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Jamais deux sans trois !

Finute
La Lieutenante avait fait un aller-retour à la Barbacane, aidant à la garde pour accueillir les derniers invités.
Course folle pour revenir dans l'aile Nord, dans la salle du Cénacle. Pour rien au monde elle ne voudrait louper l'adoubement de sa Cap', celle sur qui elle essaie de prendre exemple.

Elle avait appris il y a peu de temps qui était ses parents et ce que souhaitais son père pour son éducation. Cette nouvelle lui avait redonné du courage et elle souhaitai vraiment continuer dans cette voie là... celle des armes, de la chevalerie, honneur, bravoure, justice...
Sa Cap' avait le privilège de devenir Chevalier à son tour, comme le fût tant de femme ces dernières années. Et elle méritait ces honneurs.

Oui, la Lieut' était émue, heureuse comme elle ne l'avait été depuis quelques jours. On pourrait croire qu'elle a une vie facile... mais pas du tout en réalité, beaucoup de choses n'allaient pas et elle n'en parlait pratiquement pas. Préférant chercher des solutions....seule.

Arrivant en courant devant la porte, elle glissa, s'arrêta pile devant et entra, essoufflée, se glissant sur le côté de la pièce... la cérémonie débutait.
Pas de sourire, ou juste intérieur, pas d'émotion, non rien. Visage impassible, mais pourtant elle était heureuse.

La Blanche enleva son chapeau de plume qu'elle se créait, laissant cascader ses cheveux bouclés et châtains le long de ses épaules.
Elle regardait la suite avec bonheur...

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Zya
Y a des moments, comme ça, parfois, où vous vous dites "Merdouille de merdouille de merdasse! J'devrais faire gaffe, moi, parfois, quand j'croise les gens et que je veux m'amuser un peu!" et puis vous grimacez.
Bah là... c'était ça... en pire... sauf pour la grimace. Parce que bon, il l'attendrit toujours autant, le petit. Et au lieu d'une grimace, elle a les yeux qui pétillent et un sourire amusé.
Elle l'écoute, et savoure son étonnement. Il l'avait jugé d'un seul coup d'oeil, la première fois. Il l'avait vu comme une simple Blanche.
Il serait trop compliqué de lui expliquer que ça, elle l'avait apprécié. Cette ignorance de leur symbole. Ces échanges, comme d'un égal à un autre... ce qu'elle ne trouvait que trop peu, ici. Dire que ca lui manquait, par moment, était amoindrir la chose. Ca lui manquait tout court.
Alors oui, elle en avait profité, et c'était caché de sa fonction, à chaque rencontre.

Il la surplombe, elle à genou et lui debout. Deuxième fois de la journée.
Zya cherche alors les yeux de son GM, pour prendre la parole avec son accord.
Détour des yeux vers lui. Le sermonner? Non. Lui parler, simplement.


Je n'ai rien dit parce que peut être, quand on s'était croisé, je n'étais que moi, Cyrielle... Parce que je suis Cyrielle, avant d'être un Capitaine... *s'éclaircir la voix, un instant* Il... il est des moments, comme ça, où on n'a pas forcément envie de porter une étiquette... Et puis, tu cherchais une plus vieille que moi apparemment, ça s'voyait... alors, je me suis dit que c'était l'occasion de... te montrer qu'on ne doit pas toujours se fier aux apparences... Comme on ne doit pas se fier à ton jeune âge... parce qu'on ne connait pas ton habileté à la fronde. Tu comprends?

Le regarder, encore un moment, et tenter de sonder celui qu'elle ne connait pas encore vraiment.

On a un entretien, toi et moi, à faire... On l'a un peu débuté, déjà, même si tu ne le savais pas... Mais il n'est pas fini... Faudra qu'on y parle de chevaux... Et puis, à ton âge, il est temps que tu passes à autre chose qu'une fronde... Mais tu vois, je crains que ce ne soit ni le moment idéal, là... pour converser... ni ce que souhaitent, ces gens, dans la salle. Rejoins Lucie, tu veux bien...?

Donne lui la preuve que tu peux venir, ici. Donne lui la preuve que tu es quelqu'un qui sait quand il doit se taire ou agir...
Un regard, de nouveau, vers le GM, furtif.
Avait-elle bien fait? L'avenir le dirait... mais elle avait tenté, en tout cas...

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Absente Samedi 21/11 dès la fin d'aprem
Wonderanny
Un pas puis un autre. La Blanche prendrait elle confiance en elle ? Croiser ce regard, prendre toute la mesure de ce qui ne sera jamais défait en ce jour. Inspiration. La Cap s’avance, elle a répondu à l’ordre non négociable de son GM. La voilà qui s’approche, enfin, le genou frôle le sol, avant que le mangeur de poulet ne s’interpose.

C'tait toi l'Cap' et t'm'd'sais rien !

Sur l’instant la Blanche devient rouge, mais alors d’un coup, elle frôle avec la couleur de la pivoine avec l’unique envie de crier, de s’interposer : Ha non pas maintenant ! Va donc pas l’arrêter dans son avancée !

Imperceptible mouvement vers l’avant mais déjà la voix de la future adoubée calmement retentie. Le rouge vire ensuite vers un fadasse rose grignotant ses joues puis enfin à entendre les paroles que la Cap rétorque au gamin la couleur vire vers le calme blanc. Tant de valeurs d’écoute, d’humilité, de foi, de confiance… N’y a il pas dans cela la conclusion, la preuve que son choix est le bon, encore une fois. Fallait il encore une fois le démonter ? Nenni !

Laisser du temps au temps. Ce n’est qu’un gamin, la cérémonie peut attendre, la Cap sera Chevalier même si ce jour le ciel tombe sur la Commanderie.
Reprenant patience, elle attend la fin de l’échange. Doucement elle se détend, finalement l’intervention du petit d’homme aura été plus que bénéfique pour les nerfs des Dames. Etre Chevalier n’est point aisé chaque jour ! preuve en est !

Prendre une profonde inspiration. L’interlude est terminé, la cérémonie peut débuter ou reprendre... qu’importe ou l’on est.

Le regard se fait inquisiteur, le visage tend légèrement sur le côté cherchant le regard de celle qui se tient à présent genou à terre devant elle. Fixer le sommet de la tête de la Cap pour questionner


Cyrielle, ma sœur, pour quelles raisons désires-tu entrer dans la chevalerie ?

Très coute pause avant de poursuivre.

Si tu recherches la richesse ou les honneurs, tu n'en es pas digne !

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{Mésange toujours à terre , me cherchez pas en HL !. Oui je sais ça doit faire quasi un mois et ça m'arrange point !
Que vive le MP... enfin pour le moment !}
Abbygaelle
[Curiosité quand tu nous tiens…]

Elle n’avait pas d’invitation la jeune tulliste mais ne prit pas la peine d’en demander. Elle crapahutait dans les couloirs et s’était finalement retrouvée devant une salle de cérémonie où se tenait effectivement une cérémonie. Coup d’œil, à droite et à gauche, il ne fallut pas longtemps à la limousine pour comprendre que l’instant était important.

Que faire… Demi-tour et ne pas importuner de sa présence les dames blanches endimanchées ou rester dans un coin regarder ce qu’elle n’aurait peut-être plus l’occasion d’assister, et laisser sa curiosité parfaire son apprentissage de la chevalerie ? Longue hésitation avant de faire deux pas dans la pièce et directement se coller au mur dans l’fond. S’faire toute petite et si elle sent des yeux inquisiteurs sur sa personne, fuir tout aussi discrètement…

Elle chercha à comprendre ce qu’il se passait. Elle reconnut deux trois personnes, notamment sa Baile et son amie limousine, Zya, l’ex-bailli avec laquelle elle avait passé son plus merveilleux mandat. Grands souvenirs de soirée joyeuse partagée au coin du feu avec les autres « Respire ». Sur que pour le coup, elle n’avait pas la même allure ce jour, et vu tous les regards qui étaient portés sur elle, surement était-elle la reine de la cérémonie. Heureuse de pouvoir assister à un moment clé de son amie et d’pouvoir lui témoigner un peu de soutien, elle commença à s’décontracter un peu et écouter attentivement les différents intervenants qui prenaient la parole.

Ohhhhhhh Zya allait devenir chevalière, quelle surprise pour la postulante. Fierté aussi d’connaître l’intéressé, qui au vu de ses connaissances, méritait amplement c’titre. Elle ignorait trop le fonctionnement des dames blanches, mais elle se demandait si elle resterait capitaine ou si elle allait devenir la ch’valière d’la Baile. Petit sourire à cette idée avant d’intensifier son attention pour la suite des événements…

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Aeldred
Elle à genoux et lui debout. Pour cette fois, c'est pas sa faute au marmot. Il sent derrière lui des yeux pointés et désappointés. Mais c'est que pour le gamin, y'a que sa question qui compte, les adultes ne sont pas grand chose pour un bout d'homme comme lui.

Je n'ai rien dit parce que peut être, quand on s'était croisé, je n'étais que moi, Cyrielle... Parce que je suis Cyrielle, avant d'être un Capitaine...

Bin elle était le Cap' ou non ? comprenait déjà plus le môme, mais il écoutait. La suite lui échappa, mais pour sur, il comprenait qu'elle le flattait en parlant de sa fronde. Une idée germa dans son esprit. Lui disait elle que comme ça à le voir on ne devinait pas qu'il savait tirer ? Pourtant la fronde elle pendouillait à sa ceinture, ça se voyait...

L'enfant se laissa jauger, se mordant la lèvre pour ne pas rire. D'instinct il sentait que ce n'était pas le moment de partir de son rire moitié aigu moitié grave.


On a un entretien, toi et moi, à faire... On l'a un peu débuté, déjà, même si tu ne le savais pas... Mais il n'est pas fini... Faudra qu'on y parle de chevaux... Et puis, à ton âge, il est temps que tu passes à autre chose qu'une fronde... Mais tu vois, je crains que ce ne soit ni le moment idéal, là... pour converser... ni ce que souhaitent, ces gens, dans la salle. Rejoins Lucie, tu veux bien...?

Une lueur pétillante se fit dans les yeux d'Aeldred. Autre chose qu'une fronde ? parler de chevaux ? Là c'était sur, le garçon était conquis. Alors quand il fallut s'en retourner sagement, il acquiesça d'un hochement de la tête, puis s'éclipsa vers son banc, non sans avoir fait une courte révérence espiègle devant le groupe contenant la chef des dames.

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silec
Silec en son campement d’armée, reçu missive pour se rendre en la Commanderie. Il se prépara donc, revêtit son habit d’apparat, cape licorne sur les épaules, et après quelques jours de chevauchée arriva en vu de celle ci.
Laissant sa monture aux écuries, il se dirigea vers la grande salle, en retard il était encore une fois, les événements dans son duché, et ceux du Berry, ainsi que des tensions palpables l’avait retardé.
Silec espérait fortement que l’hiver serait plus calme mais le Berry bougeait beaucoup malgré l’occupation.

C’est donc perturbé et songeur qu’il entra en la grande salle. La cérémonie était commencée, il fallait être discret. Advienne que pourra, et tout en hochant la tête de bas en haut pour saluer les personnes présentes. Il attend la suite de la cérémonie, souhaitant que son arrivée ne soit pas claironnée.

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Zya
Il hésite, elle le voit bien... Tout au long de son discours, au moins pour la première partie. Et pourtant, ses yeux changent, à la mention des chevaux et de la fin du temps de la fronde, pour lui... Pétillement dans la rétine! Elle a fait mouche, elle le sait.
Inconsciemment, elle se détend. Faut dire que si la cérémonie était partie de travers, ça aurait été entièrement de sa faute... ou presque.
Le gosse n'y connaissait rien, lui, à tous ces rituels. Il ne connaissait pas l'importance du moment, même s'il y assistait.
Et puis, il se décide. Il semble accepter l'idée qui a pris le temps de s'imposer en son esprit. Déjà, il fait un pas ou deux de côté et, dans un style grandiloquant et exagéré, il se lance dans une courbette probablement destinée aux quatre personnes au devant d'elle.
Léger soubresaut alors qu'elle retient un rire. Sa douzaine d'année lui rappelait la sienne. Le temps de la rencontre avec l'Aigle. Déjà six ans qu'ils se connaissent... ou seulement. Et ce n'est pas fini. Ou du moins, elle espère que ca durera encore des lustres!

Et comme un léger sourire se dessine, perdue qu'elle était dans les méandres de son esprit, ses yeux captent un mouvement de Wonderanny lui signifiant, par la même occasion, qu'il était temps de quitter le ciel des deux ailés pour redescendre sur Terre, dans ce Cénacle, avec eux.
La tête reprend sa position, le regard se rive de nouveau sur un point, mais légèrement vers le sol cette fois. Et une voix s'élève comme la cérémonie reprend.


Cyrielle, ma sœur, pour quelles raisons désires-tu entrer dans la chevalerie ?
Si tu recherches la richesse ou les honneurs, tu n'en es pas digne !


LA phrase... LE moment! La main gauche vient se déposer sur l'épaule droit. Tout un symbole : cette main qui tient le fer suivra à présent ce serment qui guidera ses pas et habitera son coeur.
Et déjà, la voici sur le point de sceller son avenir. Il ne resterait plus grand chose de la cérémonie, une fois ceci fait. De l'apparat, de la symbolique, chaque objet qu'on lui remettrait symbolisant une valeur, une vertue... Mais pour l'instant, il y avait une chose à prononcer, un serment de Chevalier... à personnaliser un peu.


Je désires entrer en Chevalerie pour toute autre raison. La richesse et les honneurs, je m'en défais si ce n'est le cas déjà, acceptant de vivre simplement pour ce pourquoi j'ai voulu entrer en cet Ordre : aider le peuple, offrir un bras armé à mon Roy!

Toujours, je croirais en mon Ordre et en son Grand Maître.
Je me mets au service de mon Roy, même dans la mort.
Je protègerai l'Eglise et ses valeurs.
Je défendrai les faibles contre l'oppresseur.
J'aimerai ma ville, ma contrée et ce Royaume de France.
Jamais, je ne fuirai devant l'ennemi.
Je combattrai ce qui est opposé à nos valeurs.
Je remplirai comme il se doit les devoirs d'aide, de conseil et de franchise dus à mon Ordre.
Jamais je ne dérogerai à ma parole, y restant fidèle, m'abstenant de tout mensonge.
Je serai tolérante et bienveillante.
Je me mettrai toujours au service du bien et du droit, contre l'injustice et le mal.
Jamais, je ne me placerai au dessus d'un autre, me considérant comme son égal.

Si jamais je venais à faillir, qu'on me traite comme il se doit, qu'on sacrifie mon honneur sur l'autel de la Chevalerie, et qu'on me retire tout droit d'un jour en être de nouveau membre. Que mon épée soit brisée, que mon écu soit trainé dans la boue, à l'image de mon parjure menant mon nom dans une situation similaire!


Un coup d'oeil, rapide, de biais, vers sa marraine... Mordillement léger des lèvres. Elle a bien fait, ou pas? Et dans les yeux de la future adoubée, on aurait pu voir tout ce doute permanent, cette envie de ne pas se tromper, de s'approcher de la perfection, quand bien même elle n'est pas atteignable.

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Absente Samedi 21/11 dès la fin d'aprem
agatha21
Elle avait prise assise pret de son amie Nérine, pas trop pret mais point trop loin non plus, juste l'endroit où elle aurait pu ne rien ratter de cette cérémonie qui à ses yeux était tellement importante…
Elle venait de comprendre, rien qu'en regardant les va-et-vients de Baile que celle qui allait être consacrée icelieu ce soir n'était personne d'autre que sa Cap, et le sourire qui l'avait quitté depuis bien des semaines maintenant lui revint aux lèvres…
S' il y avait bien quelqu'un qui méritait cette distinction c'était elle…
Elle était encore loin d'avoir compris tout ce que signifié être chevalier et sans doute bien des aspect lui était encore étrangés, mais pour avoir suivit Zya en Touraine, elle savait qu'elle representerait à jamais un exemple pour elle…
Nine ? T'as compris ? Tu sais qui seras chevalier ce soir ?
Regard interrogateur d'la poitevine et sourire espiègle d'Agatha…
Ben alors !!
Elle s'appétait à se penchait pour lui murmurer le plus doux des secrets, quand les portes s'ouvrirent…
Toutes les têtes se tournèrent alors, s'était plus le moment, et le secret n'en allait bientôt plus être un…
Ce petit bout d'femme en tenue d'apparat s'était enfin présentée…C'était un grand p'tit bout d'femme qu'allait devenir chevalier…Beaucoup de fierté se lisait sur le visage de toutes les blanches…
Elle était loin maintenant la Cap' du haut des remparts, les pieds ballants dans le vide…Y avait plus de doute possible pour elle ou alors ce n'était pas ceux de rentrer dans ce cercle si restreint de la chevalerie…
Elle savait que c'était sa voie, car sinon elle serait point là…Elle était forte l'Ange…Bien plus forte qu'il n'y paraissait encore…
Ce qu'elle était belle aussi, s'avançant vers le Grand Maître, vers les Dames Kirah et Zalina…Et puis le genoux fût posé…
Elle voulait pas en perdre une miette la Limousine…

Mais que venait faire c'gamin à la cérémonie ? Et il sortait d'où ?

Les cœurs s'était un bref instant arretaient d'battre quand tel un diablotin sorti d'sa boîte il s'tenait déjà prêt d'la blanche…
Observait Nanny qui changeait de couleurs passant du blanc, au cramoisi, et pâlissant d'nouveau aux paroles de zya…

On a un entretien, toi et moi, à faire... On l'a un peu débuté, déjà, même si tu ne le savais pas... Mais il n'est pas fini... Faudra qu'on y parle de chevaux... Et puis, à ton âge, il est temps que tu passes à autre chose qu'une fronde... Mais tu vois, je crains que ce ne soit ni le moment idéal, là... pour converser... ni ce que souhaitent, ces gens, dans la salle. Rejoins Lucie, tu veux bien...?

Il n'y avait vraiment plus aucun doute, même en ces circonstances, elles savait réagir comme il le fallait…
Le sourire était réapparue sur les lèvres de la Grande Amazone. Le gamin avait repris une place plus indiqué après une petite révérence. Un clin d'œil au passage, alors qu'il rejoignait Lucie…

Cyrielle, ma sœur, pour quelles raisons désires-tu entrer dans la chevalerie ?

Si tu recherches la richesse ou les honneurs, tu n'en es pas digne !


Tout pouvait reprendre…Cyrielle de prononcer le serment…
Agatha retenait son souffle et sans même s'en rendre compte choppa la main de Nérine au passage pour la lui serrer…Elles vivaient cet instant ensemble et ce n'était pas rien…

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Thomaslatapie
Thomas regarda la salle se remplir. Mais où était ses jeune frère ??? Il avais du se perdre ... Il fit un sourire a son autre frère et lui chuchota.

- La cérémonie viens de commencé mon frère pourvu que les retardataire entre pas en plein milieu de la cérémonie.

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Aux grands maux, les grands remèdes
cleopatre2
Assise dans son coin, la normande voyait toutes ses soeurs arriver et s'installer pour la cérémonie. Elle se demandait pour qui était celle-ci. Mais elle du se rendre à l'évidence avec tous les aller et venues de certains que c'était la Cap qui était à l'honneur en ce jour. Elle le méritait bien, avec tout le travail qu'elle avait accompli, c'était une grande récompense.

Parmi les blanches, d'autes invités, d'autres Ordres, étaient arrivés aussi. Et attendaient avec recueillement la suite de la cérémonie.
Quand la Cap apparue... Le regard de Cléo suivit avec attention la future chevalier... retenant son souffle. Le coeur battant.

Et le gamin... encore lui... décidément... il aimait faire parler de lui... fit face à la Cap dans son parcours... mais ne l'arreta pas pour autant...

Comme elle était belle dans cette posture humble de quelqu'un qui attend la reconnaissance de ses pairs. Et la cérémonie d'adoubement pu commencer.

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Apprentie Dame Blanche - filleule de Merenwen



"Si tu n'espères pas l'inespéré, tu ne parviendras pas à le trouver" Héraclite
Nerine
La poitevine observait les étrangers qui entraient tour à tour en saluant les personnes qu'ils connaissaient. Elle examina également les allées et venues des blanches, enfin certaines blanches. Baile plus particulièrement. Pas normal ça. A moins que ... Elle réfléchissait à toute vitesse lorsqu'elle vit arriver Agatha. Celle-ci s'assit à ses cotés et se pencha à son oreille.

Nine ? T'as compris ? Tu sais qui seras chevalier ce soir ?

Un air interrogateur se peignit sur les traits de la blonde. Ensuite, un éclair sur son visage lorsqu'elle vit le sourire si espiègle et reconnaissable entre tous d'Agatha.

Ben alors !!

Zya ...

La blonde ouvrit de grand yeux et sourit pleinement. Elle se retint de frapper dans les mains comme une enfant. Cette agitation, la cérémonie ... c'était pour Zya. Elle allait devenir chevalier à son tour. Une bouffée d'émotion l'envahit. S'il y en avait une qui méritait bien cet adoubement c'était leur Cap'. Cet adoubement n'était que mérité pour celle qui représentait l'unité et le maintien de leur ordre. Tout à coup, les portes s'ouvrirent, les souffles se retinrent, les murmures cessèrent. Celle que l'on allait adouber faisait son entrée.

Nerine suivit la cérémonie avec une attention plus particulière encore cette fois. C'était leur Cap'. Celle avec qui elle avait vécu une première mission particulièrement pénible. Celle aussi qui avait ses moments de doutes comme tout le monde. Et l'émotion l'étreignit tout entière. Elle garderait longtemps en mémoire cette cérémonie. Elle se souviendrait longtemps de Zya, genoux à terre, prononcer le serment des chevaliers. Juste à ce moment-là, la poitevine sentit une main étreindre la sienne. Agatha, sa chère Agatha. L'amitié qui était née entre ces deux-là ne cesserait pas de si tôt. Elle serra la main de sa soeur et tourna la tête pour lui sourir avant de porter à nouveau un regard empli de fierté sur Zya.
Wonderanny
Etrange comme celle scène elle semble déjà l’avoir vécue. Souvenirs lointains, entourée de grandes Dames, avait elle rêvé ce moment ? Oui cela ne pouvait être qu'un rêve ! Kirah était là d’ailleurs, Zalina aussi, d’autres encore, certaines même étaient disparues. Morgwen non ? N’y avait il pas Baile, Agatha … Azzera aussi également non ? Un regard interrogateur vers les deux femmes assises. Etrange sensation que celle qui l’imprègne alors.

Après quelques murmures à l’entrée de Cyrielle dans la grande salle, les présents cessent leurs échanges, à présent plus le moindre bruit ne retentit dans la salle. Chacun ici présent, le regard rivé sur celle qui vient de poser un genou à terre, attendant ses paroles, son engagement, le moment le plus important de cette cérémonie.

La voix de la Cap, forte et posée résonne dans la salle, prononçant clairement le serment qui, à jamais, lie la Blanche à la Chevalerie. Serment ou chaque mot, elle se sait, elle le sent est pensé, adopté sans contrepartie aucune. Un peu modifié, soit ! et puis ? Un serment dont chaque mot, la Blanche s’est approprié les valeurs, la signification. Un serment qui est la conclusion de sa franchise et de sa foi. Plus tard il lui dira… Tu vois ?! ces valeurs là aussi sont bien les tiennes !

Pour le moment, le silence est solennel et nulle envie de la briser. Un regard vers le wonder page toujours là ou on ne l’attend pas, qui comprenant l’échange s’est approché de la table ou est déposé… Le voile est soulevé d’un geste et le voilà qui s’approche du duo avec dans les bras un imposant coussin de couleur sombre sur lequel reposent les ornements du Chevalier.
Si le cœur tambourine fortement dans la poitrine de la Dame des Dames, sur son visage qui s’éclaire de plus en plus, on peut y déceler la sérénité qui l’envahie à présent. Clin d'oeil à sa complice avant de se saisir de la majestueuse épée, en observer le délicat travail, faire jouer sur la lame les lueurs scintillantes de l’astre avant de la présenter à Kirah.
Se retourner alors pour se saisir du second ornement et descendre alors de l’estrade avec l’ancienne marraine.

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{Mésange toujours à terre , me cherchez pas en HL !. Oui je sais ça doit faire quasi un mois et ça m'arrange point !
Que vive le MP... enfin pour le moment !}
Baile
Elle est entrée avant elle, l'émotion au creux du ventre. Elle voudrait à la fois que l'adoubement ait enfin lieu, et que ce moment qui les sépare du serment et du geste de Nanny qui scellera tout dure l'éternité. Elle reprend sa place, et le silence qui s'installe alors lui fait lentement tourner la tête. La regarder s'avancer vers son destin est un pur plaisir des yeux et de l'esprit.

Et bientôt elle est là où elle doit se tenir, devant Nanny et tous ceux qui valideront aux yeux du monde ce qui allait se passer. Et la Grande Amazone de prendre la parole, racontant en un rappel rapide à ceux qui ne la savent pas encore, l'histoire de cette petite fille entrée très tôt dans la chevalerie, pour devenir la femme presqu'accomplie qu'elle est, aujourd'hui...

La cérémonie est définitivement lancée, mais la solennité de l'instant est soudain brisée par ce gamin, surgi de nulle part, qui accapare l'Ange. La mâchoire se crispe imperceptiblement, mélange de sentiments contradictoires et d'angoisses propres à elle. Le poing droit suit le visage et se serre et se desserre. Envie de hurler au trublion de dégager les lieux, de ne plus s'approcher de sa Cap' ni de retarder le déroulement des choses. Envie de se lever et de l'éloigner elle-même. Mais au moment même où elle pense ça, la bêtise de sa réaction l'atteint en pleine figure et elle reste immobile.

Puis c'est une voix, douce comme elle l'a rarement connue, voire jamais, qui la fait totalement se détendre, et réaliser que c'était elle l'enfant, avec cet incontrôlable besoin d'exclusivité, qu'elle sait être son principal défaut dans sa relation à l'Ange. Elle entend à peine les mots que la jeune femme offre au garçon, et détourne le regard quelques minutes. Les paumes se frottent l'une contre l'autre, dissipant progressivement sa nervosité, jusqu’à ce qu’elle expire un bon coup et qu’elle se laisse envahir de nouveau par la force du moment présent. A ce moment seulement, elle pose à nouveau ses yeux sur l’étrange couple que le départ d’Aeldred révèle enfin à l’assemblée.

Deux des femmes les plus importantes de sa vie se faisant face ou presque, l’une agenouillée devant l’autre. Celle qui a toujours été là pour elle même dans les pires moments où le monde entier pouvait penser qu’elle la trahissait… Celle qui n’a jamais cessé de lui montrer sa confiance et envers qui la Baile a une dette à vie, une dette dont elle ne veut jamais se séparer, parce qu’elle l’aime, sa Nanny, tout simplement… Et l’autre, l’autre qui lui a tendu la main quand la violence en elle menaçait de tout casser dans et de sa vie, qui l’a laissé faire ses preuves sans jamais la condamner sur son passé, se comportant déjà avec elle comme un chevalier, alors qu’elle n‘était qu’écuyère, lui laissant une chance que la Baile avait saisie comme une morte de faim.

Et la question rituelle fuse, et la Baile se lève dans sa tête, lançant un « Moi ! Moi je sais pourquoi elle veut être chevalier ! », puis elle rassoit son esprit très vite, sursaut bienvenu de maturité, curieuse d’entendre ce que Zya allait dire. Et la première réflexion qu’elle se fait est que ce fantôme de Roy a bien de la chance, dans sa tour d’ivoire. Et puis elle sourit devant l’appropriation du serment par une femme qui refusera toujours de faire comme les autres, surtout quand ca concerne son rêve et son idéal.

Le cœur menace de rompre sa digue quand finalement la Grande Amazone procède à l’ultime étape de la cérémonie. Ou plutôt l’avant-dernière, Kirah devant visiblement donner l’épée… Puissante symbolique décidée et mise en œuvre par la Dame des Dames et qui ne manquera pas de toucher la principale intéressée. Tout semble soudain suspendu dans le temps, même les battements d’un palpitant qui s’excitait l’instant d’avant. Quelques longues secondes encore, et le rêve prendra forme définitive…

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Merenwen74
Et voilà enfin le moment tant attendu, voilà qu'enfin la Cap fait son entrée et que les visages se tournent vers elle dans un même mouvement.

Apercevoir Lucie, seule, dans un recoin de salle et ne pas s'empêcher de songer à Kirah qui elle aussi affectionnait particulièrement les alcôves lors de cérémonies quand elle n'était encore qu'écuyère.
C'est qu'elle en a vécu la Muse des cérémonies à la Dame Blanche, toutes plus intenses les unes que les autres. Les différents passages de rangs, les nominations, l'adoubement de sa marraine Mélissande qui aujourd'hui n'était plus...
Chasser cette pensée trop sombre pour un jour comme celui-ci... Certes, elle la regrettait, évoluant à tâtons, du mieux qu'elle pouvait depuis son départ puis son trépas... Elle était d'ores et déjà persuadée que si un jour elle se montrait digne d'être adoubée, son esprit tournerait autour de ce jour ou sa marraine alors écuyère s'était également avancée pour prêter serment.

Brefs regards échangés entre le trio, regards destinés à les encourager à poursuivre sur le chemin qu'elles ont choisi, celui de la Chevalerie. Des progrès étaient encore à faire et elles les feraient.

Puis voilà la Dame des Dames qui prend alors la parole.


Vous le savez toutes, un chevalier se doit d’être un modèle, devenir chevalier requiert de nombreuses qualités, d’acquérir de grandes valeurs. C’est un long apprentissage qui demande discipline et investissement, c’est une façon de penser, d’agir, de vivre. C’est un esprit et une mission, c’est une vie entière qui lui est dévouée.

Un modèle... Cyrielle est déjà un modèle pour bon nombre d'entre nous, même à ce moment précis, un modèle de droiture, de courage, d'humilité et de bien d'autres choses encore.
Sans s'en rendre compte la Flamande hocha la tête aux derniers mots de Nanny.
La Chevalerie est ancrée en elle, songea-t-elle.

Un bref rappel du parcours de la Capitaine et elle reprend son chemin à travers l'allée en direction de l'estrade avant de ployer le genoux et de voir la cérémonie interrompue par l'arrivée d'un jeune garçon, quelques mots sont échangés puis la cérémonie reprend avec le serment du Chevalier. Un serment magnifique et émouvant dont elle pense chaque mot, elle le sait.

Je désires entrer en Chevalerie pour toute autre raison. La richesse et les honneurs, je m'en défais si ce n'est le cas déjà, acceptant de vivre simplement pour ce pourquoi j'ai voulu entrer en cet Ordre : aider le peuple, offrir un bras armé à mon Roy!

Toujours, je croirais en mon Ordre et en son Grand Maître.
Je me mets au service de mon Roy, même dans la mort.
Je protègerai l'Eglise et ses valeurs.
Je défendrai les faibles contre l'oppresseur.
J'aimerai ma ville, ma contrée et ce Royaume de France.
Jamais, je ne fuirai devant l'ennemi.
Je combattrai ce qui est opposé à nos valeurs.
Je remplirai comme il se doit les devoirs d'aide, de conseil et de franchise dus à mon Ordre.
Jamais je ne dérogerai à ma parole, y restant fidèle, m'abstenant de tout mensonge.
Je serai tolérante et bienveillante.
Je me mettrai toujours au service du bien et du droit, contre l'injustice et le mal.
Jamais, je ne me placerai au dessus d'un autre, me considérant comme son égal.

Si jamais je venais à faillir, qu'on me traite comme il se doit, qu'on sacrifie mon honneur sur l'autel de la Chevalerie, et qu'on me retire tout droit d'un jour en être de nouveau membre. Que mon épée soit brisée, que mon écu soit trainé dans la boue, à l'image de mon parjure menant mon nom dans une situation similaire !


La Muse ne la quitte pas des yeux et quand elle l'aperçoit en train de mordiller ses lèvres, l'envie de lui murmurer, non de lui crier de ne pas douter d'elle, d'être fière de ce qu'elle a accompli se fait sentir.

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chlodwig_von_frayner
L’entrée dans la salle se fait sans heurts… bien qu’il quitta son ange avec une pointe de regret dans le cœur… de ces points qui vous donne l’impression de laisser partie de vous derrière. Mais sa place n’est pas ici… d’ailleurs, elle ne devrait même pas être dans ce temple de la chevalerie où il ne met les pieds que parce que sa tante est GA et parce que l’adoubée du jour est un ange cher à son cœur. Non… et ça il le sait, il n’a rien des valeurs d’humilité, de protection des faibles et autres fadaises en lesquelles il ne croit pas. On ne lui a pas appris à croire en elle. On lui a d’abord appris à n,e compte que sur soi même et à manipuler les plus faibles, on ne lui a appris que la supériorité de la noblesse sur les autres… et si il aide ceux que la nature a fait naître moins bien que lui, se sont ceux qui habitent sur ses terres envers qui il a cette fois une grande bonté et des rapports de proximité. Les autres ? Il s’en tape le Chlo, et il ne dédiera jamais sa vie à essayer de sauver ces gens dont non seulement il n’a rien à faire mais qu’il considère dans leur plus grande majorité comme des incapables et des poids qui pèsent sur le monde et l’empêche de bien tourner. Mais qu’importe si il ne croit pas en cela, il sait juste qu’il s’agit pour l’ange d’une consécration, de la reconnaissance des hauts mérites qu’elle incarne par sa simple présence. Et juste pour cela, il est fier pour elle… même si le combat qu’elle mène, il ne le partage pas et risque peut être de ne jamais le partager un jour. Et en même temps… il l’admire aussi, il admire cette abnégation et cette volonté qu’elle a de vouer sa vie à défendre ce genre de cause.

Il jette un regard aux alentours. Qui sont là ? Il reconnaît des tabards des Hospitaliers, Une licorne qu’il connaît bien, égarée chez les blanches qui elles par contre sont là en nombre pour leur Capitaine. Il se souvient du moment où ils se sont connus… où elle n’était qu’aspirante… des départs qui ont finit par la propulser au rang de lieutenante puis de capitaine… des paroles d’admiration de beaucoup (et surtout de lui) quant au travail qu’elle accomplissait, des remarques qui, de nombreux mois avant ce jour disaient déjà qu’elle le méritait. Au moins cette fois c’était clair. Oui elle méritait… malgré ses coup de gueule, ses incertitudes, ses doutes… Les valeurs de la chevalerie ? Le peu qu’il en savait elle les incarnait, avec ses faiblesses et ses défauts certes, mais l’archétype du chevalier est une perle introuvable en ce monde… parce que l’humain est imparfait et mauvais. Elle avait râlé et même éprouvé une pointe de jalousie la dernière fois… et aujourd’hui qu’elle était au pied du mur, il savait qu’elle n’aurait pas été loin de refuser… par simple doute sur ses capacités et ses qualités humaines… n’étais ce pas aussi à ça qu’on reconnaissait un vrai chevalier ? Qu’importe en fait… il n’avait pas à juger… une seule certitude à ses yeux… elle méritait bien plus ce titre et cet honneur que lui.

Et lui de rester dans le fond, debout, appuyé contre le mur. Il la regarde, les bras croisés au niveau du pommeau, légèrement appuyés même. Il ne peut s’empêcher de sourire quand le gamin se précipite vers la Zya, un pincement au cœur aussi… jalousie… elle a un autre ami dans sa vie… quelqu’un à qui elle semble accorder de l’importance. Il relègue ça au fond et continue à observer… sans réellement écouter, peu de choses le passionnent en fait… et sûrement pas la chevalerie, alors leur blabla sur les valeurs et tout… ils pouvaient se le coller… ailleurs Par contre pour ce qu’il l’intéressait, ça il était concentré. Un peu trop peut être d’ailleurs. Beaucoup de paroles… qu’il ne pouvait approuver… mais il s’agissait de la vie de l’ange, pas de la sienne… et si elle désirait en faire ainsi, qu’était il pour l’en empêcher ? Tant qu’elle ne se faisait pas nonne… Craquement du gant de cuir noir… Nouveau regard aux alentours. Tout le monde semble attendre les mots des uns et des autres… des hérauts des témoins… Lui il l’attend elle…

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