chacha6030
Chacha qui observait depuis un long moment maintenant les allées et venues des uns et des autres et les murmures entre le Senhor Ref et son père, se décida enfin à sortir de ce qui pouvait, finalement, ressembler à un placard à balai et se dirigea vers son père qui semblait en proie à un énervement croissant … pour ne pas dire une grande excitation.
Elle avait parfaitement compris que le Senhor Ref au demeurant fort bel homme, exerçait une certaine attirance sur son « Papounet » et que ce dernier avait fort bien perçu, tout comme elle d’ailleurs, le trouble du médecin à chacun de ses murmures.
Ils avaient donc raison, ils ne se connaissaient pas auparavant tous les deux mais alors …. Pourquoi le Senhor Ref interviendrait-il ici afin de faire disculper l’incendiaire ? Seraient-ils complices ? Eprouverait-il un quelconque sentiment pour Yunette ? Ces deux là, seraient-ils liés par un lien ou des sentiments qu’ils ne pouvaient dévoiler ici ? Et son père …. cet homme de bien aux dires de tout un chacun aurait-il finalement quelque chose à voir dans cette terrible histoire pour essayer ainsi de déstabiliser son accusateur ou n’était ce, encore une fois, que ses élans cosmiques qui dictaient sa conduite ? Et cette …. dame et cette … Créature sans nom qui l’accompagnait, que faisaient-elles ici ? Avaient-elles d’importantes révélations à faire ? Seraient-elles au courant des projets de Yunette ?
Arrivée à hauteur du médecin et de son père, accolés côte à côte au mur de la salle des plaintes, elle chassa l’espace d’un instant ses pensées et adressa une large sourire à son père :
Allons ! Voyons père ! Garde ton calme … tout le monde ici sait que ni toi ni tes Rethyrighettes ne feraient de mal à qui que ce soit …. la justice saura faire toute la clarté dans cette affaire ….
Puis terminant d’ajuster la chemise de son père, elle s’adressa au Senhor Ref :
Acceptez mes excuses Senhor si je vous ai paru quelque peu …. agressive tout à l’heure mais j’ai été fort surprise de l’engouement que vous mettiez à accuser mon père … mais …. je me rends compte à présent que je me trompais …. vous désirez juste faire établir la vérité, n’est ce pas ?
Elle s’inclina alors quelque peu devant le médecin dont le charme était encore plus perceptible à cette distance. Tentant de dissimuler son trouble, elle fit mine alors d'attendre qu'une quelconque décision soit enfin prononcée.
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Elle avait parfaitement compris que le Senhor Ref au demeurant fort bel homme, exerçait une certaine attirance sur son « Papounet » et que ce dernier avait fort bien perçu, tout comme elle d’ailleurs, le trouble du médecin à chacun de ses murmures.
Ils avaient donc raison, ils ne se connaissaient pas auparavant tous les deux mais alors …. Pourquoi le Senhor Ref interviendrait-il ici afin de faire disculper l’incendiaire ? Seraient-ils complices ? Eprouverait-il un quelconque sentiment pour Yunette ? Ces deux là, seraient-ils liés par un lien ou des sentiments qu’ils ne pouvaient dévoiler ici ? Et son père …. cet homme de bien aux dires de tout un chacun aurait-il finalement quelque chose à voir dans cette terrible histoire pour essayer ainsi de déstabiliser son accusateur ou n’était ce, encore une fois, que ses élans cosmiques qui dictaient sa conduite ? Et cette …. dame et cette … Créature sans nom qui l’accompagnait, que faisaient-elles ici ? Avaient-elles d’importantes révélations à faire ? Seraient-elles au courant des projets de Yunette ?
Arrivée à hauteur du médecin et de son père, accolés côte à côte au mur de la salle des plaintes, elle chassa l’espace d’un instant ses pensées et adressa une large sourire à son père :
Allons ! Voyons père ! Garde ton calme … tout le monde ici sait que ni toi ni tes Rethyrighettes ne feraient de mal à qui que ce soit …. la justice saura faire toute la clarté dans cette affaire ….
Puis terminant d’ajuster la chemise de son père, elle s’adressa au Senhor Ref :
Acceptez mes excuses Senhor si je vous ai paru quelque peu …. agressive tout à l’heure mais j’ai été fort surprise de l’engouement que vous mettiez à accuser mon père … mais …. je me rends compte à présent que je me trompais …. vous désirez juste faire établir la vérité, n’est ce pas ?
Elle s’inclina alors quelque peu devant le médecin dont le charme était encore plus perceptible à cette distance. Tentant de dissimuler son trouble, elle fit mine alors d'attendre qu'une quelconque décision soit enfin prononcée.
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