix durant cette période et avait mit avec le Village un groupe pour que Foix soit défendu. L'armée La Rose Noire avait un Messire nommé Oli13, soit disant chef de cette armée. Puis il avait vu Hier Messire Pépé Kaly qui souhaitait rentrer alors que celui ci était un excommunié et surtout qu'il était banni du Comté de Toulouse.


En tant qu'Archidiacre de Toulouse et avec l'appui de la Communauté Aristotélicienne, il décida de faire une missive à cette armée. Il se mit à l'écrire en l'Eglise Saint Volusien de Foix :




Citation:

A Messire Oli13, Chef de l'armée de la Rose Noire,
De Nous, Stiv, l'Archidiacre de Toulouse, Vice Doyen de la Pastorale de L'Archevéché de Narbonne.


Demandons à vous-même ainsi qu’à vos soldats de quitter les terres toulousaines immédiatement. Puisse Aristote vous montrer le chemin et détruire cette armée du Sans Nom comportant excommunié et hérétique pour prouvez votre bonne Foy.

J'espère que vous vous écarterez de Messire Kaly du Bayet qui a été jugé pour Haute Trahison et condamné puis banni du Comté de Toulouse, cet homme est excommunié et nous condamnons sa position.

Espérons que vous reviendrez vers le chemin de la Foy Aristotélicienne, nous vous invitons avec Sagesse à venir vous confessez afin que l'espoir que votre âme revienne vers Dieu.

En attendant que cet appel soit entendu. Je vous attend dans mon bureau à l'Archevéché de Nabonne.

Faict en l'Eglise Saint Volusien de Foix, le 24 Novembre 1457.

Stiv l'Archidiacre de Toulouse.






Messire Stiv l'Archidiacre envoya sa Colombe et fit une prière pour que celui ci soit entendu.
Oli13
léger hochement de teste en sentant le fer glacé de la lame sur sa nuque.... étrange sentiment qui met en route une multitude de sensations...de frissons...non point la peur car elle ne se manifeste que lorsqu'on la voit en face... non un sentiment plutot étrange...

les pensées se bousculent, les muscles se raidissent, l'attention est à son point culminant, et tout les sens sont en éveil...le stress, l'adrénaline...une sensation de légèreté.......

aprés le moment critique, ou toutes nos facultés s'embrouillent et se melent, vient le temps de la réflexion.... penser... le plus rapidement possible à toutes les éventualitée...les image se bousculent dans la teste, les scénario d'action aussi... il commence à faire froid, mais le cerveau bouillone.....

agir.... il le faut maintenant...agir sans hésiter... joindre la pensée à l'action pour coordonner ses mouvements.... agir...mais....

mais le doute alors s'installe, l'euphorie apporté par l'adrénaline s'estompe, le doute.... s'installe.... pire que la trahison, il s'immice en vous et vous ronge... demonte vos pensées les plus profondes, le doute qui fait réfléchir encore et encore, et de nouveau l'adrénaline, quand l'asme prend la part sur le corp.... on est tout puissant on ne craint plus rien...et le monde n'existe plus... tout semble au ralentis.... les sons mesme se font sourd.... et le froid...toujours....

abdiquer il ne se peut ...la fierté ne se commande pas...réagir tout de suite... folles pensées la pointe estait bien collée à ça peau, et la prise à la garde semblait ferme... un soldat sans doute habitué à de tel maniement... une goutte de sang perlait le long de la nuque d'oli, et la chaleur, petit à petit emplie son corp.... la hargne, la haine mélangé à la soumission de faict... il ne se pouvait.....

oli, lentement, commença à se redresser, sans esquisser autres mouvements....

il s'adressa à son agresseur sans se retourner ....


A qui ai je l'honneur de devoir me soumettre?
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