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[RP Fermé] Quand le chat dort les souris dansent...

Eusaias
Mais ma belle Suzeraine c'est à ma droite que vous allez sieger, ne vous inquie...

L'art de siffler selon Rochefort :

BAM BAM BAM !

... tez pas je vais m'occuper de vous.

Le Mauvais prit donc la peine de sortir et lorsque son museau passa la porte il ne vit tout d'abord qu'un garde. Il lança donc son signe favori de la main : un mouvement du pouce, tête en bas, vers le bas.

Décapi...

Il aperçut Sombernon.

Duc ! Non laisse passer Rochefort, c'est l'un des meilleurs.

Il alla rejoindre Asdrubaelvect, afin de l'inter à le suivre. Il se permit cependant quelques conseils à ses gardes.

N'approchez pas vos doigts de mon homme ou de ses provisions au risque d'y perdre les doigts. Il nous a estropié deux sympathisants de la licorne lors de la guerre en Berry, pour une histoire de bruit lorsqu'il buvait. C'est pour dire comme il est délicat de rester avec lui.

Sourire amusé sur le visage du Balbuzard qui se tournait vers Asdrubaelvect.

Ravi de vous revoir l'ami, le voyage fut bon ? En tout cas soyez le bienvenu en mes terres ! Il nous manque donc Juliette, Le beau Cardinal, Le pet-Pair, Talensac et Maathis.

Eusaias comptait sur ses doigts en allant rejoindre "la salle."

[edit pour racommodage ]

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Vaxilart
Le Duc suivit la file vers l'intérieur de la "chose" (à défaut de pouvoir clairement cerner cette chose)... Étrange comme endroit, meuh bon... Et étrange comme personnage, il avait bien changé cet Eusaïas...

Se rendant à une place pour s'y asseoir, il ne put (sans obsession, mais depuis le temps qu'il l'avait pas vu) que passer près de Clothilde et son air courroucé, il laissa aller une petite bavure au passage:


-Allons ne faites pas cette tête, vous semblez bien aimer les brutes d'ordinaires... Non?
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Asdrubaelvect
La tenue et la mine du gardien le laissèrent plus que circonspect. Il l'avait l'habitude de voir ce genre de personnes lors des différentes guerres qu'il avait menées : de bons soldats mais tellement sûrs d'être supérieurs aux autres que cela en devenait leur principal faiblesse.
Il fit un signe de la main à ses deux gardes pour leur demander de reculer un peu, ils étaient nerveux et Asdru le sentait.

Avant qu'il n'ait eu le temps de répondre, ce fut Eusaias qui sortit des ruines pour calmer le demi-ogre.


Mes gardes vont rester un peu plus loin, ils ne nous dérangeront pas. Mais ne crois pas mon cher qu'il existe sur le champ de batailles des hommes éminemment supérieurs aux autres. J'ai vu des hérétiques se battre plus farouchement que des ours...
Enfin soit.


Il s'avança vers les ruines et continua à parler un peu.
Tu aurais tout de même pu choisir une bâtisse plus convenable... les nobles ne sont toujours pas des gueux dans ce royaume de scribouillards !
J'aurai pu proposé mon hôtel particulier en plein cœur de Dijon pour cette réunion...

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Eusaias
Ah non Duc ! Le choix ne pouvait pas être plus judicieux ! Car nous sommes icelieu en plein coeur de la Bourgogne. De plus cette terre n'est baillée à personne et lui donne donc un statut de neutre, chose plutôt intéressant lors de négociations.

Eusaias ouvrit la marche jusqu'à l'entrée de la pièce.

Bon, mes amis, il y a malheureusement quelques retardataires, mais ne perdons pas espoir ils viendront je suis confiant. De plus Erik m'avait dit ne pas être certain de pouvoir venir et le Beau Cardinal m'avait informé qu'il serait quelques peu en retard. Je vous propose donc de bien vouloir prendre place autour de la table afin que nous commencions, sans doute ceci les fera venir.

Le Balbuzard fit comme les convives en prenant place à table, exactement à gauche de Marie, vu qu'il lui avait dit la mettre à sa droite.

Dois-je vous faire l'affront de vous présenter ? Ou on se passe de ce genre de baliverne et on rentre dans le vif du sujet ?
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Toultoutim
Alors que les invités et leur hôte commençaient à trouver l'attente un peu longue, Talensac, arrivant de Joinville entra dans ce lieu qui lui paraissait étrange, se demandant qui pouvait bien s'y trouver.

Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait plus quitté Joinville, son lieu de retraite, et il n'était plus du tout au fait des nouvelles bourguignonnes, vivant tel un ermite, entouré seulement d'un champ de quatre vaches, mais surtout ruiné par les ravages d'un incendie de son château de Givry qui ne serait jamais reconstruit. Clamecy son vicomté n'avait point les mêmes atouts économiques et ne lui assurait donc que de maigres rentes.

Peu lui importait de toute façon, lui qui avait tout connu, la gloire d'être Duc, les responsabilités au plus haut niveau bourguignon, et les nombreux scandales qui avaient entaché à de trop nombreuses reprises sa réputation.

Il avait donc cru tomber dans l'oubli après tant de mois retiré du monde, mais Eusaias, cet inconnu, l'avait convié, pour la Bourgogne, et c'est bien celle ci qui lui importait le plus, soucieux de savoir quel problème pouvait bien nécessiter sa présence.

Les traits tirés, le regard froid mais l'allure toujours impeccable, Talensac se présenta au premier venu, curieux de voir qui avait été convié avec lui.
Armoria
Ce fut toujours frileusement - eh oui, on l'avait séparée de la flambée - qu'elle était allée rejoindre les autres à l'intérieur. Place prise, donc, au milieu des convives/conjurés/compères/com-pairs, allez savoir, non sans souhaiter qu'ils soient nombreux, la chaleur humaine étant ce qu'elle était.

Sans compter qu'elle n'était pas épargnée des éléments par quelque grâce divine, et que par conséquent, elle était non moins trempée que les autres.


Eusaias, si je m'enrhume, gare à vous...

Une nouvelle arrivée dans ce... ce quoi, d'ailleurs ? Cet antre ? Allez, cet antre. Toultoutim. Lequel avait payé ses égarements au prix fort. Elle avait suffisamment pu le constater lorsqu'ils s'étaient retrouvés à Fougères, et avait, de ce fait, jeté au panier ses griefs d'alors.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Clothylde
Clothylde décida d'ignorer Vaxilart, elle n'était pas d'humeur aujourd'hui à se quereller sur ce genre de sujet.
Aussi, lorsqu'Eusaias revint accompagné d'Asdrubaelvect, rejoignit-elle une place à la tablée en se contentant d'écraser soigneusement le pied du duc au passage.

Quand la porte s'ouvrit à nouveau sur Toultoutim, elle pâlit, ne s'attendant pas à le voir sortir de sa retraite même pour cette mystérieuse réunion...
Après tout ce temps, il lui était encore difficile de rester sereine en sa présence, même si bien sûr les sentiments s'étaient effacés, la Couches n'en gardait pas moins des cicatrices encore douloureuses.

Repoussant l'envie soudaine de fuir cet endroit, elle prit une longue inspiration et tourna son regard vers leur hôte, attendant qu'il s'explique enfin.

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Rochefort
Rochefort s'amusa de la remarque du "Duc" et retourna à son poste, après qu'Eusaias ait amené le nobliau, si sûr de lui, à l'intérieur.

Il s'installa, fesses contre terre, et s'imposa une pause bien méritée, attaquant le reste de viande qui trainait là...

Machouillant, tout en dévisageant les deux hommes d'armes qui s'étaient installés plus loin, il fut à nouveau dérangé...





Bon, vu comment t'es lingé, j'imagine que toi aussi, t'es de la haute?...

toussote ... Et que votre seigneurie est attendue ?


Il cria alors, d'une voix si forte qu'elle en fit sursauter les deux gardes...

EUSAIAS ! ENCORE DU MONDE POUR TOI !
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Rochefort en musique
Eusaias
Comme pour les autres, Eusaias rejoignit son nouvel invité et lui désigna une place à table. Lui opta du coup pour rester debout au risque de se voir épuiser à se lever et s'asseoir sans arrêt. Il entama donc une ronde, main dans le dos, autour de la table afin de pouvoir voir le visage de chacun au fur et à mesure de la discussion.

Percevant une tension sur la Baronne de Couches, il posa une main sur son épaule. Main qui se voulait rassurante.

Voilà, je pense que la plupart d'entre vous me connaissent ne serait ce que pour mes coups de sang et a grande gueule. Mais si ce soir je vous invite ce n'est pas pour parler de moi, mais de la Bourgogne.

Il retira la main de l'épaule de la Baronne et reprit sa marche. Marche marquée à chaque pas par le cliquetis de ses pièces dans sa poche.

Vous n'êtes pas sans savoir que l'Ost Bourguignonne c'est atrocement vidée de ses éléments. D'ailleurs avant que cela tourne au débat je tiens à préciser qu'on ne parlera pas de passé, mais de futur, donc les raisons passées on s'en moque.

Il tira son mouchoir de son mantel et le posa sur la table juste devant la princesse.

Tenez madame, je ne voudrais pas être fouetté s'il arrivait que vous vous retrouviez avec la goutte au nez.

Il réprima un rire et continua son tour de table.

Aujourd'hui, ce soir même il faut que nous aboutissions à un accord. Etant quelqu'un de difficile en affaire je dois avouer que je sais déjà sur quoi je veux qu'on aboutisse, mais il est évident que nous devons travailler ensemble pour y arriver.

Il se mordit l'intérieur des joues avant de se lancer :

Alors, attaquons le premier point de la soirée : Je pense que trop de bureaucratie tue l'armée. Toutes ces paperasses épuisent nos soldats et les démotive, nous devons sincèrement revaloriser leur fonction, leur fait d'arme. Comment d'après vous pouvons-nous palier à cela ?

Il pointa son regard d'oiseau de proie dans l'oeil unique de son frère.
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Snell
Snell grimaça en retourna le regard d'Eusaias.

Tu commences avec un point trop pointu, mon légendaire frère. Nos invités vont croire que nous voulons faire un procès à l'Ost, ce qui est nullement le cas. Permets-moi de présenter le contexte et le sujet de la rencontre de ce soir.

Le Borgne se tourna vers le reste de l'assemblée.

La plupart, pour ne pas dire la totalité, d'entre vous se demandent pourquoi nous vous avons conviés ici. Ces ruines sont délabrées, sales et exposées. L'absence de toit nous rend vulnérable à la pluie, qui heureusement est absente. Les murs qui tombent en morceaux permettent le passage du vent qui n'est pas trop chaud à cette période de l'année, et l'odeur de pourriture nous irrite les narines.

Bref, c'est sans doute le pire endroit pour une réunion, mais il y a une raison pour laquelle nous l'avons choisit. Mon frère vous a dit que nous sommes au coeur de notre chère Bourgogne, mais ces ruines représentent aussi ce qui arrive lorsqu'on n'entretient pas notre demeure.

Il y a un problème fondamental en Bourgogne. Nous en voyons tous les symptômes un peu partout dans le duché. Vous connaissez tous l'état de l'Ost. Les meilleurs éléments quittent et le recrutement est difficile, mais il y a d'autres symptômes. Au conseil ducal, il n'y a pas plus de deux personnes qui ont des affinités militaires, le reste étant des diplomates, des économistes et des légistes qui voient l'armée comme une dépense ou un projet de loi. À l'Assemblée, lorsqu'on parle des armées, c'est pour trouver des moyens de punir de chefs militaires plutôt que d'en trouver. Chez les toisonnés. on vote à l'unanimité des récompenses aux étrangers qui viennent nous défendre mais on s'abstient en majorité lorsque vient le temps de récompenser nos propres militaires. J'ai récemment pu scruter les archives du Collège de la Noblesse et même là, j'ai remarqué des symptôme du mal qui ronge la Bourgogne. J'espère que vous ne m'en voudrez pas de le relever. Lorsque vient le temps de choisir de nouveaux nobles, on demande si les candidats ont occupé des postes au conseil, si le candidat est posé et articulé, mais personne pose de questions sur ses qualifications militaires même si on des devoirs de la noblesse est bien de prendre les armes pour le duché.

Partout en Bourgogne, la voie des armes est de plus en plus oubliée, mise de côté, même dénigrée. Si cela arrivait partout en Europe, nous pourrions peut-être espérer voir le début d'un ère de paix universelle, la fin des armées et des guerres.

Mais il n'en est rien.

De toute la France, la Bourgogne est l'un des plus grand duchés, or il est l'un des moins défendus. Le minuscule Comté du Maine compte plus d'armées que le Bourgogne en a jamais eu en un seul moment.

Lors du dernier appel aux armes, pendant les troubles au Berry, nous avons été capable de rassembler une impressionnante armée de... trente-cinq soldats... en quinze jours.

Bref, nous n'impressionnons personne. Ni nos alliés et surement pas nos ennemis.


Snell prit une gorgée de vin pour désaltérer sa gorge sèche à force de parler.

Voilà donc l'état de la situation. Si nous ne voulons pas un duché ressemblant aux ruines qui nous entourent en ce moment, il nous faut l'entretenir. Il nous faut agir.

Nous voyons donc deux grands volets pour nos discussions. Un: Que pouvons-nous faire pour revaloriser la voie des armes? Et deux: Que pouvons-nous faire pour protéger la Bourgogne?

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Toultoutim
Introduit dans la pièce par une espèce de gros balourd puant et vulgaire, Talensac se tourna et découvrit la tablée dont la plupart des visages lui étaient familiers.

Eux n'avaient pas changé. Toujours les mêmes visages avec les mêmes rictus. Il ne les avait pas oublié et devina aux furtifs regards en sa direction qu'eux non plus, malgré tout.

Il s'installa donc à une chaise à l'invitation d'Eusaias puis écouta... Ainsi c'était donc de ça qu'il s'agissait ? De l'armée ? D'une armée mourante ?

Talensac ignorait quels chemins avait emprunté l'Ost depuis qu'il avait été général, et comme le précisa Eusaias, il n'était point question de ressasser mais davantage de se projeter.

Quoi qu'il en soit, ils connaissaient tous à peu près son opinion à propos d'armée, lui qui était passé pour un tyran lors de son règne. Mais il laisserait d'autres plus au courant que lui des affaires récentes prendre la parole avant d'exprimer l'idée fondamentale que l'armée est au coeur de tout et qu'un Duché, aussi grand soit il, ne peut rayonner sans armée digne de ce nom.

Là dessus, ses idées de grandeur n'avaient point changé, et le sujet lui paraissait suffisamment complexe et passionné pour que la discussion dure de longues heures.
Cardinal
il y a quelques jours le beau cardinal avait reçu une mystérieuse missive du charismatique eusaias l'invitant à se joindre à une énigmatique réunion visant à sauver la bourgogne ... bien qu'il eût peine à croire que l'éternelle bourgogne doive être sauvée, le beau cardinal accepta de quitter sa douce ataraxie et l'humble nuits-saint-georges pour se joindre à la petite assemblée, sans doute plus charmé par l'idée de revoir ses vieux amis et surtout la mignonne armoria que par la perspective d'avoir à nouveau à sauver l'éternelle bourgogne ...

après une agréable chevauchée, le beau cardinal, vêtu de riches et magnifiques habits, arriva au milieu de nulle part dans un endroit sale et sombre, sa destination ... là un grossier géant semblait s'amuser avec une hache qui dans sa main avait plus l'air d'une hachette ... armé d'un désarçonnant sourire et une main sur son épée, le beau cardinal s'adressa au charmant monstre :


bonsoir mon petit ... le beau cardinal a rendez-vous par ici avec quelques-uns de ses amis ... peut-être savez-vous où il pourra les rencontrer ...

tout cela manquait de lumière, le beau cardinal qui avait toujours fui tant l'obscurité que l'obscurantisme aimait à penser que sa simple présence -simple et belle- illuminerait la soirée et les lieux ...
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ceterum censeo parvam britanniam delendam esse
Maathis
Enveloppé dans un grand manteau noir, qui pouvait le faire prendre pour un Teutonique, monté sur son petit pur-sang arabe préféré, on eut pu le prendre pour un de ces moines-ermite qui sillonnaient les mondes connus à la recherche d'on ne sait quoi de spirituel.

S'avançait dans la pénombre des bois de Bourgogne, le duc de Courtenay, qui avait décidé après cette surprenante missive, d'y tenir là sa première sortie en public, non forcée par les circonstances, après la douloureuse perte de son épouse, il y avait déjà quelques mois.

Arrivant au lieu de rendez-vous, il se dirigea vers le colosse qui semblait manifestement interdire l'entrée de l'enclos où avait lieu le rendez-vous.


Athanase Maathis. Mon brave, je suis attendu... Pouvez-vous me montrer le chemin ?

Devant lui, il aperçut la silhouette presque oubliée du beau Cardinal. Finalement, revoir ce grand personnage justifiait à soi seul le voyage qu'il avait entrepris. Et pour le reste, eh bien, il verrait.
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Armes en cours de réfection.
Rochefort
Le géant n'en avait pas fini d'être dérangé... Plus grand malheur encore, il n'avait plus rien à manger...

Il s'étira et regarda le beau noble devant lui, suivit de peu d'un autre seigneur... Il soupira, plus du tout d'humeur, et leur adressa pour seule réponse un grognement, suivit d'un signe de tête leur indiquant la porte close.

D'un geste brusque, il leva sa hache, puis dans un râle effrayant, la dirigea fermement vers le sol, la lame s'enfonçant de plusieurs centimètres, dans une terre pourtant rocailleuse.

Il la laissa là, plantée, et se dirigea vers le tonneau... S'il le rouquin venait lui aussi à manquer, il perdrait tout contrôle... Les deux caves non loin, les deux hommes d'armes précisons ^^, trinqueraient !

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Rochefort en musique
Eusaias
Un BAM significatif d'agacement de son colosse préféré attira l'attention du Mauvais. Priant silencieusement pour que Rochefort de fasse pas de barouf avec les hommes de Sombernon, il s'arma d'un tonnelet de vin et sortit les lui porter.

Rochefort c'est l'heure du Bourgo...

Eusaias sourit ravi. Le Beau Cardinal ainsi que Maathis étaient là. Le Balbuzard se souvint de cette discussion en taverne avec son frère : si on pouvait choisir sa famille, j'aurai pris le Beau Cardinal pour père. Mais nombreux bourguignons feraient ainsi, avait rétorqué le Borgne.

Eusaias tendit le tonnelet à son garde.

Du vin contre ta patience, si tu es sage, tu iras chercher toi-même des tonneaux chez Morgane que tu mettras ma note.

Puis il fit face à ses deux hôtes.

Duc Maathis, je suis ravi de vous accueillir chez moi, ne vous fiez pas au désordre ce n'est dû qu'à un manque de personnel.

Il appuya sa phrase en désignant les ruines.

Beau Cardinal, mon bel ami, sachez ô combien je suis heureux de vous voir ici. Voilà bien longtemps que je n'avais eu la chance de vous croiser.

Il marqua une pause pour réfléchir.

La dernière fois ça devait être en Berry, lorsque nous marchions avec le terrible Erik, afin que le triducaillon face ravaler sa fierté au poilu Berrichon.

D'un revers de la main il les invita à rentrer.

Duc et Duc, prenez place je vous prie. Nous commencions à peine à discutailler entre gens de bonne compagnie, sur un sujet sensible : l'Ost.
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