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[RP] Chapelle Saint Gabriel

Titca
Titca n'avait pas l'occasion de marcher bien loin que déjà le sol s'abattit sur son dos. Surtout pas paniquer, la panique amène à l'erreur et l'erreur attire la peur, aussi elle entendit sa robe être déchiré, mais ne réagit pas réellement. Toutes femmes normal aurait eu honte surtout devant l'évêque et le cardinal sans parler des fidèles, mais à la guerre on finissait complètement nue sur tes tables à sa faire soigné devant bien pire. Souriante elle regarda l'homme sur lui et s'approcha de son oreille.

Prend ça... Mon joli.

Dans un coup de genoux correctement placé, elle le regarda se tordre de douleur, puis dans un geste rapidement attrapa sa dague et la planta dans les bras du second dans vraiment regarder ou précisément. Une fois debout elle savait qu'il lui restait une ou deux secondes pour retrouver son épée avant de revoir le sol. Plongeant vers l'entrer elle attrapa son épée et regarda les hommes pensant qu'un jour elle remerciera son passé.

Pardonnez-moi oh créateurs, mais mourir dans la seconde ne me tente pas vraiment...

Son épée était lourde et l'habitude de la manié de plus en plus rare, fixant les hommes elle rattacha au mieux sa chemise. Dans sa tête milles souvenirs arriva, Milouse qui lui apprenait à sa battre, Orléans la guerre, les morts , Anny est les dames blanches, ce diacre tuer... Grimaçant elle recula légèrement consciente qu'elle aurait des ennuies.

Dehors, maintenant... c'est votre derrière chance de sortir de cette chapelle...

Tempérance et pardon, tempérance et pardon... elle n'allait pas le tuer ? Elle avait déjà tués et même plusieurs fois pour protéger et sous ordre royal, mais la mort n'était pas une solution son passé ne devait pas toucher son présent. Regardant Monseigneur Bardieu et son éminence Clodeweck elle trembla et promis de leur expliquer plus tard. Maintenant sa vie comptait plus que les lois de l'église et les ports d'arme dans une chapelle sacré.

Décidez-vous rapidement... dehors !
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Gaeldenouet
Dimanche, censé être un jour de repos pour tous les bons aristotéliciens, ne l'était pas vraiment pour Jacouillet. D'un côté il n'était pas vraiment un bon aristotélicien, au grand dam de son épouse, diaconnesse de Cahors. Ce dimanche ci, Jacouillet effectuait quelques travaux sur la maison, ils s'étaient installés à Cahors depuis peu. Il avait remarqué quelques petits soucis au niveau du toi de chaume et tenait à réparer cela avant l'arrivée des frimats de l'hiver. Du coup il n'était pas allé à la messe, comme tout les dimanches d'ailleurs, sauf que cette fois ci il avait une bonne excuse. Au bas de son échelle, il avait posé une bouteille de génépi, pour se donner du courage.

Il termina son ouvrage en fin de matiné, le toit venait d'avoir une cure de jouvence. Jacouillet sourit en le regardant, il avait vraiment bien travaillé. Sa petite femme sera contente en voyant cela, d'ailleurs elle ne devait plus tarder.

Il bu une bonne lampée de génépi quand il entendit quelqu'un courrir derrière lui. Il s'agissait de Lyes, affolé.


Papaaaaaaa papaaaaaaaaaaaaaa !!!! Des méchants veulent faire du mal à maman, ils ont de grandes haches avec eux.

Jacouillet blanchit d'un coup et laissa tomber sa bouteille qui se brisa par terre. Il s'agenouilla et posa ses mains sur les épaules du petit garçon.

Ou est-elle ?

A...snif...a la chapelle.

Lyes épongea d'un revers de manche des larmes qui lui coulaient sur les joues. Tandis que le visage de Jacouillet s'empourpra de colère.

Lyes, va prévenir Tak, Lalou et Achille, profites en pour ameuter le plus de monde possible. Moi je vais y aller directement. D'accord ?

Oui...snif...mais je ne veux pas qu'ils te tuent aussi, je viens avec toi pour te défendre.

Non !!! tu fais ce que je te dis, c'est un ordre !!! Ne t'inquiètes pas pour moi, je sais me défendre. Aller dépêches toi tu devrais déjà être parti.

Lyes se mit à courrir, ne voulant pas subir l'énervement de son père. Jacouillet se releva, les lèvres pincées, les joues rouges de colère. Ses phalanges blanchirent à force d'être serrées. Il se précipita dans la maison et prit ses armes, ainsi que son bouclier. Du sang allait couler aujourd'hui, il était prêt, il avait été entraîné pour ça et n'aurait pas de pitié. Il courrut jusqu'à la chapelle, la colère et la peur au ventre, prêt à en découdre, prêt à mourir s'il le faut pour défendre sa femme.
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Achille
Le ciel étoilait parlait parfois plus qu'une voute sacré de l'église ou d'une chapelle, c'est en tout cas, là que se trouvait l'inspiration d'Achille composant quelques rimes sur son pays aimé de l'hermine.

Allongé dans l'herbe fraiche, alors que le ciel bleu devenait de plus en plus clair, Achille entendit une fine voix, celle de son frère l'appelait ne le trouvant pas.
D'après son ton, c'était grave et il tremblait, craignant une de ses sournoiseries, Achille se révéla en ne se levant qu'à moitié et lui faisant signe.


"Diable ! Mon cadet, cesse de hurler et dis moi ce qu'il se passe ?

-Achille...Des méchants ...ils...ils...veulent faire du mal à maman ! Il faut....snif...que tu retrouve papa à la chapelle !


-Bien, vas chercher Tati et rejoins moi.



Qu'est-ce qu'il leur prenait de s'attaquer si tôt au village les méchants? Cahors est vraiment plus mouvementé qu'il ne le pensait. Il pietà prestement jusqu'à la chapelle où mère devait avoir officié. Il serrait fort et avec désespoir son épée de bois, qui n'était sa seul arme contre l'impossible. Mais sa vrai force était celle du désespoir, surtout quand il s'agissait de sauver sa mère.
Hommes Masqués, incarné par Parwis
Malheureusement pour ces mercenaires, la suite ne se passa pas exactement comme prévu. Tandis que le chef de la bande détruisait tout sur son passage avec l'un de ses acolytes, les deux autres avaient un peu plus de mal à maintenir la jeune femme en place.
En effet, celle-ci avait décider de ne pas se soumettre. Les deux balourds chargés de la violer avait faillis à leur tâches : le premier se tordait de douleur en se tenant les sacs tandis que le second hurlait de douleur, du fait d'un couteau planté dans l'avant bras droit.

"Bordel de défection..." fut la seul exclamation que ce permit le chef. Il laissa tomber sa hache et alla à la rencontre de la jeune femme, ne jetant qu'un regard chargé de mépris aux deux idiots qui avaient tenté de la violer. Il dégaina brutalement son épée, qui avait déjà bien servi, et se mit en garde.

"Je déteste la contrariété, petite idiote !"

Il se lança dans un assaut très violent, et se heurta à une résistance inattendue. Il grogna, se disant qu'il n'en aurait pas pour longtemps à se défaire de la jeune femme.
Pendant ce temps, Celui qu'elle avait blessé avait retiré la dague de son bras en grimaçant de douleur. Il s'arracha un bout de tissu de sa chemise noir et se l'enroula autour de sa blessure. De rage, car la jeune Sœur avait blessé son orgueil, il lança sa dague contre un des gamins présent à la cérémonie. Celui ci se la reçu dans l'œil, et décéda dans l'heure de ces blessures. Puis, ceci fait, il alla à l'autel et commença a y prendre les diverses richesses qu'il y avait.
Les deux derniers, dont celui ayant mal aux poches, continuèrent de détruire la toute nouvelle Chapelle. D'ici quelques instants, elle ne serait plus rien.
Titca
Heum, j'aimerais bien que ce RP, continu vers les rues de Cahors pour la simple et bonne raison que Dimanche il y a messe ! Et que j'aimerais faire cette messe sans avoir de hanche et de combat dans la chapelle Donc je demanderais à toutes les personnes intéressées de continuer dans les rues. Merci ! Ps : Détruire la chapelle ? J'en vois pas l'intérêt, j'ai fait l'effort de respecter un RP proposé après, je demanderais aussi de respecter notre RP et la chapelle... Je ne continuerais donc pas ce RP si c'est pour tout détruire et ne pas assumer RP les conséquences par la suite... Encore simplement en vouloir à Titca c'est une chose, détruire pour le plaisir de détruire en prime sans assumer après c'est déjà autre chose.

Voilà Bon jeu

Désolée Monsieur le censeur pour ce petit poste de remise en place...

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Parwis
La chapelle ne sera bien entendu pas détruite J'imagine que les défenseurs de Cahors arriveront à temps. Quand à assumer, je suis près à assumer tant que RP il y a
Clodeweck
MESSE DU MERCREDI



Le père Clodeweck, s’était, rendu, à l’église, pour y dire la messe. Il entra donc, dans l’église et remonta silencieusement, jusqu’à la sacristie. Les messieurs du chapitre et les clercs avaient pris place dans les stalles, comme d’habitude. Le primat, suivi de son secrétaire monta jusqu’au chœur. Puis, après s’être revêtu des ornements sacerdotaux, le prêtre, s'avança vers l’autel, et comme chaque fois répéta la même litanie, ouvrant les bras ! La messe est une habitude, une répétition qui fait ressembler chaque jour au précédent. La seule différence pour ce jour était la canne qui l’aidait à marcher. Il en est ainsi des rituels.

Mes biens chers frères, fidèles Aristotéliciens.
Bienvenue en cet office, je l’aurais souhaité différent, mais il est de notre devoir d’être humain de savoir accepter ce que l’on ne peut changer.
Oremus :


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.


Après un court moment de silence, le prêtre, retourna vers le chœur dit une courte prière puis se rapprocha des fidèles, vint jusqu’à la lisse et entreprit de s’adresser aux Fidéles.

Mes sœurs, mes frères,

Qui peut prétendre être seul ?
Qui peut prétendre oublier qu’il est d’autre humain autour de lui ?
Qui peut prétendre que les choses ne devraient aller que comme il souhaite et seulement comme il le souhaite ?
St Admin veille sur les Royaumes, ne vous déplaise, c’est comme ça !
Nous sommes nombreux à y vivre c’est comme ça !
Certains voudraient être en l’an 50, ou 300, en l’an 2000 ou 2400…Oui mais nous sommes en 1457. ! Si cela ne vous plait pas vous n’avez rien à faire ici.
Certains voudraient que nos contrées soient peuplées de magiciens, d’Elfes de troll ou de farfadets…Ne vous déplaise l’imaginaire des Royaumes s’est arrêté à ce que ceux-ci soient peuplés d’hommes.
Bien des hommes se croient bien meilleurs Duc que notre Duc, mais c’est lui qui est à cette charge pas eux.
Beaucoup feraient un meilleurs roy de France que Levan mais c’est Levan qui est Roy de France.
Alors ?
Alors le créateur nous a demandé de toléré, a minima, notre voisin.
Alors si au moins nous ne pouvons supporter une personne respections en au moins l’âme.
S’il nous prend d’une colère soudaine, au moins n’en faisons pas subir les conséquences à tous nos prochains.
De quel droit ce que je souhaite, Res Parendo, serait meilleur que ce que souhaite untel ou un autre ?
Tant que la chose est plausible qu’au moins nous tolérions que d’autres n’aient pas envie de ce que nous avons envie.
L’unité, nous la souhaitons, mais ne sommes pas capables de supporter notre voisin…
J’ai vu de gens, se battre, s’insulter, bouder, détruire, pourrir et j’en passe…De quel droit et pourquoi ?
Je vous laisse le choix de la réponse, la seule chose qui soit certaine c’est qu’aucun n’avait ni droit ni raison de le faire. Seul l’orgueil a péché.

Croyez vous que vous ressemblez à quoi quand en trois lignes vous déclarez
- Je viens de faire sauter deux galions
- Je viens d’arriver avec deux autres plus ivrognes que moi et j’ai détruit la cathédrale…
Pensez vous que votre logique de jardin d’enfant soit intelligente ?
« 7 ans au maximum », « Je serais magicien, je serais invisible et tu m’aurais pas vu ! »
Ayez au moins le respect de faire des chose possibles…Allez voir de près une église et regardez combien il faut de travail pour la détruire…Pas d’un coup de point…Ni d’un souffle le grand méchant loup, ce n’est pas encore l’heure !

Soyez donc intelligents fautes d’être vertueux, car l’intelligence mène à la vertu aussi surement que la bêtise mène à la perte.

Je vous laisse méditer.

Paroissiens, paroissiennes, redisons cette prière :



Clodeweck reprend la parole
maintenant, soeurs et frères partageons le pain et le vin comme il nous a été appris à le faire.



Le père Clodeweck se saisit du calice, le tendit vers les fidèles, et en bu. Certains fidèles ayant apporté du vin le burent aussi dans la communion puis s'avancèrent vers l'autel, il posa sur leur lange les pains synonyme du partage et de la solidarité.
Le partage du pain achevée il déclara

.
Mes frères :

Pensez à vous faire baptiser afin de rejoindre la communauté des croyants...



Ite missa est …
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Titca
Messe du dimanche 18 octobre 1457



L'astre solaire c'était levé, chassant ainsi la Lune et les démons pour quelques heures. Les cloches de la chapelle sonnèrent quelques coups annoncent le début de la messe. Titca pendant ce temps ouvrit les portes de la chapelle, observant les rues vident de Cahors ainsi que la tranquillité du matin... Aucun fidèles même pas l'ombre d'un chat, mais la jeune diaconesse n'abandonnera pas son combat, l'église était belle et forte et les idées reçues stoppait bien des gens, son travail était justement de casser cette frontière et de rendre la foy aux hommes. Longeant l'allée central elle se signa et se tourna vers les blancs... vide de toutes âmes, seule audience des fantômes, joyeux !

Mes frères, mes soeurs...
Bienvenue dans la maison du Très-Haut.

J'aimerais commencer l'office par une phrase que me disait souvent mon père : '' La pierre tout au sommet d'une montagne imposante, croit-elle quelle est plus importante que les pierres qui en forment le pied.'' L'humilité est une chose importante dans nos vies à tous. Personnes ne peut être supérieur ou inférieur nous sommes tous les enfants du Très-Haut, il nous guide et nous aiment avec l'amour d'un père, que nous soyons vagabond ou pince ... Ne pensez surtout pas qu'un titre ronronnant ou qu'une belle demeure vous permets d'être plus important que votre voisin ! Non mes frères, nous tous sommes nés de l'amour et nous devons transmettre cette amour à nos enfants, transmettre nos valeurs et les valeurs de l'Église Aristotélicienne.

Alors, l'humilité c'est quoi ? C'est reconnaitre nos torts, nos difficultés, nos erreurs aussi ! Et savoir reconnaitre que : '' Moi je ne suis pas parfaite, je ne suis pas grande, ni connu... Mais je suis simplement un être humain dans ce royaume et je mérite le respect autant que les autres.'' L'orgueil ne nous apporte rien, vouloir être plus grand que le plus grand nous attirera forcement des ennuies... Car, au final le plus grand à un nom : Le tout-Puissant.

Mes frères, mes soeurs prions :



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Mimi83720
Les cloches appelaient les fidèles à la chapelle, Mimi sourit à son tendre, heureuse de pouvoir s'y rendre enfin à son bras, après avoir si longuement évoqué, depuis plusieurs jours, leur envie commune d'assister côte à côte à l'office.

Les marches du parvis furent rapidement gravies, la jeune femme le regarda longuement, immobile mais rayonnante devant les portes, avant de l'entrainer à sa suite à l'intérieur.

L'interrogeant du regard, la Cadurcienne le laissa choisir un ban et s'installa à ses côtés, prenant sa main dans la sienne.

Mimi écouta le sermon, puis récita le crédo, sans lâcher la main de son aimé puis tourna son visage vers lui.
Cassie
Cassie entendit les cloches de la chapelle sonnaient quand melle mettait a jour le registre des naissances en son bureau , elle posa parchemin et plume pour se rendre a l'office.

Cassie arriva devant la chapelle , entra .
Dame Mimi etait presente , elle la salua d'un signe de tete et sourire.

avança l'allée centrale , s'installa sur un des bancs pres de dame Titca ,la saluant d'un signe de tete afin de ne pas la deranger dans son sermon et recit .
Elle commença sa priere puis a son tour recita le Credo

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Topheez
Topheez était heureux de pouvoir suivre l'office de ce dimanche et la présence de Mimi à ses côtés en ce lieu ne manquait pas lui faire penser de belles choses.

Assis sur le banc, il vit arriver Cassie qu'il salua discrètement. Peu avant le sermon, les yeux fermés, il prononça une prière silencieuse, le mouvement de ses lèvres s'agitant sans qu'aucun son ne sortent de sa bouche.

Il écouta ensuite le sermon, sa main toujours unie à celle de Mimi puis récita le credo en chœur avec les fidèles présent.
Kyra
Lorsque Kyra entendit les cloches sonnées, elle était déjà en chemin. Elle activa son pas pour ne pas être en retard.
Elle admira l'édifice grandissant au fur et à mesure qu'elle se rapprochait.
Elle gravit les marches avec appréhension et se signa une fois à l'intérieur.
Voyant que la diaconesse avait déjà commencé son sermon, elle s'installa au fond, sur un banc, silencieusement.
Titca
Après la prière, Titca reprit la parole.

Mes amis, quelle joies de vous voir tous réunis en ce jour ! Partageons le pain et le vin, ensemble au nom de l'amitié Aristotélicienne...



La diaconesse donna un morceau de pain et une gorgée de vins à tous puis ajouta:

Paroissiens, paroissiennes, je vous souhaite un bon dimanche à tous ! N'oubliez pas la lumière qui éclaire votre chemin dans un moment de doute, la lumière de la foy. Je reste à votre dispositions pour vous questions et demande d'office.



Quittant l'autel, Titca s'approcha des fidèles et sourit heureuse, ils n'étaient pas beaucoup, mais au moins ils étaient là ! Collant une bise à Cassie elle regarda les autres et s'inclina respectueusement.
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Gaeldenouet
Jacouillet s'était levé tôt ce matin la, tout ça pour aller à la messe. Hé Oui, Jacouillet à la messe, ça c'était une première. Il avait attendu que sa femme, Titca, soit parti préparer la messe avant de quitter la maison. Il voulait lui faire une surprise. Cela faisait un moment qu'il avait promis qu'il irait à une des messes de sa femme, mais il voulait lui en faire la surprise.

Il attendit devant l'église que tout les fidèles entrèrent dans la chapelle avant de faire de même. Il s'installa tranquillement au fond, dans un coin sombre, pour ne pas que Titca le reconnaisse tout de suite.

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Titca
Souriante la jeune femme accompagna les fidèles à la sortie de la chapelle, assez heureuse d'elle pour le coup cinq personnes ! Mieux que rien ! Titca les remercia tous d'une bise et d'une tape toutes aristotéliciennes dans le dos. Quand l'un d'eux un homme spécialement lui parut très familier, souriante elle s'en approcha et le prit dans ses bras déposent un bisou léger sur ses lèvres, les joues déjà rouge de sa présence...

Séchant ses larmes d'émotion avec l'aide de sa manche elle glissa sa main dans la sienne et sourit aux anges !


Ciel mon époux... Merci. Murmura la jeune diaconesse afin que seul l'intéressé puis entendre ses paroles. Puis une fois sur les marches de la chapelle elle regarda le soleil et sourit heureuse.

Merci à tous d'avoir prit le temps de venir et de prier...

Serrant la main de Jacou, elle lui sourit et s'étira, maintenant elle avait hâte de voir l'évêque et de lui raconter sa joie profonde, cinq personnes pour elle et l'église, se nombres pourtant sans importance lui remplit le coeur de joie et d'amour son travail n'était pas inutile.
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