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[RP] Ainsi font font font...autour du Lac

Doudounnette
doudou avança difficilement au tour du lac, elle repassa devant l arbre que Sir avait gravé leur deux noms, se remémorais sa demande en mariage a genoux, tout les bons moments qu elle passais a ses cotés mais depuis quelques jours quelques choses avaient changé dans l attitude de doudou

non! pas mes vieux démons qui remontent a la surface c est quelque chose que je ne pourrait supporté je préfère mourir que de trahir Sir, partir loin, mais je ne pourrais supporté un éloignement

je t aime mon cœur,mon amour,

elle trouva dans se besace un parchemin et se mit a écrire une poème


Citation:
Je suis un beau cadeau
Pour toi tendre aimé
Je susurre des mots
D'amour enflammés

Blottie entre tes bras
Je te donne mon cœur
Il y aura encore une fois
Pour t'apporter le bonheur

Je ne suis qu'un présent
Tu le prend à cœur chaud
Je voudrais t'aimer vraiment
Comme émotions en crescendo

Les fêtes sont passées
Mais je demeure amoureuse
Mon cadeau je te l'ai donné
Il me rend heureuse

Je voudrais être un cœur
Dirigé par ton amour
Prête à attendre l'heure
Le carillon sonne sourd

Je m'abandonne contre toi
Esclave libre de ton choix
J'entends ton éclat de voix
Je suis un cœur pour toi

_________________
Elisa12
Elisa se promenée avec sa fille a la mains
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Okwawi
Okwawi n'arrivait pas à trouver le sommeil, certaines lui était résté en travers de la gorge et il commençait à se^poser de nombreuses quetions sur Ventadour, il décida donc de faire un tour au lac malgré le froid et la nuit.
Il prit une torche en evitant de se brûler les doigts et se dirigea en direction du gros chêne, il monta dessus et s'assit sur une branche assez solide
Il essaya de voir le lac malgré l'obscurité, mais il ne voyait que la nuit et rien d'autre

Assit sur sa branche, il essayait de faire un point sur vie, de comprendre différentes choses, qu'avait-il réalisé pour la ville et toutes sortent d'autres choses

Dans ses pensées, il vit son Amour, il sourit intèrieurement et se dit que que c'était la plus belle chose qu'il lui était arrivé, rien au monde ne l'avait rendit si heureux, il l'aimait, il serait prêt à mourrir pour elle


Serait-il temps que je le fasse ou bien dois-je encore patienter? je ne sais que faire et je ne sais à qui demander cette réponse, dois-je la trouver seule?

Toutes ses questions sans réponse tournaient dans sa tête, il ne se sentait pas trés bien, il décida donc de bouger pour se réchauffer, il descendit de l'arbre puis alla en direction d'une barque, il monta dedans et rama en direction de l'îlot
Arrivé il attacha la barque sur un poteau puis grimpa en haut de la petite colline, il s'y allongea et regarda le ciel étoilé, il n'avait que faire de l'herbe humide et du froid, il se sentait libre et serein dans ses moments là
Kokeliko31
Kokeliko tête baissée, erra le long du lac.

Elle entendit une grenouille croasser et eut le réflexe de vouloir l’envoyer au loin balader lorsqu’elle se souvenu d’un ami au crâne luisant, elle lui laissa la vie.
Cette grenouille l’égaya un court instant et se promit de ne plus jamais en manger. Elle ne reverra jamais leurs petites cuisses comme d’autres ne verront jamais plus les siennes.

Puis, elle songea de nouveau en la vie.
Elle aimait la vie aussi misérable qu’elle soit.
Elle aimait la mort aussi puissante que le néant.
La mort était pour elle au-dessus d’Aristote, au-dessus de tout.
Fallait pouvoir vivre pour mieux l’apprécier.
Il y a toujours un début pour une fin.
Autant faire de cette fin son suprême.

Lugubres étaient ses pensées
Et pourtant son rire prédominait
Comment savoir qui elle était
Ange ou démon seule elle savait

Mais avant de succomber
Elle avait un souhait
Celui d’apprendre à aimer
Et d’être aimée en retour
Vœu qui ne s’était pas encore réalisé
Ou tout au moins commençait à s’accomplir

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Nejma
Nejma arrive pres du lac , ses idées sont claires et bien determinées .Elle ira au bout de son voyage quoi qu'ils se passe . Sa fille avec elle qu'elle gardera pour toujours . Chacun sa route soit ..Peut être se croiseront elles de nouveau ..peut être qui sait ..Le vent guide les pas des tsiganes . Les gadjis ne comprenent pas , ils ne peuvent !
Elle sourit , la vie lui appartient .Personne ne capture une étoile si elle ne le desire pas .Latcho Drom a tous

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Meliann
Plop, plop, plop, plop, plop.... plouf.

Le dernier galet avait fini sa course plus loin que les autres, malgré le soleil qui commençait à taper durement la surface du lac, et ces rides qui se formaient avec le vent naissant. Tout était dans la souplesse sèche du mouvement de poignet, et le fléchissement des jambes pour lancer au ras de l'eau...

Meliann se redressa, embrassant d'un regard le lac, et le village que l'on devinait plus qu'on ne le voyait, caché par les grands frênes. Ses pieds nus s'ancraient dans le sable, léchés de vaguelettes froides, une trace qui tôt serait effacée, par d'autres vagues, sitôt le dos tourné...
Les bois n'ont pas cette inconstance, qui impriment dans leur humus la marque profonde de ceux qui s'y aventurent. Et parfois sur les feuilles jaunies de l'automne une tache couleur rouille rappelle que dans le combat pour la vie nulle victoire n'est promise.


Plouf.

... Comme ce caillou au dos par trop bossué qui venait de s'abîmer sans gloire.

Elle ne put retenir un sourire à la vue des maigres vaguelettes concentriques mortes sitôt que nées. Celui-ci ne laisserait souvenir qu'au banc de poissons effarouchés qu'il venait de disperser, et qui se reformerait aussi vite.

A nouveau, son regard fut attiré vers le village.

Ventadour, un nom chantant comme le vent, mélodies croisées suivant sa direction, contraste de douceur et d'âpreté. Elle emporterait un peu de cette âme, dans cette route qui empruntait de si étranges détours...

Mais elle n'était pas encore partie. Un jour encore, pour découvrir les villageois, après avoir effleuré les murs de la ville.
Jeanpol
Jean apprenait la chanson de Venttadour au rythme de ses habitants si différents les un des autres. Chacun et chacune comme des notes de musique faisaient vibrer l'âme de Ventadour se mêlant en harmonie avec la nature environnante. Le lac, comme un cristal pur dégageait un son cristallin sous le soleil étincelant, quant à la forêt, symphonie luxuriante de chants d'oiseaux et de cris de bêtes, elle émerveille par son chant éternel. Même les cris et les rires des habitants au marché faisait vibrer le diapason de la vie.

Adossé contre un arbre sur le bord du lac Jean s'endormit bercé par mille et une notes.
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Du 1er au 15 décembre 1457, participez au Festival de Ventadour!!!
Kokeliko31
Kokeliko marchait le long du lac pour la première fois enivrée de bonheur.
Elle se posa sur un rocher bercée par les murmures des oiseaux.
Elle avait enfin baissé les armes pour le laisser entrer dans son cœur.
Son esprit erra gaiement dans la brume lorsqu’elle leva les yeux très haut.
Remerciant les étoiles guidant les pas de cet homme jouant avec les mots.
Elle avait appris à l’aimer d’avoir si longtemps écouté son silence.
Et c’est cette peur de le voir partir en des horizons nouveaux.
Qu’elle comprit que le moment était venu de vivre sa romance.

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Okwawi
Okwawi qui ne savait plus que faire, sa tête était prêt à exploser par toutes ses nouvelles en si peut de temps
Il marcha silencieusement autour du lac puis regarda l'îlot ou il aimait se retrouver pour réflechir, il décida donc de prendre une barque sur la berge et rama en sa direction, il accosta et alla en direction de la petite colline, il s'y assit et regarda le village


Pauvre village, que faire...que puis je faire pour te sortir de se pétrain, Sir n'étant plus, je me retrouve sans ami et sans un allié de poids. Ce village est maudit, ce n'est pas possible, une grande partie de mes amis y sont morts.

Il repensa aussi à la nuit passée ou il n'avait pas réussi à sauver un enfant, il commença à pleurer; il craquait.

Il avait l'impression de se retrouver seul face au situation, il ne savait pas comment s'y prendre; regardant toujours le village, ses larmes continuaient de couler le long de ses joues
Il pensa à son Amour et se dit qu'elle n'aimerait pas le voir ainsi à se morfondre, il essuya ses larmes et fixa le village


Je vais pas me laisser faire, il faut que nous réagissions avant qu'il ne soit trop tard, je vais écrire à certaines personnes pour nous appuyer, je ne laisserais personne se mettre en travers de mon chemin, nous accomplirons ce qui sera le mieux pour les habitants
Arthur08


Arthur qui se promenais dans les environs pour la première fois afin de voir un peu le paysage, les gens , les us et coutumes vit de la berge son ami Okwawi sur l'îlot dans un état qu'il nous pouvais laisser sans faire savoir qu'il était, est et sera là.
Il emprunta la première barque venu et rama de toutes ses force afin d'arriver sur place le plus vite possible.
A peine la barque eût elle le temps de toucher le sol qu'il se précipita vers Okwawi et lui dit après avoir entendu ses dires:

Okwa, le village à besoin plus que jamais d'homme de ta trempe, alors je sais ce que tu ressent mon ami mais... il te faut, il NOUS faut réagir, et ne pas se laisser aller, Sir ne l'aurait jamais admit, il s'est battu jusqu'au bout, à toi de prendre la relève et si la tâche te parait dure, sache que nombre de villageois te soutiennent, et j'en suis.
J'ai quelques connaissances qui pourraient peut être te servir et mes bras sont à ta disposition.


Il posa la main sur l'épaule d'Okwawi, le regardant droit dans les yeux.

C'est maintenant et dans la difficulté que l'on vois d'un homme que c'est un homme, mais saches t'entourer, un homme seul ne peut rien, tu as j'en suis sûr des gens qui ont les connaissances pour mener à bien tes idées et ta mission, aidons notre ville et nous nous aiderons, d'accord?

Il sorti un tonnelet de bière de la barque , 2 choppes qu'il remplit et en offrit une à Okwa,

Tu n'as pas voulu de mon verre hier soir parceque je n'ai pas réfléchis à ce que je faisais, celui ci de verre est en l'honneur de Sircamelot, qui nous a légué un peu de sa sagesse, de sa connaissance et de sa volonté que tout aille pour le mieux pour notre ville, alors, buvons à lui, à l'amitié!

Et à l'amour

Dit il un ton plus bas,

Battons nous comme il le voudrais, ne laissons pas nos sentiments aussi tristes soient ils prendre le pas sur nous et nous détruire, c'est exactement le contraire de ce qu'il voudrais, sois en sûr.

Arthur, n'avait pas pour habitude de prendre la parole, encore moins si longtemps mais là: il pensait qu'il y avait cas de force majeur et espérait bien que cela ne se reproduirais pas, il ne voulais plus s'impliquer dans la vie des gens, il ne le pouvait et ne le devait plus. Les gens avaient fait trop de mal pour qu'il se permette à nouveau de faire confiance dans les sentiments des gens, ne leur avaient ils pas déjà prouvé ô combien ils pouvaient faire mal, décidement non, il ne le ferais plus, mais Okwa devait savoir qu'il serait là pour l'aider, quoi que cela puisse lui en couter, encore...
Virgile_rollon
Virgile le coeur gai, avait décidé de venir jusqu'au lac . Ce fameux lac qui recevait paraît-il, les confidences des gens heureux et des désespérés .

Tantôt rires et promesses d"amoureux . Tantôt désespoir et pleurs .

Les pleurs ; Quelques gouttes orphelines face au grand miroir de l'eau !

Mais Virgile en ce moment était pleinement heureux .

Son coeur a parlé et elle a su l'entendre .

Elle lui a demandé de s'approcher et il est venu vers elle .

Il lui a tendu la main et elle l'a prise !

Ils sont ensemble ! c'était peut-être leur destinée .


"Vivons alors ta romance, mon Amour . Elle sera également mienne "

Virgile regarda ses chères étoiles . Il savait qu'aujourd'hui la plus brillante l'avait rejoint et éclairait désormais son chemin.
Okwawi
Okwawi vit s'approcher Arthur, il l'écouta et lui sourit

mon ami, tu as raison, nous devons relever la tête ensemble pour aider ce village aui est le notre, dans notre union pour une vie meilleure, nous vainquerons et nous en sortiront plus fort

Il prit la choppe qu'Artur, lui tendait et trinqua avec lui, puis il regarda autour de lui, il ne savait que trop bien que des personnes malfaisantes pouvaient être aux aguets de certaines informations. Il lui chuchotta


Je sais certaines choses qui sont trés mauvaises pour le village et le Comté, je te donnerais plus d'expliquations par lettre
--Mandy_la_spadassin
Sur la rive du lac

La voilà arrivée au lac la peste des Spadassins, l'empoisonneuse comme Selena aime la nommer. Mandragore adore les lacs, ils sont souvent entourés de végétations très utiles à quelques potions de sa connaissance et puis le poisson ne lui fera pas de mal après tant de jours à manger son crouton de pain. La jeune femme profite de la mi journée pour longer tranquillement l'étendu d'eau, la journée est fraîche mais pas encore assez pour la décourager et la faire se terrer dans une auberge.

Après quelques minutes de marche là voilà à l'écart des lieux de passage pour la pêche, en quête d'un coin pour établir son campement de fortune le temps de refaire ses stocks. En un rien de temps elle se trouve l'endroit idéal, deux roches côte à côte formant une sorte de V, uen crevasse naturelle assez profonde pour lui servir de refuge quelques temps après y a voir apporté quelques modifications. En premier créer un toit, facile avec les branches de sapins. En peu de temps elle grimpe les arbres, casse des branches larges et épaisses, assez grandes pour aller d'un rocher à l'autre sans lui tomber sur la tête. Une petite demi heure et voilà un toit parfait, il ne reste plus qu'a faire un feu. Quelques brindilles, du lichen et voilà une belle petite flambée qui vient lui réchauffer le bout des doigts.

Partie pour aller faire sa cueillette Mandragore décide plutôt de profiter un peu, après toute cette route faite au pas de course elle peut bien s'offrir une petite pause, surtout qu'elle est dans le coin pour un moment maintenant. Elle s'adosse à un des roches, juste à côté du feu, se détend en regardant les ondulations du lac qui se trouve tout près. La jeune femme rêvasse, se demandant si elle va faire des rencontres ici ? Peut être que d'autres comme elle voudraient devenir Spadassins. Peut être que d'autres comme ses collègues en avaient assez des Aristotéliciens et aimeraient plutôt les Cathares qui font un grand retour en force ces derniers temps. De ce qu'on lui a dit le mariage célébré à St Bertrand par leur soin ne fut pas sans faire grand bruit.

Mandragore sourit, contente de pouvoir se reposer un peu, surtout en pensant à tout ce qui va suivre après. Elle va grandement profiter de ses vacances.
Okwawi
Okwawi marchant au bon ses pieds l'emmenait, finit par arriver sur les berges du lac, il ne s'en rendit même pas compte, il s'arrêta au bord de l'eau, regardant l'îlot, il se dit qu'il devait allé dans la grotte qu'il avait découvert
Il monta donc une barque et rama jusqu'à l'autre rive, il descendit et alla en direction de la grotte, l'air était humide et le sol boueux dut aux dernieres pluies , il s'avanca et commença à pénetrer dans la grotte, ne voyant rien du tout, il ne savait pas sur quoi il marchait, le sol était mou et les parois collante. Il continua d'avancer avec extreme prudence, quand d'un coup, il glissa, tomba dans une sorte de puit



AAAAHHHHHHHHH, AAAAAAAAAAHHHHHHH

Il hurlait de douleur, il avait l'impression de ne plus pouvoir réspirer et son bras lui faisait atrocement mal, il vit qu'un os de son bras en était sortie, il reprit son calme, pour pouvoir mieux respirer, puis arracha d'un geste brusque un bout de son vetêment pour l'entourer au tour de l'os car dans ce noir il ne pouvait pas faire grand chose.
Il essaya tant bien que mal de remonter, ce qu'il réussit apres de longues et interminables heures, arrivé en haut du trou, et n'ayant plus de force il rampa jusqu'à l'éxterieur de la grotte.
Le manque de force se faisant sentir de plus en plus et il se dit


J'ai...intê...ret à arriver jusqu'à la ....bar...q..ue avant de m'evanouir....sinon..je mou....rrais là...

Se ressaisissant, il continua de ramper pour arriver à la barque, il monta dedans et essaya tant bien que mal de ramer
Du sang coulait le long de son bras, le bout de chiffon avait été utile peut de temps
Voyant la berge à quelques centimetres, il descendit de la barque, et s'asseya un peit moment, il soufflait, il n'arrivait pas à réspirer, regardant le bras taché de sang, il chercha au plus vite une fiole dans sa besace, ses yeux vitreux dut à la fatigue commençait à se fermer, trouvant la fiole, il enleve le bouchon et la but


avec sa....je ne vais plus re....ssentir la douleur jus....quà ce que j'arrive....à la bou...tique

Il se releva péniblement, et alla en direction de son cabinet, ou là il pourrait mieux constater les dégats corporels sur lui
--Morie
Demoiselle des forêts, demoiselle du lac, elle n'avait jamais connut la civilisation, et ne savait encore moins qui elle était, ses cheveux d'une couleur chatain chatoyant, allait trés bien avec son visage de Déesse, elle ne portait que sur elle une légere robe qu'elle avait trouvé, dieu sait quand.
Elle n'aimait pas fréquenter les villageois, elle les évitait, personne ne savait rien d'elle, personne ne savait qu'elle éxistait

Se prommenant sur les berges du lac, elle vit un homme ramper en direction du village, il avait l'air blessé, du sang coulait le long de son bras
Elle le ragardait toujours lorsqu'elle, comprit qu'il avait été dans le "gros trou noir", ou il y avait....des choses, qu'elle ne pouvait comprendre, elle décida de retourner au "grand trou noir"; elle plongea et se dirigea en direction de l'îlot, sa peau glissait sur l'eau, arrivé sur l'îlot elle vit les traces de sang sur le sol, du jeune messire vu auparavant, elle les suivit, et finit pa se retrouver devant "le trou noir", elle s'approcha, ecoutant les bruits bizarres , et humant les différentes odeurs, elle regarda autour d'elle, les animaux ne faisaient plus aucun bruits,prit de panique, elle s'enfuya et courra se cacher dans les buissons
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