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[RP] Annoblissement de Messire Valezy

Kathykathe
Kay s'était fondue dans l'ombre de la Baronne s'asseyant a ses côtés et ne soufflant mot jusqu'au moment ou Johanara s'adresse à elle un peu trop gaiement. Dans un murmure elle se prononce a la suite des propos de la Maitresse de Lignières.

Et bientôt mon tour, ui. Je vois ce plaisir en vos yeux de vert, belle marraine. Le plaisir de voir ma ... colombe ... et mes lions, si belles armes voguer au vent partout ou je mènerai mes pas.

Elle de poursuivre en pensée, partout ou j'irai, mes armes seront, surtout bien déployées quand je serai a vos côtés. Qui rira, verra. Kay regarde la Baronne avec amusement puis elle adresse un sourire doux a Apolonie, un hochement de la tête en suit pour une saluation respectueuse. Kay retourne dès lors son bleu vers l'avant et aura suivit la cérémonie avec grande attention.

Certes qu'elle ne connait que les deux femmes auprès de qui elle siège, mais n'empêchera qu'elle prend joie a se délecter de toutes ces nouvelles têtes, écoutant avidement le déroulement de l'anoblissement mais néanmoins laissant voguer sa pupille bleuté sur les prestances prenant place en ce lieux.

Une fierté certaine relève du Vassal et de son Suzerain, Kay en note et laisse lueur en ses yeux le démontrer puis vint le baiser. Elle fut plutôt surprise du geste scellant l'anoblissement car en terres Savoyardes, du moins auprès de sa famille, c'est la giffle, claquement au visage, qui est reçu et qui noue le lien entre deux.

Du coin de l'oeil, elle voit un homme et du coup, elle l'entend. De sa voix il viendra fendre le silence respectueux ressenti, Kay se tourne alors vers lui et referme les doigts a ses cuisses, plissant ainsi l'épais brocard de sa robe verdoyante. L'intrigue, voir quelque peu d'outrance, en ses yeux, la jeune diaconesse attendra la suite ...


erreur de frappe majeure. dsl.
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Wilou61
Attendez, Attendez!!!..je proteste énergiquement!!

A ces mots, Wilou failli tomber à la renverse, et sa main se crispa d'avantage dans celle d'Azur ! Comment ! Nkhan, protester ? Contre Val ? Lui qui croyait qu'ils étaient si amis qu'ils en étaient presque frères !
Soudain Wilou prit conscience de sa main et, tout en regardant Azur, desserra son étreinte, espérant ne pas avoir causé de dommages à cette douce main qu'il aimait tant voir se promener sur sa peau.

Il observe alors Val et voit le visage de ce dernier se transformer, lui aussi semble très surpris.

Sans trop s'en rendre compte, Wilou se lève, craignant une empoignade entre les hommes, prêt à intervenir, sans penser qu'il ne serait sans doute pas à la hauteur contre chacun de ces hommes.

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Martymcfly
Ca y était. Il ne manquait plus que la validation du témoin héraldique qui devait à présent dévoiler le contreseing. Le baiser de paix avait scellé le lien unissant lors Marty et Valezy. Mais une chose pour le moins inattendue se présenta.

Un homme, que le Duc de Billy ne semblait pas connaître avait fait son entrée dans la nef. Et lorsqu’il s’exprima clairement, tous les regards se tournèrent vers sa direction. Certains sourcils s’étaient froncés, celui de Marty sûrement en premier. Qui dont osait venir troubler le bon déroulement de la cérémonie. Il devait avoir une bonne raison.


Messire, qui êtes vous donc pour venir interrompre un anoblissement ? Je vous demande de vous présenter, ce sera déjà la moindre des politesses. Que nous vaut l’honneur de votre prise de parole ?

Le regard était planté dans celui du troubleur de cérémonie. Peut-être n’était-ce qu’une boutade après tout…
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Apolonie
L'entrée s'est faite, un sourire à Auvergne, un salut à Sa Grace adorée qui prend rapidement place. Il semblerait que cela se déroule pour Valezy plus rapidement que pour elle, et elle n'y voit pas un mal. Un sursaut de surprise et un azur qui se fait pétillant de joie quand sa rousse suzeraine la rejoint. Elle qui la première avait fait confiance à Apolonie pour administrer un domaine et porter le nom d'une terre de Lignières. Un souvenir fugace de l'anoblissement, entre bousculades, rires, retards et interruption.

Pas de robe pour l'auvergnate aujourd'hui, et l'armagnacaise pourra sans problème remarquer la dague ciselée aux armes d'Orval orner la cuisse droite de sa fidèle vassale. A la main droite, également, la bague d'or aux armes de Varennes, cadeau précieux de son suzerain. Qui comme elle l'avait pressenti profite de la cérémonie et surtout de sa cloture par un baiser pour laisser aller dans son regard cette petite lueur lubrique qu'on lui connait bien.

Valezy s'en sort comme un chef, droit et sur de lui, comme toujours. Elle ne l'aura jamais vu autrement, humble serait le dernier adjectif qu'elle lui octroierait, et c'est tant mieux comme ça, après tout, il le vaut bien, l'ex-sentinelle. A coté de Jo s'installe Kathykathe, rencontrée récemment. Inclinaison polie de la tête et sourire aimable à la jolie diaconesse qui dans à peine une quinzaine de jours célébrera son mariage... Un mariage... Elle n'en revient toujours pas, la brunette, de s'imaginer prêter serment, de se lier à vie avec quelqu'un, même profondément amoureuse d'Alayn, elle n'aurait pas pensé que cela arriverait si vite.

Et encore, s'il n'y avait que ça... Secouer la tête, chasser cette pensée, suffit bien de le savoir grandir en elle pour ne pas en plus en faire sa préoccupation principale. Et grâce en soit rendue à Aristote, le hasard veut qu'on l'aide à ne pas approfondir la question, puisqu'une voix résonne dans la pièce. La natte auburn en balancier alors qu'elle tourne la tête vers l'importun. Sa tête lui dit quelque chose... L'accent est normand... Surement un de ces crétins croisés à Varades, qui les avaient attaqués, blessant femmes et enfants et épargnant les hommes, fiers d'une victoire à 100 contre 15... Et qu'avait-il donc à dire ? Blague ou pas, l'intervention était grossière, même la sentinello-libertado-diplomatico-auvergnate qu'elle était s'en rendait compte. Et d'attendre la chute.

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Fan de Constant Corteis, et aussi un peu de RP Partage.
Nkhan
Nkhan soutint le regard du Duc...son visage était impassible, sûr de lui..
Le Baron écouta les simples paroles du Duc..qui ma foi, semblait résonnait d'une menace sourde..Nkhan se rappela alors les quelques anicroches qu'il avait pu avoir avec les Grands du Royaume..et il pensa à sa Suzeraine, qui, si elle avait été là, l'aurait déjà tué d'un seul regard..

Nkhan n'écouta pas les questions du Duc...son visage se détendit..et il dit simplement...


Je proteste!..où sont..les colombes? Les enfants jetant des fleurs, les monceaux d'or et de tissus précieux?..où sont les tambours, les trompettes, les saltimbanques et les troubadours..où est le faste, où est la fête?..où sont les centaines de gens acclamant ce jour glorieux?...

Nkhan s'avança alors vers le Duc, se pencha en avant en signe de déférence et continua..

Car c'est un jour Glorieux Messire Duc, et je vous remercie de nous le faire partager..cet homme que vous anoblissez aujourd'hui, mériterait de l'être depuis moults temps..c'est un homme de bien..un homme de valeurs et d'honneur, c'est..c'est..c'est un ami..
Nous aurions été en Normandie, je me serais fait un plaisir d'être à votre place, et de lui confier quelques arpents..

Messire Duc, je me présente..Nkhan, Baron de Saint Säen, Seigneur de Mesnil-Mauger par la grasce de Dame Kirah de Breuil..


Parlant à la fois au Duc et à l'assemblée, Nkhan continua..un grand sourire se dessinant derrière sa barbe..

Vous me voyez fort désolé de vous avoir fait quelques frayeurs, ou même causé quelques désagréments..mais je tenais à marquer la cérémonie de nostre ami commun Valezy..
Depuis déjà moults temps, cet homme aurait dû se voir anoblit..j'en ai tellement parlé avec lui..qu'il me fallait rendre cette cérémonie inoubliable..
J'espère..que vous pardonnerez cette facétie, Messire Duc..

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GAN Un parti qui vous défend, qui vous respecte, et qui a des valeurs!
Naluria
Tout le petit monde avait suivi et maintenant il fallait commencer la cérémonie même si de nouvelles personnes arrivaient encore. Marty, comme tout bon suzerain et comme parfait poursuivant l'entama avec sérieux et solennité. Valezy ploya le genou puis tout à coup, comme si une tempête entrait dans la chapelle, un grand fracas se fit entendre. Auvergne se courba légèrement en arrière pour laisser dépasser uniquement sa tête de la nef et s'appercevoir d'un noble arrivait à grands pas. Surement un homme fort mécontent envers la hérauderie... Puis non, il semblait venir vers elle. Elle se redressa et continua d'écouter comme si de rien n'était. Une éloge envers Valezy fut faite avant l'échange de serment en lui même et le moment du baiser vassalique fut. C'était à son tour alors que les présents entre l'octroyant et l'octroyé s'effectué sous l'oeil bienveillant du héraut. Elle prépara quelques notes à côté du contreseing pour elle même et allait ouvrir la bouche quand l'homme qui avait déjà fait tempête l'ouvrit avant elle et contesta. La jeune héraut en resta bouche-bée. C'était pire qu'un mariage... Il protestait énergiquement.... L'énergie elle n'en doutait point à voir comment l'huis de la chapelle avait du souffrir de son entrée. Marty se mit sur la défensive immédiatement, mais sa réaction était un tort. Comme toute cérémonie d'anoblissement, icelle devait être publique et tout à chacun pouvait y venir, intervenir, mais le choix seul restait et appartenait au suzerain. L'homme s'expliqua sur la demande du Duc de Billy. Comme personne ne pouvait s'en douter, l'homme était mécontent, du moins n'était pas satisfait, que l'anoblissement ne revêtez pas l'allure d'un mariage apparement. Colombes, pétales de fleurs, troubadours et autres affaires festives auraient du être icelieu. Auvergne regarda le haut de la nef et ses vitraux puis se demanda comment cela aurait pu être possible.

Pour reprendre le cours de la cérémonie Auvergne toussota.


Reprenons mes amis.

Elle fit une pause puis clotura l'anoblissement de Valezy.

J'entends bien les serments ce jour échangés dont je suis témoin.
Messire Valezy, dorénavant Seigneur de Magnet..
A Moi !

Par ce contreseing et ce blasonnement vous êtes officiellement reconnu seigneur de Magnet. Puissiez vous faire honneur à la Noblesse en général et à vostre suzerain en particulier.

Portez ostensiblement vos couleurs et veillez au Vivre Noblement.

Je vous félicite pour cet octroi et votre entrée dans la noblesse arvenne.


Auvergne pris le contreseing, le déposa sur le pupitre puis fit couler la cire avant de déposer son sceau délicatement.

Citation:
Par la présente, Nous Naluria Marthun Vaast, Héraut du Bourbonnais Auvergne faisons acte de la demande de Martymcfly de Montfort-Balmyr, Duc de Billy et Seigneur de Terves, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur ses terres de Billy Sise au fief nommé Magnet à Messire Valezy.

Apres recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Magnet est bien seigneurie du Duché de Billy.
Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : écartelé : au premier d'azur à la tour d'argent, ouverte et ajourée de sable, au deuxième de gueules à la tête de lion d'or, au troisième de gueules à la couronne de laurier d'or, au quatrième d'azur à la chaîne brisée d'argent posée en bande, soit, après dessin :


Pour compléter le présent dossier, voici une lettre manuscrite de Messire Martymcfly de Montfort-Balmyr, Duc de Billy et Seigneur de Terves, attestant de la volonté d'octroi d'une seigneurie à Messire Valezy :

/SPAN>
Citation:
Nous, Martymcfly de Montfort-Balmyr, Duc de Billy et Seigneur de Terves, souhaitons octroyer la seigneurie de Magnet sise sur nos terres de Billy à messire Valezy.

Depuis de nombreuses années, messire Valezy a soutenu notre famille, dans les bons comme dans les mauvais moments, aussi bien notre personne que feue notre épouse dont il était le parrain. Il servit de façon admirable sous notre premier règne le Duché du Bourbonnais-Auvergne en tant que Commissaire aux Mines et c'est tout naturellement que notre choix se porte sur lui pour lui octroyer une seigneurie.

Fait à Thiers le dis-septième septembre, l'an mil quatre cent cinquante six.





Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux réglements Héraldiques et nous engageons en tant que Héraut du Bourbonnais-Auvergne, à être le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyée.

Fait le XXI jour du Mois de Décembre 1456 sous le règne de notre souverain bien aimé le Roy Lévan le troisième de Normandie.









Auvergne s'approcha de Valezy en souriant et lui donne une copie du contreseing ainsi qu'une clé.[/i]

Voici la clé vous permettant d'accéder à la chambre des nobles du Bourbonnais Auvergne.[/i]

Puis elle lui tendit un nouveau velin.

[color=darkred]Voici le vivre noblement, c'est ce que vous devez respecter afin de ne point être dérogeant et faire acte de procédure héraldique.


Citation:
DE LA NOBLESSE, DE LA VASSALITE ET DE LA DEROGEANCE

Précision vocabulaire :
-Allégeance : serment de fidélité à une province ou à une institution
-Hommage : serment de fidélité à une personne
-Suzerain : seigneur du seigneur


De la hiérarchie vassalique

Les barons et vicomtes doivent l'allégeance à leur province, en échange de leur fief. Ils la prêtent au comte/duc en exercice en tant qu'il est l'incarnation de la province. Ils la renouvellent tous les deux mois, et ne doivent l'allégeance qu'aux comtes/ducs légitimement élus et ayant prêté l'hommage au Roy. Ils sont par là considérés vassaux du comte/duc en exercice.

Les comtes et ducs en exercice doivent l'allégeance à la Couronne, en échange de leur province. Ils la prêtent au Roy, en tant qu'il est l'incarnation de la Couronne. Ils la renouvellent à l'avènement d'un nouveau roy sur le trône. Ils sont par là considérés vassaux du Roy.

Les comtes et ducs en retraite restent vassaux de la Couronne en prenant leur fief de retraite. Ils restent par là vassaux du Roy. Néanmoins, leur fief est administrativement rattaché à la province auquel il appartient, les lois qui y sont appliquées sont les lois ducales/comtales de la province.

Le Roy a ses propres vassaux directs, fieffés à l'intérieur du domaine royal. En cela, les osts normands et champenois actuels dépendent directement du Roy.

Tout noble peut prêter l'hommage à un autre noble qui le reçoit ainsi comme vassal (avec, par exemple, octroi d'une seigneurie -donc non recensée par la Hérauderie-. Ça n'est pas obligatoire, notamment dans le cas d'un noble titré ayant déjà son fief inclus dans celui de son seigneur). Un baron peut ainsi prêter l'hommage à un comte en retraite, qui lui attribue une seigneurie dans son fief. Le baron devient par là vassal du comte en retraite.
Un noble non titré peut être vassal d'un noble titré, l'inverse n'étant pas vrai. Néanmoins, la seigneurie accordée au vassal non titré pourra fort bien être retirée au seigneur et attribuée comme fief de noble titré, selon le bon vouloir du comte/duc en exercice de la province. L'octroi d'une seigneurie à un noble non titré dont on veut se faire un vassal n'est pas un anoblissement au sens où on l'entend. La Hérauderie se réserve le droit de limiter le nombre de ces vassaux non titrés, avec effet rétroactif.

Il est en principe interdit d'être le vassal de plusieurs seigneurs. En pratique, lors d'un conflit ou de la réunion des osts, un noble titré dans différentes provinces devra choisir à quel seigneur va son allégeance, perdant tout droit sur ses fiefs dépendant d'autres seigneurs.

Lors de la transmission d'un titre par héritage au fils d'un noble, celui-ci est astreint à continuer de prêter l'allégeance à qui de droit pour ce fief : fief et allégeance sont indissociables. Si un noble meurt sans descendance, son fief retourne au comté/duché dont il était vassal, et est à nouveau distribuable par anoblissement.

Les pairs de France prêtent un serment d'obéissance au Roy, qui n'est pas incompatible avec leurs liens de vassalité antérieurs.

ATTENTION : "Le vassal de mon vassal n'est pas mon vassal", c'est à dire que le vassal d'un seigneur ne doit pas l'obéissance au suzerain (=seigneur dudit seigneur).


Des devoirs des vassaux

Tout vassal doit fidélité, aide militaire et conseil à son seigneur. Il appartient aux duchés et comtés de légiférer, le cas échéant, sur les modalités de ces devoirs, qui ne sauront être exorbitants.

Interdiction de nuire au seigneur, à sa famille et à ses biens. Les critiques politiques respectueuses ne sont pas considérées comme une volonté de nuire, mais relèvent du devoir de conseil au seigneur.


Des devoirs des seigneurs

Les seigneurs doivent justice et protection à leur vassaux.

Pour leur assurer subsistance, ils octroient un fief à leurs vassaux. Ce fief ne peut être ôté via la procédure normale de destitution (destitution prononcée par le comte ou duc en exercice) qu'après vérification de la conformité des motifs auprès de la Hérauderie Royale. Il ne sera donné aucune suite aux destitutions pour opposition politique.

D'autres relations de vassalité pourront exister sans octroi de fief. Par exemple, à l'intérieur d'un ordre de chevalerie, ou dans le cas de la concession d'un office (municipal, comtal/ducal...).


De la félonie

Une allégeance est prêtée à vie (un baron prête l'allégeance à vie à son duché). Si un seigneur ou un vassal contrevient à ses devoirs, il peut être déclaré félon par la Haute-Cour des Pairs. La Haute-Cour des Pairs sera chargée de juger les procès en félonie et les cas de rupture des serments vassaliques.

Un vassal ne saurait être condamné pour avoir obéi scrupuleusement à son seigneur félon : le seigneur portera seul la responsabilité des consignes données.


De la nécessité de vivre noblement

[HRP : Être anobli est une distinction purement RP, il est donc logique que tout noble fasse un minimum de RP, sinon, cela revient à montrer qu'il se moque bien d'avoir été anobli. Il faut donc à tout le moins qu'il se conforme aux bases du RP noble, défini ci-après.]

Vivre noblement, c'est :
-prêter l'allégeance à qui de droit pour son ou ses fiefs ;
-porter blason en règle ou montrer que l'on cherche à l'acquérir rapidement ;
-ne pas exercer d'activités manuelles [HRP : dans votre RP noble, ne mentionnez pas le métier de votre personnage, qui est souvent incompatible avec votre état de noblesse] ;
-ne pas épouser un(e) conjoint(e) qui ne soit pas noble [dans son RP : les "seigneurs" et "dames" autoproclamés sont donc acceptés]
-ne pas avoir été condamné par une juridiction ducale, comtale ou royale pour les chefs d'accusation suivants : brigandage, sorcellerie, meurtre, et pour escroquerie grave (car le goût du lucre est incompatible avec la noblesse). Ne pas avoir été condamné par la juridiction du duché auquel on doit l'allégeance, pour les chefs d'accusation suivants : trahison et haute-trahison.

Tout noble qui ne vivrait pas noblement pourra se voir réduit, lui et sa descendance, à l'état de roture. Il appartiendra à la Haute-Cour des Pairs, suivant des dispositions déterminées ultérieurement, de trancher les cas de dérogeance.

L'époux(se) d'un noble titré ne prête pas l'allégeance au seigneur pour le fief de son (sa) conjoint(e), attendu que son époux(se) l'a fait pour toute sa maison. Mais il est tout de même astreint à l'obligation de vivre noblement, et sa dérogeance entraînera celle du conjoint (de la conjointe) titré(e).


Acte adopté par la Hérauderie Royale le vingt-septième de février de l'an de Pâques mil quatre cents cinquante trois.

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Wilou61
Le visage de Wilou s'éclaira en entendant les propos de Nkhan. Il était vrai qu'une telle cérémonie devait être mémorable, quoique .... solennelle au moment important, et ensuite mémorable.
Wilou se rassoit donc, l'esprit tranquille et écoute la suite. Dans sa tête traine une question. Val avait-il prévu une suite mémorable ? Y'avait-il quelque part de quoi se rassasier et de quoi étancher sa soif. Lui qui était ancien Maître caviste de l'Ost d'Armagnac, il était étonné que Val ne lui ait point demandé conseil sur les mets à choisir, les boissons à servir afin de créer une harmonie entre le solide et le liquide.
Et puis il connaissait tant de bonnes adresses.

Après la lecture des documents officiel, Wilou se relève encore et crie :


Hourra pour Messire Valezy, Seigneur de Magnet ! Hourra pour son suzerain !


Puis il se retourne vers l'assemblée, un peu gêné... est-ce que cela se faisait de fêter ainsi un noble ?
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Beths
Ce n’était pourtant pas la première fois qu’elle assistait à un anoblissement, mais à chaque fois, la solennité du moment, la profondeur des mots, de l’engagement, la valeur du serment, la cérémonie dans son ensemble la laissait étourdie, impressionnée et tremblante d’émotion
Ce serment, fidélité, aide et service armé et conseil, changeait la vie du vassal. Et ces vœux prononcés dans ce lieu qu’était la Chapelle des Hérauts leur conféraient un sens tout particulier. Et elle connaissait suffisamment Valezy pour savoir que les mots prononcés n’étaient pas vains. Elle connaissait suffisamment Marty pour se douter de la valeur de son vassal.

Dès le début de la cérémonie, elle s’était écartée du Duc de Billy, il était normal de laisser ensemble le suzerain et le futur vassal avec pour premier témoin, le Héraut. Elle s’était donc éloignée et avait suivi avec émoi la cérémonie aux côtés des autres personnes présentes.

Elle avait observée amusée Valezy genou à terre. Hum, autant profiter de la scène, elle n’était pas convaincue de voir souvent le nouveau Seigneur de Magnet dans cette position. Un sourire en coin s’était dessiné sur ses traits, hum, la Dame de Gondole enfonça ses ongles dans ses mains pour s’empêcher de rire. Elle se doutait que si elle se mettait à s’esclaffer, des regards réprobateurs se tourneraient vers elle, mais franchement, Valezy à genou, il y avait de quoi rire.
Les serments furent donc échangés à voix hautes, claires et résonnant en la Chapelle. Et puis le Duc de Billy transmis à son vassal une épée ornée aux armes de la Seigneurerie de Magnet, et la jeune femme se mit à sourire. Oui, Marty connaissait bien les goûts de son vassal, nul autre présent n’aurait pu plaire à cet homme d’armes. Son regard se fit doux en direction de l’homme qu’elle aimait. Mais une lueur dans les yeux de Marty amena interrogation en son esprit. Qu’est-ce donc que ce regard qu’il lançait à son seul homme vassal ? Enfin il lui semblait bien que Valezy était le seul homme vassal de … HEIN !!!!!

Stupeur, étonnement, hébétude, un baiser de paix ? Mais pourquoi diantre pas une accolade ? Hum, bon Marty aimait les baisers de paix, après tout, elle préférait encore que Marty embrassa un homme que … hum … en fait non, quoi que. Mais surtout pourquoi ce baiser durait-il ? Gnnnnnn
Beths sentait une certaine colère l’envahir, elle devait réagir, lorsque soudain une voix de protestation se fit entendre. La jeune femme étonnée se tourna vers l’homme, mais elle constata avec plaisir qu’il avait réussi à faire séparer le suzerain, du vassal. Hum, peut être devrait elle aller parler à cette homme et le féliciter chaleureusement ?

Bien évidemment son intervention ne plu guère, il fallait s’y attendre, le pauvre homme du alors se justifier. Diable, il débitait, il débitait et débitait encore. Hum, il avait la phrase facile apparemment, et le compliment aussi. S’il avait été femme, Beths aurait supposée que le pauvre hère était tombé sous le charme de Valezy, à moins que cela ne fût le cas ?

Toutes à ses réflexions, la thiernoise ne constata que la cérémonie s’achevait qu’après l’intervention d’Auvergne. Voila, chose était faite. Elle hésitait. Hum … elle se rapprocha donc du suzerain et du vassal avec un sourire carnassier.


Messire Valezy, félicitations donc. Vous voici Noble en BA, quelle lourde responsabilité, vous allez le supporter ? Et puisque vous avez maintenant des terres sur le Duchés de Billy, je suppose que j’aurais l’immense plaisir que de vous y croiser de temps à autre. Et comme je dois vous tenir à l’œil car vous souhaitez être arrêté par un membre de la maréchaussée, maréchaussée que vous adorez je le sais …
Bien je vais vous laisser profiter tous deux de cet événement.


La Gondole fit demi tour, et puis se retournant brusquement comme si elle avait oublié quelque chose, observant alternativement Marty et Valezy, un doigt tapotant ses lèvres pour finalement finir sa course à proximité de sa lame.

Oh, et prévenez moi la prochaine fois que vous souhaitez vous embrasser avec tant de plaisir évident, vous sembliez avoir besoin d’aide, sisisisisi même beaucoup d’aide, et vous savez l’un comme l’autre que j’apprécie aider mon prochain surtout dans le besoin et puis je suis sure que si je cherche bien je pourrais trouver une référence dans le Codex, sait on jamais cela peut toujours aider un coup de Codex non ?

Un sourire mielleux, avant cette fois, de tourner réellement des talons, elle fit un clin d’œil à Auvergne / Nalu qui signait les divers documents officiels. Elle en profita pour se rapprocher du Sieur protestateur. Un Baron …

Messire Baron, bien le bonjour. Quelle prestance dans le phrasé, quelle verve, c’est tout bonnement dé-li-cieux ! Surprenant, singulier, mais dé-li-cieux. Bon un poil trop forcé peut être ? Ne pensez vous point, hum ? Je serais curieuse de savoir ce qui vous a ainsi fait réagir … mais rassurez vous je ne vous jetterai point la pierre, bien au contraire, votre intervention fut amusante et arriva à point nommée.
Mais je bavasse, je bavasse, je me présente, Beths, Dame de Gondole, ravie d’avoir fait votre connaissance, peut être au plaisir, j’ai malheureusement à faire dans la Capitale, des dossiers vous comprenez bien.


Beths ne savait jamais si elle devait se targuer d’être prévost royal, ou plutôt s’en cacher afin de laisser quelques surprises à certains de ces interlocuteurs. Hum … à voir.
La cérémonie étant achevée, et ne sachant pas si une quelconque fête était prévue après, la jeune femme préféra se diriger vers la sortie entendant un hourra féliciter le nouveau nobliau .

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Valezy
Se ne fut pas sans un certain soulagement que Valezy accueillit la diatribe de Nkhan. En effet, il s’avéra que ses protestations se portèrent sur le manque de lucre de la cérémonie qui voyait l’anoblissement de son ami. Valezy ne pu alors réprimer un fin sourire amusé, à l’évocation des colombes, des pétales de fleurs et des amuseurs publics. Tout cela relevait, en effet, plus du triomphe ou de l’apothéose que d’autre chose.
Mais, au fond de lui, le Capitaine savait que les paroles du Baron, toutes cavalières et facétieuses, quelles soient, n’avait pour seul but que de manifester sa joie et son approbation envers cet instant particulier. Et, de cela, il ne pouvait que lui en être sincèrement reconnaissant. Il n’en restait pas moins, toutefois, qu’à son tour Valezy devrait à son ami, une très prochaine séance de frayeur intensive…

C’est, alors, qu’Auvergne après un imperceptible toussotement décida de remettre bon ordre à tout ceci, en reprenant le cours normal de la cérémonie. Aussi, appela-t-elle, Valezy pour qu’il vienne se présenter devant sa personne, ce que fit d’ailleurs ce dernier de bonne grâce.
Et c’est ainsi que le Héraut du Bourbonnais-Auvergne officialisa les liens de vassalité, que partageait désormais le nouveau Seigneur de Magnet avec son suzerain, en scellant, sous le regard de tous, le précieux document.
Avant, de remettre entre ses mains, une copie du contreseing sur lequel figuraient les armes de Magnet, mais aussi une clef et l’exemplaire d’un ouvrage traitant du vivre noblement.
L’homme accueillit alors ses présents en un sourire.

Ainsi cette clef me fera découvrir ce qu’il se passe derrière les mystérieuses et solides portes de la chambre des nobles du Bourbonnais-Auvergne ? Alors, soyez assuré que je m’y rendrai très bientôt. Quant à cet ouvrage, nul doute qu’il sera le livre de chevet de mes prochaines nuits.
Je tiens, en outre, à vous remercier grandement pour votre office lors de cette cérémonie, Auvergne.


Puis, se retournant vers son suzerain, il se porta alors à ses côtés.


Je vais me répéter… Mais voila un grand honneur que tu me fais mon ami, mon suzerain.
Sois assuré de ma félicité en cet instant.


Puis, une lueur de malice étincelant au fond de son regard et sur un ton moins audible pour le reste de l'assemblée.

Et puis, quelle fougue dans le baiser, Votre Grace….

Et ce fut justement à cet instant que Beths rejoignit les deux hommes, un sourire mauvais sur ses lèvres et dans son ton, une émotion pouvait se percevoir, mais que Valezy eut le plus grand mal alors à identifier.


Dame Beths, la « sincérité » de vos félicitations me fait, sans nul doute, un grand plaisir.
Et je serai ravi de vous recevoir en mon domaine… Vous et vos collègues bien entendu.

Un sourire en coin se dessina alors sur les lèvres de Val, mais la Dame de Gondole n’en avait pas finit là. Et c’est alors qu’il su quel était ce mystérieux sentiment qui perçait à travers sa voix. La jalousie, bien sur… Et à ce constat, il ne pu retirer de la présente situation qu’un grand amusement, tout en faisant aller son regard malicieux de Marty à Beths… A vrai dire, il n’y avait là rien qui ne pouvait l’étonner, le Duc de Billy avait toujours aimé les femmes au fort caractère et force était d’avouer que la prévôt ne dérogeait en rien à cette définition.

Toutefois, son attention fut alors détournée par un Hourra. Son jeune ami, Willou, n’avait visiblement pas pu retenir son enthousiasme. Il accueillit alors ce geste d’un grand sourire, avant de déclamer.


Mes amis, je vous regracie tous. Gagez que votre présence, en cet instant, me fait chaud au cœur.
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Saltimbanque
La Capitale ... c'était donc ça, un fouillis de petites rues sales, des gens à l'accent inaudible qui ne comprenaient rien à ses questions. Questions pourtant simples : elle cherchait la Chapelle des Hérauts d'armes de France ... Mais elle ne comprenait pas non plus leur accent à couper au couteau. Bien pire que les accents de son Helvétie natale ou de son Sud d'adoption. En fait c'était presque aussi audible et compréhensible que l'espagnol qu'elle avait eu à entendre lors de quelques voyages au Sud.
C'est donc bien en retard que la jeune femme parvint à suivre les indications données par Valezy, et rejoindre la Chapelle.

Rapide regard, Nkhan reçoit les ronds de jambe d'une inconnue, Valezy en noble Compagnie, ce qui ne semble guère étonnant pour l'occasion ... ah ! Et là Wilou et Azurely. Elle louvoya discrètement dans leur direction pour souffler :

C'est juste une impression, où j'arrive longtemps après la bataille ? J'ai loupé quoi ? Un désordre cette ville, j'vous jure ... Enfin vous avez du voir ?!
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Kirah
La chapelle Saint Antoine, elle y passait régulièrement.
Lieu de sérénité, de labeur... calme et quiétude y régnaient...
Alors qu'elle rejoignait son alcove, un cri près d'un groupe de personnes rassemblées auprès de...d'Auvergne... retentit.


Attendez, Attendez!!!..je proteste énergiquement!!

Haussement de sourcils, cette voix ne lui était pas inconnue. En quelque pas, elle s'approcha et découvrit que son vassal de Mesnil-Mauger etait l'auteur de cette sortie... mais de quel droit osait il donc troubler la paix de ce lieu ? Et tout cela pour réclamer fanfreluches et autres fanfaronnades...
Témérité ? imprudence ? abus de boisson ?
Quel était donc ce comportement ?
D'un regard, elle lui indiqua clairement sa désapprobation. Puis faisant demi tour, elle rejoignit son alcove.

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Martymcfly
L'empêcheur de tourner en rond se révéla finalement être un plaisantin. Le visage du Duc se radoucissait doucement au fur et à mesure des paroles énoncées par celui qui se présenta enfin comme un Baron.

Il ne put que sourire au barbu.


Baron Nkhan, c'est en effet un tort de ne pas avoir anobli mon vassal plus tôt. Je connais sa valeur et me réjouis d'avoir enfin pu le faire aujourd'hui. Je ne doute pas une seule minute de sa loyauté et de sa fidélité, envers ma personne encore plus, surtout depuis ce jour.

Quant aux colombes, j'ai bien peur que les Hérauts seraient mécontents de voir leur Chapelle devenir une volière, vous le comprendrez.


Un cordial sourire plus tard, Auvergne reprit la parole pour clore la cérémonie. Le contreseing rituel fut alors présenté aux yeux de tous. C'était maintenant le temps des félicitations et autres tapes sur l'épaule. Point de pétales de roses lancés. Il y avait pourtant eu un baiser, mais ce n'était pas un mariage ! D'ailleurs c'était ce baiser qui avait fait froncer les sourcils de la Dame de Gondole.

Plaisir évident ? Mais... C'est la tradition voyons. Et tu sais bien Chaton.. hm..Beths... que je suis très à cheval sur les traditions.

Malice dans le regard qui se tourne vers le vassal.

Fougueux... N'exagérons rien. Juste un peu appuyé, juste ce qu'il faut pour scellé notre lien vassalique mon cher Valezy. N'aie crainte, ce n'est pas demain que je te ferais signer un affrèrement.

Marty se mit à rire doucement. Il voulut aller saluer les quelques personnes qui étaient venues jusqu'à Paris pour assister à la cérémonie.

Passant dans les rangs, tous s'étaient levés. Deux de ses vassales avaient fait le déplacement. Il espérait que rien n'était arrivé à la Dame de Marcenat.


Clo, Apo, j'espère que la cérémonie vous a plu. Vous n'êtes pas venue avec vos moitiés ?

Tout près d'elles se tenaient la Baronne de Lignières. Un baise main respectueux plus tard.

Baronne c'est un plaisir de vous revoir. Nous nous croisons uniquement lors d'anoblissement on dirait bien. Qui sera donc le prochain ?
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Wilou61
Encore tout occupé à féliciter Valezy, à échanger des banalités avec les personnes de l'assemblée, Wilou n'avait pas vu arriver Salti. Aussi c'est avec grande surprise qu'il entendit sa douce voix lui chatouiller l'oreille. Il se retourne avec grand sourire pour lui répondre

Et bien Salti, oui cette fois nous avons bataillé sans toi. Il faut croire que tu es plus à l'aise dans les campagnes de l'Armagnac que dans le labyrinthe des rues de Paris

Il lui prend la main et y dépose un baiser, espérant que le lieu et la présence de tous ces nobles l'empêchera de lui octroyer quelque taquet pour ce geste

Mais c'est un plaisir de te revoir chère Salti, cela faisait si longtemps, j'oserai presque dire que ta présence me manquait

Sourire méfiant, Salti pouvait être parfois imprévoyante..... mais si charmante
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Saltimbanque
Sourire d'excuse, oui, elle était bien plus à l'aise dans les champs, quels qu'ils soient, que dans ces ruelles sombres et sales.
Elle était sur le point de répondre quand sans crier gare Wilou saisit sa main pour y déposer un baise-main... Azurely ne regardait pas, d'où le geste. Un vieux réflexe profondément ancré fit que la main eut un sursaut visant à s'abattre proprement sur la figure de l'imprudent.
Mais Wilou la tenait fermement, et un regard alentour lui rappela qu'ici elle était censée trouver les manières de charmeur du jeune homme normales. Ne pouvant lui offrir sa réponse habituelle, elle se contenta donc de le fusiller du regard, non sans se départir de son sourire de circonstances.


Hélas oui Wilou ... je suis plus à l'aise dans les terres où je vis. D'ailleurs, comment as-tu fait pour trouver si vite ? Moi, te manquer ? Azur, ne m'en veux pas, promis je ne lui ai rien fait !

Le sourire se fit plus naturel et rieur.
Alors, raconte, je n'ai jamais vu un anoblissement moi ... que s'est-il passé ?
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Wilou61
La main de Salti a comme un mouvement de recul lorsqu'il approche ces lèvres et il la retient pour éviter de prendre un de ces fameux taquets dont Salti l'avait déjà gratifié par le passé.
Lorsqu'il se relève, le sourire de la belle militaire ne le trompe pas. Il vient surement d'échapper à un bon gros taquet en fait. Il se demande juste ce qui retient Salti maintenant qu'il lui lâche la main. La présence d'Azur peut-être ? Quoique cette dernière ne ce soit jamais offusquée de le voir recevoir un taquet derrière le crâne. Enfin, allons savoir ce qui se trame dans le cerveau féminin...

Toujours souriant, il regarde Salti et se demande bien pourquoi il la trouve si attirante. Elle est belle, oui, très belle et très rebelle face à ces propos. C'est sans doute ce qui l'attire chez elle, cette rebellion. Enfin, elle est mariée et lui se demande encore combien de temps il pourra refuser ce geste à Azur. Mais rien n'empêche d'être aimable et de se sentir bien lorsqu'elle est là


Ce que tu a manqué ? oh pas grand chose si on excepte à peu près tout. Le serment entre le suzerain et son vassal scellé par une baiser, que je soupçonne d'avoir été langoureux.
Ensuite le déboulé de Nkhan qui est venu pour protester, ce qui d'ailleurs a jeter un froid, jusqu'à ce qu'il annonce qua sa protestation n'était que le manque de faste de cette cérémonie, je te jure, du faste dans un lieu pareil, serait-ce raisonnable, et enfin cette Dame là, qui n'arrête pas de tourner autour de Val, à croire qu'il y a quelque chose entre eux. Après tout, elle est prévot royal, peut-être est-ce encore un stratagème de notre ancien gouverneur


Non, elle n'avait donc rien manqué d'important

Et donc voici Valezy, seigneur de Magnet. Ca en jette, non ? Lui qui l'avait déjà un peu, je crois que ça va finir de lui donner la grosse tête !

Et wilou de partir dans un éclat de rire en tapant sur l'épaule de Salti.... hmm... musclée la petite
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