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[RP] Église Saint-Nicolaïde de Montmirail

The_undertaker
La céremonie prit fin.
Il n'osa broncher quand Cilou l'enlaça pour le remecier. En temps normal, Il ne laissait personne ainsi l'aprocher ou le toucher, mais l'occasion était bien particulière et les sentiments de la jeune femme forcement exaxherbés.
Il lui sourit.
En même temps il lui glissa à l'oreille :

Profitez, vous êtes la seconde personne après mon épouse à poser ses mains sur moi....

C'est alors que son épouse se raprocha d'eux, le sourire taquin aux lèvres, il repondit:

Je suis plein de surprises ma fée... merçi de votre présence.... je me sentais un peu seul....

Puis il se tourna vers Irella:

Irella, ce fut une très belle ceremonie, je vous en remercie. j'espère avoir été à la hauteur de vos escperances ...
Il s'inclina respectueusement avant de quitter les lieux, son épouse au bras.

Arrivés sur le parvis, il repondit à Cilou :

Comme vous voulez ... je ramène les calèches au Chateau et nous vous rejoignons au moulin...

Il installa son épouse dans la calèche et ils rentrèrent à la Ferté.
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Irella
Peu à peu, l'église se vidait. Cilou recevait les félicitations de chacun avec sourire et émotion. Elle s'afférait pour que ses invités la rejoigne au moulin.
Après les mots encourageants de sympathie que lui avait exprimés dame Lysesl, ce fut ceux de sire Tak qui rajouta une touche de baume au coeur de la diaconesse.

Sire Tak. Vos compliments m'encouragent et je vous en remercie. Vous avez été, sans aucun doute, l'homme de la situation!

Avant de rejoindre Cilou et ses invités au moulin, Irella rangea ce qui devait l'être... et ferma la lourde porte de l'église derrière elle.

Elle passa devant l'affiche qui annonçait le mariage de Rout et Niki qui battait au vent et raccrocha les quatre coins avant qu'elle ne s'envole.

La jeune diaconesse n'avait eu le temps d'écrire un parchemin pour annoncer la messe de dimanche prochain, mais l'ayant rappeler ce soir, elle faisait confiance au bouche à oreille qui s'opérerait...

Irella
A la demande de Gaelant, Irella s'était levée aux aurores afin de sonner le tocsin pour rassembler le plus de volontaires possible pour une battue aux loups.

Les loups... Brrrr! A sa simple évocation, Irella frémissait d'effroi. Ne disait-on, pas qu'ils mangent les enfants et parfois les hommes et qu'après qu'ils se sont acharnés aux hommes, ils ne mangent nulle autre chair.
Le loup, disait-on aussi, en dévorant les corps s’approprie les âmes.

Ceux qui avaient frappé les nuits précédentes, affamés, furieux et enragés menaçaient la sécurité de tous jusqu'aux portes du village.

« Quand on parle du loup, il saute le buisson », dit le proverbe. Il était temps d'agir avant que malheur n'arrive...

Irella redescendit du clocher. Les voix sur la place prouvait que l'alerte avait été entendue. Elle traversa la nef, poussa la porte et sortit sur le parvis...
Bradwen
En route pour se rendre à la mine du comté, Bradwen entendit l'appel de la population. Il n'avait encore jamais entendu sonner le tocsin un lundi matin. Il se demandait bien ce que signifiait un tel évènement. Souvent, cela ne présageait rien de bon.

Mais il voulait en avoir le coeur net. Et puis en tant que Montmirallais, il se devait de répondre à cet appel.

C'est ainsi que par un lundi matin, il se retrouvait pour une deuxième journée consécutive sur la place de l'église, entourés d'habitants qui, comme lui, étaient perplexes...
Irella
Un vent frais soufflait sur Montmirail ce matin. L'hiver faisait son œuvre. Encore bien peu de monde parcourait à cette heure les ruelles du village. Irella vit les premières lueurs du soleil rosir le ciel.

Un parchemin sous le bras, elle arriva sur le parvis. Elle sortit maillet et clous de sa besace et...

PAN! PAN! PAN!

... fixa son annonce pour le lendemain.

Pascal29
Le 23-01-1458, était je jour du changement pour Pascal, en effet, il avait eu une révélation en songe.Une colombe était apparue dans une lumière éclatante et il s'était alors sentit appelé par le tout puissant.

Curé, c'est curé que je serai. Je dois faire le bien autours de moi et partager ma joie

Ce matin il décida de se rendre à l'église de montmirail pour assister à l'office, ceci avec autant de plaisir que l'évèque serait peut être là ce matin, c'est ce que dame Irella lui avait dit.

Arrivé devant l'église il vit un mendiant en loques et lui tendit quelques pièces pour son repas.

Tenez mon brave et faites en bon usage, n'oubliez pas de partager la joie autours de vous

Sans attendre de réponse il rentra dans l'église et prit place au plus près de l'autel
Irella
Irella après s'être vêtue de ces habits de cérémonie, s'adonna à une activité qu'elle goûtait toujours avec autant de plaisir.



Il ne fallut que quelques minutes et tout Montmirail sut que l'office allait commencer, le chant de la cloche. ne laissait aucun doute ...

Cela fait, elle sortit sur le parvis... et se ravisa bien vite.

Brrrrr! Pas un temps à mettre une diaconesse dehors!

Irella rentra attendre les fidèles à l'intérieur.

Bonjour Pascal, je ne t'avais pas vu en sortant! Installe-toi, près de l'autel, tu as raison, tu ne perdras pas une miette!
Pascal29
A peine assis à proximité de l'autel les cloches se mirent à tinter.
Pascal vit dame irella affairée aux préparatifs de l'office et qui se rendit sur le parvis. Elle se ravisa bien vite au vue de la température extérieure.

Bonjour dame Irella, chose promise...Je commence mon apprentissage à vos cotés, dit il en souriant
Esquimote
Les cloches retentirent au même moment où elle gravissait les marches. De loin elle avait aperçue brièvement Irella qui avait vite fait demi-tour pour rentrer dans l'édifice.

Pénétrant à son tour, elle salua son amie Irella en grand habit de cérémonie. Ma chère Irella cet habit te va à ravir.. Oh mais n'est-ce pas Pascal que j'aperçoit près de l'autel ?.. Je vais m'installer près de lui.

Remontant la nef, elle s'installa près de ce dernier.
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By esquimote at 2009-11-26
Pascal29
Pascal entendit des pas résonner dans l'église, il se retourna et vit dame esquimote qui s'approchait de lui.

Bienvenue dame esqui, installez vous je vous en prie
Irella
Irella salua Esquimote et la remercia du compliment.

Mes frères, mes sœurs,
Soyez les bienvenus dans la maison de Notre Seigneur ! Vous avez résistez à l’envie de rester rêvasser dans votre lit, vous avez bravé le froid, la pluie, vous avez poussé la porte de l’église ! Et bien je ne peux que vous en féliciter. Le Très-Haut vous voit en ce moment… et moi aussi… heu… je vous vois, bien sûr… mais Il me voit… et peut être bien qu’il note les absents ! Vous faites bien d’être là ! Ici, Tous ensemble nous trouverons des réponses à nos questions pour mener à bien notre quête vers le bonheur, vers l’amour des autres et de notre Seigneur.

Allez ! Pour que cette quête soit réussie commençons par nous repentir. Oui, da ! Ne vous faites pas prier, j’en vois qui essaye de faire briller l’auréole qui leur pousse au dessus de la tête. Continuer d’astiquer et récitez avec moi !



Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Esquimote
Ah Irella... toujours le petit mot pour détendre l'atmosphère !!!

Etouffant un petit fou rire, elle tenta de reprendre son sérieux et récita la prière



Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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By esquimote at 2009-11-26
Cassandre_159
Cassandre avait croisé quelques jours auparavant Irella en taverne, qui lui avait fait part qu’elle ferait la messe ce dimanche et aurait apprécié y voir la jeune femme et sa petite famille. Cass savait qu’elle devait s’y présenter, tout ça faisait parti de son cheminement pour retourner dans la famille du Très Haut. Elle avait donc enfilé ses vêtements les plus beaux pour l’église puis prépara les enfants quand elle entendit soudainement els cloches résonner dans tout le village. Elle était remontée, voir si Ophion dormait toujours, et vu qu’il n’allait pas les derniers jours, la jeune femme déposa un baiser sur ses lèvres puis le laissa dormir.

Elle se rendit avec les enfants au lieu saint, elle poussait d’une main la lourde porte le plus discrètement qu’elle pouvait en entendant que la messe était commencée. D’une main elle serrait celle de sa fille, Thomas serrant l’autre de cette dernière. Une fois assis, ils mirent rapidement l’attention sur la diaconesse. Puis Cass récita ce qu’elle n’Avait pas dit depuis des lunes

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous,
mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission
de tous nos péchés.

Elle prononçait ces mots tout bas, comme si elle les murmurait, peur de se tromper. La blondinette avait refermé les yeux, tentant de trouver le calme et de comprendre en profondeur ce qu’elle récitait.
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--Thomas_davantie
Thomas se disait qu’il pouvait paresser se matin là, il pourrait peut-être aller avec sa louve un peu plus tard aux alentours de la maison d’Ophion. Il essayait de connaître l’homme qui fréquentait sa mère, un peu plus. Trop bizarre qu’il soit aussi gentil avec elle et surtout eux. Il les avait entendu parler de l’armée, ça ne surprenait guère le jeune garçon, depuis son enfance, du moins le plus loin qu’il puisse se souvenir, sa mère avait fréquenté que des militaires. Pendant qu’il rêvassait à ses mauvais coups du jour, se disant même qu’il devrait aller chercher les enfants de dame Lysesl, Cass était entrée dans sa chambre lui tendant vêtements un peu trop habillés à son goût. Il leva un sourcil et au moment qu’il allait dire une chose, il aperçu une chose dans le regard de sa mère qui voulait dire qu’il devait même pas s’obstiner et devait les enfiler.

Thomas venait rejoindre sa mère et sa sœur en même temps que de siffler sa louve. Il ne savait pas encore à ce moment là où ils allaient ainsi par ce dimanche matin. Cass lui avait fait comprendre que la louve resterait à la maison avec Ophion, pendant qu’eux allaient… à l’église. Le jeune garçon resta estomacqué, ils n’avaient jamais mis pied à l’église depuis qu’il était né, pourquoi là subitement. Le jeune garçon se dit qu’il ne devait pas poser de question, sa mère semblait nerveuse donc ce n’était pas le moment. Il suivait donc sa mère, un peu à contrecoeur, se disant qu’elle venait de briser ses plans pour la matinée. Il pénétra dans l’église et pris place, écoutant les murmures de sa mère comme il ne connaissait pas les paroles que les gens récitaient.

Il se disait dans sa tête… blablablablabla … elle afficha un sourire en coin tout en regardant un peu partout. Il bougeait un peu sur le banc, sentant ses vêtements le démanger. Il tirait sur son col de chemise, se disant qu’il serrait trop son cou. Puis Cassandre finit par le regarder en fronçant les sourcils lui murmurant de se tenir tranquille comme sa sœur faisait.
Honore.saint_cyr
Honoré avait rallié Montmirail après plusieurs jours de voyage en carriole et il n'était pas mécontent d'être arrivé à destination car son dos n'était pas en compote, il était en charpie, une douleur lancinante se diffusant tout le long de sa jambe gauche, ce fut un vrai cauchemar de faire la route dans ces conditions, heureusement, le prélat avait été escorté par la charmante Emeline, le jeune lieutenant , cette dernière avait fait son possible pour prendre soin de lui...

le jour se levait , l'évêque voulait assister à la messe d'Irella, ce serait la première fois et pour rien au monde il ne raterait cet évènement mais lorsqu'il constata qu'il était tout crotté, de la tête aux pieds, il se dit que vu sa dégaine, il n'allait pouvoir participer à la messe, l'odeur de sainteté avait tout de même ses limites...

Le religieux abandonna son escorte pour aller à l'auberge, comme la dernière fois, il se rendit à la cerisaie, péniblement, il mit pied à terre, il flatta l'encolure de sa jument qui avait été particulièrement docile, il attrapa sa canne et entra dans la taverne, il demanda à louer une chambre, ainsi il pourrait se rafraîchir et se changer...

Le prélat était si fatigué, qu'après s'être lavé, il s'endormit sur la paillasse qui lui servait de lit, ce furent les cloches de l'église qui le réveillèrent, ni une, ni deux, Honoré enfila ses habits, pour sûr il n'allait pas pouvoir cavaler, il serait inévitablement en retard...Enfin, il parvînt au parvis, il entra dans l'église et se signa, l'office avait déjà débuté, il reconnut quelques-uns des Montmiraillais, comme Dame Esquimote et Dame Cassandre, en boitillant il avança jusqu'aux bancs de devant, il fit un signe discret à la diaconesse en pleine action, puis, il s'assit et attendit...
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Evêque du Mans
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