Orantes
Modification du titre pour pouvoir mettre la balise. SN le 11/11
Citation:
Votre grâce,
Jai placé en vous toute ma foi, je crois même pouvoir parler de toute mon affection tant jaime cette terre de Bourgogne et ce qui émane delle. Je crois être devenu un fidèle sujet de votre Grâce, depuis mon retour en ma province natale.
Vous avez bien voulu, dans votre grande mansuétude, me confier la charge dambassadeur de Notre Duché chez notre voisin berrichon mais aujourdhui je suis conduit à vous implorer au nom de ce peuple qui souffre, au nom de nos frères du Duché du Berry qui éprouvent loccupation ignoble des forces armées de lAlliance Du Centre. Je conçois votre position à légard du tyran George le Poilu, qui indifférent au destin de son allié, na pas voulu intervenir dans la douloureuse expérience estivale que nos terres ont traversé. Mais au moment même où lancien Duc donnait sa démission du conseil et laissé son mandat à une formation de transition dirigée par Thomas de Clerel, les armées de lA.D.C. semparaient de la bonne cité de Bourges. Dune guerre de libération contre un oppresseur, nous sommes passés à un combat visant à la domination sans conditions des villages berrichons. Ce jour même, la populace voisine subit lanarchie des cohortes ennemies, le joug de lodieuse coalition..
Je connais le message de paix que vous avez bien voulu faire parvenir aux belligérants dès le début de cette délicate situation, en faisant de Notre Duché un médiateur dans cette crise. Cependant votre bon dessein a été laissé lettre morte. La dénonciation de nos alliances les plus anciennes a, semble-t-il, ouvert le chemin de la désolation chez nos voisins. Dès ce jour, si votre intention est réellement dimposer la voie de la raison aux combattants, je vous conjure de faire entendre plus fermement lappel de Notre Bourgogne.
Cest lavertissement de notre duché contre lasservissement du Berry quil faut faire entendre promptement !
Votre dévoué serviteur,
Son Excellence, lambassadeur bourguignon en Berry,
Orantes de Volvent
Jai placé en vous toute ma foi, je crois même pouvoir parler de toute mon affection tant jaime cette terre de Bourgogne et ce qui émane delle. Je crois être devenu un fidèle sujet de votre Grâce, depuis mon retour en ma province natale.
Vous avez bien voulu, dans votre grande mansuétude, me confier la charge dambassadeur de Notre Duché chez notre voisin berrichon mais aujourdhui je suis conduit à vous implorer au nom de ce peuple qui souffre, au nom de nos frères du Duché du Berry qui éprouvent loccupation ignoble des forces armées de lAlliance Du Centre. Je conçois votre position à légard du tyran George le Poilu, qui indifférent au destin de son allié, na pas voulu intervenir dans la douloureuse expérience estivale que nos terres ont traversé. Mais au moment même où lancien Duc donnait sa démission du conseil et laissé son mandat à une formation de transition dirigée par Thomas de Clerel, les armées de lA.D.C. semparaient de la bonne cité de Bourges. Dune guerre de libération contre un oppresseur, nous sommes passés à un combat visant à la domination sans conditions des villages berrichons. Ce jour même, la populace voisine subit lanarchie des cohortes ennemies, le joug de lodieuse coalition..
Je connais le message de paix que vous avez bien voulu faire parvenir aux belligérants dès le début de cette délicate situation, en faisant de Notre Duché un médiateur dans cette crise. Cependant votre bon dessein a été laissé lettre morte. La dénonciation de nos alliances les plus anciennes a, semble-t-il, ouvert le chemin de la désolation chez nos voisins. Dès ce jour, si votre intention est réellement dimposer la voie de la raison aux combattants, je vous conjure de faire entendre plus fermement lappel de Notre Bourgogne.
Cest lavertissement de notre duché contre lasservissement du Berry quil faut faire entendre promptement !
Votre dévoué serviteur,
Son Excellence, lambassadeur bourguignon en Berry,
Orantes de Volvent