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[RP] Culte aristotélicien réformé, église dite "cathédrale"

Gontranius
Gontanius observait ses frères et soeurs des OMR . Ils semblaient comme lui meme exaspérés par la longueur des tractations .

Quoi ? On a fait tout ce chemin, vu notre sang couler pour ca ?!
Pour que ces séides du sans nom bloquent l'accès a la cathédrale !
Un dimanche en plus !


Le Reiter se ferma a tout discours du vieux soudard

Il regarda passer un pauvre hère se flagellant . Le spectacle était pitoyable . Il portait un masque Dieu sait pourquoi !!

Enfin, le Hochmeister Hobb dans sa grande tenue , reprit les choses en main

Le jeune homme occupé a surveiller les abords , ne préta pas attention a tout le discours de son chef .
Cependant , il en retint le principal


je répète, nous n'acceptons pas votre simultanéité ou autre technique d'enfumage. une idéologie, comme celle des réformés, agresseurs de la Savoie ... .

et ...


Les Milites vont procéder à l'évacuation du lieu, dans les minutes qui viennent.


Gontranius interpréta un geste de la main du Hochmeister comme un signe de l'assaut a donner
Il se tourna vers Sam ....
Thibaut
Après plusieurs heures dans une taverne, Thibaut avait enfin prit le chemin de la Cathédrale. Cette guerre avait réussi à le changer. Il avait sur les mains le sang...le sang de coupables certes mais du sang de créatures de Dieu. Il avait besoin de se laver de ses péchés. Il avait besoin de demander pardon à son Père.

Arrivé sur place, il vit un attroupement, d'un côté, les soldats militaro-religieux et de l'autre, les réformés. Qui sont-ils pour ne pas évacuer le lieu de culte Aristotélicien? Il prit place aux côtés de ses frères, prit connaissance de la situation et se prépara à agir pour libérer la cathédrale.


Que Dieu ai pitié d'eux.
Uewen

Éberlué, Uewen écoute la tirade du Commandeur, qui visiblement se préoccupe autant de la sincérité désespérée des Genevois présents que de l’illuminé qui passe en se flagellant…
Il ne se rend pas compte de ce qu’on risque ? Ou il hait tellement la ville qu’un massacre supplémentaire le tente ? Faire quarante* cadavres de plus lui agrée ???

En effet, derrière, les Genevois s’agitent, le ton monte, l’énervement gagne.

- Quoi ?
- Mais il est bouché à l’émeri ou quoi ?!
- Hérétiq…
- (Main sur le bras) Tais-toi, on est là en Genevois, toute confession confondue, pas de blasphème !
- Mais on va mourir, alors ?!
- Il nous hait ! Il veut tuer tous les Genevois ! Sous prétexte qu’ils sont tous hérétiques ! Autant se défendre tout de suite !

Maul zu ! Nicolas et Bartolomé, continuez et je dis à Nicbur que vous n’avez pas été sages !
La voix d’Uewen vient encore de remplir son office, et les Genevois se taisent, y compris les deux garnements interpellés.
Ça tourne mal… Entre un Commandeur qui écoute sans rien entendre et des Genevois désespérés et prêts à mourir pour que soit respecté leur réputation… Certains triturent déjà beaucoup trop leur dague.

Uewen se demande si le type en face de lui cache un atout, une finesse particulière dans l’argumentation ? Non, il ne voit pas. Tant pis, il tente une dernière fois, tout en priant intérieurement.
Son corps se met inconsciemment en position de répliquer à toute attaque. Habitude qui explique sa longévité, dans un métier pourtant peu propice.

(A Bourrike, voix basse, d'abord grognant)
Votre Éminence, si vous disiez à votre chien de garde d’ouvrir ses oreilles, nous éviterions peut-être le massacre qu’il nous promet avec tant d’appétence qu'il semble laper du petit lait.

Une dernière fois, ces gens sont désespérés et défaits. Et du désespoir, on fait trop facilement de la chair morte.
Tout ce qu’ils demandent, c’est qu’on respecte leur réputation d’Helvètes !

(Énervé)Cela vous pose un problème de vous essuyer les pieds avant de rentrer dans une église ?!?!

Pardon (Conscient d'avoir parlé à voix haute, prend sur lui et recommence à voix basse).

Pour l’amour de Dieu, réfléchissez avant de commettre l’irréparable. Ils ne veulent pas vous empêcher d’entrer dans votre cathédrale, mais ils tremblent d’être abusés.

(Se tourne vers Hobb) Trouvez-vous étrange, Commandeur et Hochmeister VonKorwald, que les simples aient peur après une défaite ? Ce serait bien mal connaître votre métier et comme il est regardé !

Je vais faire revenir Vere. Vere Boten. Il a sur lui le document que ces désespérés rêvent de vous voir signer. Lisez-le donc avant de refuser !
Et ne soyez donc pas obtus comme des sicaires !

Il regrette déjà cette dernière phrase, mais la conversation lui rappelle trop ses échanges avec son cousin membre du Lion de Juda. Infertiles, à chaque fois.
Il regarde tour à tour l’évêque et le commandeur, puis, toujours sur ses gardes lâche, d'une voix maintenant revenue à la normale :


Vere Boten. Ici. Immédiatement. Avec la charte.

L’intéressé avance, tremblant, une main qui cherche quelque chose dans son gilet.

Le flagellant tourne toujours. Le soleil chauffe un peu. Un beau jour pour mourir ? Sans même avoir dit au revoir à Catherine ?



* hrp : ça fait un moment que j’écris « quarante Genevois », faut quand même pas pousser pour ce qui est d’une « poignée » ; y’a tellement d’autres expressions possibles…
Bourrike
Et ça cause, et ça menace, c'est que là, elle répond à un appel de l'intérieur la Boubou, en deux mots, ou elle mange quelque chose ou elle va pas tarder à tourner de l'oeil, et ça, dans un lieu et une circonstance pareils, ça va encore lui donner bel air.
Quand le vieux truc lui murmure quelque chose, elle peine à écouter tellement il a l'haleine fétide. Bizarre qu'il lui demande de s'essuyer les pieds, car en l'occurrence, ses pieds à elle sentent meilleur que sa bouche à lui. Mais bon, s'il lui suffit de cela pour satisfaire la populace et éviter le bain de sang, pour quoi pas. Elle retrousse donc le bas de sa soutane, pour montrer un pied qui émerge, tout enroulé de linges sur lequel apparaissent des auréoles rougeâtres.
Elle répond au bourgeois

"Z'avez quoi à lui reprocher à mon pied hein? z"avez quoi à lui faire faire? la boucherie qu'il a subie à Annecy de la part de vos concitoyens, et je dis bien concitoyens, notez bien, je ne parle pas non plus de confession là, je parle de citoyens Helvètes si ce n'est Genevois? et vous voudriez que je l'essuie où en plus? tout ce qu'il risque de déposer dans cette cathédrale, c'est du sang!"

"Sans compter qu'il y en a déjà plein le parvis, donc si vous voulez faire dans le propre, commencez donc par demander à une de vos mégères d'aller nettoyer les traces laissées par l'autre là"


La tête et le doigt vers le flagellant qui est en train, étant donné comment il se charcute, d'éclabousser tout le monde.
_________________

** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Kirkwood
Bourrike a écrit:
Sans compter qu'il y en a déjà plein le parvis, donc si vous voulez faire dans le propre, commencez donc par demander à une de vos mégères d'aller nettoyer les traces laissées par l'autre là.


Silence dans les rangs genevois. Silence glacial. Méprisant.
Cette, cette, cette étrangère (sourire mesquin), qui, qui se permet, oui, d’insulter Genève. Affirmer, oser (énervement qui monte) prétendre qu’il pourrait seulement y avoir (jouer sur les syllabes) l’ombre d’une esquisse de tache sur le…


Il y a des taches sur le parvis de la cathédrale de Genève. Obnubilés par la réputation de propreté en jeu face aux envahisseurs, ils en avaient oublié de regarder au sol.

Du sale…
A Genève.

Le sang helvète est d’une matière particulière.
Certains le font remonter à l’Arthus breton, d’autres aux Romains, mais toute personne un tant soit peu instruite sait que la seule explication possible trouve son origine sous les murs de Troie, dans le camp grec.
Ajax, bien sûr…

Réflexe quasi-unanime : ceux qui y ont pensé malgré cette dure journée ont sur eux le modèle confédéral MC1A001 et le dégainent. Bon, journée très difficile, ils ne sont que trois. Sur quarante, la moyenne genevoise en prend un coup…
Mais c’est suffisant.
Car un Helvète avec son MC1A001 règlementaire n’est jamais pris au dépourvu.
Trois courtes sonneries retentissent dans la vallée, heu, pardon, dans la ville.

Les regards guettent l’arrivée des secours. Car le sens du devoir aussi est une donnée d’une dimension quasi-sacrale, dans le coin.
Donc on guette. Tout en tenant la position. On est même particulièrement méfiant envers l’ennemi qu’on sait perfide* et on se tient sur ses gardes pour qu’il n’en profite pas.

Les regards sont tendus, mais que font-ils ? L’angoisse monte.
Soulagement, les têtes se tournent vers un bruit de cloche à vache.
Qui arrive à une vitesse tout-à-fait inhabituelle pour ce placide ruminant.
Deux hommes tout de blanc vêtus, arborant chacun une croix rouge helvétique et une cloche tintinnabulante au cou, l’un portant deux seaux remplis d’eau, l’autre une paire de balais, franchissent les rangs aux cris de :


Paimpont, Paimpont….**

(Évidemment, avec l’accent et la course, ça donne un truc du genre : Painnnnnnnn-Ponnt, Painnnnnnnn-Ponnt, Painnnnnnnn-Ponnt, Painnnnnnnn-Ponnt)

et arrivent sur le parvis.


Service de Répression d’Urgence de la Saleté, brigade genevoise, où ? Ah. Oui. Vous avez bien fait.

Et Omer et Ladislas se mettent en devoir de nettoyer les taches.

Les Genevois bloquant l’entrée de la cathédrale, se sentent mieux et peuvent se permettre de sourire un peu.
Mais bon, que va-t-on faire de cet énergumène qui continue ?


* Puisque c’est l’ennemi, c’est logique, non ?
** En hommage -peut-être un brin païen, faudra vérifier- à Merlin l’Enchanteur, qui a fait pleuvoir pendant deux mois sur la Bretagne après être tombé dans la fontaine de Paimpont

Edit : une idée débile qui m'est venu entre temps, qui ne change rien à l'ensemble
Korrigans
Le sergent observait de loin la scène : Des reformés qui bloquaient l'entrées des croisés dans la Cathédrale, qui bloquaient L'entrées d'un lieu de culte très importants pour les Aristotéliciens, et le pire, c'est qu'ils n'étaient pas beaucoup !

Ses doigts se fermaient fortement sur son épée, ayant fortement envie de défaire ces hérétiques par la force, vu que le verbe ne mène à rien...la ruse peut-être ? leur faire croire que nous partons, et la nuit, pendant qui dort, ben PAF !

Cette pensée n'était q'utopie, car c'était un coup à nous faire passer pour des lâches, non, il fallait laisser faire les grands dirigeants, ces donc soucieux que le sergent délivra progressivement l'étreinte sur son épée, laissant son regard arpenter l'évêque et le Hochmaster pour voir ce qu'ils comptaient faire, avant bien sur de se plonger dans celui de son Vidame pour lui faire comprendre l'incompréhension de la situation actuelle, encore une fois, le silence voulait dire qu'il fallait attendre...oui, Attendre, et une solution se trouvera sûrement, ainsi que des ordres donnés.
Acar
En restrait, il observaict le va et viens des réformés. Un homme parlait plus fort... Il le designa donc du doigt et l'apostropha : Alors, que faisons-nous ?

Il montra les forces alentour, nul eschappatoire semblait-il...

Alors, respeta t'il, que faisons-nous, le sang doit-il couler, enscore et enscore ?
_________________
Mun
Mun vit le regard du Sergent interrogatif, lui même n 'y comprenait pas de trop à la situation tout en essayant d'écouter la conversation.
Les ordres avaient été clairs pas d'actions armées et on en appelait à la milite.
La défense intérieur n'était pas de son rôle mais bien de permettre l'accès à tout Aristotélicien . Il savait ces frères d'armes à même à gérer la situation .

Levant les sourcils comme toute réponse, au Sergent lui faisant comprendre son incompréhension .
Le Vidame commençait à souffrir de plus en plus de ses blessures qui s'étaient bien réveillée cette fois et la faim le tiraillait à nouveau .

Plusieurs gonfanons des provinces religieuses étaient arrivés sur la place . Intérieurement se disant que certainement certains gardes viendraient apporter leur aide .
D'un léger mouvement de la tête vers le Sergent puis vers les Gardes Épiscopaux
,
On devrait être renforcé d'ici peut
Nicolas_track
Le sergent resserra son poingt sur le pommeau de sa lame et la tira légèrement dehors .Tous ses muscles étaient tendus.

Les réformés bloquaient toujours l'entrée et la tension montait..

Elle se tourna vers Acar


-Chancelier,tout ceci n'a t'il pas assez duré?va t'on supporter cela encore longtemps?
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Gontranius
Tout le monde parlait , la confusion devint grande sur le parvis

On entendait presque les réformés se gausser de l'indécision des Croisés .

Gontranius commencait a se lasser de cette situation

Souvent les décisions des grands découlent des actions des petits se dit-il

Gontranius vit Samaelle sortir son épée

Chancelier,tout ceci n'a t'il pas assez duré?va t'on supporter cela encore longtemps?

Pensant que Sam avait percu un danger menacant , le Reiter tira son épée

ah, non, ils vont pas me la blésser une fois de plus

Le Teutonique chargea bousculant au passage l'ancien mercenaire réformé .
Celui-ci bien que massif , fut surpris par le jeune homme et s'écarta malgré lui .

Passé cet obstacle , Gontranius s'apercut qu'il y avait méprise, qu'aucun danger ne menacait Sam.

Ah ben zut ! Pas l'air c... moi !

Se retrouvant dans l'église , il fit face a une poignées de réformés ébahis par son arrivée spectaculaire .

Le Reiter choisit l'audace due a ses 19 printemps

Rendez vous !! Il n'y a aucune issue !
Sortez un a un en déposant vos armes !
Il ne vous sera rien fait
Si vous résistez , vous ferez face a notre juste courroux


Gontranius, conscient d'avoir outrepassé les ordres , très inquiet , se retourna brièvement pour voir si quelqu'un avait suivit ...
Uewen


Uewen entendit une voix l’interpeller. Un homme devant la foule des OMR. Visiblement quelqu’un qui participait aux décisions.
Et qui avait le bon sens de rappeler l’essentiel.

Il allait prendre la parole et reprendre là où on s’était arrêté, quand un Reiter plus impatient que les autres surgit des rangs croisés, la lame tirée. Uewen ne remarque qu’alors qu’un autre chevalier avait déjà tiré partiellement son épée et se maudit d’être si peu attentif. L’âge, quelle plaie !

Citation:

Rendez vous !! Il n'y a aucune issue !
Sortez un a un en déposant vos armes !
Il ne vous sera rien fait
Si vous résistez, vous ferez face à notre juste courroux !


Panique dans les rangs genevois qui montrent que la légendaire placidité helvète à ses limites !
- Argh !
- Non !
- Ils vont tous nous tuer !
- Sortez vos dagues ou mourrez !
- Hilfe !
- Tuons ces hérétiques romains !
- Schweinhunden !
- Des dagues contre des armures* ?
- Nous passerons par les faiblesses de leurs défenses !

Fugitive pensée de désespoir d’Uewen qui sait la puérilité de la remarque. Oh, oui, on en blessera deux ou trois, avec de la chance, et on mourra tous… Il essaye de se faire entendre, mais sa voix n’est-elle pas couverte, alors même qu’il ne voit pour l’instant qu’un seul audacieux et le flottement, dangereux, gagner ses compagnons ? ‘Faut quand même essayer !

- Calmez-vous, gardez les rangs !

* Tiens, quelqu’un avec du bon sens
Acar
Ah l'insconscience de la jeunesse... Le jeune Reiter partit du rang, aussi vif qu'un orage d'esté, en criant : Rendez vous !! Il n'y a aucune issue !
Sortez un a un en déposant vos armes !
Il ne vous sera rien fait
Si vous résistez, vous ferez face à notre juste courroux !


Se restournant alors, Acar en prosfita du doigt pour lui faire signe de ne poinct avancer plus... Le sang n'avaict que trop coulé.

Il mict donc ses mains en cornet et lansca :


Voyez ce qui peuct arrisver et je ne pourrais restenir cette jeunesse bien plus longtemps. Rendez-vous sans heurt ! Encore une derniere fois nous vous le desmandons !

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Bigmamma_fwi
Mais c'est qu'il s'énerve le bambin !

Bigmamma, juste derrière Uewen commençait elle aussi à avoir l'épée urticante, mais elle avait promis de se tenir tranquille et, pour l'instant, elle se maitrisait encore !

Pourtant, la simple vue de Hobb suffisait à lui donner des cauchemards et l'entendre débiter de telles inepties lui arrachait les oreilles ! Ses dernières paroles tournaient en boucle entre les mêches du tribun, déjà bien décoiffée mais surtout très blonde : c'était qui l'helvète dont il parlait ? Lui ?

Et là, la cata ! Ebullition de la soupe au lait, mise en avant de son mauvais caractère et ...

Un Helvète toi, Commandeur ? La pire des vermines ! Toi qui par ta seule présence souille le parvis ! Traitre à ta patrie, lâche et menteur ! Rappelles ton roquet et respecte les anciens ! Uewen a lui seul vaut mieux que toute ton engeance ! S'il nous faut partir, ça ne sera certainement pas par ton ordre !

Oups ! Elle avait parlé plus vite que son ombre, Bigmamma ! Et subitement calmée, reculait de nouveau derrière Uewen et n'osait plus regarder autre chose que les pavés !

Pas taper Kiki ! M'énervait déjà y a un an, m'énerve encore plus maintenant !
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De la discussion nait la lumière.

Gontranius
Gontranius vit le signe du Chancelier Acar , un homme qu'il appréciait beaucoup

Aussi, le Reiter s'arreta net comme un setter ayant flairé un gibier


Voyez ce qui peuct arrisver et je ne pourrais restenir cette jeunesse bien plus longtemps. Rendez-vous sans heurt ! Encore une derniere fois nous vous le desmandons !

Le teutonique faisait face aux genevois et guettait leur réaction
Celui qui semblait etre leur chef leur avait intimé l'ordre de se calmer .
Rassuré sur leur tenue , Gontranius entendit alors

Un Helvète toi, Commandeur ? La pire des vermines ! Toi qui par ta seule présence souille le parvis ! Traitre à ta patrie, lâche et menteur ! Rappelles ton roquet et respecte les anciens ! Uewen a lui seul vaut mieux que toute ton engeance ! S'il nous faut partir, ça ne sera certainement pas par ton ordre !

Il se retourna et apercu dans la clarté venant de dehors une femme , l'épée a la main .

Par Sainte Edwige , mais elle insulte le Hochmeister Hobb !
De quel droit cette bougresse , croisement d'un chamois et d'une marmotte se permet-elle d'apostropher ainsi le grand homme ?


Hola , gueuse que tu es !!
N'as- tu point entendu ce qui te sers de chef ?

Si tu persistes, je vais te faire tater de mon épée !
Nicolas_track
Samaelle,la lame baissée vers le sol s'avancea.Elle reconnaissait la dame pour l'avoir souvent croisée en ville auparavent.Mais comme elle l'avait elle-même mentionné,les choses avaient bien changé.
Néanmoins...

Elle s'interposa entre Bigmamma et Gontra tenant celui ci a distance de son bras vacant en travers son torse.

-Schatz...Nimm dieses schwert weg,bitte!!!

Se tournant vers la dame

-S'il vous plait dame...que tous le monde sorte!Nous n'allons pas nous battre en ces lieux sacrés tout de même....

Elle la regarda presque suppliante.Réformée ou pas,la rouqine répugnait devoir s'interposer a des gens qui l'avaeint bien accueilli autrefois...autrefois qui semblait tant loin,malgré son jeune âge
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