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[RP] Culte aristotélicien réformé, église dite "cathédrale"

Barachiel
L'agitation qu'il pouvait entendre derrière lui et qui apportait une forte note d'agacement dans la voix de Monseigneur Tibère, ne pertubait pas Barachiel. Il c'était douté, qu'en venant ici, à Genève, il aurait à faire aux soudards réformistes abreuvés de haine et de bière. Il se doutait que chacune des actions de la Sainte Église de Rome serait critiquée, mal interprétée, déformée. Cela était courant dans les pratiques de la créature Sans Nom et de ses sbires. Il se doutait aussi qu'il aurait à faire face à forte partie mais cela était le lot quotidien de chacun des membres de la Compagnie d'Aristote.

Pourtant pour l'instant, la seule chose qui importait pour Barachiel, était ce qui ce passait entre Dieu, l'archevêque de Malines et lui. Il redressa donc la tête vers Monseigneur et affirma d'une voix qu'il espérait assez forte :


Monseigneur,

Oui, je m'engage devant Dieu à ne porter aucune arme de combat.
Oui, je m'engage devant Dieu à suivre et à obéir au dogme de notre Sainte Eglise et à respecter et à obéir au Droit Canon.
Oui, je m'engage devant Dieu à faire voeux complet de chasteté et par là renoncer à fonder une famille et de me consacrer tout entier à la foi.
Tibere
Tibère fit un signe de croix entouré d'un cercle sur le front de Barachiel, puis il reprit à haute voix :

Que le Très Haut protège Barachiel des impurs !
Qu'Aristote, insuffle la Raison dans ses pensées,
Que Notre Créateur la bénisse, car il a choisi de servir à la diffusion de Sa parole !
Que Christos lui souffle la paix dans son cœur et le guide comme il a guidé les Apôtres
Que cet homme devienne guide des croyants vers la paix, l’amour et le paradis solaire.
Par Christos qui consacra les Apôtres et par le pouvoir qu’il nous a transmis de perpétuer ce geste,
Moi Tibère d'Arcis, archevêque de Malines, je te nomme vicaire de Genève pour que tu sois le relais de la vraie foi dans la communauté des fidèles.
Désormais tout acte de blasphème fait contre toi sera une injure envers le Très Haut lui-même.
Qu'il en soit ainsi !


Relève-toi frère Barachiel et donnons-nous l'accolade.

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Barachiel
Le contact du doigt de Monseigneur Tibère sur son front le fit frissoner et ses paroles engendraient déjà dans la tête de Barachiel un nombre incalculable de conséquences, d'implications. Être nommé à Genève, plutôt qu'à Bruges, était un défi supplémentaire.
Jamais, dans aucun autre endroit ou il avait pu aller, quelqu'un ce serait permis une intrusion telle que celle du lourdeau qui se trouvait avec eux dans l'église. Il allait falloir régler ce cas même si c'était probablement une cause perdue... Après la cérémonie une petite discussion s'imposait.

Pour le moment, ce n'était qu'à la joie d'être devenu vicaire que Barachiel voulait s'abanonner : il allait enfin vraiment servir Dieu de manière adéquate.

Avant de se relever, Barachiel baisa une nouvelle fois la bague de l'archevêque puis obéit à sa requête et lui donna une accolade.


Merci Monseigneur.
Je vous promet d'utiliser toutes mes ressources, toute ma foi pour remplir ma tâche.
Et il me semblerait même avoir une première mission qui m'attend ici même en la personne qui se trouve pas très loin et qui a osé faire du chahu dans la maison de Dieu.


À ce moment précis, Barachiel ne savait pas si il devait sourire ou être triste. Il semblait que l'homme soit un sacré énergumène, sans compter que d'autres de ses amis viendraient peut être...
Tibere
Merci Pons d'être resté avec nous le temps de cette courte cérémonie. Il est des moments importants dans la vie d'un homme dont d'autres doivent pouvoir témoigner. Il est certain que les choses se seraient mieux passées si certains connaissaient le sens du mot respect !

Se tournant vers les autres présents.

Et bien messieurs ! Qu'avez-vous donc encore à nous dire ?

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Baphomet
Le capitaine s'inclina derechef devant Tibère qui le remerciait pour sa présence, il salua aussi Barachiel dont il avait servi de témoin de son ordination. Pour ce dernier, Pons se permit un mot.

« Eh bien, voilà une bien lourde tâche que peu savent relever. Le clergé de Genève est un prestige certes qui attire beaucoup de prêtres sans se douter que comme partout, et peut-être tout autant, il faut une présence assidue à l'église, en halle comme en tavernes pour renouer avec ses paroissiens ! »

Sur ce, le bourgeois de Genève disposa des clercs pour retourner à ses affaires.
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Pons a trente-six ans.
Ses yeux bleus perçants vous scrutent sous des traits sévères travaillés par le soleil.
Des mèches de cheveux blonds paraissent parfois sous la toque qu'il porte sur le chef.
Tibere
Tibère regarda le ferraillé s'éloigner. Les autres en face ne disaient plus mot. Sans doute allait-il sortir comme ils étaient venus. Dieu jugerait leurs actes se dit-il. Comment pouvait-on oser perturber le déroulement d'un sacrement ! Etait-ce donc des réformés ? Sans doute. Des pauvres créatures égarées et aveuglées par quelque doctrine intolérante et nauséabonde...
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Barachiel
La dernière remarque du capitaine prit Barachiel à froid. Il c'était attendu à bien des choses à Genève mais pas à ce genre de commentaires... Certes l'homme était un homme d'arme bien plus rompu au maniement brutal d'une épée qu'à la délicate réthorique nécessaire à la propagation de la parole de Dieu, mais quand même... Si c'était le genre de soutient qu'il pouvait espérer des aristotéliciens de Genève, effectivement la tâche serait plus ardue encore que ce qu'il aurait pu imaginer.
Concernant sa nommination dans cette ville de la Confédération Helvétique, cela n'était nullement un choix, ni même franchement un souhait. Il savait qu'il devait y venir. Genève était un point chaud et les Compagnons d'Aristote avaient leurs rôles à jouer ici. Les lauriers qui pouvaient éventuellement y être rattachés ne l'intéressaient pourtant pas le moins du monde. Il était arrivé pieds nus dans sa simple robe de bure grise et repartirait de la même manière lorsqu'il serait temps. Sa condition simple et son mode de vie humble était nécessaire pour ne pas s'égarer hors du chemin de la vertu.

Avant que le Sieur Pons n'eut franchit la porte, Barachiel réussi tout de même à placer une petite phrase.


Mon fils,
Je compte vous voir lors de la prochaine messe qui sera donnée dans cette belle église.
Si d'ici là vous souhaitez venir vous confesser, je suis à votre disposition.


Le regard de Barachiel se porta alors sur les deux énergumènes qui, depuis leur intervention, par ailleurs tout à fait déplacée, n'avait pas pipé mot. Peut être avaient-ils finallement été touché par la grâce de Dieu... Barachiel allait attendre un peu. Si ils avaient vraiment eu une illumination, ce sont il doutait fort, ils ne devraient pas être long à venir demander pardon, à genoux.
Leo...
Bon, le gymnaste n'avait pas voulu lui dire son nom et avait repris sa cérémonie avec un brin de mauvaise humeur.
Ma foi, quitte à avoir fait le déplacement et pris du retard dans son ouvrage, autant assister au spectacle. Apparemment ce n'était pas une messe, peut être un baptème.
C'est que ça en jette une cérémonie de romains avec toute la pompe et tout le tralala pour impressionner les naïfs.
L'encens, les décors, les vêtements du prètre, la gestuelle (il comprenait mieux pourquoi l'acteur, en véritable professionnel, avait dû répéter), le discours....

Leo... rengaina son épée et posa donc son bouclier contre un banc en faisant le moins de bruit possible pour ne pas déranger le spectacle. Puis il s'assit pour assister à la suite de la cérémonie et l'apprécier en connaisseur.
Il faudrait qu'il se rappelle de ne pas applaudir dans les moments forts.
Justement en ce moment il y'en avait un particulièrement solennel.


Barachiel, vous engagez-vous à ne pas porter d’armes de combat à l’exception des armes d’apparat liée à la noblesse ou au coutumier ?

Mouais, ça ne les empèche pas d'envoyer des pauvres bougres se faire tuer à leur place pendant les croisades se dit leo..., apparemment ce n'est pas un baptème, mais l'ordination d'un prètre.

Vous engagez-vous à suivre et obéir au dogme de notre Eglise et à respecter et à obéir au Droit Canon ?

Evidemment pensa t'il, ils veulent des moutons qui acceptent les ordres sans rechigner ni réfléchir et font marcher droit les malheureuses dupes qui leurs servent de fidèles. Droit canon? Décidément oui, c'était l'ordination d'un prètre. Mais alors qu'allait devenir Cyriana? Y'aurait il deux curés à Genève ou allait elle déménager? De toute façon deux curés à Genève c'était déjàj deux de trop.

Vous engagez-vous enfin à faire voeu complet de chasteté et par là renoncer à fonder une famille afin de vous consacrer tout entier à la foi ?

Aïe, la partie des voeux la plus difficile à respecter. Heureusement qu'on leur donne des bonnes à ces pauvres curés, ou que leurs évêques ne disent trop rien quand ils vont au bordel.

Par trois fois vous devez répondre !

Ah, voyons la réponse que le futur cureton va donner.
Leo... s'accouda sur le banc devant lui, retint son souffle et fixa le bonhomme avec attention.
Le suspens était à son comble.


Monseigneur,

Oui, je m'engage devant Dieu à ne porter aucune arme de combat.
Oui, je m'engage devant Dieu à suivre et à obéir au dogme de notre Sainte Eglise et à respecter et à obéir au Droit Canon.
Oui, je m'engage devant Dieu à faire voeux complet de chasteté et par là renoncer à fonder une famille et de me consacrer tout entier à la foi.


Leo... se retint d'applaudir et de pousser des acclamations. Y'a pas à dire ça avait de la gueule, il ne manquait plus que les petits coups d'épée sur la tête et les épaules et on en ferait un vrai petit chevalier du gamin.
On était maintenant au clou du spectacle.


Que le Très Haut protège Barachiel des impurs !
Qu'Aristote, insuffle la Raison dans ses pensées,
Que Notre Créateur la bénisse, car il a choisi de servir à la diffusion de Sa parole !
Que Christos lui souffle la paix dans son cœur et le guide comme il a guidé les Apôtres
Que cet homme devienne guide des croyants vers la paix, l’amour et le paradis solaire.
Par Christos qui consacra les Apôtres et par le pouvoir qu’il nous a transmis de perpétuer ce geste,
Moi Tibère d'Arcis...


Leo... palit, son regard devint farouche et sa machoire se crispa.
Tibère d'Arcis... TIBERE D'ARCIS... TIBERE D'ARCIS!
Leo... n'entendit pas la suite. Il vit à peine l'accolade. Une seule chose occupait ses pensées. Un nom qui lui martelait la cervelle, qui était hurlé dans sa tête: Tibère d'Arcis.
Le prètre qui avait essayé d'égaler Groar dans le crime, qui avait levé une armée de croisés qu'il avait fait marcher sur son pays, celui qui avait essayé de tromper les helvètes en leur écrivant dans l'espoir qu'ils accueilleraient l'envahisseur à bras ouverts.

Alors comme ça il ne porte aucune arme de combat ce raclure!
A cette idée sa main droite se porta sur la garde de son épée et en pensée il se représenta la tête Tibère roulant devant l'autel.
Tuer un chef croisé! Quel grand service il rendrait à l'helvétie, quel grand service il rendrait à la communauté réformée. Il n'était pas dans ses habitues de tuer des hommes désarmés mais pour monseigneur Tibère d'Arcis, il était pret à faire une exception.
Puis il se ravisa.

On était ici dans la maison de l'unique et on ne devait pas y verser le sang d'un homme venu le prier et lui rendre hommage, aussi nuisible et détestable soit il.
Il repensa au chevalier qui portait des armes helvètes et qui assistait à la cérémonie. La paix religieuse règnait à Genève et il ne voulait pas offenser son compatriote en assassinant un homme en pleine cérémonie.

Craignant de ne pas pouvoir se contrôler plus longtemps leo... quitta l'église en silence avant la fin et rentra chez lui prendre un bain pour se calmer et se nettoyer de sa sueur. Son ouvrage pouvait attendre, dans l'immédiat il devait aller à la mairie.
Il était curieux de savoir ce que concitoyens allaient penser de la présence d'un chef croisé en ville, et si les orthodoxes qui l'avaient combattu en tant qu'envahisseur allaient l'accepter comme guide.

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Tibere
Tibère observa l'interrupteur numéro 2 quitter l'église et se dit que ces gens avaient sans doute grande gueule, mais bien peu d'arguments à faire valoir pour défendre leurs intérêts. La croisade avait échoué faute de volonté politique. La reconquête aristotélicienne se ferait désormais par le verbe.
Puis il regarda son valet Lahire qui était en train de ranger le matériel liturgique et de s'affairer à tout nettoyer en grommelant comme à son habitude. Ses pensées vagabondèrent alors. Il pensa qu'il serait sans doute bon d'ouvrir dans la confédération une commanderie pour la Milice d'Aristote, l'ordre militaire et religieux orthodoxe qu'il souhaitait mettre sur pied avec l'aide de Dieu. Car à la réflexion et vu les hurluberlus qui traînaient dans le coin, la seule force de la parole ne serait peut-être pas suffisante. Le glaive pourrait avoir son utilité dans certains cas extrêmes.

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Cocoetcoco


L'une, c'est Commère, alias Coco. L'autre aussi.
Voyageuses en herbe sur le retour.
D'où viennent-elles? On s'en fiche, elles sont là et heureuses d'être là.
N'est-ce pas suffisant?
Ge-nè-veuuu, terre d'accueil.
Y en a d'l'amour dans la nouvelle capitale, y en a pour pour tout l'monde: les vieux, les éclopés, les crève misère, les gens d'la haute, les voyous, les voleurs, les cur'tons et même les croisés!


Bein dis donc ma Coco, l'a roulé vite hein!
Pfiouuu ça décoiffe hein.

Rhoooo oui, j'ai eu peur moi! T'sais, les ravins, les trous, on les a frôlés... et la mort aussi d'ailleurs, et plus d'une fois!

Mouais, j'en ai les jambes qui flageolent encore.
Tiens à c'propos, parait qu'ici, z'ont une chtite boisson qui r'tappe son homme.
Si...

Tè tè tè, tout doux! D'abord, remercier tu sais qui!

Ah vuiiii mais t'sais qu'ici, par souci d'tolérence, ils s'partagent la même église, chacun son tour, chacun son culte.
Sont mignons ces genevois et puis... qu'est-ce qu'ils sont beau! C'est l'air des montagnes parait.
Euhhh parait qu'faut aller à la cathédrale, c'est là qu'elles vont la rouquine et la ptite noire qu'nous avons suivies.

Bein oui, justement mais là, on a un problème pasqu'à la cathédrale, y en a deux qui font du zèle. Parait qu'y a un rescapé croisé, une espèce de lanterne rouge qui impose son arrogance.

Ah bon! On fait quoi alors?

On y va quand même!

Mais euuuuuuuuuh c'sont des aristo romano!!!!!

Tant pis, t'façon c'est l'même Très haut. C'est lui qui dit vrai d'un côté et qu'on fait mentir de l'autre y parait, alors...

Ouais, t'as raison Coco! Et j'voudrais bien voir qu'on nous dise quelque chose!

Hèèèèè, Coco, c'est qui çui-là?
L'a pas un beau costume hein?

Bah, t'occupe Coco et prie!

[...]

Tatoumi
Tatoumi trouva la cathédrale bien calme en ce vendredi.
Où étaient donc passés les réformés genevois ?

Point bien grave, l'avoyère se réfugia dans la fraicheur et le silence du lieu. Elle n'allait refuser ni l'un ni l'autre, Et un peu de calme lui ferait grand bien.

Elle s'assit sur un banc et ferma les yeux, se recueillant en tentant de se rappeler des 52 articles dans l'ordre et le désordre.

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Georges_orwell
Adriano entra dans la Cathédrale de Genève. Simplement pour y prier. Se reposer. Et surtout rendre grâce au Ciel des Bienfaits que ce Dernier lui avait accordé tout au long de la semaine.

Il s'approcha de Dame Tatoumi, lui fit une belle accolade, et lui chuchota...


Je suis heureux de vous revoir, oh mon Maistre de la Langue alémanique!

Et, en rougissant, d'ajouter...

Ich freue mich auf die Songs von Kirkwood!...Soit, j'ai hâte d'entendre les chants de Kirkwood!
Tom_lissime
Tom entra dans la cathédrale avec un sac rempli de petits pains et du vin, parait qu'il y aurait du monde aujourd'hui et surtout des chants, le chant du fameux Capitaine Kirk.
Il aperçu Adriano et Tatou et alla les rejoindre


Alors, il va venir Kiki?

Tom sortit les petit pains et les déposa sur l'autel

J'suppose qu'la politesse veut qu'on attende tout le monde pour mangeoiller, soit!
Georges_orwell
Bonjour Tom!

Adriano serra affectueusement la main de son compagnon de guindaille et lui affirma...

J'ai écrit au Messire Kirk avant de me rendre ici. J'ai hâte d'entendre les doux sons issus de sa Gorge Profonde!

Cianfarano, qui avait un peu faim, contempla les miches délicieuses posées sur l'autel...

Qu'il est exquis de célébrer le Très Haut dans une église qui songe à notre ventre et à notre âme!
Gaia
Gaia entra dans la cathédrale où elle retrouvait déjà quelques personnes dont aussi Tom qui portait un gros sac
et en lançant un regard curieux sur ce dernier, elle se demandait quoi de bon y pouvait être dedans.
Elle même apporta dans un petit panier un peu de ce jambon forêt-noirien qu'elle a pu acquerir le jour avant.
Seul son mari lui manquait mais elle allait le rejoindre plus tard.
S'approchant à pas feutrés pour ne pas briser le calme de ce lieu, Gaia salua les autres avec un sourire
avant de se recueillir dans un coin et prier pour.. pour plein de choses qui restèrent son propre secret.

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Avoyère de Fribourg - Ancienne Chancelière des Helvètes / Ehem. Kanzlerin Helvetiens - II.Amirale Helvète
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