[RP] Ainsi font font font...autour du Lac

[ En Hiver]

Habitant provisoirement à la Taverne Enchantée, tous les matins à mon levé, je regarde le paysage pittoresque que m'offre la forêt et le lac.


A cette époque de l'année, le Lac est gelé et brille sous les rayons du soleil.
Les branches des arbres sont recouvertes de givre et cela semble si paisible que j'ai envie de m'y promener.
Je me dit qe cet endroit devrait etre un lieu ou les habitants de Ventadour devraient se réunir et s'amuser autour d'une bonne prune, d'une partie de pêche ou d' un quelconque évênement.

Pour l'heure, j'ai juste envie d'aller m'amuser à glisser sur cette surface gelée et brillane du Lac.
Laisser mes soucis et mes occupations juste le temps de me dégourdir les jambes et l'esprit.

Héhé!!! Mais j'y pense......Je sais qui sera partante pour une partie de rigolade....Lena !

Sitôt dit , sitôt fait... J'envoie un pigeon à mon amie Alena pour savoir si cela l'amuserait de venir glisser avec moi sur le Lac.

Doria revenait exténuée des champs, son panier au bras, quand elle vit de loin une femme glisser sur le lac gelé.
Intriguée, elle se rapprocha et reconnue Alaynia qui paraissait bien s'amuser en faisant des glissades et de sacrées chutes aussi .
Elle posa son panier, et la rejoignit.
A peine avait-t-elle posé le pied qu'elle glissa, et chuta sur son postérieur .

Oulà ou je me suis fourrée moi encore , dit-t-elle en riant

Elle se remit debout et alla rejoindre tant bien que mal Alaynia qui se débrouillait fort bien .

Salut Alaynia ? Alors t'es une championne en patinage ? Je savais pas çà, cachotière !

Alla venait d'arriver à Ventadour avec ses amis, elle venait d'y passer sa première nuit, nuit paisible.

De bon matin, ayant la veille repéré le lac, elle proposa à Firmin une petite partie de glissade. Elle le réveilla, l'aida à s'emmitoufler pour ne pas attraper froid. Elle confiait Everyl à une bonne garde, la glace n'était pas un endroit pour une si petite fille, et laissa un mot à son amie Safranne si elle souhaitait la rejoindre.

En route Firmin, allons glisser ensemble.

A leur arrivée aux abords du lac, ils aperçurent deux dames virvoltant les fesses par terre ! (rire)

Elle défia Firmin du regard, et les voila tous deux partis pour une franche partie de rigolade.
Elle salua les dames au passage.

Bonjour Mesdames ! quel bel endroit pour de belles glissades !

A peine eut elle le temps de terminer sa phrase qu'elle se retrouvait déséquilibrer, et les 4 fers en l'air ! Elle eut alors le plaisir d'entendre le rire enfantin de Firmin qui se moquait ainsi gentiment d'elle; Elle se remit sur ses jambes et lui courut tant qu'elle put pour l'attraper !

Viens la que je t'attrape chenapan !

A l'attention des dames :

excusez moi, je ne me suis pas présentée, Allalona, voyageuse et le chenapan qui m'accompagne, c'est Firmin.
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Bonjour, bonjour! dis je en croisant une dame avec son enfant. Soyez prudent...

Et me revoila parti à tenter quelques pas à droite puis à gauche quand j'entendis qu'on s'adressa à moi.

Mon parrain !!!! Quelle joie de vous voir ici...

Aussitot je me dirige vers lui mais sans doute un peu trop vite....et ce qui devait arriver arriva.....Je me vis tomber en avant et tenta de me rattrapper au bras d'Ezor.

"Alie arriva tranquillement après sa longue journée derrière ses four à préparer ses miches de pains et patisseries aux habitants de Ventadour et ses visiteurs... Elle est heureuse de respirer le frais air et regarde ce petit monde qui profie des joies de la glace Ventadourienne. Soudain elle aperçoit un couple au sol et se précipite en prenant garde de ne point tomber..."
Bonjour Gente Dame, Bonjour Messire, Je suis Dame Alienor tout va bien, besoin d'aide ? Et le couple lui offre n sourire fort rassurant, tout en se relevant doucement...

ah, on a l'air très distingué Alaynia.
Ezor essaya de se relever tant bien que mal, de remettre ses vetements correctement...avant de retomber, et d'éclater de rire
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Alena ayant reçut la lettre de son amie accourt près du lac...et oui elle court ! Mais quelle idée?! Le trajet de sa maison au lac lui parait interminable. Après quelques déséquilibres et un ou deux vol planés plus ou moins maîtrisés elle arrive enfin au point de rendez vous.
Plantée debout dans la neige...elle observe...pas très rassurée...
Elle se décide à faire le tour du lac ...sans oser s'approcher de la glace.
Finalement planté comme un arbre au bord du lac elle se décide a appeler Alaynia:

- Alaynia!! Joli décor mais pas très rassurant le coup du lac gelé...c'est pas que j'ai peur...enfin peut être un peu...

Ce qui devait arriver, arriva : elle glisse et tombe! (Tout en douceur et en délicatesse tel un troupeau d’éléphant...).

- Je suis sûr que vous croyiez tous que c'était pas fait exprès ...mais c'est faux, c'était tout à fait volontaire et préméditer de ma part...J'ai sacrifié ma robe pour vous soutenir dans vos chutes!
Elle éclate de rire. Décide de ne pas se relever:

- Au moins je ne tomberais pas plus bas, enfin je fais une entrée fracassante...et oui comme d'habitude moi, Lena toujours discrète

Non même pas mal!
Fait une grimace qui trahit sa douleur.
Pour répondre à ta première question je vais faire simple: je trouve la glace ...glacée!
Rit.
Il faut que j'apprenne je pense qu'après quelques jours d'entraînement je devrais passer de "cas désespéré" à "professionnel"! Je suis optimiste
Alena regarde tout ces nouveaux visages réunient autour ou sur le lac, curieuse de les connaître.

Alla était de retour au lac après avoir laissé Firmin s'amuser et être allée vérifier que la puce allait bien. Il ne pouvait en être autrement, elle était entre de bonnes mains, celles de ses amis voyageurs.

Elle vit une jeune femme s'asseoir au bord du lac et sortir une bouteille dont le breuvage ressemblait fort à du chouchen...

Elle se décala et descendit prudemment sur la glace rejoindre son neveu, toujours la pirouetter. Elle réussit à l'atteindre sans tomber, elle progressait et pour une fois on ne pourrait pas rire de sa chute ^^ !

Le lac était animé avec tous ces patineurs, elle se demanda brièvement comment était Agen en ce moment.... il lui semblait une éternité depuis son départ... et malgré cette petite pensée nostalgique, n'était que tres heureuse d'être sur les routes.

Elle pirouetta comme Firmin lui montrait.

C'est ça Firmin ? je me débrouille mieux ?

Et elle sourit, à la fois à son neveu, mais aussi pour elle et les autres autour du lac à qui elle fit une jolie révérence.
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Réveillée de bon matin après une nuit agitée , surement la boulasse , je me dit qu'il me faut un bon bol d'air.
Que de mieux, qu'un air glacé ...du lac, bien sur !
L'avant veille, j'avais bien regardé le jeune Firmin évolué sur la glace et j'espére en faire autant.
Arrivée au bord du Lac, je pose le premier pied doucement( et non je ne veux pas me retrouver tout de suite les quatres pattes en l'air! ) et le second...

tadaaaaaa je suis debout !

Satisfaite de ma pose, je commence à avancer en poussant sur mes jambes ...droite, gauche, droite , gauche...Je balance doucement mes bras pour garder l'équilibre et je m'étonne : pas de chute !
Je commence à etre sur de moi et glisse plus vite..mais voila tout ne dépend pas de moi et je me raccroche le pied sur l'inégalité de la glace et je chute sur tout mon long en continuant à glisser....

Ahhhhhhhhhhh.....Bon la j'ai pris assez l'air

Je me relève, secoue mes habits et remonte direction mon champ: aujourd'hui première récolte !

Avant de reprendre la route et pendant que tout le monde était en taverne ou à l'auberge, Alla voulait faire une dernière glissade sur le lac gelé...

Elle posa son panier, et s'élança sur la glace, à l'abri de tous les regards qu'il pouvait y avoir dans la journée...
Elle avançait, vite, plus vite encore... pas de chute, elle avait stabilisé son équilibre. Elle se souviendrait de cette dernière soirée à Ventadour...

Elle repartit sur la berge, reprit son panier, et se dirigea, toute guillerette vers la taverne, rejoindre ses amis et les enfants qui attendaient sagement à l'étage.
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Partie de bon matin pour aller travailler à la mine, je fais un détour par le lac en espérant m'y amuser un petit peu.



Mais en marchant, je me suis mis à respirer à fond et à ressentir un bien fou. Alors pourquoi ne pas me promener autour du Lac et d'y découvrir le paysage qui l'entoure, admirer les oiseaux et leur vie au petit matin.



Et qui sait, peut etre que je rencontrerais du monde qui préfère aussi se promener au lieu de glisser^^.

Chantal avait été se promener seule le long du lac, elle était triste car elle devait partir et ne reviendrai pas si souvent que là. Elle regarda les gens glisser et s'amuser.
Toute à ses pensées, elle retourna d'un pas lent vers le village pour dire au revoir à ceux qu'elle avait l'habitude de voir en taverne, ainsi qu'à dame Alaynia dont elle avait fait connaissance.

Sepa profitait d'un petit moment de calme pour se balader à Ventadour.Il avait eu quelques nouvelles d'Alena,elle lui avait parlé qu'elle se baladait de temps en temps près du lac gelé.Il espérait la voir en cette journée bien froide.Il avait sorti son mantel et son chapeau,le temps était assez couvert,il se demandait s'il n'allait pas neiger.Du monde était sur le lac,il avait du mal à savoir qui s'était,il s'approcha au bord pour voir qui s'était puis rigola quand il vit deux personnes tomber pas un geste maladroit d'une femme(alena).Enfin la silhouette de la jeune femme lui disait vraiment quelque chose mais bon,lui et la glace n'était pas de grands amis,il attendit en espérant que celle ci se retourne et qu'elle le reconnaisse.Il reconnu que l'homme qui était au sol n'était d'autre que Louis.

Alors Louis,ça glisse bien.

Il rit légèrement puis attendit que celui ci se retourne
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Attirée par le bruit d'un rire familier, mon regard se pose sur une silhouette assis près du lac.
Je m'approche silencieusement avec le plus de grâce possible, c'est à dire en évitant les chutes ^^.
Pas de doute possible, la mystérieuse silhouette se révèle être Sepa! A mieux regarder il est accompagné d'alay.
Lena fonce droit sur eux, ne sachant pas s'arrêter elle s'assoit lourdement dans la neige à côté de Sepa.
- Salut vous deux! Je vous manquais? Interdit de me répondre non!
Rit
Lena attrape Sepa par le bras et le tire en direction du lac gelé:
- Allez un peu de courage on apprends vite tu sera bientôt une futur star de la glisse!

Comme tous le matins au lever à l'aube, Toinon venait se baigner dans le lac..... Elle aimait être popre et savourer cet instant d'intimité. Le silence, la solitude lui convenant très bien. Elle restait de longs moments à regarder le paysage qui était si cher à son coeur.


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Fin prète ,je me dirige vers le lac à pas un peu plus pressé que d'habitude.
Au loin j'aperçoit une silouhette...mon coeur s'affole un peu...
Je presse le pas.... Je regarde le calme du lac, à peine les rayons du soleil commencent à se reflèter sur sa surface.
Je vais à l'encontre de messire Erwann.

Messire ? J'ai eu votre petit mot et me voila.

Je lui sourit et regarde autour de nous.

Comment allez vous ? Je suis ravie de vous revoir.

Il se retourne, me regarde, s'avance, me prend les mains , m'enlace et.....m'embrasse...

Je suis surprise sur le coup, rougissant un peu mais il faut l'avouer que je me trouve bien dans ses bras. Mes jambes me portent à peine et je m'accroche à ses bras .

Avez vous pensez à cela en m'invitant à regarder le levé du soleil?
Que nous avons raté par ailleurs , je vous le signale....

Après une nuit mouvementée, Chantal était venue faire un tour au lac pour réfléchir et aussi se laver, elle chercha un coin tranquille, retira ses habits et plongea dans le lac...elle nagea un long moment et sortit se sécher et s'habiller. Elle s'allongea et tournait et retournait ses questions dans la tête, épuisée, elle finit pas s'endormir...elle fut réveillée par le froid, se leva et courut aux deux soeurs afin de se réchauffer...

Sir arriva au lac pour ce détendre un peu,il avait passer une mauvaise nuit entre ses penser et les dires des demoiselles rencontrer en taverne.

Le malheur me poursuit encore.

Il décida de se baigner pour réfléchir.
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De retour à Ventadour, je pris quelques instants pour me rendre au Lac et en faire le tour....Comme cela faisait du bien de rentrer chez soi...
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Le 9 mai 1457

Je m'étais levée sereinement aujourd'hui et était décidée à ne plus penser à Erwann.
Alors d'un bon pas je partis direction le lac, c'est un endroit ou je m'y sent en paix. Le soleil est au rendez vous, les oiseaux chantent et le sourire me vient aux lèvres.
De simples plaisirs me redonnent le moral.
Je vais devoir aussi réfechir aux idées pour l'animation du village, que le maire m'a demandé.
Je trouve un endroit ensoleillé et pose mon derriere.
Je sors de ma besace quelques parchemins et grifonne les premieres idées qui me viennent.
Je veux que les nouveaux soient heureux à Ventadour, qu'on les guide et qu'ils n'aient plus peur de s'aventurer au village.
Cela m'ocuppa une partie de la matinée .
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Avant d'aller à la taverne du Gardon tranquille, olympe décide de faire un tour au Lac. Quelle chance d'habiter pas trop loin d'un lieu aussi magique!!! Elle longe le petit chemin de cailloux, la rosée du matin doone milles refelts à la nature. Elle se dirige vers le saule centenaire qu'elle adore. S'asseoit sur le petit rocher plat et laisse son regard se perdre dans la brume du matin. Ses pensées vont directement vers son bien aimé qui est sur les routes. Il lui manque énormément.
Elle soupir, ferme les yeux et repire profondément l'air humide rempli des parfums des fleurs de mai...
"C'est tellement calme içi!!" dit elle.
"Bon c'est pas tout ça mais le travail m'attend!!" elle se lève et reprend le petit chemin, se retourne une dernière fois vers le lac, sourit et part en direction du village.

Olympe s'ennuit, son Euse lui manque tant, ça lui pèse de plus en plus. Elle décide de partir marcher au bord du lac.





Elle ne vit personne sur son chemin, juste des libellules frolants l'eau de leurs ailes, le chants des oiseaux dans les roseaux et ses pas légers sur le chemin herbeux et sabloneux.

Euse, je t'en suplie reviens vite, tu me manques trop!!!

Olympe et Espé se promènent sur le sentier...

Tu vas voir Espé, le lac est magnifique et tellement calme!! Tout ce qu'il nous faut pour nous reposer un peu. Je vais te monter mon coin favoris, là regarde, au pied du saule pleureur!!!

Elle lui montre du doigt... s'asseoit et tout en regardant l'eau dit...

Tu vois c'est là que je viens, quand je suis triste ou heureuse. Quand je pense à Euse, il me manque tant.

Se retourne vers Espé et lui sourit....

Elle était venue se promener au lac de Venta , l'eau paisible , une belle journée .
Elle marcha un bon moment d'un pas plutôt lourd .
Elle voulait voyager mais on lui avait raconté que les routes n'étaient pas sûr . Et une personne la retenait aussi .
Puis en relevant la tête elle vit une jeune femme assise sur la rive les pieds plongés dans l'eau . Soudain la personne se relève et se tourne . Là , Siri reconnaît Poly qu'elle n'avait pas vus depuis un certains temps . Elle s'approcha d'un pas rapide :

Poly !!
Elle la rejoignit:

Cela fait plaisir de te revoir . Comment vas tu ?

Poly la serra dans ses bras et elle fit de même . Elle lui raconta ce qu'il lui était arrivée en son absence , elle lui parla de prison . Siri lui fit des gros yeux :

Rooh , c'est pas bien ça

Elle rit un peu amusée , sachant que Poly n'avait pas dut faire grand chose de mal .
Elle répondit à Poly d'un souffle :

Pour Venta , tu verra sa toi même ...
Puis reprit : Tu sait Alay est partie en voyage il y a quelques jours , donc ne la cherche pas trop . Et toi tu compte rester ici combien de temps ?
Venta avait peu être reçu un souffle de vie , mais les habitants partaient tous , ce qui n'arrangeait pas les choses au mieux .

comme chaque matin où presque, olympe partait rejoindre son petit coin secret pour se détendre et penser à son tendre amour Euse. Euse qui arrivait bientôt, enfin!!!!

Mais avant d'arriver à son saule pleureur, une silhouette alongée dans la brume du matin se dessinait. Elle s'arrêta nette, le coeur battant, ne savant pas quoi faire, aller voir ou partir?? Et si s'était un brigand mort ou vivant. Oh se serait pire!! se dit-elle. Elle se tordait les mains en réfléchissant. Allez prend une décision bon sang, tu y vas ou pas? Elle s'approcha doucement, sans faire de bruit. Et plus elle avancée, plus elle avait l'impression de connaitre ce corps allongé par terre.

Sir, c'est Sir qui est là??mais que fait-il là??Elle se pencha vers lui, le coeur battant, s'imaginant le pire. Posa sa main doucement sur son épaule. A ce moment là elle vit la corde et la grosse pierre et compris tout de suite.Sir non!! tu n'allais pas faire ça quand même?? les larmes lui montèrent aux yeux, rien qu'à l'idée de perdre son ami...Elle resta là assise a côté de lui, regardant le lac et attendit qu'il se réveille

Olympe le vit se réveiller doucement. Quand elle entendit ces mots, elle trésaillit.

Quoi mais tu es fou, jamais, jamais je ne te laisserais faire une chose aussi folle!!! Plutôt t'attacher à un arbre que de te voir plonger dans le lac!! Elle réféchi a ce qu'elle venait de dire et s'en voulu aussitôt. Mince me voila en train de lui donner des idées de se pendre, c'est pas vrai!!!

Ecoute Sir, tu es mon meilleur ami, je ne supporterais pas que tu fâsses une chose aussi extrême et irréverssible. Ecoute moi, tu souffres j'en suis sur, tu lui a tout donné, ton coeur et ton âme aussi. Cela va être difficile, c'est vrai...le regarda tristement, son regard était vide, il n'avait plus les yeux pétillants, ni plein d'amour comme elle l'a connu. Beaucoup de gens t'aiment tu sais, et je ne veux pas que tu meurt...

Mais non pas ça!!! bon sang, je veux pas que tu te pende!!!!

Le retient par le bras, tente de trouver vite quelque chose a lui dire, sans lui donner d'autres idées suicidaires.

Sir, arrête!! non pas ça!! allez lache moi cela tout de suite et viens, suit moi je vais te montrer quelque chose!!!

Elle l'entraina sur le sentier...

Sir s'arrêta pour boire, quand tout à coup il glissa.
Olympe n'a pas eu le temps de le retenir quand elle le vit glisser de la berge et s'en foncer au fond de l'eau. Elle plongea d'un bon, sans réfléchir si elle pourrait le remonter. Son regard chercha une silhouette entre les racines des nénuphars et les jacinthe d'eau. Il faut faire vite se dit-elle. Mais rien, bon sang il est où??? L'oxygène allait bientôt lui manquer, il fallait faire vite, très vite!! Quand elle le vit sur sa droite, elle pivota, l'attrapa sous les bras et tenta de le remonter avec de grands mouvement de jambes. La tête hors de l'eau, elle respira tout ce que ses poumons pouvaient. Elle était au bord de l'asphixie et de l'épuisement. Se calma et réfléchit...Comment le sortir de là!! regarda autour d'elle et trouva un morceau de berge affaissé, idéal pour sortir Sir.

Sir, tu vas t'en sortir lui disait elle, je te laisserais pas mourrir, ha sa non alors!!!
Elle sorti de l'eau, glissa plusieurs fois, et se repris. Sir ne bougeais pas, son corps comme un poids mort était bien trop important pour elle si frêle. Mais elle puisa une force qu'elle ne se connaissait pas et réussit à mettre sir à l'abri.

Se pencha vers lui, le coeur battait mais pas de respiration. Ses poumons ont pris l'eau, allez pas le choix ma fille faut lui faire du bouche à bouche.

Elle mit la tête de Sir en arrière, et commenca à lui insuffler de l'air, une fois, deux fois, trois fois...Elle ne s'arrêta que lorsqu'il eu un mouvement sur le côté pour cracher l'eau de ses poumons.

Olympe le regardait faire heureuse et inquiète à la fois. Elle était épuisée, le regardait, mais l'air absent et se mit a pleurer nerveusement. Elle était à bout de nerfs, mais heureuse de le voir lutter pour respirer et donc vivre.

Tout en prenant Sir par la main et l'entrainant sur le sentir. Olympe remise de ses émotions, grondait, pestait contre lui...Tu te rend compte que j'ai dû aller te repêcher au fond, t'es lourd dis donc...Ne me refais plus jamais ça!!
Bon voila on y est presque, regarde là c'est mon endroit secret. Personne n'y viens jamais à part moi. içi tu pourras crier, hurler, pleurer tout ce que tu voudras, tu seras tranquille.
Bon je te laisse, je te fais confiance pour ne pas faire de bêtises. Lui fait un bisou sur la joue et rentre au village.

Gab, après une bonne journée en taverne à bavarder chaleureusement avec les locaux, et s'être fait plein de nouveaux amis plus accueillant les uns que les autres, décida d'aller chercher un peu de réconfort sur les bords du lac. Melusine l'avait tellement tanné pour une ballade que de toute façon, il y aurait été de gré ou de force. Devant ce bilan, il prit la sage de décision de se promener volontairement.
C'est ainsi, que tout les deux entrèrent sur le chemin longeant le grand miroir.

"Te voila contente, tu as ta ballade qu'avec moi et les ridicules canards? j'espère qu'on va pas trop croiser de mendiants.
Le seul bon point c'est qu'on va pouvoir repérer les bons coins pour pécher... "

Il fallait toujours qu'il soit un brin méchant, déjà il regrettait d'avoir des propos insolents alors que ça serait si simple d'apprécier ce moment dans toute son innocence. Comme pour s'excuser, il approcha sa main timidement de la sienne et l'attrapa, comme si de rien. Faisant l'innocent, il se mit à regarder le paysage.

Gab malgré ses airs innocents avait bel et bien vu le sourire sur le visage de Mélusine. Cela eu deux effets sur lui, il était partagé entre le plaisir de la rendre un peu heureuse et la tristesse de peut être jamais lui donné ce qu'elle cherché en lui.
Les belles histoires d'amours, il savait que ça n'existait pas, et il ne voulait pas se mettre dans une relation qui allait amenait son lot de problèmes et de conflits.
Le chemin s'ouvrait sur des coins isolés et machinalement, il invita Melusine a s'installer au bord de l'eau. Le soleil était encore haut, alors il enleva ses bottes et se mis les pieds dans l'eau.

"C'est pas un bon coin de pêche, mais on devrait etre au calme ici"

Il lui sourit.

"Un petit moment bien calme, ça nous change, c'est plutôt animés généralement. Cela te tenait à cœur de m'avoir rien qu'a toi un moment?"

Il faisait des petits vagues avec ses pieds tout en discutant, ce qui attira quelques canards habitués à se faire nourrir.

Gab l'écoutait et se sentait bien finalement, c'est une pas mauvaise idée que cette ballade. Il se laissa tomber en arrière et regarda le ciel, la laissant s'occuper des canards.

"Pour le brochet, j'ai pas encore eu l'honneur d'ausculter cette cicatrice..."

Il sourit, il arrivait enfin a se détendre, il avait plus envie d'être méchant et sur ses gardes, il avait d'être lui-même, de lui donner un peu de lui.

"Merci? il est pas finit ce voyage que je sache, tu aura bien le temps de m'en vouloir. Et... c'est toi qui a voulut venir avec moi pour vivre tout ça, s'il n'y avait eu que moi, j'aurai simplement arpenté les chemins en ronchonnant et surtout je ne serai jamais venu ici. Peut être même que ça serait à moi de te remercier, mais je suis trop fier pour ça. A la rigueur et sur les bords, je peux marmonner rapidement dans une barbe longue comme tes cheveux, en regardant ailleurs, que je suis heureux de partager ce moment, et que de penser qu'il y en aura d'autre me réjouit. Mais hélas, je n'ai pas de barbe de 3 lieux, alors je ne le dis point!"

Il ferma les yeux, il écoutait mélusine jetait du pain inlassablement à ses mendiants à plumes, le vent apportait une douce brise légère, il faisait bon. Il était apaisé.

Gab fut surprit de sentir ses lèvres sur les siennes,mais a peine il eu le temps de réagir et avant même qu'il puisse prendre un soupçon de plaisir, qu'il se prit un coup de coude dans les côtes. Il sauta alors brusquement sur son agresseur et remarqua qu'il s'agissait de Mélusine.

"T'es pas un peu folle du ciboulot? t'as envie de mourir? "

Gab remarqua qu'il était allongé de tout son poids sur elle, et un peu gêné de la situation, se leva. Il se frotta les cotes, puis réalisa que cela montrait qu'il avait mal et arrêta aussitôt,ne voulant montrer une faiblesse.

"Qu'est ce qui t'as prit? De toute façon, j'ai même pas mal!
On fait quoi? on rentre voir nos amis? ou t'as encore des canards a gaver?"


Gab malgré son air ronchon lui tendit la main pour l'aider a se relever et lui sourit.

poly était la a parler a sirilas, quand tout a coup un homme au loin avez pris un cailloux pour ce suicider, et tout est aller très vite, par chance une amies a lui, lui a sauver la vie et sont rentré sein et sauf...
poly en avez le souffle couper...

dit moi siri il a l'air de te connaitre !!!

poly penser avoir compris ce qui s'était passer entre eux deux, et ne dit mot...
elle la suivait et commença a lui expliquer...

moi ou est ce que j'étais j'ai parcouru beaucoup de village j'en ai tellement fait que je ne sais plus ou exactement j'étais.
j'ai rencontré des gens formidable qui on essayer de me convaincre d'habiter dans leur village mais mon coeur était rester ici.
pendant plus de quatre mois j'ai parcouru les villages afin de vous rejoindre.
maissss.

poly n'osait lui dire...

[ le 11 juin ]

Après avoir retrouver son amour durant la nuit et avoir discuter de longs instant, la vie semblait de nouveau belle à Alaynia.
C'est un ce matin un peu brumeux qu'elle se réveilla pleine de rêve et d'amour.
Cette journée lui semblait magnifique et rien de tel pour lui réchauffer le coeur et l'entrainer pour une ballade autour du lac.
C'est donc le coeur léger qu'Alaynia partie faire le tour du lac avec dans sa besace parchemin et plume pour écrire de beaux poèmes et courriers.
Elle avait envie de se retrouver seule, à l'ombre d'un arbre pour rêvasser et imaginer l'avenir qui l'attend avec Erwann.
Elle trouva un coin près du rivage ou le lierre sauvage grimpa sur les arbres, des fleurs sauvages poussaient de ci de là et
celui lui rappela un certain parc.
Elle chantonnait et observait les nombreux pêcheurs assidus et sourit.
Il suffisait parfois de pas grand chose pour se sentir heureux.
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La première partie du voyage s'était déroulé le plus tranquillement possible.
Le "premier lot" avait été déposé à Ventadour, et le quatuor décida de prendre une pause avant de reprendre la route.
Le soleil , au zénith étouffait les voyageurs, qui furent bien aise de se reposer au lac.
Accompagné, de sa douce Linoa, Ulrikh gambadait dans la direction opposé de celle de Nerine et de son fiancé.
Il n'avait qu'une envie , se jeter dans l'eau froide du lac, se rafraichir et chasser les tourments de son esprit....
Au lieu de cela, il s'adossa contre un grand saule, à l'ombre.
Je crois que j'ai trouvé l'histoire que je vais conter ce soir à nos escortés, ma douce...Viens donc près de moi que je t'en donne la primeur.

Il blottit sa douce contre lui et commença à conter la légende...

Richard de Clémont, homme cruel rêvant de conquêtes, participe avec Henri d’Orbe, fils d’Etienne de Montfaucon, comte de Montbéliard, à la grande croisade contre le sultan Bajazet, sous la conduite du comte de Nevers.
Richard exigeait des gens de son domaine toujours plus de redevances et amassait des richesses considérables dans les caves de son château.
Sa femme Bérénice avait le cœur généreux et souffrait du comportement de son mari. L’absence de Richard dura trois longues années. Le prévôt Renaud de Saint-maurice et quelques hommes d’armes étaient chargés de veiller sur le château et sur Bérénice. Pendant ces trois années défavorables aux récoltes, Bérénice se sentit obligée de soulager ses sujets en leur distribuant les réserves accumulées au château.
Un soir, Richard rentra. Il était méconnaissable tant il avait souffert. Mais très vite, il entreprit la visite de ses réserves. Il s’en prit aussitôt à sa femme dont il connaissait la trop grande générosité. Mais le prévôt Renaud s’accusa pour sauver Bérénice. La colère enleva à Richard tout son bon sens. De la terrasse du donjon, il contraignit Bérénice à assister au spectacle du supplice du prévôt. La bonne dame s’évanouit.
Richard perdit la raison. Chaque soir, il chevauchait un cheval noir le long des falaises du domaine et, ce qui devait arriver arriva…
La légende dit que le prévôt s’était vengé. On raconte que certains soirs de pleine lune des voyageurs fatigués et égarés croisent parfois dans la brume montante la silhouette d’un cavalier fantomatique… Mais c’est une légende bien sur !

Il se tût un moment.
Déposa un tendre baiser sur le front de sa belle.
Cherchant déjà dans sa mémoire d'autres contes et légendes à partager pour le voyage.
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En ce jour du 18 Juin, Alaynia se sentait bien seule. Elle parti donc où elle arrivait à se sentir sereine, le Lac. elle avait apporté avec elle dans sa besasse de quoi décrier ses sentiments, encre,plume et parchemien.
Elle trouva endroit à sa convenance et s'installa à l'ombre d'un grand chêne. Elément qui la sécurisait, vu qu'il était la depuis de nombreuses années.

Elle aurait bien croquer les barques au loin avec ces pêcheurs qui espéraient trouver moulte poisson, mais sa main ou plutot son coeur voulait s'exprimer.

Alaynia savait trouver les mots cette fois ci et ce fut pour elle bien facile à remplir le parchemin de ses verbes.

Je T'Aime

Tu sais mon coeur se meurt d'amour,
il crie détresse lorsque mon corps
n'est pas recouvert par ta chaleur.
Il me dit qu'il se sent mal,
lorsque le chemin de la vie nous sépare
et qu'il verse de grosses larmes.
Mon amour, est bien plus fort que moi,
il est infini, impérissable...
Mon coeur est prisonnier,
je ne vois que toi, je ne respire que ton parfum,
et toutes mes pensées te sont destinées
car dans mon esprit tu demeureras pour l'éternité...
Je t'aime tellement que je n'ais pas de mots,
je suis heureuse à côté de toi,
je suis triste quand je suis loin de toi,
je t'aime au-delà des sens, tu vois?
De te connaître je ne peux exprimer ma joie.
Nous pourrions voler dans un monde parfait,
je voudrais tant savoir ce que c'est
de voyager comme ça main dans la main,
en sachant que ce sera aussi beau le lendemain.

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Bon ben voilà, arès le tour fait par Poly en taverne, Alaynia était bonne pour aller se débarbouiller.
Pas le temps d'aller chez elle,alors elle fi un détour par le Lac.
Elle essaya de rencontrer personne et de se nettoyer le visage avant que quelqu'un ne la rencontre.
Elle était bien belle ainsi le visage tout noir de charbon....

Trouvant un coin tranquille et où elle pouvait prendre de l'eau entre les mains sans pour autant y tomber, elle se lava la figure.
Elle se dit que Ventadour était bien désertique en ce moment et se demandait quand les gens allaient revenir au village et en taverne.
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doudou avais passé la nuit autour du lac

réveillée au petit matin par les gazouillis des oiseaux doudou s étira
hum fessons un brin de toilette!!
elle regarda autour d elle et ne vis personne dans les environs
elle fit glisser sa houppelande sur le sol mousseux retira ses bottes et installa le tout sur le coté
elle arriva pres du bord et rentra un pied
brrrrrrrrr mais c est froid
tout doucement doudou rentra dans l eau
sa tete sous l eau elle s imaginât être comme un poisson
[/b]
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Sir ce promena autour du lac quand il vit un coeur dessiné sur le sable.

Pour qui peu t'il bien étre?

Il pensa surement pas pour lui,la damoiselle qu'il avait rencontré en taverne vas partir.

Une larme lui coula le long de sa joue.

Il continua son chemin sans amour seul son loup blanc le suivait.

Viens Bigjov rentrons au chateau.
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Main dans la main Sir montra tous les beaux coins du lac a sa bien-aimée.

Venez ma tendre mie je vous montre mon chateau ( http://sir.xooit.com/index.php ) vous verrez il est magnifique.
Prés d'un grand arbre Sir s'arrêta pris sa bien-aimée dans ses bras et l'embrassa tendrement.

Je vous aime douce Doudounnette.

Sur le chemin du retour aprés avoir saluer quelques villageois ils arriverent au chateau,il laissa un moment sa bien-aimée découvrir le chateau.

Alla vite ce changer et revins dans ses plus beaux habits,c'était dimanche jour de messe.



Voulez vous m'y accompagner ma mie?
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Sir prit la main de sa bien-aimée et alla au lac pour s'y promener.

Aprés quelques centaines de mettre il s'arrêta et ce mit a genoux.

Voila ma mie accéptez ce présent.

Il sorti de sa poche un petit coffret et y sorti le contenu.



Il montra la chainette a sa bien-aimée et lui la met autour du cou puis il l'embrassa tendrement
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Aprés avoir mit la chainette autour du cou de sa bien-aimée il ce releva et l'embrassa.

Gardez la toujour sur vous ma mie elle vous protégeras.

Je vous aime ma tendre mie,rien n'est trop beau pour vous.

Mon coeur vous appartient a jamais.
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Aprés une nuit bien agité Sir alla retrouvait sa bien-aimée prés du lac.

Il l'apercu de loin et couru vers elle,mon amour comme je suis heureux de vous voir j'ai une surprise pour vous.

Sir ce mit a genoux et sorti de sa poche un écrin bleu puis l'ouvri.

Voila mon amour une bague de fiancaille, voulez vous m'épouser?



Sir attendait la réponse de sa bien-aimée.
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Sir enttendi la réponse de sa bien-aimée.

Des larmes il coulait le long des joues tellement il était heureux.

Il prit la tête de son amour et l'embrassa tendrement.
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Sir ce promena autour du lac , la nuit était tombée il apercu un arbre et sorti sa dague et grava sur cette arbre un grand coeur les mots suivant :

DOUDOUNNETTE ET SIR POUR LA VIE.
Il reparti au village voir en taverne et boire.
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hoooooo!!!!!!!!!
quels sont beaux
doudou embrassa sir
mais vous me gatez trop
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doudou pris Sir par la taille
allons nous promener et rentrons au chateau
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l'homme masqué c'était endormi au pied d'un grand chene,pres du lac,il grimpa sur le chene et observa les alentour du lac

il ne voyait personne,les alentours du lac, a part sircamelot et doudounnette


puis il retourna dormir au pied du chene

les dernieres heures ici a ventadour étaient très difficile
je caressait les noms sur l arbre,je sais que je reviendrais mais 6 jours c est long, six longs jours
je m asseyais au bord du lac et je fessais des ricochets avec des cailloux dans l eau du lac
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l'homme arriva silencieusement sur l'ile,quand il vit okwawi un plan germa dans son esprit, il s'approcha et cria:



BBBBOOOOUUUUHHHH!!!!!!!

Nomote n'avait pas vu que Chanterelle s'était planquée dans son embarcation. Quand il descendit pour faire peur à Okwawi qui dormait, elle arriva tout doucement derriere lui et
"BOUuuuuuuuuuuuuuh!!!!!!!!! Alors qui fait peur à qui?

Elle explosa de rire

Chanterelle ne voulait pas que l'echoppe de Okwawi ferment ses portes. Alors elle eu une idée lumineuse. Grimper à un arbre et se jeter dans le vide ainsi elle serait blessée assez longtemps pour qu'il reste ouvert et elle pourrait lui piquer ses fiols.
Alors elle choisi le grand chene. Le plus haut et le plus majestueux. Il fallait bien ca pour accomplir sa prouesse. Mais d'abord un petit coup de pinard pour lui donner du courage. Déjà une bouteille au sol. Et l'autre une fois au sommet. Il fallait qu'elle arrive à grimper tout de meme.
Chanterelle entama sa grimpette. Telle une forcenée, elle se hissa au tronc et s'agrippa à la premiere branche. Le reste suivit plus ou moins facilement. Arrivée en haut, elle jauga la distance qui la séparait du sol. Elle déglutit péniblement et rassembla ses forces en sifflant sa deuxième bouteille. Elle avait promis à son amour qu'elle ne boirait plus comme ca, mais là c'était cas de force majeur. Elle était sur qu'il comprendrait.
Elle se mit debout maladroitement sur la branche en se tenant au tronc.
Chanterelle ferma les yeux et sans refléchir plus sauta dans le vide.

L'arrivée au sol fut trés brutale. Elle s'écrasa magitralement sur le sol et fit une roulade pour aller s'éclater contre un rocher. Elle fut completement sonnée et à demi-consciente. Chanterelle resta dans les vapes quelques minutes et se hissa au rocher. Son épaule gauche était déboitée, sa tete saignait, un de ses doigts était retourné, ses genous et ses coudes éraflés, sa cheville la lancait, un bout de bois s'était planté dans le genous et un cailloux dans la plaie de sa tete. L'os de son autre genous était à l'air.Sans compter les douleur dut au choc de la chute. Elle souffrait le martyr.
Et c'est dans cette état qu'elle partie chez Okwawi pour se faire soigner.

Alaynia avait mal dormi, certaines remarques venant des Ventadours l'avaient blessé.
Lui dire qu'elle n'était plus une Ventadour fut dur à ses oreilles, elle, qui même si elle avait du vivre ailleurs quelques semaines, n'avait jamais oublier Venta, son village de naissance.
Elle s'était réjouit de revenir un peu et avait même penser se réinvestir dans son village....mais tout avait changé.

Alaynia s'en alla au lac, le coeur lourd et voulu venir se ressourcer comme à son habitude quand cela n'allait pas.
Elle vit au loin peu de barque de pêcheur..où était passé l'age d'or de Venta...
Elle continua son chemin et fit le tour du Lac.
Les arbres perdaient leurs feuilles, l'automne était bien là...le temps du changement aussi....

Elle devait repartir ce soir avec son ami Vrook pour le Poitou, rejoindre son homme qu'elle n'avait pas vu depuis plus d'une semaine.
Ils avaient décider de partir voyager en amoureux rien qu'eux deux, loin de la politique et des obligations.
De toute manière, on ne voulait plus d'elle à Venta...alors à quoi bon rester.

Alaynia s'assit sur un vieil arbre couché au sol, pensive et triste.
Le ciel était en accord avec son coeur, couvert....elle avait espéré un autre aboutissant.
Alaynia resta encore de longs moment sans bouger à s'imprégner des sons et odeurs du lac avant de retourner au village et de se préparer pour son départ.
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Okwawi marchait autour du lac pour chercher des plantes médicinales; il marchait tout en fouinant partout. Sa besace commençait à se remplir tout doucement, il avait cueillit des plantes pour la rhumatologie, des antiseptiques, pour la digestion et pour plein d'autres choses.
Il regardait le lac et decida de se baigner malgré le froid, il enleva sa chemise, ses chaussures et posa sa besace, il courrut et sauta dans l'eau

AAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH, c'est froid, mais ou avais je la tête, à des fois je ne sais pas ce qu'il me prend

Il ressortit en courrant se rahibilla et repartit en direction de la boutique pour préparer les plantes en fonction de leurs effets.

doudou se promena par cette belle journée d automne mais elle etais tellement tête en l air qu elle n as pas vu qu elle déviais vers la berge tout a coup elle se retrouve dans l eau
-arf j ai glissé et me voila bien trempée il n y a qu une solution c est de rentré a la taverne et se chauffé dans les bras de sir
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Lyconide est troublé. Il faut dire qu'il y a de quoi: la femme qui marche à côté de lui est tout simplement magnifique!

Ne sachant pas quoi dire, il observe la jeune femme et s'aperçoit qu'elle se frotte les mains.

Saisissant l'occasion, il lui prit doucement les mains et lui dit:

Avez vous froid Speedo?

Un peu pris de court par cette soudaine interrogation, il dit d'un air troublé:

Je vous en pris, faites

Après un instant de stupeur à cause de la franchise de la question, Lyconide sourit et dit en regardant Speedo droit dans les yeux:

Ai-je dit que mon intérêt pour vous était soudain? Je vous ai remarqué dès ma première entrée à la taverne où j'ai eu le plaisir de vous rencontrer. Depuis, je m'efforce de me montrer courtois envers vous, mais je m'y suis sans doute mal pris.
Pardonnez ma maladresse, je vous assure que mes attentions envers vous sont des plus honorables.

Après sa longue tirade, Lyconide se permet d'avaler une grande bouffée d'air pur auquel se mêle une agréable odeur de lavande

Je vous en pris Speedo, posez autant de question qu'il vous plaira, après tout, vous êtes bien en droit de le faire.

Je voie plus kokeliko comme un "compagnon de taverne" si je puis dire! Je trouve sa compagnie fort agréable mais je n'ai jamais songé à aller plus loin. De plus, étant d'un naturel plutôt susceptible et sensible, je m'efforce de prendre des pincettes avec elle. Rassurez vous, je ne m'intéresse pas à toutes les dames avec lesquelles je m'entend bien!

Rougit après avoir déclamer sa dernière phrase à toute vitesse

En entendant la question de Speedo, Lyconide éclata de rire en pensant à sircamelot. Ne voulant pas indisposer sa charmante compagne, il essaya de se contenir et réussit à lui dire

Grand dieu, non. Figurez vous que Sircamelot...

Il reparti dans un grand rire, puis après avoir retrouvé son sérieux

M'a vanté les charme de dame Esor!



Après une nouvelle crise de rire, Lyconide retrouva son sérieux, regarda longuement Speedo, scrutant ses magnifiques yeux noir, rapprocha doucement son visage...

Lyconide se retint de rire une nouvelle fois, mais c'est avec le sourire au lèvres, qu'il entreprit de les poser contre celles de Speedo. Il se rendit compte que c'est lèvres étaient glacées.
Après un long baiser, il regarda Speedo, les yeux embué sous l'émotion. Il se rendit compta à quel point elle était belle.

Souhaite tu retourner à la taverne? Tu est glacé!

Il entreprit alors de prendre sa veste et de l'enrouler autours des épaules de Speedo

Kokeliko pêchait sur sa barque. La brume commençait à se dissiper. Elle entendit au loin des murmures. Elle voulu savoir qui c’était, pris ses rames et doucement tel un fantôme s’avança vers la berge. Elle aperçut des amants qui s’enlaçaient. Elle reconnut Speedo et Lyconide. Elle avait envie de leur faire une blague mais ne savait quoi. Comme la brume était encore dense par endroit, elle s’y cacha et d’une voix tremblante d’outre tombe, elle dit :

houhhouh qui va làaaaa ….. je suis le spectre du lac…..


Et jeta un pierre non loin des deux amoureux pour les impressionner.
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Kokeliko compris vite qu’elle était démasquée et rama déçue que sa blague n’est pas fonctionnée. Elle rama jusqu’au milieu du lac.
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doudou se promena au bord du lac elle vit des poèmes accrochés aux branches de l arbres ou Sir avais gravé de leurs noms
elle les décrochais et les lisais encore et encore
tient moi aussi je vais écrire un poème enfin je vais essayé
elle pris un parchemin,une plume s installa sur une souche et sorti son encrier
[/img]
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Babtouu alla au lac histoire de ce calmé un peu...

IL regarda autour de lui...ne voyant personne, il s'allongea dans l'herbe encore toute humide de cette nuit un peu fraiche...

La tristesse fit son retour...submergé il éclata en sanglot en pensant a ses amis mourant et dit tout en pleurant:

Je vous oublirais jamais quoi qu'il arrive...on ce revoit bientôt...promit...restez en paix, que dieu vous garde au chaud jusqu'a mon arrivé ! Babtouu esquiva un petit sourit

Il resta là en pensant a ses amies et son amour et se dit dans sa tête "où est tu mon amour ? tu me manque tant !"

Lyconide vint prendre l'air au bord du lac pour se calmer un peu.
Il n'avait jamais été très doué pour cacher ses émotion, et il se sentait vite submergé.
Il observa longuement le paysage, vit un poissons sauté hors de l'eau et replonger aussitôt.
Tout à coup, il aperçut kokeliko au bord du lac, l'air mélancolique.
Lyconide se retint d'aller la voir, se contentant de l'observer de loin
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La gamine, qui se promenait justement par hasard au bord du lac, le hasard fait parfois étrangement les choses, pila net en voyant quelques lueurs étranges accompagnées de carrioles diverses.

Le coeur battant la chamade de peur et de curiosité, elle s'approcha discrètement du campement. Méfiance... Il n'y avait pas longtemps, il y avait eu des histoires d'enfançons disparus et de femmes retrouvées égorgées... Elle hésita puis avança. Si ça puait de trop, elle filerait prévenir le lieutenant.

Plongée dans ses manœuvres stratégiques et planquée derrière une des carrioles, la fillette tomba nez-à-nez avec un de ces coupeurs de gorge...

Aaaah ! Pitié ! Pitié... J'ai rien vu...

Elle se jeta aux pieds de la silhouette

Je ne suis pas comestible... Je goute le savon, ça pue, il est à la lavande...

l'homme masqué dormait tranquille en haut d'un chêne lorsqu'il entendit:

"Je ne suis pas comestible... Je goute le savon, ça pue, il est à la lavande..."

"Hé ho! Mais t'es qui toi"



il sauta au bas de l'arbre et observa la scène accroupis dans l'obscurité,une belle harpe pendu à sa ceinture,


il murmura:


-Gné ? qui me reveille pendant mon sommeil?

l'homme masqué ne voult meme pas savoir se que ce jeune garcon pouvait penser

il dit:
- si tu veux tous savoir ,p'tit, cette jeune fille est la maire de Ventadour.... et je te déconseille de la manger(^^)...... elle doit avoir très mauvais gout



-j'me suis pas présenter excuse moi, je suis le barde de Ventadour

le druide installa sa tente de peau au bord de l'eau, a l'abris des grand chênes




il s'installa sous la tente et piqua un somme

La gamine confirma bien les dires du "tombé de l'arbre".

Le p'tit Rody n'en revenait pas...

"Ouaouw! J'me verrai bien maire moi aussi... qu'est ce tu dois t'amuser... en tout cas bin moi j't'appellerai pas madame... héhé!"

"Moi, chui l'p'tit Rody de la troupe de saltimbanques du Vieux Tambour... ça en jette aussi hein? Héhé! mais on m'appelle pas messire moua!
Et ici, c'est notre campement... on va présenter un spectacle en gargote limousine."

Le p'tit Rody cherchait à trouver du répondant à la demoizelle... lui n'était peut être pas maire mais être de la troupe du Vieux tambour, il n'en était point peu fier.
Il la trouvait charmante cette mairesse... et pour une fois elle était de son âge.

'J'espère que tu viendras... et... si tu veux... ch'tapprendrai à jongler..."

Plus il parlait et plus il sentait intimidé... il fit tourner son baton dans les airs pour détourner l'attention de la gamine.

"Rooooo.... du lait avec de l'alcool de prune... bin quand je disais que ça doit être bien d'être maire... moi... Sid... y veut pas qu'j'boive de l'hypocras... pourtant il en fait du bon à Thiers, dans sa taverne du Vieux Tambour.
Parfois... mon ami la Bosse m'en sert un godet en cachette car Sid y'm'dit qu l'alcool c'est pas pour les enfants... mais chui plus un enfant.... hein qu'on est plus des enfants?"

Il savait que Esor le comprenait et tout en souriant il s'imaginait maire avec elle... roooo... qu'est ce que ce serait bien....

"Ouep c'est nos maisons mais on en a cinq quand même... s'tu veux j'te f'rai visiter celle de la Bosse et moi."

Le p'tit Rody se sentait tout léger. Il espérait bien resté un peu à Venta. Il savait que Titine et Gaby voulaient les rejoindre alors il ferait tout pour convaincre Sid de les attendre là.

"Bien sur qu'ch'sais faire! Et ouaiiiis ch't'apprendrai... et mais dis... tu viendras me voir au spectacle hein?"

Speedo arriva en courant ne voyant rien il faisait tellement noir, elle trébucha, s'égratigna les genoux et arriva au bord du lac.
Elle apperçut son Lyco s'enfoncait dans l'eau glacial.
Elle cria : non Lyco fait pas ca.

Elle courrut dans l'eau pour le secourir mais l'eau était glacée, et elle était une bien mauvaise nageuse.

Elle vit soudain tout tournoyer autour d'elle et ne vit plus que du noir glacé.

Alors qu'il criait «Santé» pour la dixième fois au moins, il fut arrêté dans son cri d'ivrogne par la porte qui s'ouvrit avec fracas. Lyconide dégoulinant entra avec Speedo e sans connaissance et aussi trempée que lui dans ses bras.

Mais que s'est-il passé ? Hips!
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Du 1er au 15 décembre 1457, participez au Festival de Ventadour!!!

Elisa se promenée avec sa fille a la mains
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Kokeliko tête baissée, erra le long du lac.

Elle entendit une grenouille croasser et eut le réflexe de vouloir l’envoyer au loin balader lorsqu’elle se souvenu d’un ami au crâne luisant, elle lui laissa la vie.
Cette grenouille l’égaya un court instant et se promit de ne plus jamais en manger. Elle ne reverra jamais leurs petites cuisses comme d’autres ne verront jamais plus les siennes.

Puis, elle songea de nouveau en la vie.
Elle aimait la vie aussi misérable qu’elle soit.
Elle aimait la mort aussi puissante que le néant.
La mort était pour elle au-dessus d’Aristote, au-dessus de tout.
Fallait pouvoir vivre pour mieux l’apprécier.
Il y a toujours un début pour une fin.
Autant faire de cette fin son suprême.

Lugubres étaient ses pensées
Et pourtant son rire prédominait
Comment savoir qui elle était
Ange ou démon seule elle savait

Mais avant de succomber
Elle avait un souhait
Celui d’apprendre à aimer
Et d’être aimée en retour
Vœu qui ne s’était pas encore réalisé
Ou tout au moins commençait à s’accomplir
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Plop, plop, plop, plop, plop.... plouf.

Le dernier galet avait fini sa course plus loin que les autres, malgré le soleil qui commençait à taper durement la surface du lac, et ces rides qui se formaient avec le vent naissant. Tout était dans la souplesse sèche du mouvement de poignet, et le fléchissement des jambes pour lancer au ras de l'eau...

Meliann se redressa, embrassant d'un regard le lac, et le village que l'on devinait plus qu'on ne le voyait, caché par les grands frênes. Ses pieds nus s'ancraient dans le sable, léchés de vaguelettes froides, une trace qui tôt serait effacée, par d'autres vagues, sitôt le dos tourné...
Les bois n'ont pas cette inconstance, qui impriment dans leur humus la marque profonde de ceux qui s'y aventurent. Et parfois sur les feuilles jaunies de l'automne une tache couleur rouille rappelle que dans le combat pour la vie nulle victoire n'est promise.

Plouf.

... Comme ce caillou au dos par trop bossué qui venait de s'abîmer sans gloire.

Elle ne put retenir un sourire à la vue des maigres vaguelettes concentriques mortes sitôt que nées. Celui-ci ne laisserait souvenir qu'au banc de poissons effarouchés qu'il venait de disperser, et qui se reformerait aussi vite.

A nouveau, son regard fut attiré vers le village.

Ventadour, un nom chantant comme le vent, mélodies croisées suivant sa direction, contraste de douceur et d'âpreté. Elle emporterait un peu de cette âme, dans cette route qui empruntait de si étranges détours...

Mais elle n'était pas encore partie. Un jour encore, pour découvrir les villageois, après avoir effleuré les murs de la ville.

Kokeliko marchait le long du lac pour la première fois enivrée de bonheur.
Elle se posa sur un rocher bercée par les murmures des oiseaux.
Elle avait enfin baissé les armes pour le laisser entrer dans son cœur.
Son esprit erra gaiement dans la brume lorsqu’elle leva les yeux très haut.
Remerciant les étoiles guidant les pas de cet homme jouant avec les mots.
Elle avait appris à l’aimer d’avoir si longtemps écouté son silence.
Et c’est cette peur de le voir partir en des horizons nouveaux.
Qu’elle comprit que le moment était venu de vivre sa romance.
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Okwawi vit s'approcher Arthur, il l'écouta et lui sourit

mon ami, tu as raison, nous devons relever la tête ensemble pour aider ce village aui est le notre, dans notre union pour une vie meilleure, nous vainquerons et nous en sortiront plus fort

Il prit la choppe qu'Artur, lui tendait et trinqua avec lui, puis il regarda autour de lui, il ne savait que trop bien que des personnes malfaisantes pouvaient être aux aguets de certaines informations. Il lui chuchotta


Je sais certaines choses qui sont trés mauvaises pour le village et le Comté, je te donnerais plus d'expliquations par lettre

Okwawi marchant au bon ses pieds l'emmenait, finit par arriver sur les berges du lac, il ne s'en rendit même pas compte, il s'arrêta au bord de l'eau, regardant l'îlot, il se dit qu'il devait allé dans la grotte qu'il avait découvert
Il monta donc une barque et rama jusqu'à l'autre rive, il descendit et alla en direction de la grotte, l'air était humide et le sol boueux dut aux dernieres pluies , il s'avanca et commença à pénetrer dans la grotte, ne voyant rien du tout, il ne savait pas sur quoi il marchait, le sol était mou et les parois collante. Il continua d'avancer avec extreme prudence, quand d'un coup, il glissa, tomba dans une sorte de puit


AAAAHHHHHHHHH, AAAAAAAAAAHHHHHHH

Il hurlait de douleur, il avait l'impression de ne plus pouvoir réspirer et son bras lui faisait atrocement mal, il vit qu'un os de son bras en était sortie, il reprit son calme, pour pouvoir mieux respirer, puis arracha d'un geste brusque un bout de son vetêment pour l'entourer au tour de l'os car dans ce noir il ne pouvait pas faire grand chose.
Il essaya tant bien que mal de remonter, ce qu'il réussit apres de longues et interminables heures, arrivé en haut du trou, et n'ayant plus de force il rampa jusqu'à l'éxterieur de la grotte.
Le manque de force se faisant sentir de plus en plus et il se dit

J'ai...intê...ret à arriver jusqu'à la ....bar...q..ue avant de m'evanouir....sinon..je mou....rrais là...

Se ressaisissant, il continua de ramper pour arriver à la barque, il monta dedans et essaya tant bien que mal de ramer
Du sang coulait le long de son bras, le bout de chiffon avait été utile peut de temps
Voyant la berge à quelques centimetres, il descendit de la barque, et s'asseya un peit moment, il soufflait, il n'arrivait pas à réspirer, regardant le bras taché de sang, il chercha au plus vite une fiole dans sa besace, ses yeux vitreux dut à la fatigue commençait à se fermer, trouvant la fiole, il enleve le bouchon et la but

avec sa....je ne vais plus re....ssentir la douleur jus....quà ce que j'arrive....à la bou...tique

Il se releva péniblement, et alla en direction de son cabinet, ou là il pourrait mieux constater les dégats corporels sur lui

Levée si tôt que le soleil bien paresseux n'avait pas réussit à la devancer,la provençale aux jupons noirs et aux idées grises s'extirpait de l'alcôve chaude des draps pour aller dégoter un emplacement des meilleurs pour la pêche.De sa démarche chantournée,et quelques peu hésitante au vue de ses prunelles embrumées de sommeil.

Maintenant au milieu du lac à la surface lisse,la blonde tentait,assise dans sa barque, d'amasser quelque poisson imprudent qui aurait la bêtise de manger son asticot.

Et là,c'est le drame...

Alors qu'elle s'apprêtait à se redresser un moment,ses pieds engourdis de froid,un violent heurt se fait sentir....Et dans un magistral "Plouf" la belle s'en va rejoindre la poiscaille.S'apprêtant à remonter dans sa barque,elle pesta de tout les vents contre l'...

"Espèce de....Nonne déflorée!Mange savate!Cageots à prunes!Brutasse!Carotteur!Idiot!Hérétiqueeeee!"

...qui avait oser ainsi s'écraser contre le petit bateau.
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Se baigner?Attends voir toi,après que j'en ai fini avec ta carcasse,tu iras buller avec la poiscaille!Pochtron!Pochon à vinasse!Pucelle!Panacotta!

On l'a comprit,la douce et polie jeune provençale à la grâce diaphane débutait ses insultes en "p",n'ayant pas encore reconnu son interlocuteur,elle regagna sans trop de mal sa barque,et,détrempée,se retourna pour apercevoir le malotru.
Sa stupeur n'eut d'égal que son sentiment d'offusquée.
Posant ses paumes blanches sur ses hanches,Lorenza l'incendia de son plus noir regard.S'ils en avaient eu le pouvoir,il brûlerait sur place le bougre,tandis qu'elle se réchaufferait car pour l'instant,les courants vicieux la faisaient grelotter tel une feuille sous le vent.

Et,voyant qu'il enjambait maintenant la distance séparant les deux barques pour rejoindre la sienne,elle se saisit de sa rame et éloigna la barque du ténébreux.Ainsi donc,il serait déstabilisé et...

Oh mais mon doux ami,mon tendre cœur,mon amoureux transi,je ne me baignais qu'en attente que vous fassiez de même.

Déclama t-elle,de son joli ton le plus ironique.
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Tristounet début de journée du premier jour de décembre, tout comme son humeur d'ailleurs et pourtant sans raison, Alaynia décida d'aller faire le tour du Lac, endroit qui lui faisait du bien et la ressourçait.

Hier, elle avait croisé le traitre qui avait vidé la mairie en août, personne à qui elle avait donné sa confiance et qui s'était bien foutu d'elle.
Elle n'en revenait pas que ce type de la pire espèce osait revenir à Ventadour alors qu'il avait fait tant de mal au village.
Certain ne se gênait pas...

Cela lui avait ravivé de bien mauvais souvenirs.
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