--Carnleidr
RP ouvert à tous... Allez! Pas de gène... tous sont les bienvenues... seules contraintes... plus que 3 phrases, de la cohérence et un peu de patience le temps que l'histoire se place. Bon jeu!
La nuit était tombé depuis un moment, le ciel sombre, sans lune ni étoile était couvert. Lair lui-même semblait étouffé sous le bas plafond quoffrait ce ciel nocturne. Seul le clap clap de sabots sentendait sur le chemin alors que deux sombres montures et leurs cavaliers franchissaient, au pas, lenceinte du village. Les deux ombres apparentes semblaient des hommes, compte tenu de la stature des deux étrangers. Le duo, large dépaules et paraissaient sensiblement plus grand que la majorité bien que ce pouvait nêtre que de lillusion compte tenu des deux hongres sur lequel ils étaient monté.
Ils avaient traversé près de la moitié du village lorsquun mouvement furtif provenant du premier individu, une main gantée, levée, donnant probablement une indication. Les deux destriers sarrêtèrent au centre de la place du marché.
Un murmure rauque
La gamine ne peut pas sêtre rendu bien loin
Un sourire pervers défigurait ses traits alors que lautre intrus rigolait tel un ignare au souvenir de la blonde. Chacun avaient eu droit au plaisir puis son rire glauque se tut, subitement, alors que le poing du carnleibr sabattait sur son épaule pour lui intimer le silence.
On aurait du la tuer la bas la sale gosse va nous dénoncer et nous seront bon pour la potence, elle en sait beaucoup trop Avait commencé le premier.
Le deuxième enchaîna. Je parie quelle se cache ici où veux-tu quelle soit? On ne la pas manqué
Le carnleibr descendit de son cheval, tenant la bête par la bride.
Séparons-nous, nous en saurons davantage demain, en plein jour Il sera facile de savoir si elle se trouve ici ou non Et nous termineront cette histoire une fois pour toute.
Lautre en fit tout autant, descendant de son hongre et repoussant son capuchon sur ses larges épaules.
Oui Et soyons discret ce srait bien inutile déveiller les soupçons de la fille et quelle nous file entre les doigts finissons-en!
Le premier gaillard avait commencé à marcher et sarrêta, pour se retourner vers son acolyte.
Demain, au même moment, ici même Je te dirai quand frapper
Les deux sbires disparurent chacun de leur côté pour trouver somme toute une auberge pour y terminer la nuit.