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[RP]"Entre Oli mais pas au lit et Lily mais restons polis"

Caro
Le néant, le trou noir et ce froid qui me gagnait… que m’arrivait-il ? la dernière fois c’était après avoir rencontré ce brigand qui m’avait transpercé le flanc gauche mais là tout me semblait différent. Une impression d’être soulevée, qu’on me parlait, un contact chaud alors qu’il y a peu le froid s’emparait de ma personne… et doucement ce retour à la réalité, les sens qui se remettent en éveil, une douleur qui tambourine dans la teste et puis… et puis lentement les yeux qui s’ouvrent pour voir le visage de mon bien-aimé.

Heureuse de le voir là, mais réalisant très vite qu’il fallait le mettre au courant du danger qui nous guettait. Du mal à rassembler les idées, du mal à parler… je cherchais et puisais au fond de moi


le cap...le...capitaine...celui de tolosa...il ...il voulait me.... tuer..... la comtesse ...elle a trahit sa parole....partons oli...partons loin de ces terre de trahisons!

Les yeux dans les yeux j’attendais réponse et le temps de reprendre tous mes esprits mon regard quittait le sien pour se relever légèrement et voir que l’homme qui m’avait agressé se trouvait à présent derrière Oli, épée en main à le menacer. Je voyais le visage de mon bien aimé changer, cela n’augurait rien de bon pour son agresseur.

La rage, la colère s’emparait de moi, mais encore sous le coup de ma perte de connaissance je n’arrivais pas à réagir aussi vite que je l’aurai voulu. Doucement je m’asseyais au moment où Oli se relevait et discrètement levais ma main droite pour lui glisser ma dague dans sa main.

Lentement je me reculais, m’adossais à la table avant de me relever …. profitant là aussi pour prendre sur moi et m’enquérir de la force qu’il me restait si jamais cela devait mal se passer, mon regard ne cessant d'aller d'Oli à l'agresseur et vice versa...

_________________

En cours de changements
Leyoun
Un filé de souffle émanait du casque à plume....tout ce qu'il y avait de plus serein...toute une concentration mise à l'épreuve du combat...

La toile de la tente se rabattait, par la bise du vent de nuitée, sur les armatures en bois...ça donnait le rythme du décorum. L'homme à terre ne semblait point perdre son sang froid, ce qui marquait un militaire de haut rang.

Lorsqu'il se releva, leyoun le contourna par la droite pour se placer sur son côté. Le bouclier bien à l'avant de son poitrail pour esquiver toute agressivité infantile
.

Senher Leyoun, Capitani del Co....il n'eut le temps de finir que la femme militaire passa une dague dans la main de son chef...

Prenez garde messire ! Je vous conseil plutôt de réglé ceci en duel face à face...reculez dont et nommez vous !

Leyoun ne pris point soin d'observer le militaire blessé car il savait qu'avec le coup qu'il avait donné ce dernier ne pouvait faire autre chose...
Lily-jane


La jeune Comtesse regardait par la fenêtre depuis qu’Henri était parti à sa demande suivre Leyoun.
Les heures passaient doucement, comme si le temps se jouait d’elle, la taquinant en passant plus lentement…
Moments d’angoisse et de stress. Et toujours ce mauvais pressentiment… Elle ne cessait de prier tout en tenant sa médaille de baptême. Juste la prière pour l’instant à quoi s’accrocher….
Elle espérait de tout cœur qu’il n’avait pas désobéit à ses ordres…. Qu’il n’était pas allé attaquer la Rose Noire….
Il a allait droit au suicide si c’était cela. Non il ne l’aurait pas fait…
Se persuader…
La jeune femme finit par s’éloigner de la fenêtre grande ouverte. A trop regarder la nuit tomber, elle finissait par y voir de mauvais présages. La lune entouré d’un halo orangé…
Se dirigeant vers son bureau, elle s’assit sur la dur chaise en bois et contempla le plan de travail lisse et brillant. Plumes et parchemins étaient correctement posés sur le côté, aligné à la perfection.
Un vase avec quelques fleurs également sur le côté opposé de la table.
Les minutes qui n’avançaient pas.
Par Aristote pourquoi est-ce si long…
Elle attrapa un parchemin et se mit à le triturer, le froisser, le déchirer, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que des miettes… Puis un autre et un autre…

Puis la nervosité qui prend le dessus… Lily se lève et fait les cents pas dans la pièce…
Le vase qui vole et s’écrase dans un bruit sourd au sol, faisant voler en éclat les morceaux de terre cuites.
Les fleurs qui retombent doucement, comme au ralenti…

Puis la libération… La porte qui s’ouvre en grand…

La jeune fille se retourne et regarde Henri arriver… se jeter à ses pieds… Visage blafard, yeux rougis….

Une main doucement se porte à sa bouche… Non… Elle recule d’un pas, comme pour éviter l’inévitable nouvelle…


Henri a écrit:
« Votre Grandeur…. C’est affreux…. »



Le peu de couleur du visage diaphane de la jeune comtesse disparaît alors… Tandis qu’elle sent ses yeux s’embuer et une douleur atroce lui serrer le ventre..

Elle se jette à genoux et secoue le pauvre Henri qui n’y peut rien



« Parle!!! Mais parle!!!! Dis moiii! Où est Leyoun!!!!! »

Moment de folie, d’inquiétude… De rage, peur de la réponse… Peur d'apprendre la traitrise de son Captaine... Peur des conséquences… Peur des choix à faire ensuite… Peur de l’avoir perdu….

_________________










Oli13
Citation:
Senher Leyoun, Capitani del Co....

oli essaya de prendre la dague que lui tendait sa douce.... quand soudain
Citation:

Prenez garde messire ! Je vous conseil plutôt de réglé ceci en duel face à face...reculez dont et nommez vous !


s'exécutant faute de pouvoir l'occir, oli recula de l'homme qui se disait capitaine.....

mon nom est oli13!, commandeur de la rose noire et accessoirement seigneur des bas fonds...pour vous servir.... capitaine!! l'homme le mettait en garde avec son épee, oli fit encore 3 pas en arrière, et sortit la sienne.... j'aime à combattre les hommes d'honneur messer!......

l'épée en garde à senestre pour influencer la tactique de son adversaire, oli passait de quart à tierce comme par amusement, pour le défier....

le capitaine était fort habile, rusé, et il maniait l'épée à merveille.... evitant à dextre pour faire quart à senestre, et tenter de toucher teste..... mais oli, éléve de la vieille école, resista à la multitude d'assaults, avant de mettre fin à la bravoure du capitaine et homme d'honneur...dénommé leyoun

oli aimait ce genre d'adversaire, toujours garant de la parole donné....
toulouse perd là un bon soldat, et un excellent capitaine.... se surprit il a dire tout haut....

lui rendant les honneur de manières furtive, oli retourna voir caro, et l'aidant à se relever...

il est temps ma douce...nous devons lever le camp...la comtesse ordonne que nous sortions de ces terres..... ils nous faut partir....



l'heure était venu...le camp ou ce qu il en restait, n'était finalement que fantome dans la brume épaisse de cette nuit pourtant si douce......

_________________
Leyoun
Leyoun sourit sous son casque lorsqu'il vit l'homme accepter le duel...il se concentra de nouveau et mena divers assaut....les deux hommes étaient très habiles...rarement leyoun avait eu ce genre de combat...les sons des lames dansaient dans la tente. Le résultat des cliquetis des forgerons, le fruit de leur travail à leur finalité. Quoi de plus beau et mené avec puissante...jusqu'au moment où l'épreuve fait fasse à la capacité d'absorber la force...une lame se brisa...celle de leyoun....il plaça aussitôt son bouclier devant lui et s'y mis à l'abri...

Le bourdonnement de la vibration du choc de l'épée ne s'arrêtait plus dans la main et le bras gauche de leyoun...il gardait bien en main le reste de la petite lame et tenta le tout pour le tout...il traina ses pieds sur le sol...il sentait à présent le moindre grincement de caillou sous ses pieds...il n'entendait plus rien...il tourna rapidement sur lui mesme pour essayer d'attaquer son adversaire à ses jambes...se mettant ainsi très peu de temps à découvert de son bouclier.

Un sensation de froid l'envahit d'un coup et le stoppa très rapidement...il n'eut le temps que d'effleurer le tibia...sa vision se brouilla...peu à peu il ressentit que certaine action...comme celle d'estres un genoux à terre, le bouclier toujours attaché à son bras qui pendait littéralement sur sa droite. Ce qui restait de l'épée était sur le sol.

Il tomba en arrière en ne sachant ce qui lui était arrivé...ne voyant plus, n'entendant plus...seul son souffle était encore de ce monde.

Le vent soufflait de nouveau, les bêtes revinrent un moment après, de l'agitation nocturne se fit connaitre...Leyoun gisait là sur le sol prêt de l'entrée de la tente....un capitani comme mort.
Henri, incarné par Lily-jane


Au castel de Toulouse

Henri était toujours au sol... Terrorisé. Il avait peur de dire à sa Comtesse ce qu'il avait vu. Il avait peur de penser ce qu'il avait vu...
Lui qui l'avait critiqué. Oui bon il avait trahit le Comté en désobéissant à un ordre, mais il en restait pas moins un homme...
Quel malheur...
Et vla que sa belle Lily se jettait à ses genoux pour être à sa hauteur...
Elle se mit à le secouer...


Citation:
« Parle!!! Mais parle!!!! Dis moiii! Où est Leyoun!!!!! »


Il voyait les yeux de la jeune femme devenir brillants. Comme il s'en voulait de devoir lui apprendre cette nouvelle.
Qui serait un choc sans nul doute. En plus d'une traitrise, un décès probable, et une attaque certaine...
Comment annoncer cela.

Il la regardait toujours, lui même pleurant comme un gosse, s'en voulant de tel faiblesse.
Puis il finit par parler....


"Votre Grandeur.... Il l'a tué.... Cet Oli... J'l'ai vu mettre son épée dans l'ventre du Captaine Leyoun! Et sa donzelle l'était là aussi, la Caro.... S'avez, l'ancienne comtesse...
J'suis désolée Votre Grandeur.... Il y est allé, et après j'ai rien pu faire.... Seul...
J'suis parti.... Leyoun s'est bien défendu vous savez.... Mais l'était trop fort... Et son épée... Brisé.....
Et ce sang......
Ces gosses de catin envoyés du Sans Nom bruleront en enfer après avoir pourris en place public Vot'Grandeur..."


Et il se tut voyant Lily se relever. Aussi pâle que la neige...















Lily-jane


Ses mots... n'avaient aucun sens... Cela ne pouvait être vrai... une réaction... vite... rien ne vient... quelle est donc cette étrange sensation... panique? Effroi? Peur? Colère? Chagrin? Incompréhension? Il devrait exister un terme regroupant tout cela... Etat de choc peut être...
Toujours est-il que le jeune fille se releva doucement.
Son visage était aussi blanc que la lune dehors et ses yeux flamboyaient comme son halo orangé.
Une fois debout, elle regarda Henri.


Sors.

Ce qu'il fit sans attendre... Triste et effrayé. Une fois qu'il fut hors de la pièce, Lily renvoya également le personnel présent. Puis une fois qu'elle fut seule, elle hurla.
Un cri bestiale qui vous prend aux tripes et vous envoie les frissons glaciales qui paralysent un instant.
Son cri se répercuta dehors, ayant laissé la fenêtre ouverte.

Puis elle tomba à genoux... Elle serrait dans sa main sa médaille de baptème, priant le Très Haut pour qu'il lui donne la force de tenir...
Elle voulait pleurer, s'enfermer dans un mutisme, et casser tout ce qu'elle aurait sous la main, mais le moment n'était pas encore venu.
Elle devait réagir en Comtesse.
Ses sentiments ne devaient pas prendre la place de ses devoirs.
Alors elle se releva.

Son visage prit un masque froid, dur.
Par deux fois elle avait demandé à Oli de détruire son armée. Etant en terre Toulousaine, et sans accord, il se devait d'obéir.
Il ne l'avait pas fait.
Il payerait pour cela.
Pour tout ce qu'il avait dit. Fait.

La jeune femme fit entrer à nouveau une des jeunes filles de compagnie qui l'aida à se vêtir.
Elle réajusta sa tenue de cavalière et fit apporter son épée et son bouclier.
Une fois qu'elle eut tout en main, elle quitta la pièce, ses cheveux volant derrière elle au rythme de ses pas rapides.

Destination les casernes.
En peu de temps, un nouveau capitaine fut nommé. Une personne de confiance, Antinaelle.

Les ordres fusèrent et les vaillants soldats se mirent au travail afin de se tenir près.
Regroupement, et tout ce qui s'en suivait.

Quand tout fut près, Lily regarda le ciel. Il rougoyait.
L'aurore n'était pas loin.
Toulouse avait un ciel couleur de sang.
Présage funeste.
Mais pour qui?

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Leyoun
L'aube se leva doucement...le cours de la vie reprenait son cour...le bruit du silence étouffant n'était plus désormais. Il avait laissé place à l'agitation de la faune et de la flore. Des petits oiseaux chanter, l'écureuil descendait de son chêne pour aller rendre visite à ses amis dans la forêt. Les branches des arbres laissaient retomber leur transpiration de la nuit. Quelques gouttes tombèrent sur l'épée planté dans leyoun et s'écoulèrent le long de la lame pour finir sur la plaie béante.

Quelques fourmis circuler en ligne sur l'envers du bouclier attaché au bras droit de leyoun. Un lapin pris le risque de s'aventurer près du corps...tout en reniflant en inclinant son museau de haut en bas et en s'allongeant de tout son corps pour éviter de faire quelconque pas supplémentaire. Il ne s'approcha pas à plus d'un mètre de la masse musculaire inerte.

Le sang continuait de s'écouler sur le flanc gauche du personnage, l'armure n'avait pas été assez épaisse pour cette épée aussi bien aiguisée. L'épée du combattant n'avait pas été retiré...pourquoi? seul l'agresseur aurait pu nous le dire, car un militaire qui est fier de son combat garde l'épée avec le sang écaillé dessus pour plusieurs jours. Quelque chose d'inhabituel s'était passé cette nuitée.

Le corps du Capitani gisait sur le sol, son genoux gauche plié et s'appuyant anarchiquement sur la jambes droite allongée. Il était là, sans que personne lui porte assistance, son erreur stratégique lui valait de se retrouver seul au combat et mesme post combat...devait il prendre ceci comme la punition suprême d'Aristote...le Très Haut qu'il priait depuis le jour où sa donà lui en avait appris l'existence et la croyance. Ce châtiment était très certainement justifié si le Très Haut en avant décidé. Bien que désobéissant, leyoun avait voulu porter loyauté et honneur en allant affronter seul le capitani ennemi, fort de courage et dévouement pour son comtat il ne voulais point l'en-tâcher.
Lily-jane


Ils avancaient. Belle et fière armée Toulousaine. Tout était prêt. Ils étaient unis et portaient la même flamme dans leur coeur. Toulouse.

L'ennemi n'était plus loin. On pouvait voir les drapeaux de la Rose Noire flotter. Ceux de Toulouse battaient le vent et claquaient dans l'air. Les pas des soldats et les sabots des chevaux soulevaient la poussière ocre du sol.
Lily était determinée. Le coeur en rage, le corps sous tension, elle avait un regard froid et une lueur passionné.
Les militaires étaient organisés, et les civils prêts. Rien ne pouvait empêcher ce qui allait se produire. Rien....

La marche continuait ainsi... Au fur et à mesure que les minutes s'écoulaient, ils voyaient la Rose de plus en plus distinctement.
Leurs mains serraient les épées dont les lames luisaient à la lueur de l'aube.
Si l'on écoutait bien, on aurait même entendu les battements de coeur de tous ces hommes et femmes, battant à l'unisson, prêts à donner leur vie pour leur Comté.

Quand tout à coup.... Lily s'arrêta.
Un malaise, elle se sentit défaillir...

Avait elle bien vu ce qu'elle venait de voir.... Impossible, ce n'était pas possible...
Qu'Aristote nous vienne en aide se mit elle à murmurer...

Un regard échangé avec les autres. Ils avaient l'air aussi abasourdis. Certains effrayés, d'autres interloqué. Une incompréhension face à un évènement inattendu....

L'armée de la Rose Noire avait tout bonnement disparut devant leurs yeux vigilants.
Il faut dire que la brume ce matin là était dense. Un voile blanc, comme une mer de nuage se profilait à l'horizon...
La demoiselle en eut des frissons d'horreur et pensa à un acte de sorcellerie.
Ils étaient là, encore quelques secondes avant, les drapeaux noirs, les silhouettes indistinctes... Et plus rien. Avaient-ils fuit aussi discrètement que des rats dans des bas fonds, avaient ils étaient aidés par on ne sait quoi?
En tout cas ils n'étaient plus là...
Pas âme qui vive...

La Bête Sans Nom était venu chercher ses enfants pour les protéger...
Qu'Aristote nous vienne en aide...


édité suite à quelques réclamations par MP

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Petitfuyant
La demoiselle toujours en vadrouille avait décidé de passé par ici plutôt que par là pour rentrer chez elle....Le matin se levait doucement et Fufu était pressait de rentrer chez elle pour se fondre dans son lit...
Qu'elle idée aussi de partir en vadrouille au beau milieu de la nuit?!
L'aube... Fufu trouvait cela magnifique... de belles couleurs épousaient l'horizon et toutes les petites bêtes pointaient le bout de leur nez, curieuse de nature, la demoiselle releva son minois pour voir quel oiseau poussait si bien la chansonette...
Quand elle cogna sa botte sur un truc tout... mou.Perplexe elle recula toujours les yeux en l'air puis forçat un peu le chemin ...Mais rien à faire il y avait bien quelque chose par terre....Soupirante, pensant que c'était peu être un sanglier mort elle s'accroupit et baissa les yeux prête a attraper la chose et la jeter un peu plus loin pour passer.
Elle s'arrêta net dans son élan quand elle compris (enfin) que c'était un homme, gisant au sol, une épée dans le ventre..... Décidément la Fufu n'arrêter pas de croiser des hommes meurtris en ce moment!! Et de plus elle ne savait toujours pas comment réagir devant cela...
Un peu apeuré elle regarda d'abord autour d'elle voir si il n'y avait personne pour l'aider, puis sans réfléchir elle hurla:


"De l'aiiiiiiiiiiide!!!!! un homme à terre!!! de l'aiiide....!!!"

Quand elle se pencha sur le sir, elle reconnu Leyoun, le chef des troubadours euh non zut enfin un chef en tout cas ^^....

"Leyoun!!! C'est vous?! Vous m'entendez? c'est Petitfuyant l'anti Leyoun enfin l'anti caractère de Leyoun.... Bref ... LEYOUUUUUUUUN!!!!!! "

Sans trop savoir quoi faire elle mit une grosse claque en espérant qu'il ouvre au moins un œil...... Puis fouilla dans sa besace (obliger qu'elle est de l'alcool la dedans) , une fois le breuvage sous la main elle ouvrit la bouche de Leyoun et fit couler quelques gouttes d'armagnac espérant que ça aussi sa lui ferai ouvrir un œil....
Elle s'assit a côté de lui, ne cessant de lui parler .... Et commença a ce demander si il ne fallait pas envoyer missive à quelqu'un pour qu'il vienne aider.... Ses soldats devaient le chercher....

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Felinia
Félinia était à l'armée depuis un moment et comprenait pas du tout comment se faisait il qu'elle n'avait aucune nouvelle de Leyoun, ça commençait à faire long.
Ce qu'elle ne comprenait pas non plus c'est pourquoi personne ne s'inquiétait pour lui.
Elle profita de ses gardes et de surtout de ces temps libre pour aller fureteter à droite et à gauche à sa recherche.
Elle interrogea les gens de la ville, pas de réponse satisfaisante.
Mais elle n'était pas du genre à baisser les bras, alors elle poursuivit ses investigations.
Au détour d'un chemin elle entendit hurler, cette voix ne lui était pour inconnu, loin de là.
Elle courut aussi vite qu'elle put.
Elle reconnut Fuyant et surtout Leyoun, blanc inconscient.
Il fallait faire vite.


C'est pas possible, quelle tragédie !
Bouges pas mon amie, je vais chercher une charrette en ville et on le transportera jusqu'à ma cabane, là on pourra sans occuper.


Aussitôt dit, aussitôt fait, Félinia courut aussi vite que ses jambes le permettaient et alla quémander une charrette auprès d'un paysan pour conduire un soldat blessé jusqu'à chez elle.
Elle prit place et alla aussi vite qu'elle put rejoindre le lieu de la tragédie.
Ayant vue la gravité de la situation elle prit de quoi essayé de le soigner, si ce n'était déjà pas trop tard.
Elle descendit prestement de la charrette et récupéra la besace dans lequel elle trouverait de quoi faire.
Elle s'approcha de Fuyant.


Bon il va falloir faire le maximum ici, et le transporter dans la cabane ensuite.
Mes connaissances sont limitées mais si on ne fait rien, il est voué à la mort.


Elle s'agenouilla près de Leyoun, déchira les vêtements autour de la plaie
Tatonna pour essayer de savoir si aucun organe n'était touché.
Elle prit la bouteille de vin volé dans une taverne et en versa au niveau de la plaie.
Elle prépara aiguille et fil en vue d'une couture qu'elle espérait bien faire tenir.
Elle versa du vin sur le fil et l'aiguille et les déposa sur un linge immaculé.
Elle prit l'épée à pleine main et la retira du flan de son supérieur.
Son coeur se souleva, mais il n'est pas le moment de virer de l'oeil.
Le sang se mit à couler plus abondamment et elle due prendre un linge et compresser un bon moment.
Lorsque ce fut possible, elle s'empressa de refermer la plaie.
Elle avait pu observer, la couture sur un blessé auparavant et elle en avait gardé le souvenir.
Elle entreprit de faire des points serrés et s'appliqua à le faire jusqu'au bout.
Elle aspergea la plaie de vin et y déposa un linge propre.


Il faut le transporter, tu peux m'aider s'il te plait ?
Leyoun
L'air frais du matin arrivait peu à peu...non pas sur la peau mais dans le corps de leyoun. Sa chaire se vider de son précieux liquide. Ce sang s'en allait, rien ne l'arrêtait.
Perdu dans ses cauchemars, le Capitani ne sentit point la grande claque qu'on lui mit...il ne ressentait plus son corps...seule son âme vagabonder...ses divagations étaient très diverses....beaucoup d'amour...énormément d'autorité militaire et une certaine rigidité. Tout ce qu'il voyait ne s'était pas produite dans le passé...situation à venir ? moment tout le temps voulu mais jamais vécu.

D'un seul coup il ouvrit grand la bouche et un râlement suivis d'une longue aspiration d'air. L'épée fut ainsi retirée. Leyoun retomba dans un état de mort et repartit dans sa divagation de toute une vie.
Petitfuyant
Bien c'est qu'elle vait de l'expérience la Felinia, bien plus que la Fufu hein...
La demoiselle la regardait faire, perdu au milieu du sang d'une épée et de Leyoun....Pfiiiou Félinia avait eu le temps d'aller chercher charrette,fil aiguille, vin et tout le tsouin tsouin que la Fufu n'avait pas bouger d'un mètre depuis qu'elle c'était retrouver au côté de Leyoun.....
Voilà pourquoi Fufu n'aimait pas ce monde de soldat, tous à se déchirer les entrailles pour quelques bout de terre, ridicule....!
Il était maintenant le Leyoun.....



Bon il va falloir faire le maximum ici, et le transporter dans la cabane ensuite.
Mes connaissances sont limitées mais si on ne fait rien, il est voué à la mort.



"Olaaa hé ho il va pas faire ça le Leyoun hein!!!"

Elle se pencha sur lui et lui glissa à l'oreille...

"dite donc Leyoun ... Tu vas pas faire ça hein, un homme costaud comme toi, tu nous meurt pas dans les bras hein... hé ho!!! Donc va falloir ce battre !!!"

Comme quoi les hommes pouvaient trouver tous les apparats, pouvait se donner l'image qu'il voulait bien,quand la mort s'accrocher à toi, tu redevenais aussi simple et démunie que n'importe quel pecnot....
Quand elle vit Felinia enlever l'épée du corps de Leyoun, Fufu était encore pencher sur lui , sans trop savoir comment si prendre elle lui prit la main tout simplement, et crispant son visage, Brrrrrr c'était impressionnant!!
Leyoun se mit à crier de tous ses poumons, bon bah Fufu en déduit qu'il était encore en vie........^^


"Allez Leyoun on va te sortir de ce chemin déjà"

Félinia était absorber, elle manipuler les outils mécaniquement et ne regardait que lui.... (Remarquez normal hein si elle m'avait dit vient on va s'assoir pour maté les étoiles je me serait posé des questions ^^......)
La flaque de sang s'étaler et arrivait jusqu'aux bottes de Fufu, dans qu'elle histoire elle c'était encore foutue non mais je vous jure, ras le bol hein, chaque fois qu'elle va se balader ça se termine mal!!!



Il faut le transporter, tu peux m'aider s'il te plait ?

" Bon je t'aide Félinia, on a des petits bras mais on devrait y arriver ... Dis don t'es douée toi.... heureusement que tu as prit ce chemin je crois que je n'aurais pas réussit à la sauver.....1.....2....3... (pfff il fait son poids)"
_________________
Felinia
Elles réussirent tant bien que mal à le mettre sur la charrette.
Mieux vaut que tu restes à le tenir, c'est pas le moment qu'on le perde en route.
Féli s'installa aux rênes, les prit en main et les claqua sur le dos du cheval


Allez YAAAAAAAAAAA !

Elle s'empressa de ce rendre à sa cabane, arrêta le cheval à la porte

OHHHHHHHHHHH !

Elle descendit et alla ouvrit la porte de la cabane.
Elle ne payait pas de mine, toute simple, une seule pièce.
Table, chaises et un grand lit.
Elle alla aider son amie à le sortir de la charrette et allèrent le déposer sur le lit toujours inconscient.


Je vais te laisser le déshabiller et le coucher correctement je vais préparer du feu dans la cheminée, préparer une infusion contre la fièvre.
Je vais devoir cautériser la plaie, profiter qu'il est inconscient pour le faire.
Les fils tiendront pas.


Elle alla faire du feu dans la cheminée et prépara une infusion en grande quantité pour prévenir la fièvre à base de tilleul, de fleurs de sureau et de saule blanc.
Elle y ajouta du miel pour lui donner des forces.

Elle avait eu l'occasion d'assister à une cautérisation et elle s'employa à faire de son mieux.
Elle fit chauffer un cautère, le fit rougir et avant d'aller le chercher elle alla enlever les draps et enlever son pansement de fortune.
Elle regarda ce soldat mal en point entre la vie et la mort.
Elle avait le coeur serré, elle l'appréciait énormément et c'était grâce à lui et d'autres soldats de Castres qu'elle était encore Bizuth.
Tout en étant perdu dans ses pensées, se demandant ce qui l'avait mis dans cet état et surtout pourquoi, elle décousue sa plaie qui saignait moyennement.
Elle alla cherche le cautère, approcha le bout rougit de la plaie et demanda à son amie.


Essaye de le bloquer au cas ou la douleur le fait revenir à lui.

Avec un mou dégoûté mais sachant qu'elle n'avait pas le choix, elle posa le fer rougit sur la plaie.
L'odeur de chair brûlée emplit la cabane.
Elle cautérisa toute la plaie.
Remit le cautère dans la cheminée et laissa la plaie à l'air libre.
Elle alla se placer près du visage de son chef et lui passa un linge humide sur le front.


Ca va aller maintenant Chef !
Seul, vous pouvez ou non sourire à la vie !
Mon amie et moi, ne pouvons plus rien pour vous !
Votre volonté est seule maîtresse de votre avenir.
Peu importe ce que vous avez fait ou dit, pour moi vous êtes et vous resterez mon supérieur hiérarchique qui m'a fait aimer l'armée.


Elle alla humidifier à nouveau son linge et tout en le passant sur son front elle poursuivit...

Il est toujours plus facile de mourir sans affronter ses choix et ses convictions plutôt que je se battre pour eux.
Mais sachez que je serais là, si vous en avez besoin.
Ici vous êtes en sécurité, personne, à part moi et Petitfuyant sait que vous êtes là.
Ici je ne reçois jamais personne.
J'ai entendu des horreurs sur vous et j'aimerais tellement avoir votre version des faits.
Moi j'ai confiance en vous, vous avez sûrement une bonne raison pour avoir agi ainsi.
Mais au fond de mon coeur Leyoun j'ai de la colère, de la colère contre l'armée qui n'a pas fait de recherche pour vous retrouver.
Moi qui pensais que l'armée était une grande famille.
Même si une erreur ou une trahison a été commise, n'a t on pas le droit au bénéfice du doute ? A t on le droit de condamner avant d'avoir été jugé ?
N'est on pas soldat avant d'être traite ? Plusieurs questions me travailles et j'aimerais tellement avoir réponses à toutes celle ci.


Elle finit de l'éponger

Dormez !
Demain on saura si vous avez lutté ou pas !


Le coeur lourd elle le laissa et rejoignit son amie près de la cheminée.

Veux tu rester pour le dîner ?
Leyoun
Les deux jeunes femmes apportaient les soins au capitaine, celui ci était encore très loin.
A chaque douleur qui suivirent, il resta de marbre. La route étant fortement chaotique et à la fois si noire. Les roues de la charrettes s'arrêtèrent et fut venu le temps de la torture. Le fer rouge sortit des flammes et fût mené avec une grande délicatesse et efficacité.

Des paroles furent, mais leyoun ne pu les entendre. L'instant paraissait irrémédiablement le dernier. La souffrance du fer rouge avait l'air présent chez les deux jeunes femmes. Et pourtant sur un corps mort ceci ne pouvait plus faire de mal. L'enceinte de cette cabane respirait le repos, ce lieu au milieu des arbres était par ailleurs plein de vie. Et lorsque la lame rouge vînt au contact de la peau du Capitaine, ce dernier réagit violemment par un cri de douleur. Tout son buste se releva, ses yeux s'ouvrirent puis tout s'éteint de nouveau pour revenir à la prochaine bande de cautérisation.

Il s'endormit de nouveau après toutes ces épreuves physiques. Le front dégoulinant de sueurs. Un petit moment après la médicastre vînt à lui et lui glissa à deux reprises quelques phrases. La femme semblait songeuse et ses questions fusaient. Il n'en restait pas moins qu'elle les posaient tant qu'il ne pouvait y répondre. S'il avait été vivant et droit devant elle, en aurait elle fait de mesme?! Pas sûr vu la carrure de l'homme.

La fièvre montait en flèche après ce coup de foué sur la blessure. Son esprit divaguer encore plus qu'avant.
La femme repartit vers la cheminée et invita son hôte à diner. Une voix forte se fit ressentir tout d'un coup.


...Toile...regardez...donà Raph...ël....mooooonn Etoile !

Ses yeux vassillié, ses gros bras s'agitaient et se cognaient contre le support sur lequel il se trouvait allongé.
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