Finitou
Une jeune femme était arrivée, très bien vêtue. Corenthine l'avait déjà entraperçu, il lui semblait que c'était la fille d'une haute personne du Limousin.
Elle avait lâché le mot....le mot sinistre et terrifant.
La maladie du malheur s'abattait sur Bourganeuf.
Telle une traînée de poudre, elle allait prendre des âmes, sans distinctions d'âges.
Corenthine se dit que les faubourg allaient surement être plus durement touché que les domaines privés. Que les pauvres partiraient plus vite vers Aristote.
Combien d'entre eux...combien d'entre nous partiront?
La faucheuse commençait son macabre travail en enlevant déjà la vie de cette pauvre vieille femme.
Un homme derrière répéta aussi à voix basse.
La chef barbière regarda les pustules noirâtres...Elle avait déjà vu ça dans des livres. La peste noire il appelait ça.
Elle regarda les personnes autour d'elle incrédule.
Cette saleté pouvait tuer en quelques jours et elle se propagerait comme toujours.
Corenthine voyait le tableau des rues jonchées de cadavres et d'agonissants.
La perte des êtres qu'elle aimaient.
L'image lui fit trop mal et elle la chassa de son esprit.
Aki...la peste...c'est la peste...dis moi que c'est pas ça???
Elle voulait entendre un mensonge pour se rassurer. Puis son regard vint se poser sur la mère ragondin. Un rictus de douleur déformait son visage.
Le limousin était maudit!
Breccan, Ciara....Par Aristote!
Elle laissa échapper quelques mots.
Corenthine était là, sur le marché à côté d'une pestiférée...Et si déjà....
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Elle avait lâché le mot....le mot sinistre et terrifant.
La maladie du malheur s'abattait sur Bourganeuf.
Telle une traînée de poudre, elle allait prendre des âmes, sans distinctions d'âges.
Corenthine se dit que les faubourg allaient surement être plus durement touché que les domaines privés. Que les pauvres partiraient plus vite vers Aristote.
Combien d'entre eux...combien d'entre nous partiront?
La faucheuse commençait son macabre travail en enlevant déjà la vie de cette pauvre vieille femme.
Un homme derrière répéta aussi à voix basse.
La chef barbière regarda les pustules noirâtres...Elle avait déjà vu ça dans des livres. La peste noire il appelait ça.
Elle regarda les personnes autour d'elle incrédule.
Cette saleté pouvait tuer en quelques jours et elle se propagerait comme toujours.
Corenthine voyait le tableau des rues jonchées de cadavres et d'agonissants.
La perte des êtres qu'elle aimaient.
L'image lui fit trop mal et elle la chassa de son esprit.
Aki...la peste...c'est la peste...dis moi que c'est pas ça???
Elle voulait entendre un mensonge pour se rassurer. Puis son regard vint se poser sur la mère ragondin. Un rictus de douleur déformait son visage.
Le limousin était maudit!
Breccan, Ciara....Par Aristote!
Elle laissa échapper quelques mots.
Corenthine était là, sur le marché à côté d'une pestiférée...Et si déjà....
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