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[RP] Ecole Spinoziste.

Clement_bourreau
clement en prosternation devant l'altesse commençait à avoir bien mal au dos....

puis vinrent d'autre personne dont la duchesse fitzounette en personne!

c'est bien la première fois qu'il la voyait d'aussi bas! si bien qu'il put entre apercevoir comme une étrange paire de botte compensée sous les jupons de la petite peste....

face à tout ce qui ce disait, et n'en comprenant que la moitié, il ce redressa et dit d'une voix troublé à sa duchesse :


heu votre grâce....non n'y entrez pas voyons! mais enfin, mais sa, c'est un truc de pas bon aristotélicien!
sont pas comme nous ses gens là! et puis s'il fait froid.....autant faire un buchés....ceux que j'étais entrain de faire tout en priant quand je fut rejoins par m'dame l'altesse...


par une explication aussi confuse que brouillonne clement tentait ainsi d'avoir l'appui de la duchesse....pour lui le duchés ne serait tolérer une tel hérésie!
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Armoria
Le bourrel s'était de nouveau baissé... Plus confortable pour sa nuque, mais ils allaient finir par se faire remarquer.

Allons, je vous en prie, mon brave, relevez-vous, et gardons l'étiquette pour les lambris dorés.

Elle regarda le bâtiment désigné, non sans froncer le nez avant de s'adresser de nouveau au bourrel.

Le concordat royal comporte une certaine tolérance au sein du Domaine Royal, et laisse les Feudataires juger de ce qui est bon pour eux et pour leur peuple, vous savez.

Elle continua en regardant Finam. S'était-il présenté, au fait ?

... En revanche, toute forme de prosélytisme est assez mal vue, il est vrai.

Un homme vint se mêler à leur trio : les groupes palabrant sont ainsi faits, et la nature humaine si curieuse, que c'était une conséquence somme toute logique. Bah, à défaut de chaleur des flammes, ils auraient de la chaleur humaine : c'était que cette année, la douceur angevine faisait un peu défaut. Mais cet homme-là, elle le connaissait.

Tiens donc : quelqu'un que je nommais messire Bourgmestre, naguère. Je ne pensais point vous trouver icelieu, si loin de Fougères, dites-moi. Ce qui me fait penser que votre mignonne pestouille m'a écrit une fort gentille lettre, il y a quelques temps.

Ah... A propos de pestouille, la Duchesse les rejoignait... Les groupes palabrant sont ainsi faits, et la nat... Ah non, déjà dit, au temps pour moi, ahem. La Duchesse, donc, et qui se demandait la raison de ce début d'attroupement. Si, un attroupement, c'est à partir de deux, sachant que les groupes palabrant sont ainsi faits que... Enfin vous voyez, quoi.

Le bonjour, Duchesse. Ce que nous faisons ? Eh bien, le bourrel et moi nous réchauffons à la bienfaisante chaleur de notre foi, tout simplement.

Le spinoziste leur indiqua pour abri son lieu de perdit... de prosélytisme. Elle déclina l'invitation d'un petit geste de la main.

Sans façon quant à moi, grand merci. La foi n'a nul besoin de murs, et bien qu'appréciant nos lieux saints, je ne dédaigne jamais prier sous les cieux : ainsi, mes prières peuvent-elles s'envoler plus aisément, sous les nues. Les prières faites au-dehors m'ont toujours semblé plus légères.
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[Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique]
Fitzounette
La Duchesse se pinça. Ouille… Décidément, la situation lui échappait totalement.
Et elle détestait afficher sa blondeur et le vide qui occupait l'espace entre ses deux hémisphères.

Le premier à s'exprimer fut Barbichou. Une salle où il fait chaud pour deviser. Fort bien ! Alors pourquoi restaient-ils là dans le vent glacé ? Manquerait plus que la Princesse attrape une ang(ev)ine de poitrine, et qui c'est qu'on accuserait de l'avoir tuée ? Les félons Angevins pardi ! Elle acquiesça donc à la proposition de Gennes.

Le bourreau de sa grosse voix lui parla alors de bons Aristotéliciens, et de buchés. Elle aperçut le tas de bois que l'on s'apprêtait à sacrifier.
"Misère" se dit-elle, "ne peuvent ils pas patienter un peu, et attendre que Thouars soit enfin Angevine, avant de gaspiller ainsi nostre précieux bois. A moins que l'hérésie soit avérée...".
Elle regarda à gauche, à droite, pas trace de sorcière, de fol, ou quelconque adorateur du grand cornu. Hum...

Et voici que la Princesse lui indiqua sa passion pour la prière en plein air... Mais quelle mouche les avait tous piqués ? Pourquoi donc avait on construit ces beaux édifices à la gloire du Très-Haut que l’on appelait cathédrale, si c’était pour prier dehors comme des miséreux ?

Soupir dubitatif, elle se massa les tempes. Et heureusement pour elle, arrivant après les discours théologiques, elle n’avait pas entendu de mots de plus de trois syllabes tels que « prosélytisme » ou « polythéiste ».

Cependant l’enfant est une buse, et dans son crâne de piaf, un avertissement rouge clignotait « Danger ! ». Cet attroupement sentait le piège à plein nez.
Courage, fuyons !


Elle prit donc son air intelligent, opinant du chef à plusieurs reprises, l’air impliqué, avant de s’exclamer :

Je suis en retard ! Corne de Bouc, je suis vraiment très en retard !
Pardonnez-moi, mais je dois vous laisser. Amusez vous bien, et pas de bêtises surtout !


Regard entendu à Barbichou, qui elle en était certaine, devait être un des maillons de cette énigme. Parce que pour que le vieux briscard se pèle ainsi les miches dans le froid mordant, c’est qu’il avait forcément quelque chose à y gagner…

Et Abracadabra, la Duchesse disparut comme elle était apparue !

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Finam
Finam regarda partir la petite, une bouille amusée. Il ne l'avait alors vu, depuis son retour en Anjou, que juchée sur son trône, s'attardant sur la hauteur de cette chaire, pour expliquer l'élongation signifiante du corps de la Reynette. Là, la situation était toute autre, la petite avait véritablement grandit. Il se re-concentra néanmoins sur la parisienne.

Le concordat royal comporte une certaine tolérance, mais l'Église elle, ne se gêne pas pour imposer sa vision. Un concordat d'une Province même ne se fait plus selon les envies des deux parties, le Duché et le représentant de Dieu -pour les aristotéliciens-, puisqu'on ne peut signer autre texte que celui qui nous est présenté, alors que l'on place la liberté des cultes en avant, et tout de même des privilèges pour l'Église, que les deux autres religions n'ont pas. Nous en savons quelque chose en Anjou, j'étais des tractations à l'époque. L'évêque d'alors, et toujours en place, bien avide d'obtenir des droits outranciers, s'en est mordu les doigts, j'suppose. Rien ne fut signé. Et actuellement nous pouvons faire le même constat en Tholose, où le conseil comtal est lui aussi confronté aux foudres des curetons, parce qu'il désire établir une tolérance religieuse.
En Anjou nous avons toujours été libertaires, vous en savez quelque chose, nous n'avions pas hésité à prendre les armes face à la France entière. Têtus nous sommes.

La liberté de l’âme, dictée par l'Aristotélisme, est un mot pour moi vide de sens, permettant d'exprimer une espérance creuse et impuissante : celle de se croire responsable du péché et voué au salut par la soumission volontaire à un Dieu totalement irrationnel.
Notre seule réelle liberté, pour nous spinozistes, c’est la libre nécessité désirante des appétits du corps et des désirs de l’âme qui les expriment. Choisir sa voie, on peut l'incorporer dans les désirs de l'âme. En ce sens les valeurs angevines rejoignent un petit bout du spinozisme, au moins.
Il n'y a pas de tolérance, il y a actuellement une volonté de soumettre pour dicter, en l'Église actuelle. Que ces temps néfastes changent, nous l'espérons. Il est dommage d'être aussi radical, parce qu'on a des conceptions religieuses différentes, alors que l'on est tous proches de Dieu.
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Clement_bourreau
clement fut content de voir que l'altesse ce rangeait quelques peu de son coté! mais voir sa grâce la duchesse tourner les talons! il en fut meurtrie!

puis v'la l'autre hérétique de spinomachin truc qui r'prend la parole!

il en dit des trucs! mais bon comme tout gueux clement il ben il sait juste qu'il faut être aristo! l'reste sa l'dépasse....

fièrement debout d'vant l'autre pas aristotélicien clement a du mal à comprend tout ce qui est dit, c'est bien les nobles sa tient! pas capable d'parler au peuple!


euh......moi j'suis clement_bourreau! exécuteur des hautes œuvres d'Anjou! et vous qui êtes vous? et le spino machin truc c'est quoi d'abord?

clement curieux et pas content à la fois tentait ainsi de garder constance face à l'individu envers qui il gardait grande méfiance...
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Finam
Le Vicomte hausse un sourcil à la question du bourreau.
Les grandes lignes décrivant le Spinozisme sont affichées sur le mur d'entrée. Mais puisque vous aimez à prier à côté de votre bûché, je vais vous l'expliquer en deux mots.
C'est l'une des trois religions, l'Aristotélisme, l'Averroisme et le Spinozisme, reconnues comme telles et non rejetées.
L'Averroisme et le Spinozisme sont deux religions -très- minoritaires, ses "croyants" ayant le même Dieu que les fidèles aristotéliciens, mais ayant une conception différente de vos préceptes et donc de ce que vous appelez communément la "Foy".
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Pere_severe
Pere_severe, se promenant, aperçu un bâtiment qu'il ne connaissait pas.
Il est vrai qu'il était là depuis peu, et sa curiosité faisait qu'il entra.


    Bien le bonsoir.
    Je me présente, je suis Pere_severe.
    Je passais par là, et j'ai eu envi, par curiosité, d'entrer, ne connaissant pas ce lieu.
    Pouvez vous me dire ce qu'il est je vous prie ?
Finam
L'admor sourit au nouvel arrivant, affable. Il désigna par la même, non sans le saluer, les deux larges feuilles accolées à l'entrée, d'un geste de la main.

-"Le bon accueil est le meilleur plat."
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Pere_severe
Pere_severe, après avoir lu les deux bouts de papier, éclata de rire.

    Ha, c'est donc bien un endroit à mascarade.
    Allez, pour rigoler, si vous le voulez bien, je vais rester un peu.

    Vous voulez bien ?

    Heu, sans méchanceté, vous êtes habillé en quoi ?
    Car là, sans méchanceté toujours, vous ressemblez à un fou du Roy.
    Cela doit être un honneur pour vous Messire !


Avec un large sourire, Pere_severe prit un siège et s'installa.

    Ben tiens, puisque vous êtes là, Messire heuuuu, d'ailleurs je ne connais pas votre nom, pouvez vous me servir quelque chose ?
    Car ici, il règne une odeur bizarre.

    D'ailleurs, si je puis me permettre, vous devriez faire un peu de ménage, ce n'est pas très sains, tout traine partout, et la poussière et les moisissures y prennent place.

    Souhaitez vous prendre quelques cours de nettoyage Messire ?
    Non, allez, ne perdez pas de temps, servez moi plutôt quelque chose, si vous savez le faire...
Finam
Finam reste béa devant tant d'allant. L'homme qu'il oriente tantôt avec entrain vers les affichettes au devant de l'Ecole s'adresse désormais à lui d'un ton résolument belliqueux, âpre. L'angevin demeure pantois face aux paroles prononcées, amorphe, atone, tout ça. Tant de bêtise, d'infantilisme: les souvenirs ressurgissent, se bousculent, les pensées fourmillent et fredonnent intrinsèquement, une comptine de son enfance:

"Père Sévère, raconte nous une histoire
Même deux histoires
Père Sévère, mets tes lunettes et lis nous tout !

Père Sévère, raconte nous une histoire
Père Sévère, raconte nous deux histoires
Père Sévère, Père Sévère, mets tes lunettes et lis nous tout

Lis nous, dis
Oui l'histoire encore, pour les petits
Grands et moyens "sévères"
Nous, Caline, Grignotte et Benjamin
On t'écoutera bien


Père Sévère, mets tes lunettes et lis nous tout, tout
Que sont devenus les diplodocus ?
Peut on avoir un dragon chez soi ?
Quand reviendra Gracieuse, la mouette
Le loup et Marlaguette ?
Quand reviendra Gracieuse, la mouette
Le loup et Marlaguette ?

Père Sévère, raconte nous une histoire
Tais toi on entend tout

Tu nous racontes la souris qui se marie
Père Sévère, raconte nous une histoire"[*]


Il se reprend, les yeux toujours intrigués par le faquin. Les mots viennent, calmement, apaisés par cette petite chanson...


Mon ami, il ne s'agit nullement là d'un tripot ou autre taverne, nous ne servons nullement de boisson, elles troublent la pensée plus que de raison.
Par contre, nous notons avec une certaine interrogation, que notre école suscite chez certains un sentiment de malaise, de défiance au point de déblatérer des phrases fades, plates comme ce sol, qui n'ont ni queue ni tête, et ce en un but insoupçonné. Le cynisme, il faut savoir le manier, avant d'en faire usage. Si vous n'avez d'autre chose à faire, je vous conseille d'aller... balayer au devant d'votre paillasse. L'action apaise généralement l'esprit.


[[*]=Titre Original : Père Castor (les histoires du)
Interprète : Florence Caillon
1ère diffusion française : 1993
Auteur(s) du dessin animé : J. Cubaud & P. Moreaux
]
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Clement_bourreau
vue que personne ne semblait trouver la présence, d'une telle infamie, problématique!

clement commença à ce demander pourquoi il ce fatiguait à s'opposer aux hérétique puisque ces derniers semblaient être toléré!

bref il ne ce sentait pas à sa place! des lors il préféra quitter les lieu sans demander son reste!

et n'ajouta qu'une chose en haussant les épaules


3 religions? moi j'en connais qu'une et c'est déjà pas mal! l'reste? ben pour moi c'est du pas bon aristotélicien et pis c'est tout! au revoir! et tant pis pour votre âme à vous!
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Pere_severe
Pere_severe, toujours calmement assit, après avoir regardé tout autour de lui :

    Ha vous savez, il n'y a pas plusieurs religions.
    Une seule existe, aux yeux de tous, et pour le bien de tous.

    Vous appelez cela une école, mais avez vous quelques connaissances à enseigner ?

    Il me semble Messire, et je vous prierais de ne point encore me considérer comme votre ami car nous ne connaissons point, que vous perdez la raison.

    Je pense, comme je vous l'ai déjà dit, que quelques tâches ménagères pourraient vous occuper l'esprit, et votre raison reviendrait certainement.
    Le balayage de l'Eglise comme vous le mentionnez, ou bien de défroissage de quelques tenues de cérémonie, que préférez vous Messire ?

    Ha oui, vous pourriez aussi me faire la cuisine, et éventuellement la lecture du livre des vertus...

    Hummm, vous avez besoin d'aide Messire, ne rejettez pas la main que le Très Haut vous tend à travers moi !
Vadikura
La rumeur du retour de Finam en Anjou parvint aux oreilles du Duc. C'est donc d'un pas décidé qu'il entra dans la pièce et saisit les derniers mots du cureton

Arf...Joli mot le curé, la pensée unique, l'intolérance, l'extrémisme des idées, nous avons encore droit a un digne représentant de l'église.

Sourire de dégout face a un homme qui devait prôner l'amour du prochain et être source d'écoute.

Nous n'avons pas été présenté a ce qu'il me semble, vous arrivez en Anjou et ne présentez aucun hommage au nobles de votre paroisse, vous sentez vous au dessus des règles?
Ce n'est pas vos offices qui vous prennent temps, la messe du mercredi n'ayant pas eu lieu et...

Enfin, passez donc en mon château, on vous nourrira si cuisine vous ne savez point faire, mes chiens sont pour le partage et ne mordrons pas si on leur ôte os à ronger!


Se détournant d'un curé qui pensez avoir piquant mais qui ne montrait que le négatif de sa religion, il mit grande tape sur le vicomte

Te voila de retour, T'ouvres une école, tu fais dans le social maintenant et ton premier élève, c'est lui?

Signe de tête pour indiquer le cureton
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Duc de Charney
Ficus 1er, Penthiévres parce qu'il en faut bien!
Finam
La volonté de déposséder les êtres de leur liberté de penser n'est rien d' autre qu'une violence extrême exercée à leur encontre.

Le libre jugement des hommes est extrêmement divers, que chacun pense être seul à tout savoir et qu'il est impossible que tous opinent pareillement et parlent d'une seule bouche, ils ne pourraient vivre en paix si l'individu, comme vous et moi, n'avait renoncé à son droit d'agir suivant le seul décret de sa pensée.
Il peut avec une entière liberté opiner et juger -et en conséquence aussi- parler, pourvu qu'il n'aille pas au-delà de la simple parole ou de l'enseignement, et qu'il défende son opinion par la Raison seule.
Non par la ruse, la colère ou la haine, ni dans l'intention de changer quoi que ce soit de l'autorité de son propre décret.

"Appelle cela comme tu veux, appelle-la bonheur ! Cœur ! Amour ! Dieu ! Je n'ai pas de mot pour cela ! Le sentiment est tout ; le nom n'est que bruit et fumée…" mon ami. La liberté nécessite une sincère réflexion chez vous.
Pour l'heure, votre comportement agressif ne mérité qu'un désintérêt, qu'un profond mépris.
Vous êtes la gangrène de l'Église, ce petit microbe, ce mal pernicieux qui la ruine.
Vous êtes en Anjou ici, n'espérez pas vous imposer sans le concours des angevins, nous ne sommes pas de simples brebis égarées. Une buse est un rapace fantastique, quoi qu'on en dise. Parce qu'il fait fi de certaines lubies.
En d'autres temps, une pareille avanie vous aurait contraint à dépérir en d'atroces souffrances, heureusement pour vos chères petites bourses, je me suis assagit.
A savoir si tous sont dans mon cas, c'est une autre paire de manches.

Il sourit sournoisement, et se détourna de l'homme définitivement, le geste succédant à la parole: mépris total.
Son regard se posa sur le Charnée non sans un pincement de joie.


-Te voila de retour, T'ouvres une école, tu fais dans le social maintenant et ton premier élève, c'est lui?
-Un élève, ce type? Non, la hargne trop poussée dans ses délires "mono-penseurs" aristotéliciens. Comme d'autres. Quant à l'école...
Il la regarde pensivement.
Je verrais bien si "social" il y aura. C'pas une chose aisée ici, tu le sais. Une religion.. A part le "dégoupillage" des caboches poitevines, on en tire guère d'importance, des religions. L'antipoitevinisme est la plus prépondérante, la seule et l'unique. Je verrais bien...
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Acedia
Acedia faisait le tour de son nouveau chez soi.
Elle tentait de s'y retrouver, c'est que tout semblait bien grand à ses yeux, à la fois dans cette ville de Craon ou le destin l'avait mené, comme icelieu.
Elle prit la pose afin d'écouter le discours des uns et des autres d'une oreille qu'elle aurait voulu plus attentive, mais sa jeunesse ne le lui permettait pas encore.
Y suffisait d'un oiseau aux couleurs attrayantes, aperçut à travers une vitre ou d'un chat coursant un raton et son attention se faisait moins présente.
"Entres parole, entres dans cette oreille et sors bien vite par l'autre !"
Et ces gens, d'un genre différent d'elle, sauvageonne et va-nu-pieds, se dit qu'elle pourrait bien vite se laisser impressionner par ces coiffes, ces encagoulés, et autres personnalités.


Finam a écrit:
Le Spinozisme est une religion très ancienne, trouvant ses racines en Egypte.

Offrez vous à vos adeptes la croix de vie?
J'en suis fan!


Finam a écrit:
Notre seule réelle liberté, pour nous spinozistes, c’est la libre nécessité désirante des appétits du corps et des désirs de l’âme qui les expriment. Choisir sa voie, on peut l'incorporer dans les désirs de l'âme.

Cette pensée me plait.
Mais alors dites-moi, car je suis toute jeunette en c'royaume et idem du côté d'mes jeunes printemps puis vos us et coutumes ou pratiques religieuses, je ne les connais pas, ni cet Aristote dont j'entends les fervents louer son nom !
Quant au spinotruc, j'en comprends pas tout le sens, seuls les désirs de l'âme m'interpellent, pour le corps je ne me pose pas encore la question, même si j'ai quelques idées de la chose, en bref la liberté tout court est mon essence.
Alors ai-je le droit d'être tout ce que je désire, ou dois-je craindre d'être lapidée en place publique si je suis à contre-courant ?
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