Chlodwig_von_frayner
Les étoiles brillent fort dans la nuit, je sais ça veut rien dire mais javais pas dintro. Bref, le soleil grisaillant de début dhiver lançait parfois quelque rayons sur le froid paysage bourguignon. Pléonasme diraient certains (pour le coup du froid et du paysage bourguignon, hein), mais pour un Chlo qui venait de Lorraine, limpression était plutôt de débarquer dans un pays tropical
enfin peut être pas mais peu sen faut. En tout cas il nétait pas dépaysé. Tout autour de lui sétendait des forets tristes et mornes traversées par quelque chemins boueux. Il y avait quelque belles routes, témoignages dune antique opulence (peut être pas si antique que ça dailleurs), mais dans lensemble, le pays semblait à labandon. Étrange
enfin
pas tant que ça, mais il restait tout de même assez étonné par un tel état. Le reste du duché ne devait guère être différent. Au moins navait il pas fait de mauvaises rencontres.
Les quatre cavaliers chevauchaient à bride abattue vers Dijon, capitale de la Bourgogne, où devait résider son Éminence Grâce, la sublimissime Ingeburge (si si elle est tout ça et même plus). Parmi toutes les raisons qui avaient permis ce voyage, cétait la principale. Il avait mission )à remplir, et il le ferait, comme à son habitude. Les fastes parisiens ne seraient pas pour lui cette fois ci pour changer. Et comme dhabitude, els récompenses ne seraient pas pour lui. Elles étaient pour les politiciens, les courtisans, et ceux qui faisaient des ronds de jambe. Pour un baron arrogant et soupe au lait, rien du tout Remarquez, il ne demandait rien à part quon le laissa en paix. Pourquoi les gens sacharnaient ils à vouloir à tout prix collectionner les ennuis ? Leur logique lui échappait. Au moins récoltaient ils ce quils méritaient. En Bourgogne, les choses seraient sûrement plus calmes, moins de risques à prendre, moins de gens à fâcher quelque conseillers quil faudrait éviter de frustrer peut être il se tairait si il le fallait.? Il était là pour faire honneur à la princizzin, point pour lui porter atteinte. Après trois mandats à la tête de son duché, elle devait avoir calmé les factions donc des choses tranchées. Au moins se serait facile. Et puis peut être voudrait elle quil nen dit rien bah elle lui dirait tout ça en temps et en heure.
Plus loin sur la route, un coche allait, cahin cahant, portant visiblement quelque armoiries quil ne reconnu pas au premier abord. Il fallait dire aussi que pressé comme il était, quasi nimporte qui se serait trouvé sur sa route quil nen aurait rien eu à faire. Il navait, encore une fois,quune idée en tête : arriver le plus rapidement possible à Dijon. Après on verrait. Il aurait sûrement le temps de flâner en attendant son fils ou entre deux missions pour la princesse. Donc revenons à nos moutons, et même plutôt à nos coches. celui-ci était plutôt moche question de goût vous me direz, oui mais jaime bien critiquer ! Donc celui là était moche et ressemblait à un coche Nan mais je vous vois venir, quel est lintérêt décrire ces quelque lignes ! Aucun. Bref Ce fameux coche tout moche et ressemblant à un coche bloquait la route en cet endroit, se trouvant en plein milieu. Erreur fatale Car pour ces cavaliers qui se gaussaient de ce moyen de transport, quil qualifiaient de transport de femme (au moins celles-ci ne puaient pas la sueur et le voyage en arrivant dans les salons huppés, mais cétait une autre histoire), un bon coche devait se trouver dans le fossé et la donzelle qui se trouvait dedans je vous laisse deviner.
Enfin, inutile de sattarder sur les états dâme dune bande de brute aimant jouer à la bagarre et concentrons plutôt sur le coche, oui voilà. Comme celui-ci encombrait la chaussée et que les quatre cavaliers souhaitaient circuler à deux de front, ils ne cherchèrent pas plus que ça à ralentir et passèrent de chaque côté de façon un peu brutale pour se venger de cette offense fait à leur vue et à leur sensibilité (comment ça ils nen ont pas ?), en profitant pour affoler un peu les chevaux et bousculer ledit coche en passant. De la pure mesquinerie et gaminerie en plus. Bref des hommes. Ils avaient néanmoins ralentit, pour pouvoir accomplir leur forfait en toute impunité (et surtout en évitant de se ramasser par terre au passage).
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Les quatre cavaliers chevauchaient à bride abattue vers Dijon, capitale de la Bourgogne, où devait résider son Éminence Grâce, la sublimissime Ingeburge (si si elle est tout ça et même plus). Parmi toutes les raisons qui avaient permis ce voyage, cétait la principale. Il avait mission )à remplir, et il le ferait, comme à son habitude. Les fastes parisiens ne seraient pas pour lui cette fois ci pour changer. Et comme dhabitude, els récompenses ne seraient pas pour lui. Elles étaient pour les politiciens, les courtisans, et ceux qui faisaient des ronds de jambe. Pour un baron arrogant et soupe au lait, rien du tout Remarquez, il ne demandait rien à part quon le laissa en paix. Pourquoi les gens sacharnaient ils à vouloir à tout prix collectionner les ennuis ? Leur logique lui échappait. Au moins récoltaient ils ce quils méritaient. En Bourgogne, les choses seraient sûrement plus calmes, moins de risques à prendre, moins de gens à fâcher quelque conseillers quil faudrait éviter de frustrer peut être il se tairait si il le fallait.? Il était là pour faire honneur à la princizzin, point pour lui porter atteinte. Après trois mandats à la tête de son duché, elle devait avoir calmé les factions donc des choses tranchées. Au moins se serait facile. Et puis peut être voudrait elle quil nen dit rien bah elle lui dirait tout ça en temps et en heure.
Plus loin sur la route, un coche allait, cahin cahant, portant visiblement quelque armoiries quil ne reconnu pas au premier abord. Il fallait dire aussi que pressé comme il était, quasi nimporte qui se serait trouvé sur sa route quil nen aurait rien eu à faire. Il navait, encore une fois,quune idée en tête : arriver le plus rapidement possible à Dijon. Après on verrait. Il aurait sûrement le temps de flâner en attendant son fils ou entre deux missions pour la princesse. Donc revenons à nos moutons, et même plutôt à nos coches. celui-ci était plutôt moche question de goût vous me direz, oui mais jaime bien critiquer ! Donc celui là était moche et ressemblait à un coche Nan mais je vous vois venir, quel est lintérêt décrire ces quelque lignes ! Aucun. Bref Ce fameux coche tout moche et ressemblant à un coche bloquait la route en cet endroit, se trouvant en plein milieu. Erreur fatale Car pour ces cavaliers qui se gaussaient de ce moyen de transport, quil qualifiaient de transport de femme (au moins celles-ci ne puaient pas la sueur et le voyage en arrivant dans les salons huppés, mais cétait une autre histoire), un bon coche devait se trouver dans le fossé et la donzelle qui se trouvait dedans je vous laisse deviner.
Enfin, inutile de sattarder sur les états dâme dune bande de brute aimant jouer à la bagarre et concentrons plutôt sur le coche, oui voilà. Comme celui-ci encombrait la chaussée et que les quatre cavaliers souhaitaient circuler à deux de front, ils ne cherchèrent pas plus que ça à ralentir et passèrent de chaque côté de façon un peu brutale pour se venger de cette offense fait à leur vue et à leur sensibilité (comment ça ils nen ont pas ?), en profitant pour affoler un peu les chevaux et bousculer ledit coche en passant. De la pure mesquinerie et gaminerie en plus. Bref des hommes. Ils avaient néanmoins ralentit, pour pouvoir accomplir leur forfait en toute impunité (et surtout en évitant de se ramasser par terre au passage).
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