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[RP] Chapelle Saint Gabriel

Bardieu
Cahors avait une magnifique cathédrale, la cathédrale Sainte et Tienne, mais l'évêque de la ville finit par comprendre que le développement de la foi entrainait des besoins nouveaux.

En particulier, la ville avait besoin d'un lieu calme, petit, pour des cérémonies plus intime, loin du faste de la cathédrale de Cahors. En bon moine, Mgr Bardieu fit construire une chapelle sur un côté de la ville.




La chapelle est pauvrement décoré l'intérieur, mais ce n'est pas par esprit de radinerie, mais par humilité. Les vitraux étaient de qualité supérieur, mais les murs étaient vides, sans décoration.



Les cérémonies avaient lieu régulièrement.

Liste des cérémonies faites en la chapelle Saint Gabriel :
_________________
Bardieu
Les fidèles, attirés par la curiosité de l'endroit commencèrent à arriver pour célébrer le nouveau bâtiment de la ville dédié à la foi.

Il virent l'évêque qui était debout devant l'église et la nouvelle diaconesse de Cahors, la soeur Typhanie, dite Titca.

Les deux religieux saluèrent chacun des paroissiens venues assister à ce grand événement. Un autre religieux était déjà dans la chapelle et se tenait dans un endroit bien en vue. La couleur pourpre marquait pour beaucoup un rang élevé.




Une fois les fidèles entrés, Bardieu commença un long discours.

Mes chers enfants, bienvenue dans la nouvelle chapelle de Cahors. Ce nouvel édifice va permettre à chacun, pauvre, mendiants, commerçants, ouvriers, nobles ou voyageurs, de prier, tout simplement, dans un endroit accueillant et propice à la spiritualité. Nous allons aujourd'hui bénir cet édifice et le dédier à un archange de notre choix : l'archange Saint Gabriel.

Je vais commencer par lire son hagiographie, puis je bénirai avec les 5 éléments aristotéliciens cette chapelle et enfin, nous prierons tous ensemble.

Écoutez les paroles de Dieu adressé à Gabriel :


Citation:
« Homme, je souffle chaque jour ma parole dans le creux de ton oreille
et la profondeur de ton coeur
mais toi, pêcheur et profiteur,
tu changes les Ecritures,
et pervertis mes dires en me faisant parler à travers toi.
Nombreux sont ceux à qui j’ai transmis ma parole,
Mais tous ont souhaité la détourner,
Ne serait-ce que pour attirer sur eux la gloire,
Ne serait-ce que pour justifier une de leurs propres paroles.
Mais viendra le jour où je confierai à Un ma parole de sagesse
et à Un autre mes commandements.
Car je t’aime, Homme,
Et tant que tu voudras entendre ce que j’ai à révéler,
Je parlerai,
Et lorsque sciemment tu te fermeras totalement à mes dires,
Je t’enverrai brûler dans les flammes de l’enfer au plus profond de la Lune.
Car seule la souffrance pourra te faire voir que chaque jour j’œuvre pour ton bien.
En te faisant souffrir je te ferai comprendre que sans moi rien n’est et rien ne peut être.
Si je t’obligeais à me suivre tu ne comprendrais pas en quoi il est bon de me suivre.
Tu mets du temps à comprendre, Homme, Et pourtant je t’aime.
Ne cherche pas, Le bonheur est là, Dans la simplicité de ton cœur.
Va Gabriel, Transmets Mon message à ceux que tu jugeras dignes d'être sauvés.
Car Gabriel, Je te le dis, d'ici peu cette ère de décadence prendra fin.
Et seuls les justes seront sauvés. »


Après quelques instants d'hésitation, Bardieu entama un discours sur l'archange.

Comme vous le savez, mes fidèles, un archange était un simple homme qui, au nombre de 7, parcoururent Oanylone pour essayer de sauver la ville et le maximum de personne, des griffes de la créature sans nom. Tout le monde fut frapper par sa plus belle vertu : la tempérance.
Il périt pendant la destruction de la ville par Dieu, mais un arc en ciel l'amena directement au paradis solaire.

Une bien belle histoire mes enfants, quand on voit ce qui est arrivé à Cahors il y a deux nuits, il y a de quoi se poser des questions. En effet, cet infâme messire Massaï a pillé notre mairie et notre marché. Il est aujourd'hui en fuite.

Je souhaite bonne chance à messire Kolobok, que j'ai soutenu en accompagnant les révoltés jusqu'à la mairie pour la reprendre la nuit dernière. Je lui souhaite les mêmes vertus qu'à Gabriel.

Je vais maintenant laisser la parole à notre guest star : son éminence Clodeweck qui est parmi nous pour nous apporter sa bénédiction paternelle.


Bardieu s'éloigna de l'autel et commença à préparer l'encensoir.
_________________
Clodeweck
Le cardinal de Montfort s'approche de la lice, pose les deux mains sur celle-ci et s'adresse aux fidéles.

Merci Monseigneur Bardieu.

Mes frères, mes sœurs,

Je vais vous parler d’humilité…
J’entends déjà certains répondre, pour qui se prend-t-il, comment ose-t-il donner des leçons ?
Je vais donc répondre tout de suite cela leur évitera de tâcher le sol d’un excès de salive, je me prends pour un représentant de l’Eglise en cette année 1457 et prêcher la vertu est mon devoir.
De plus, nous ne sommes pas là pour parler de moi.

Je disais donc que je voulais vous parler d’humilité, car le mot ne semble pas être à la mode.
Que des gens courent après le pouvoir ce n’est pas nouveau et j’aurai presque à penser que cela est humain.
Mais…Je préfère penser que les gens sont de bonne foi et qu’ils font, dans leur majorité, tout pour aider leur prochain.
Alors pourquoi, pourquoi voit-on des équipes municipales crier victoire en écrasant sous les quolibets leurs adversaires ?
Alors pourquoi voit-on des élus cracher sur d’autres parce qu’ils ont recueilli quelques voix de plus ?
Je viens de parler d’élus, alors je précise pour ceux qui n’ont toujours pas compris que la politique est la vie de la cité…
Oui mais frères et sœurs, quelque soit le nombre de voix obtenues par un élu, être incapable de modestie est un manque de respect vis-à-vis des autres candidats bien sûr mais vis-à-vis de tous ceux du peuple qui ont voté pour les vaincus.
Vae Victis ne doit pas être un cri de victoire électorale.
Alors à tous, je dis, restez modestes, dans la victoire comme dans la défaite, et vous serez grands en vertu.

A l’heure où l’on entend des bruits de bottes, à cette heure où les armées se massent aux frontières.
Au moment où chaque peuple s’écrit que c’est l’autre le fautif !
A l’heure où chaque camp dira que l’église prend le parti de l’adversaire, comme d’habitude,
Qui peut me dire le quel des deux camps a été vers l’autre en cherchant à savoir pourquoi ?
Qui peut me dire lesquels des gouvernants ont fait œuvre de paix avant de fermer les frontières et de masser les armées ?
OUI, je sais, c’est la faute de ceux d’en face, on me l’a dit et répéter ! Ceux d’en face me diront la même chose demain.
Lequel des dirigeants a été assez humble pour vouloir la paix, pour se souvenir que le premier devoir d’un souverain et le bonheur de son peuple, que le but de toute action doit être le BIEN ?


A l’inverse de l’humilité il y a la vanité :
Vanitas vanitatum….
Vanitas vanitatum, et omnia vanitas disait un vieux livre. Vanité des vanités, tout est vanité ! Quel profit l'homme retire-t-il de toute la peine qu'il se donne sous le soleil ?
Quel orgueil tire t il d’une gloire éphémère et temporelle ?
Vanité
Tel qui comme chef d’armée a tué deux hommes et trois alouettes, dont deux étaient cardiaques, se prend pour Alexandre le grand.
Tel qui comme élu par un peuple endormi, n’aura semé que désordre et malheur se prendra pour un grand souverain, pour la lumière du monde, pour Dieu, parfois.
Tel Duc ou comte ou souverain qui n’aura que guerroyé sans jamais apporté le bien à son peuple, se croira une icône
Tel élu ayant eu trois voix de plus que son voisin se prendra pour l’élu du monde, pour un messie !
Tout cela est vain car inutile
Une génération s'en va, une génération arrive, St Admin regarde partir les uns et arriver les autres. Les arrivants ayant méconnaissance ou oubli de ceux qui les précédaient et la terre subsistent toujours. Le soleil se lève, le soleil se couche ; il se hâte de retourner à sa place, et de nouveau il se lèvera. Le vent part vers le midi, il tourne vers le nord ; il tourne et il tourne, et il recommence à tournoyer.
Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est pas remplie, dans le sens où vont les fleuves, les fleuves continuent de couler. Tout discours est fatigant, on ne peut jamais tout dire. L'œil n'a jamais fini de voir, ni l'oreille d'entendre. L’esprit de vouloir, le cœur d’aimer.

Ce qui a existé, c'est cela qui existera ; ce qui s'est fait, c'est cela qui se fera ; «Nihil novi sub sole »il n'y a rien de nouveau sous le soleil. Y a-t-il une seule chose dont on dise : « Voilà enfin du nouveau ! » - Non, cela existait déjà dans les siècles passés. Seulement, il ne reste pas de souvenir d'autrefois ; de même, les événements futurs ne laisseront pas de souvenir après eux.

Alors Pourquoi ? Si la guerre, si la richesse, si le lucre, si les honneurs sont inutiles et vains !
Pourquoi s’adonner au mal quand le bien au moins est agréable ?

Je ne citerais qu’une phrase, non pas de Ste Boulasse, mais dite en parlant d’elle :
• Vraiment une telle félicité ne peut être que divine ! Pardonne nous Boulasse pour notre aveuglement ! (Childehald devant le corps supplicié de la Sainte)
Oui la réponse est là même devant la Ste patronne des vignerons et des taverniers que devant tout homme digne de ce nom.
Le bonheur et la voie à suivre ne se trouvent que dans le bien car il est bien, vu que rien d’autre ne sert mais que nous serons jugés sur nos bienfaits.
“Benefactis proxime ad deos accedimus.”

Alors ?

Alors ne regardez point votre entrejambes, ce n’est pas là que se trouve le centre du monde.
Alors chacun de vous n’est que fourmis, qui est née et mourra comme elle est venue ! Alors l’intérêt de chacun n’a aucune valeur comparé à celui de tous.

Alors commencez par être un être humain digne de ce nom, avant de vouloir être autre chose.

Je vous laisse méditer
.
Le cardinal se recula pour laisser la place à l'officiant.
_________________
Cassie
Cassie avait entendu dire qu'une chapelle avait etait construite sur un côté de la ville.
En sortant de la tarverne et avant de rentrer chez elle ,
elle decida d'y aller et prier aristote , le remercier aussi de sa protection la nuit derniere .

Cassie etait si heureuse de pouvoir enfin prier , depuis qu'elle attendait , ce moment ce jour etait enfin arrivé.
Elle avait fait dans l'apres midi meme une demande pour faire sa pastorale car elle souhaitais se faire baptiser.

Arriver devant la chapelle , Cassie admira la batisse puis entra , s'installa sur un des bancs et commenca a prier Aristote .
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Titca
Au coter de l'évêque saluant chacun avec soin, la jeune femme rentra peu après lui et le regarda monter rejoindre l'autel, pendant qu'elle trouvait une petite place sur l'un des bancs. Glissant sa robe blanche et remettant en place ses cheveux, elle croisa les mains et regarda le sol pour prier en silence avant le début de la cérémonie. Écoutant avec attention Monseigneur Bardieu elle sourit dans le vide et écouta l'histoire des archanges et le petit passage sur l'ancien maire avide d'argent et de colère...tien ! Puis son regard ce posa sur Son Éminence souriante et admirative... puis il parla.

Est quel sermon ! La jeune diaconesse ouvrit les yeux rond et profita des moments de pause pour réfléchir aux paroles. Son prochain ou le pouvoir ? C'était surement la question qu'il fallait se poser avant toutes actions irréfléchie ou toute action tout simplement... Beaucoup répondait ''mon prochain'' pour paraitre une bonne personne, mais combien avouait au fond de leurs coeurs que tout cela n'était que pour le pouvoir ? Le reste, la suite, ne fut que réflexion et frisson.

Pas de doute le sermon du cardinal était touchant et vrais, frais et pourtant lourd à assumer, sans un mot elle lâche du regard l'homme pour fixer le sol et soupirer, il n'était pas si simple d'être proche des vertus au final. Voilà longtemps que Titca n'a plus entendu de sermon et celui-la lavait intérieurement les douleurs ou les doutes. Redressant la tête souriante et en forme. Tit attendit la suite avec joie et bonne humeur retrouver... avoir tort était humain, rester dans le tord c'est plutôt honteux et très douloureux... Entre souffrir et souffrir autant souffrir pour une bonne cause !


Amen Murmura la femme tout bas.
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{Sushis}
Ljd Bardieu, merci de baliser votre topic svp....
Toxal
Toxal, fraichement arrivé à Cahors avait entendu de la bouche de l'éveque qu'une chapelle venait d'ouvrir ses portes.
L'homme avait été fort agréable avec le garnement, c'est ainsi qu'il pris la décision de se rendre à la chapelle saint-gabriel. En vérité il en avait déja eu envie, mais ce doit etre le résultat de sa soif de découvrir.

C'est la première fois qu'il avait rencontrer un homme d'église de si haut rend, et aussi la première fois qu'il s'approchait si prés d'une église.

Mais n'étant rebut de rien, il poussa la porte du lieu saint, pour découvrir ne serait-ce que l'architecture de l'édifice, mais aussi pour entendre les paroles de l'homme d'église.

Sans bruit et à pas de loup, en entrant il s'aperçoit que la cérémonie est déja entamée. En franchissant la porte, la fraicheur du lieu, la fumée des bougies et la lumière des vitraux l'envaillissent.

Tout est magnifique et sombre malgrés les jeux de couleur qui résulte du lien entre les vitraux et les rayons du soleil.

L'athmosphère, toute nouvelles pour lui, commence à l'étouffer, il ne regrette pas d'avoir vécu cette expérience de "franchir le seuil", mais préfère s'eclipser avant de n'etre remarqué.

Il attendit que les hommes terminent leurs bonnes paroles pour se retourner et sortir aussi discretement qu'il y était entré...
Bardieu
L'évêque était abasourdit par la qualité du sermon et l'aura de celui-ci auprès des paroissiens. Bardieu allait devoir se mettre au niveau. Il continua la cérémonie en reprenant le thème de l'humilité, vertu de Saint Gabriel.

Mes chers paroissiens, je ne pourrai aussi justement et avec autant de beauté de l'humilité, valeur fondatrice de notre église. Nous sommes tous ici parce que nous partageons cet idéal et que nous souhaitons qu'il se propage.

Nous avons eu les cas des élus, des officiers et des autres marchands. Mais il ne faut pas nous oublier. Rappelons nous chaque jour que nous ne sommes pas parfait et essayons tous les jours de ne pas tomber dans le péché si facile de l'arrogance.

Que Dieu vous bénisse, mes enfants, je vais maintenant procéder à la bénédiction de ce nouveau lieu.

_________________
Bardieu
Le vieux prêtre prit un petit brasier de feu qui était disposé sur la table et qui avait été allumé avant le début de la cérémonie. Grâce à une petite chaine, Bardieu put le saisir et ainsi éviter de se bruler. Il demanda à la sœur Titca de le suivre avec la flasque d'eau, mesure élémentaire de sécurité pour un curé.



L'officiant leva les bras avec le petit brasier et prononça une phrase rituel :

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, que le Feu aristotélicien purifie et bénie cette chapelle !

L'officiant se débarrassa rapidement le brasier, en le donnant à la soeur Typhanie et pris en échange la flasque d'eau. Une goutte glissa légèrement et tomba au sein du vase. Bardieu pris quelques secondes pour observer ce phénomène et reprit la parole.



Face à l'eau symbole de pureté, que l'Eau aristotélicienne purifie et bénit cette chapelle.


Bardieu alla jusqu'à l'autel repositionné le vase près du petit foyer et prit la pierre taillée en échange. Il repartit au centre de la chapelle, à deux mètres de là et recommença les paroles.



Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, que la Terre aristotélicienne purifie et bénie cette chapelle.

Pour terminer, l'évêque prit l'encensoir et commença à répandre des odeurs dans l'église inspirant la spiritualité à tous les paroissiens.



Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, que l'Air aristotélicien purifie et bénie cette chapelle.

Reposant l'encensoir, Bardieu n'eut aucun mal à reconnaitre la présence de l'éther dans la chapelle et cela pour la première fois du lieu.

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même ce les autres éléments ont débutés. Et que cette bénédiction permette à la quintessence divine de descendre sur la chapelle et y demeure à jamais.
Bardieu s'agenouilla par terre et commença à prononcer le temps entendu nom du saint homme à qui était dédié la chapelle.

En vertu de la lourde charge qui m'a été confié par notre sainte mère l'église, nous, monseigneur Bardieu, avons décidé de consacrer cette chapelle à l'archange de la tempérance, Saint Gabriel. Nous espérons que ce choix amènera les paroissiens de Cahors vers cette vertu et à s'éloigner de l'arrogance.

Gloire à Saint Gabriel ! Amen.

Je vous invite maintenant, mes enfants, à réciter le crédo.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
Titca
Titca regarda faire Monseigneur Bardieu et nota le tout dans un coin de sa mémoire, étant la pour apprendre et surtout aider son frère cistercien, elle avait décider de retenir un maximum d'information et de bonne parole pour plus tard devenir aussi grande que Bardieu, pas facile comme objectif à atteindre. Chaque jour était un pas, chaque minute une occasion d'apprendre et d'évoluer et puis elle n'était pas seule !

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Levant les yeux, elle sourit en coin et regarda les deux hommes devant son nez, le chemin était long, compliquer et surement pas facile, mais un jour cet endroit serai remplit de personnes qui aimerait l'église pour le moment son devoir était de se faire connaitre des villageois et apprécier.
_________________
Cassie
Cassie qui etait sur un des bancs dans le fond de la chapelle ecoutait attendivement le sermont du Cardinal Clodeweck puis a la purification et la bénédiction par le pere Bardieu.
Il nous invita a réciter le Credo .

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEM


Cassie releva la tete apres le recit
Elle pensa a ce moment la ..... a la premiere office en ce lieu auquel , elle assisterait.
_________________
Titca
Était venu l'heure d'une messe, tout doucement sans vraiment oser le faire elle grimpa au coter des deux grands hommes et s'inclina respectueusement se tournant doucement vers les fidèles, une boule au fond de sa gorge l'empêchait de parler pour le moment. Alors, la jeune femme lança un coup d'oeil paniquer à Monseigneur Bardieu avant de reprendre confiance en elle.

Le pardon, tout le monde à déjà pardonner dans sa vie : un ami, un voisin, un être aimé, ses enfants ou encore un inconnu... Il est facile de demander pardon quand nous sommes dans l'erreur, mais parfois la peur du ridicule ou le doute nous empêche de le faire ; il est tellement plus simple d'oublier que de pardonner quand une personne importante pour nous... nous a fait bien du mal.

Mais l'oublie est-il la solution que nous devons choisir ? Le très-haut nous pardonne chaque jour et nous donne son amour, ne devons-nous pas suivre l'exemple de notre père ? Et pardonnez notre prochain, pour ne pas vivre dans l'oublie ou dans la peur... mais dans l'amitié Aristotélicienne unis et solidaire, ne soyons pas des ermites !

En vivant parmi les autres, en communauté nous acceptons les défauts de tous, nul n'est parfait seul le tout-puissant peut prétendre être au-dessus de nous tous ! Nous nous sommes ses enfants, nous cherchons notre vie entière à dissocier le bien du mal, la vertu du pécher. Et comme tous enfants parfois nous échouons ... Certaine fois ce n'est pas grave et le pardon nous est accordé rapidement, car l'amour ou l'amitié est plus forte.

Parfois c'est beaucoup plus grave, nous avons fait du mal à la communauté et toucher de près ou de loin au bonheur de l'autre, alors nous aimerions oublier, tourner la page rapidement pour reprendre l'histoire sans ratures. Mais l'autre n'y arrive pas, la peur, le doute reste au fond de sa gorge et l'histoire prend fin malgré nous...

L'église Aristotélicienne pardonne ! Ses membres comprennent la difficulté d'une vie proche de la perfection au travers du livre des vertus, nous savons que la créature sans nom est fourbe ! Mais nous avons aussi que parfois l'homme à besoin d'un guide pour retrouver le droit chemin sinon ils oublierons. Et la colère de notre créateur sera grande.

Mes frères, mes soeurs, ne nous cachons pas dans l'oublie en pensant que le passé ne touche pas l'avenir ! Pardonnons ! Acceptons que tout le monde peut faire des erreurs ... vous, votre voisin ou moi... acceptons-le et avoue-le ouvertement, sans peur et le tout-puissant nous pardonnera.


La jeune femme regarda l'évêque puis son éminence avant de casser le pain et servir le vin.



Partageons ensemble le pain et le vin, pour célébrer l'amitié Aristotélicienne à travers ce partage. Bon Dimanche à tous.
_________________
Hommes Masqués, incarné par Parwis
Vêtu tous de noirs, 4 hommes armés chacun d'épées et de haches, s'avançaient vers la Chapelle. Ils ignoraient qui était leur commanditaires, mais une grosse récompense leur étaient promise si ils arrivaient à faire le mal le pire que l'on puisse faire à une femme : la violer. Et ce n'était pas n'importe qu'elle femme, puisse que celle là en particulier avait offensé leur commanditaire : celle la en particulier occupait une place importante dans le village puisque qu'elle était bonne sœur.
Vous avez bien compris, leur mission était de violer la bonne sœur, et l'objectif bonus était de saccager la Chapelle.
Tandis qu'ils avançaient à travers la rue menant à la chapelle, les femmes faisaient entrer leurs gosses à la maison : le grabuge se sentait à plus de 3 milles à la ronde. Ces hommes marchèrent quelques minutes, causant l'effroi de ceux qu'ils croisaient. Quelqu'un parti en courant au poste de police prévenir la maréchaussée qu'il y allait avoir certains problèmes à la chapelle. La partie s'annonçait serré pour les mercenaires.
Enfin, ils arrivèrent à la chapelle. Ils ignoraient qu'elle était pleine d'une foule de croyants, car on y donnait une messe.
Aucun d'eux n'étaient portés sur la religion : chacun avait trop tué dans leurs vie pour atteindre le Paradis ou même le Purgatoire.
Le premier de ces quatre hommes, celui qui dirigeait la petite lance, frappe à la porte. Sans attendre de réponse, il entra avec ses gars dans la Chapelle : le boulot pouvait commencer.
Tous les croyants présents dans cette chapelle, bien entendu, retournèrent la tête pour voir qui était coupable d'une telle intrusion dans un lieu sacré. Ils se figèrent tous en apercevant le matériel de guerre que portaient ces quatre gars. Le chef, esquissant un sourire amusé sous sa capuche, prit la parole :
"Bon... On vous veut aucun mal... Enfin, presque. Bref. Une certaine personne ici en a fâché une autre...Soeur Titca est elle dans le coin ?"
Tandis qu'il parlait, les trois hommes restant prirent place tout autour de la Chapelle, surveillant les croyants, et près à intervenir si l'un d'eux bougeaient.
Titca
Un coup fut frappé et Titca sursauta, voyant les quartes hommes et par réflexe elle s'approcha de son évêque et porta la main à sa ceinture, devant Bardieu griffes dehors et en position d'attaque elle écouta... quand son nom fut prononcé, la jeune femme regarda son fils au fond de la chapelle, Huit ans petit, mais pas idiot Lyes sorti en courant et parti dans les ruelles à la recherche de son père et surement d'aide...

Pendant ce temps, Titca regarda son évêque, fâcher un homme ? Un hérétique certainement, prenant dans sa main glacer celle de Bardieu elle tremblait, mais son rôle était-il pas de protéger ses pères ? Sa vie n'était pas très importante au final. Regardant ensuite le cardinal elle lui sourit et murmura.


Pardonnez-moi...


Glissant sa main dans sa botte gauche elle attrapa de quoi se battre en cas de besoin et avança vers les hommes après avoir caché sa dague dans sa manche.

Sortez d'ici ... c'est la maison du Très-haut... et les armes ne sont pas autorisées dans cette demeure.

Fixant les hommes, elle comprit rapidement que seule elle était trop faible et que les deux hommes ne pourraient pas l'aider, elle comprit aussi que si par chance elle arrivait à rejoindre les portes et son épée elle avait une petite toute petite chance de sauver ses pères.

Allons dehors... je suis Titca.

Puis s'en regarder derrière elle, la jeune femme prit le chemin de la sortie passant au travers des quartes hommes sans s'en soucier. Ne pas démontrer sa peur, permettait de laisser le doute.
_________________
Parwis
Observant tout ce beau monde, le chef des mercenaires observait une femme dans le fond qui parlait au cardinal, au saint père de ce lieu. Il esquissa un sourire amusé, car elle correspondait parfaitement à la description que lui avait fourni son employeur. Mais voilà, que, bravant toutes ces frayeurs, et il la trouva bien courageuse, elle prit la parole :

"Sortez d'ici ... c'est la maison du Très-haut... et les armes ne sont pas autorisées dans cette demeure. "

Le mercenaire ricana et répondit à la jeune femme, du haut de ses deux mètres cinq :

"Oui, bien sûr, on va partir d'ici et rentrer chez nous !"

Il éclata de rire, un rire mauvais et mesquin. après quelques secondes d'incompréhension, ses hommes se mirent aussi à ricaner dans leur coins. Malheureusement, il n'étaient pas très futés, mais ce n'était pas pour leur intelligence qu'on les avait embauché. La jeune femme n'avait rien perdu de son aplomb et elle passa entre les quatre mercenaires en disant :


"Allons dehors... je suis Titca."

Les quatre homme éclatèrent de rire. Deux d'entre eux attrapèrent la jeune Sœur par les bras et la soulevèrent du sol. Le chef les observa et, en un sourire, dit :

"Occupez vous d'elle. Toi et moi, on s'occupe de la Chapelle."


Les deux hommes tenant Titca la plaquèrent avec force par terre. L'un d'eux lui attrapa les bras tandis que l'autre lui ouvrait son chemisier :

"J'sens qu'on va bien s'amuser nous deux!"

Pendant ce temps, les deux mercenaires restants, armés de leurs haches, commencèrent à saccager la petite chapelle, en profitant pour chaparder les quelques biens de valeurs. Les bancs, les bénitiers, les christs, rien n'échappait à leur passion du carnage sans fin. Mais ce qu'il n'avait pas prévu c'était les éléments à venir...
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