Finute
... de la vérité.
Depuis le bal du Roy, auquel tous les nobles de France à partir des Vicomtes étaient conviés, la jeune femme avait perçu des sentiments non pas douloureux, mais vertigineux.
En effet, depuis ce jour, elle navait sans cesse la vision de cette petite fille avec une poupée ce qui était rare à cette époque- dans les mains, un homme, grand et fort à ses côtés, ainsi quune jeune femme aux cheveux brun. Tout deux de noble et bonne famille.
Cette vision lui avait donné des vertiges, lempêchait de dormir. Elle navait osé en parler à sa moitié. Et pourtant, elle ne lui cachait que peu, voire aucune chose. Mais ceci ceci était une partie de sa vie quelle ne se rappelait pas, quelle ne connaissait pas.
Quelques jours avant ce vingt-huitième jour du mois de Novembre, en réalité, au trentième jour du mois dOctobre, elle était allée voir la fameuse femme quelle avait en son souvenir.
Peut être pourrait-elle léclairer sur son passé, sa famille
Elle avait apprit que sa vie avait commencé en les entrailles de cette terre Périgourdine, puis Aurillac ville quelle aimait plus que tout. Ville où elle avait bon nombre damis, nobles ou pas, mais avec qui elle avait gardé de bonnes relations malgré les opinions de sa moitié.
Ninjaturtel, Fabien, Noéline, Natafael et bien dautres encore amis, des personnes quelle noublierait jamais.
Puis le Languedoc passage rapide. Endroit peu fréquentable, ou plutôt, très peu apprécié de la jeune femme.
La Gasogne. Endroit certes orageux, cest-à-dire, beaucoup de conflit. Mais pourtant avec des paysages magnifiques et des habitants amusant. Elle avait vécu là bas, cétait fait bon nombre damis mais elle nen avait que peu de nouvelle, ce qui lattristait en y pensant. Elle était sûre quen y retournant elle serait bien accueillie, mais sa vie était a présent en ces terres Sur ses terres.
Elle avait tout pour être heureuse un amour des amis
Mais le trentième jour du mois dOctobre, sa vie bascula. Oui, elle bascula.
Après le bal organisé donc par le Roy, elle était partie rencontrer la jeune femme.
La vérité avait fait surface. Finute avait raconté ses souvenirs, ou tout du moins, ce quil en restait. Une poupée... Elle la petite fille, cétait elle
En ce jour, il lui fallait avouer à Enguerrand. Qui elle était véritablement. Depuis presque un mois elle ne le lui avait pas dit. La raison ? Non elle navait pas peur, ou tout du moins, pas cette peur là. Sa seule peur est de perdre lhomme quelle aime, ses amours en comptant les naissances à venir sil y a-.
Elle ne savait comment le lui dire. Finute ne lui cachait que peu de chose, voire rien. Et là, cest comme si elle lui avait menti depuis le début, le tout début de leur rencontre.
La vérité avait fait surface il y a un mois pour la Blanche, elle allait refaire surface, mais pour Enguerrand cette fois-ci.
Assise sur le rebord, tout en haut de la Tour de Vésone, les pieds dans le vide, elle attendait patiemment sa moitié. Elle lui avait envoyé missive, lui demandant de venir prestement la rejoindre en ce lieux.
Ce dernier nétait que ruine, et pourtant, un endroit agréable pour se recueillir, être seul.
La vérité, la confession était lobjectif de cet instant.
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Depuis le bal du Roy, auquel tous les nobles de France à partir des Vicomtes étaient conviés, la jeune femme avait perçu des sentiments non pas douloureux, mais vertigineux.
En effet, depuis ce jour, elle navait sans cesse la vision de cette petite fille avec une poupée ce qui était rare à cette époque- dans les mains, un homme, grand et fort à ses côtés, ainsi quune jeune femme aux cheveux brun. Tout deux de noble et bonne famille.
Cette vision lui avait donné des vertiges, lempêchait de dormir. Elle navait osé en parler à sa moitié. Et pourtant, elle ne lui cachait que peu, voire aucune chose. Mais ceci ceci était une partie de sa vie quelle ne se rappelait pas, quelle ne connaissait pas.
Quelques jours avant ce vingt-huitième jour du mois de Novembre, en réalité, au trentième jour du mois dOctobre, elle était allée voir la fameuse femme quelle avait en son souvenir.
Peut être pourrait-elle léclairer sur son passé, sa famille
Elle avait apprit que sa vie avait commencé en les entrailles de cette terre Périgourdine, puis Aurillac ville quelle aimait plus que tout. Ville où elle avait bon nombre damis, nobles ou pas, mais avec qui elle avait gardé de bonnes relations malgré les opinions de sa moitié.
Ninjaturtel, Fabien, Noéline, Natafael et bien dautres encore amis, des personnes quelle noublierait jamais.
Puis le Languedoc passage rapide. Endroit peu fréquentable, ou plutôt, très peu apprécié de la jeune femme.
La Gasogne. Endroit certes orageux, cest-à-dire, beaucoup de conflit. Mais pourtant avec des paysages magnifiques et des habitants amusant. Elle avait vécu là bas, cétait fait bon nombre damis mais elle nen avait que peu de nouvelle, ce qui lattristait en y pensant. Elle était sûre quen y retournant elle serait bien accueillie, mais sa vie était a présent en ces terres Sur ses terres.
Elle avait tout pour être heureuse un amour des amis
Mais le trentième jour du mois dOctobre, sa vie bascula. Oui, elle bascula.
Après le bal organisé donc par le Roy, elle était partie rencontrer la jeune femme.
La vérité avait fait surface. Finute avait raconté ses souvenirs, ou tout du moins, ce quil en restait. Une poupée... Elle la petite fille, cétait elle
En ce jour, il lui fallait avouer à Enguerrand. Qui elle était véritablement. Depuis presque un mois elle ne le lui avait pas dit. La raison ? Non elle navait pas peur, ou tout du moins, pas cette peur là. Sa seule peur est de perdre lhomme quelle aime, ses amours en comptant les naissances à venir sil y a-.
Elle ne savait comment le lui dire. Finute ne lui cachait que peu de chose, voire rien. Et là, cest comme si elle lui avait menti depuis le début, le tout début de leur rencontre.
La vérité avait fait surface il y a un mois pour la Blanche, elle allait refaire surface, mais pour Enguerrand cette fois-ci.
Assise sur le rebord, tout en haut de la Tour de Vésone, les pieds dans le vide, elle attendait patiemment sa moitié. Elle lui avait envoyé missive, lui demandant de venir prestement la rejoindre en ce lieux.
Ce dernier nétait que ruine, et pourtant, un endroit agréable pour se recueillir, être seul.
La vérité, la confession était lobjectif de cet instant.
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