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[RP] Culte aristotélicien réformé, église dite "cathédrale"

Mun
Les mots étaient comme des armes parfois pouvant tuer ou sauver de la manière dont ils étaient compris .
Voyant le chancelier s'avancer un peu et se pencher vers lui l'écoutant attentivement . Le regard de Mun devint moins sévère et un sourire illumina son visage.

Acquiescement d'un signe de tête même à la remarque faite par un des membres du Haut Conseil.
Prêt à répondre que si l'attitude du Vice Dominus, ....
Lorsque Monseigneur Bourrike se leva et mis fin à une conversation qui n'avait pas commencée

S’écartant et prenant position tout en tenant fièrement le gonfanon accompagné d'un salut militaire . Lançant un regard vers le Sergent afin qu'il en fasse de même.

Son frère et ami Hobb enjoignant le pas à la suite, après avoir parlé sagement.
Comme quoi quelques mots mots pouvaient parfois mener aux combats .
La Garde Episcopale resterait à l'extérieur de l'édifice ainsi que tous les fidèles qui s'y rendraient, , bon nombre de ses frères assuraient la protection intérieur .

Lorsque l'homme qui était arrivé après avoir récité le credo des réformés, commença à parler tout seul on dirait
Gesticulant comme si il appelait un peuple invisible .
Korrigans
Le sergent de la Garde Épiscopal obéi à l'ordre donné d'un simple regard le vice dominus, comme si un lien de télépathie unissait tous les gardes, et se mit sur le côtés.
Pendant se temps, de longues minutes s'était écroulé, et de ses yeux fouineur, le brun aperçut un homme qui sortir de la cathédrale, méfiant, il déposa aussitôt la paume de sa main sur son épée, sachant que celui-ci était un hérétique.
C'est donc avec la plus grande prudence, oui prudence, qu'il observait avec le vice dominus la scène pour récupérer apparemment la cathédrale, en même tant, cela n'était pas acceptable de voir des reformés tenir un lieu de culte et privé les fidèles du recueillement.
Nicolas_track
Samaelle avait prié un garde de se poster suivant les instructions donner par le chancelier Acar.

Sentant la nervosité de chacun,la jeune femme ne se sentait point rassurée.Mains sur le pommeau de son épée,prête a dégainer,elle se placa aux côtés de l'homme qu'elle savait de la garde episcopale.

Elle ne perdait pas de vue Acar tout en controlant les allées et venues.
Gontranius les avait rejoint.


-deux bras de plus si jamais pensa t'elle

La sueur lui perlait le front et elle sentait ses plaies tirailler.
_________________
Kirkwood
Pendant ce temps, alors que Vere Boten résistait comme il le pouviat à une très forte envie de s'évanouir, les autres Genevois interdisant par leur masse l’entrée de l’église revenaient au sport national favori, pardon, confédéral : « Qui Berne gagne »…

- Bon, on en était où ? Ah oui, on joue ça ? À pile ou face ?

- Suivant quelles règles ?

- Celles de Schwytz, non ?

- Ah non, celles d’Uri sont plus sympa !

- Oui, mais on n’a pas de poutres sous la main ?

- Zut, oui, alors, celles de Berne ?

- Ah nooooon, j’ai toujours pas compris les règles…

- (Haussement d’épaules) De toute façon, personne ne les comprend…

- On joue ça à la schlitte, alors.

- Je sais pas si nos envahisseurs sont disposés à attendre deux jours ?

- Ben, avec les règles de Lausanne, alors ?

- Nan, celles de Morat !

- Qui a des dés ?

- Je veux bien aller chercher les miens, mais on m’épargne le tour de danse, alors.

- Ça me va, mais si on lui interdit de chanter.

- Ben pourquoi ?

- Elle prend des cours avec Kirkwood !

- (Tous, d’une seule voix) D’accord !

- Ah ben non, alors, depuis le temps que j’attends !

- Ça va pas, non ?!?!!!!

- Je préfère encore me dénoncer tout de suite comme hérétique aux OMR, moi…

- Ben, t’es aristotélicien romain, pourtant ?

- Oui, mais entre la peste et le choléra, c’est vite vu… Lequel des envahisseurs a l’air le plus méchant ? Je vais lui mettre un pain direct en gueulant… Qu’est-ce que vous gueulez, les aristotéliciens réformés, pour provoquer ?

- Heu, comment dire, le pain dans la tronche, c’eeeeeeest, c’est pas mal déjà…

- Oui, mais choisis-en un qu’ait enlevé le casque, hein ?

- Bon, ça suffit, bande de larves, assez attendu, j’y vais, moi !!!!!!
Uewen
Un colosse se détache de la masse des citoyens genevois qui bloque l’entrée de la cathédrale aux assaillants. Sa proximité avec le piédroit du portail l’a dissimulé aux regards, mine de rien*.
Par contre, autant être franc tout-de-suite, c’est pas franchement l’Apollon local, ni un jeune homme :


Et pour les manières, ce serait plutôt le genre :
Citation:
‘Se plantent le nez au ciel
‘Se mouchent dans les étoiles,
Et ils compissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles !**


D'ailleurs, il catapulte presque Vere Boten d’un simple geste, se plante poings sur les hanches devant l’évêque et les chevaliers des OMR :

Je suis Uewen. J’ai servi sous le cardinal Beaufort de Winchester à Tachov en ’27 contre les hussites, lors de la IVe Croisade. Vétéran d’une croisade anti hérétiques sous les ordres d’un ecclésiastique membre de la maison royale d’Angleterre, ca va, je fais un plénipotentiaire acceptable ?

Affirmation tranquille, dont le regard met quiconque au défi de soutenir le contraire. Pas de la prétention, une simple évidence. Trouver pire serait facile, mieux ne serait pas évident. Puisqu’il n’est pas interrompu, il continu :

Bien, je me retrouve délégué, hum, par ces bourgeois de Genève, aristotéliciens réformés et romains confondus, et quelques-uns qui ne prêtent guère attention à Dieu ou au Sans-Nom…
Bref, pour vous porter officiellement une demande et deux exigences, aux fins de vous remettre sans effusion de sang les clefs de l’église.
Regard vers Vere Boten : Va les chercher, bougre d’imbécile ! Sinon, jamais ne croiront mes dires!
Se retourne vers les vainqueurs du moment pendant que Vere Boten rejoint la masse : Êtes-vous prêt à m’entendre ?

* Sic…
** ‘Faut vraiment que je précise ?
Gontranius
Gontranius sentait que l'atmosphère devenait bougilictrique

Il se rapprocha imperceptiblement , du moins autant que son armement lui permettait, de Sam.

Une espèce de gros machin informe , précedement planqué , se planta devant l'entrée du Dom .
Il éjecta le tas d'os Verboten et regarda les Gentils d'un air de défi .
Du moins c'est comme ca que le Teutonique l'interpréta

Je suis Uewen. J’ai servi sous le cardinal Beaufort de Winchester à Tachov en ’27 contre les hussites, lors de la IVe Croisade.

P... ca y est, le vieux nous raconte sa vie ! En 27 , et pourquoi pas aux calendes grecques , pendant qu'y est lui

Gontranius n'en écouta pas plus, et regarda autour de lui , puis son regard se posa sur Sam .

Qu 'elle est belle ma perle rousse

Tout a coup, le gus contenta tout le monde en mettant fin a son laïus
Il envoya sac d'os chercher les autres a l'intérieur

Le Reiter revint au présent brusquement .
Sa main glissa lentement vers le pommeau de son épée . Qui sait ce que ces zig la préparaient a l'intérieur du lieu sacré.

Le Teutonique chercha du regard le Hochmeister Hobb , pret a bondir sur son ordre .
Un dernier regard a sa Samounette qui semblait en sueur .

Puis , les muscles prets a entrer en action, il attendit la suite
Hobb


Le Commandeur des Croisés Hobb Sigfried VonKorwald s'avança alors. Il portait sa cape blanche, frappée de la croix potencée d'or de Hochmeister (Grand Maître). sa chasuble était ceinte à la taille par un ceinturon en cuir avec une boucle dorée gravée de l'aigle teutonique. Ses bottes blanches frappaient le sol de l'édifice et l'une d'elle portait son couteau à lancer et faisait comme une virgule sur celle ci. Sous son bras gauche il tenait son haume à tête de molosse anglois d'où pendaient 7 plumes de paon, attribut des hauts dignitaires Teutoniques.
Sa main droite reposait sur le pommeau de son épée Nothung.

Il fit signe au Reiter Gontranius de rester sur place, cela voulait dire;
Tenez vous prêt.
Hobb se fit suivre par les Hauts Dignitaires des OMR présents.


-" Bien en voilà un curriculum vitae Messire. Je suis le Commandeur Hobb et j'ai pris Genève avec ceux là, et ça c'est pas de la daube.
Ite missa est ! Vous devez comprendre cela non ?

Alors Vae Victis (malheur aux vaincus).

Vous voyez ce que j'attends. La boucherie a assez duré, je suis fatigué des violences et de la haine des réformés.
J'ai à prier avec mes Milites pour que Genève soit aussi belle qu'avant 1456. Et ne tardez pas, je suis pressé, après j'ai un bûcher à préparer ! Spécialement pour un menteur, si vous voyez de qui je veux parler.


Hobb tendit la main dextre dans un gantelet doré, comme les parties visibles de son armure

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Nicolas_track
Elle se tourna vers Gontranius qui se tenait à ses côtés.Hobb avait dit quelque chose mais,elle était trop loin pour comprendre quelque chose

-Wer ist es? Müssen wir er raus smeissen ?

Elle attendit prète a intervenir.

Elle appela un garde franc


-Allez chercher notre capitaine je vous prie.
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Uewen

Réplique immédiate d’Uewen :
Vere Boten, halte !
La voix puissante tonne, tandis que Vere, au milieu des Genevois sur le parvis, entre les conquérants et l’entrée de l’église, semble comme frappé de stupeur. Ce qui revient à dire qu’il a l’air encore plus ridicule que d’habitude.
Mais comme de toute façon, les autres n’ont guère l’air forcément plus vaillants, à quelques exceptions près…

Uewen n’a pas changé d’attitude et regarde son contradicteur à la main ouverte, étonné tout-de-même qu’un chevalier, même un si haut capitaine, parle avant l’évêque.


Ite missa est ? La messe est dite ? La bataille de Genève, certes, et vous en êtes les vainqueurs, personne ne vous volera cela. Et oui (visible pincement au cœur du vieux mercenaire), hélas, « vae victis », je ne le sais que trop.
Et en effet, vos compagnons d’armes, personne ici ne les considère comme simple sauce.
(Petit association d’idée qu’il n’arrive pas à s’empêcher de partager, avec un léger sourire étonné de sa propre légèreté) A la limite, nous serions la sauce, et vous les gâte-sauces !

(Retour au grave) Mais la messe célébrant la conquête ne l’est pas encore, Commandeur, avec tout le respect que je vous dois.

Si vous restez sur votre « modus operandi » de type « manu militari », c’est bien à un carnage inutile que vous vous livrerez ! Car si ces bourgeois portent ici ou là dagues en sautoir et ont défendu leurs murailles, croyez-vous qu’ils soient soldeniers entraînés ? Ou miliciens du dimanche ?

Prenez garde à ne pas ternir ainsi votre victoire !
Car si les vaincus ont besoin de se prouver leur fierté, vous, vainqueurs, n’avez rien à prouver.

Je retire la demande, car tous nous savons que vous refuserez le simultaneum, et vous voulez aller vite.
Mais nos exigences ici sont comme les vôtres dans votre combat : « non possomus », « nous ne pouvons pas autrement », non par impuissance, mais bien par exigence morale qui interdit toute compromission !
Au risque de nos vies, oui !
(Petit sourire fatigué) J’ajoute que ces exigences ne risquent guère de vous voler votre fruit !

La première est vite dite et entendue : vous devez jurer sur le Livre des Vertus de vous essuyer les pieds avant d’entrer en notre église !
Car vous êtes en Helvétie, à Genève ! Et de cela, nul ici ne se hasardera à rire !

Pas la moindre trace d’humour dans sa voix ou son regard, pas davantage dans la quarantaine de Genevois derrière lui.
Ils savent qu’ils ont une chance. Minime. Hobb est helvète. Un autre, on ne sait pas, mais lui, oui, l’honneur helvète, sur ce genre de matières, il peut comprendre*.

Mais sa haine de la ville sera-t-elle plus forte que son sang helvète ?**



* Welcome back home, Hobb !
** Tâtâtâtâ !
Bourrike
Ce qu'il avait l'air niais, le sprat (traduction pour les non pratiquants, le sprat est un poisson tellement gros qu'on le mange frit, sans l'écailler ni le vider), et grelottant à souhait. Elle s'en serait presque sentie offusquée si elle avait cru que c'était à cause d'elle, mais la présence des militaires devait y être aussi pour quelque chose.
Et, devant le silence qui suivit, l'évêque se demanda si en plus de l'air niais, il n'avait pas aussi la chanson.
Et alors qu'elle ne savait plus trop que faire de ce pauvre hère, il fut remplacé par ...euh, difficile à dire en fait. des tâches plein le gilet, une haleine à faire tomber les mouches, une allure à se retrouver obligé de prononcer des voeux de célibat. mais de la carrure , ça y'a pas à douter, rien à voir avec l'échallas précédent qui semble par ailleurs s'être évanoui dans la nature.
Présentations unilatérales faites, étalage d'une carrière qui justifie le faciès.
Et le commandeur qui s'avance et prend la chose en mains, juste au moment où l'évêque s'apprête à répondre.
Le temps de ravaler, et zou, on prend le relais

"vi mon cher enfant (toujours d'une diplomatie frôlant l'hypocrisie la Boubou, quand il s'agit d'arriver à ses fins), si vous pouviez avoir l'obligeance, de, comment dire, lever le camp, voyez vous, et si c'était vite, considérez bien que cela ne serait pas grave, on ne vous en voudrait pas!!"
_________________

** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Gontranius
Suivant les instructions du Hochmeister Hobb , Gontranius redoublait d'attention pret a charger au cas ou

Wer ist es? Müssen wir er raus schmeissen ?

Le jeune Teutonique pret a bondir , entendit les questions de Sam

Das ist ein alter Soldat , Mein Liebling . Zur Zeit verrücken wir nicht !

Le Reiter lui avait répondu dans un souffle, ses yeux ne quittant pas le porche du Dom

Soudain, le géant des alpes s'arréta .
Il reprit sa diatribe , la ponctuant parfois de latin , ce fut long et ennuyeux pour un homme d'action tel que le jeune homme .
Aux discours, il préfèrait l'action .
Le local conclut (enfin) par une histoire de paillasson helvète .
Visiblement pour provoquer Hobb

Gontranius regarda celui-ci, l'air de dire , on y va ?

Mais l'évèque intervint , Gontranius se détendit un peu ...
Korrigans
Le sergent observa la scène de lois à côtés du Vice Dominus, mais sur son épée au cas où les hérétiques qui ne croient pas en Dieu oserait sortir les armes pour attaquer les fidèles présents, en effet, de la part d'hérétique, on ne pouvait pas s'attendre à mieux.

Ses oreilles écoutaient attentivement les négociations, apparemment, l'évêque présent souhaitait les voir partir sans dégât, se qui serait une sage décision pour eux, la cathédrale était encerclée par une horde de Fidèle prêt à tous pour défendre la Foy, et à moins que les occupants était fanatiques en pus d'être hérétique, ils n'avaient aucune raison de rester.

La situation allait sûrement se décanter, mais quand.
Uewen


Sentiment de solitude et soupir d’Uewen, dans un air de déjà vu. Souvent, dans les batailles, il avait dû convaincre des capitaines qu’une nouvelle attitude s’imposait, offensive, défensive, ré-interprétation des ordres, parce que les circonstances évoluaient.

Et souvent, comme ici, autant il parlait, autant il compissait en une viole parce qu’on ne l’écoute pas.
Non que ses arguments soient forcément parfaits, il en est conscient, mais quand même !

Uewen préfère relancer, plutôt que de laisser le silence s’installer trop longtemps.
C’est qu’il les connaît, les Genevois. Depuis qu’il s’est installé ici, après la défaite de Castillon en ’53, il a eu le temps de les découvrir.
Si l’Helvétie est plus calme que ses Flandres natales, par contre, y’a quelque trucs sur les quels il ne faut pas les chatouiller*.

Et les Genevois, à son avis, sont les pires sur la question...

Au hasard, leur réputation de propreté et d’entretien maniaque.
Pour dire, y’avaient des équipes chargées de nettoyer les murailles pendant les sièges…

Alors oui, ces bourgeois des deux sexes, ventrus, âgés, craintifs et hésitants le plus souvent, allaient réellement enrager et devenir fous , déjà humiliés qu’ils étaient par la défaite de leur ville, si on méprisait en plus leur réputation…


Dites, vous pouvez dire « veni, vedi, vici », personne n’en doute.

Mais voulez-vous le compléter d’un casus belli permanent ?

Ou m’écouter (regard lourd alternativement vers le Commandeur et l'évêque), qu’enfin « cedant arma togae », « les armes le cèdent à la toge » ?


*- Les querelles intestines ?
- Heu, oui, certes, mais bon…
- Les prêts bancaires ?
- Oui, oui, bien sûr, mais…
- L’apothicairerie ?
- D’accord, mais… Bon, ça va, laissez-moi finir, on en sortira jamais sinon !
Pachillou
Sur le parvis de la cathédrale

Pachillou était enfin arriver à Genève, enfin, ce matin, en compagnie de soldats auvergnats. Enfin le but de son pélerinage à connotation très martiale était atteint.

Depuis que Le Puy avait disparu dans les flammes des Enfers, Pachillou n'avait qu'une obsession : laver ses péchés, laver les péchés de tous, ceux qui avaient provoqué la colère du Très-Haut, qui déchaina cent et cent fléau sur Le Puy en Velay.

Pachillou avait croiser de temps à autre, au loin, quelques concitoyens languedociens. Des soldats de l'ost ou de la garde épiscopal par ci, des nobles par là. Aucun ne l'avait reconnu. En effet, depuis qu'au cours de l'Apocalyspe, Pachi s'était retrouvé sous une pluie d'eau bouillante pendant sa fuite, son visage était brûlé, et il portait un masque étrange pour cacher ses plaies. Mais ce masque n'empecha pas les autres passants de remarquer que le personnage avait les yeux fous.

Sur le parvis de la cathédrale, il allait pieds nus, vetu d'une chemise blanche et de simples braies. il tournait en ronds depuis de longues minutes, se fouettant sur un rythme monotone. A chaque coup de cuir, une marque de sang apparaissait sur sa chemise :


J'ai péché j'expie

Coup de fouet

J'ai péché j'expie

Coup de fouet


Le Très-Haut a détruit Le Puy pour nous punir de nos fautes

Coup de fouet

D'autres villes seront anéanties

Coup de fouet

J'ai péché j'expie

Coup de fouet

J'ai péché j'expie

Coup de fouet


Le Très-Haut a détruit Le Puy pour nous punir de nos fautes

Coup de fouet

D'autres villes seront anéanties

Coup de fouet
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Ex-ponot ayant survécu à l'apocalypse, maintenant habitant de Murat en Bourbonnais-Auvergne.
Roturier. BAroudeur.
Ambassadeur Royal de France auprès de l'Irlande et de la Provence
Hobb
Le Teutonique écouta, avec patience, mais sentit comme une mauvaise volonté évidente, de la part du représentant des bourgeois de Genève.

-" Monseigneur Bourrike, en quelques mots, vous exprimez mon désir.

Bourgeois Uewen,
je répète, nous n'acceptons pas votre simultanéité ou autre technique d'enfumage. une idéologie, comme celle des réformés, agresseurs de la Savoie ... .
Si, si, c'est bien les réformés qui ont engendrés ce flot de haine à l'encontre d'un Duché Aristotélicien... .
Cette idéologie néfaste, donc, n'a rien à faire dans un lieu Saint, usité par nous, qui sommes les Gentils. Et faire preuve de laxisme à ce sujet serait une offense à l'intelligence et même la raison, voyez comme je pousse loin mon raisonnement.

En un mot comme en cent, vous quittez ce lieu et nous le rendrons propre à la prière pour la Communauté des Saints.

Il n'y aura pas de combat pour ce lieu, vous n'allez pas nous pousser à le raser pour le reconstruire à notre main ?
Se serait gâcher, ne croyez vous pas ?

Mais je le ferais, avec un pincement au coeur et beaucoup de tristesse, mais

ACTA EST FABULA
(La pièce est jouée.)
Il y a des mois quand un fourbe me ferma la porte de Genève, je lui ai dit que je reviendrais rendre à l'Helvétie une Genève digne, c'est le moment, je suis Helvète, par moi et par ceux qui sont de mon opinion et de mes combats pour la justice, j'ai empêché que l'Helvétie tombât vers le côté obscur.
La porte de cette église restera ouverte pour ceux de la vraie foi, et sera fermée pour ceux qui sont réformés. Nous leur laissons le temps de la réflexion à l'extérieur, et quand ils auront compris, ou non, leur erreur, vous leur Factotum, vous reviendrez me voir.
Mais pour l'instant, je voudrais prier et que l'office soit dit par l'évêque Bourrike,
HIC ET NUNC
(Ici et maintenant.)

Les Milites vont procéder à l'évacuation du lieu, dans les minutes qui viennent.
Pour toute demande celle ci se fera au près du Cardinale Connétable Son Excellence MrGroar."


Hobb retint les Milites des Sanctes Armées, les 20 secondes que sir Uewen expliqua la situation à ceux qui, une poignée, se tenait derrière.
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