Rethy
Rethy de Cianfarano écouta avec attention les propos de Ref, puis ceux de Santi.. Ecoeuré, il sassit près de la Catin et de son Tordu et dit
Je me présente , Rethy de Cianfarano. Madame, je dois dabord vous féliciter pour votre parfum Ambre, Tubéreuse et Poudre dIris Un bonheur!
Jai besoin de vous Mon Oncle Julius disait : »Parle aux femmes qui vivent dans la Luxure, car dans leurs épines se cachent les Roses de la Charité »
Vous qui connaissez les hommes, vous qui recueillez les confidences des mâles lors de confessions primales Me croyez-vous coupable ?
Il écrasa sa Réthyrighette sur un chandelier, en offrit une à la Belle et continua
Sieur Ref semble hésiter Je ne tiens pas compte des propos de Santi : depuis toujours, les Marseillais maffirment que cest un faux cul en puissance.Je ne les ai pas cru Jai honte aujourdhui de lavoir toujours défendu.
Hésitant, il conclut
Je sais que vous êtes une femme de bien ! Je le sens, je le suppose , je le suppute ! Estimez-vous que je suis condamnable parce que jaime les Rethyrighettes ? Et que, comme le médecin semble le croire, je sens la culpabilité ?
Il se leva soudain, enleva sa veste et sa chemise, dévoilant ainsi un torse musculeux et viril. Il se dirigea vers Ref et lui dit
Prélevez de ma sueur et analysez ! Lhonnêteté doit avoir une odeur !