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[RP] Chapelle Saint Gabriel

Takoda
Une dernière étape avant la fin de la messe. Takoda se levapour aller communier..puis une fois après avoir chanté le dernier chant, elle se dirigea vers la sortie, non sans avoir reçu les remerciements de sa soeur. ce à quoi, elle avait répondu d'un sourire.

De rien! J'avais besoin de venir au calme...Et puis, j'ai adoré ton sermon.

Une fois dehors, elle regarda le ciel nuageux et rajusta sa cape...Il commençait à faire froid... L'hiver serait bientôt là.
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Titca
Titca regarda sa soeur et paru intriguer, quelques choses ne tournaient pas rond, mais quoi ? Tit connaissait trop bien Tak et son nez de maman poule la prévenait d'un danger, bientôt elle allait la revoir sa frangine et cela ne serait pas pour la prochaine messe. Un peu ailleurs, elle partie au fond de la chapelle et alluma une bougie loin des yeux de tous, puis posant un genou au sol ferma les yeux.

Da garou à ran.

Déposant la bougie, elle la regarda bruler et la fumer monter au ciel rejoindre le Très-haut, voilà une année que son oncle l'avaient quitté, triste anniversaire... Planter devant sa bougie, la jeune diaconesse ne bougea pas cherchant tant bien que mal à cacher ses larmes de tristesse. Qui serait le prochain ? Elle ne voulait pas le savoir, de toute façon cela lui fera bien assez mal le moment venu.
_________________
Titca
[Messe du Dimanche huit novembre.]



Les cloches sonnèrent et encore un dimanche, comme tous les dimanches il y avait messe, pour certain c'était quelques choses de banale et coutumier pour Titca c'était un plaisir sans fin d'être dans cette église et de prendre la parole. Une sorte de rêve devenu réalité a force de persévérance et d'aide. Aussi, c'est une Diaconesse joyeuse qui poussa les portes de l'église et reçu les fidèles à leurs arrivées. Puis longeant l'allée elle se signa comme toujours et prit sa place devant tous.



Aujourd'hui j'aimerais vous parler de l'archange Saint Gardiel, qui a donné son nom à cette chapelle. Pour la petite histoire Gadriel est mon Archange préférer et Monseigneur Bardieu a accepté de me faire ce cadeau inestimable à mes yeux. Heum, donc reprenons, Gadriel est l'archange de la tempérance ... Cet homme dans sa vie a fait preuve de beaucoup de tempérance contre la colère et son prince Léviathan. Avant de donner mon avis sûr ce sujet très vaste voici une parole de cet homme que l'on retrouve dans le dogme :

Citation:
« Mes amis, mes frères,
Dieu réserve à chacun d’entre vous une voie particulière.
Il ne cesse de vous la crier au plus profond de votre cœur.
Sachez vous ouvrir à son appel et répondre « Oui ! »
En disant « Seigneur, tu sais ce qui est bon pour moi. Là où tu me mènes je ne saurai me meurtrir car c’est la voie qui est mienne. Là où tu me mènes, je ne saurai qu’être heureux malgré les épreuves.
Alors, Ouvrez vos cœurs. »


Ou encore celle-ci

Citation:

"Oane nous a pourtant gravé les paroles du Créateur sur le premier mur de notre cité, il y est écrit ce que Dieu a dit à nos ancêtres :
“Que votre fidélité soit celle des enfants envers leurs parents ou je serai aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Car, lorsque chacun de vous mourra, Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a menée. Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai, vivrons une éternité de bonheur. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaîtront plus que la tourmente.”

Mais moi je vous dis aussi ceci :

Ce jour est un jour tout neuf.
Il n'a jamais existé et il n'existera jamais plus.
Prenez donc ce jour et faites-en une échelle
Pour accéder à des plus hauts sommets.
Ne permettez pas que la tombée du jour
Vous trouve semblable à ce que vous étiez à l'aube.
Car demain serra peut être le jour où vous serez jugé."

Archange Saint Gabriel


Gadriel était un homme comme vous et moi au commencement de son histoire, il avait un demi-frère méchant et colérique nommé Léviathan, demi-frère qui le frappait et a tué le père de Gadriel sous ses yeux. ET POURTANT ! Jamais notre archange ne c'est montré en colère, jamais il a levé la main sur le prince du mal. Mais comment a-t-il réagit alors ? Et bien il montrait son véritable sentiment... Quand son père fut mort devant ses yeux il as simplement pleuré... Sans céder à la colère, sans donner à Léviathan ce qu'il attendait de lui, de la tempérance mes frères... Voici l'une des vertus primordiale de ce monde, ne cédez pas à la colère, ne donnez pas à votre adversaire ce qu'il attend de vous, mais rester le plus tempérant et par la même occasion le plus intelligent.

Pour revenir sur les paroles de Gadriel que je viens de vous lire, que nous apprends la première parole ? De nous ouvrir au très-haut d'avoir confiance en lui, car nous sommes ses enfants et il sait ce qui est bon pour nous, comme des parents savant ce qui est bon pour leurs enfants. Chacun d'entre nous mes frères avons un chemin tracé par le Très-Haut et nous devons lui faire confiance lui dire ''oui''.

Pour la seconde parole, elle nous apprend quelques choses, mais quoi ? Votre destin est entre vos mains, la mort ne prévient pas avant de venir nous chercher, chaque jour doit être vécu comme si demain peut-être sera le jour de votre jugement... Le Créateur est très clair à ce sujet il nous jugera en fonction de nos vies sur terre... Et les regrets une fois mort ne peuvent être réparés.


Voici mon avis et pourquoi je suis devant vous aujourd'hui, bien sûr je crois en Dieu, mais avant tout je sais que le dogme et que l'église ont beaucoup de choses à apprendre aux hommes et aux femmes qui prennent le temps d'ouvrir le coeur et d'écouter leur enseignement.



Titca fit une petite pause et regarda ses fidèles.

Mes frères, mes soeurs, je vous propose de réciter tous ensemble le crédo, avant de conclure cette Messe du dimanche.


_________________
Cassie
Cassie qui s'etait lévee tres tot en ce dimanche , elle entendit les cloches sonner quand elle etait encore a ses bureaux.
Elle se precipita devant la chapelle , entra et s'installa sur un des bancs .

Cassie etait heureuse , elle avait passée une agreable soirée et nuit .
Elle baissa la tête remercia Aristote puis pria pour que ce bonheur continu .

Titca s'etait installée devant , commenca son sermon , parlant de l'archange Saint Gardiel , puis nous cita une parole de cet homme

Citation:
« Mes amis, mes frères,
Dieu réserve à chacun d’entre vous une voie particulière.
Il ne cesse de vous la crier au plus profond de votre cœur.
Sachez vous ouvrir à son appel et répondre « Oui ! »
En disant « Seigneur, tu sais ce qui est bon pour moi. Là où tu me mènes je ne saurai me meurtrir car c’est la voie qui est mienne. Là où tu me mènes, je ne saurai qu’être heureux malgré les épreuves.
Alors, Ouvrez vos cœurs. »



puis une autre , Cassie etait a l'ecoute :

Citation:
"Oane nous a pourtant gravé les paroles du Créateur sur le premier mur de notre cité, il y est écrit ce que Dieu a dit à nos ancêtres :
“Que votre fidélité soit celle des enfants envers leurs parents ou je serai aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Car, lorsque chacun de vous mourra, Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a menée. Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai, vivrons une éternité de bonheur. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaîtront plus que la tourmente.”

Mais moi je vous dis aussi ceci :

Ce jour est un jour tout neuf.
Il n'a jamais existé et il n'existera jamais plus.
Prenez donc ce jour et faites-en une échelle
Pour accéder à des plus hauts sommets.
Ne permettez pas que la tombée du jour
Vous trouve semblable à ce que vous étiez à l'aube.
Car demain serra peut être le jour où vous serez jugé."



Cassie qui ecoutait , elle fit un leger sourire en pensant que le seigneur l'avait l'avais guidé sur un chemin de bonheur celui de l'amour , elle le remeria de nouveu par une prière silencieuse .
Elle continua d'ecouter les paroles de Titca , elle aimait venir a ses messes , elle etait toutes plus belle les unes que les autres.
Puis Cassie recita le Credo a sa demande .


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
Marille
MaRille était arrivée fort tôt en la Chapelle , elle voulait entendre le sermon , elle songeait de plus en plus a se faire baptiser et attendait le retour de son cher tuteur pour lui demander de la conduire sur les fonds baptismaux.
Elle murmura

Je ne suis pas digne de toi cher Aristote et si je suis fille de baptisée je ne le suis point moi-même.
Au fond de mon coeur , je cherche une raison à ma vie , une raison a tout cela
Titca
Nous allons maintenant communier ensemble mes chers frères et mes chères soeurs. Que ceux qui le souhaitent s'avancent vers moi.

Les fidèles s'avançaient uns à uns pour recevoir la communion.
Elle rompit le pain, servi le vin et le bénit, en donnant un peu à chaque communiant en récitant les paroles rituelles.


Communion ensemble et accomplissons cet acte primordial destiné à nous rapprocher et nous fera partager des valeurs saines comme l'amitié et le respect mutuel.

Célébrons ensemble l'amitié aristotélicienne en partageant pain et vin au Nom du Très Haut. Amen.




Que la paix du Dieu soit avec vous.
Et avec votre esprit
Louons Dieu et ses prophètes Aristote et Christos.

Mes chers frères et mes chères soeurs, il est maintenant temps de nous séparer. Qu'Aristote bénisse vos proches et vous-même.
Je vous souhaite un excellent dimanche.

_________________
Cassie
Cassie s'avanca vers l'hotel a la demande de Titca , se metta face a elle afin de communier .


Que la paix du Dieu soit avec vous.
Et avec votre esprit
Louons Dieu et ses prophètes Aristote et Christos.


Puis se dirigea vers la sortie
_________________
Titca
Il était très tard dans le petit village de Cahors et pourtant une ombre emmitoufler dans une cape noir longeait les ruelles presser d'atteindre son but. Le bruit de ses bottes maltait le paver de la route à rythme régulée et bientôt la jeune femme tourna à gauche pour éloigner du centre de la ville. Une capuche sur la tête empêchait le passant de reconnaitre son visage alors que le tissu flottait derrière elle. Vite toujours plus vite, elle allait étouffer, peut-être même mourir de douleur...

Quelques minutes plus tard les portes de la chapelle s'ouvrirent pousser de toute ses forces. Et le souffle fut retrouvée, le temps semblait stopper, entre vie et mort. Le long de l'allée habituellement calme elle courut et tomba devant l'autel à genoux... Retirant sa capuche, Typhanie de Divonne ferma les yeux fermer à genoux sur la pierre, le visage entre les mains cachant ses larmes.

La nouvelle était tombée comme une pierre, il était mort... Frode était mort ? Une nouvelle aux apparences naturels, il y avait la naissance, la vie et bien entendu la mort. Oui, mais non... Deux semaines après leur départ, avec l'envie de poursuivre un rêve elle avait tué un homme de chagrin ? Personne ne pouvait savoir, aucune preuve, aucun mot, seulement le souvenir et la douleur. Pourquoi ? Pourquoi lui... Pourquoi à ce moment précis !


Je suis désolée... pardonne-moi je t'en prie... si tu savais comme j'ai mal...

Même les yeux ouverts à présent, elle ne remarqua que du flou... Trop de larmes, trop de mort aussi en très peu de temps. Elle n'aimait pas la mort, c'était une habitude d'enfant et puis la mort était douleur et la douleur était fuite. Pourtant, elle devait rester forte, pour Jacou, pour l'amour du Créateur. Son enterrement était-il beau ? Était-il auprès du Très-Haut ? Tant bien que mal la Diaconesse ce redressa et alluma une bougie, regardant la flamme bruler, Titca sécha ses larmes et renifla.

Je crois en Dieu, le très-haut tout Puissant. Créateur du ciel et de la terre, Des enfers et du paradis, Juge de notre âme à l'heure de la mort... Il prendra soin de toi mon ami... Je crois en Dieu... je crois au tout puissant...

La jeune femme ne lâcha pas la bougie des yeux, à genoux devant l'autel, elle attendit que la lumière disparaisse.
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Merlin
Chapuce entra dans l'église de Cahors et admira ses splendides croisées d'ogives flamboyantes ... et pria pour l'âme de celle qui ne fut jamais son épouse

Ma douce, puisses-tu reposer en paix,
Tu es toujours présente en moi, c'est là où ton souvenir reste le plus vivace ... tu me manques


Après s'être recueilli un long moment, Chapuce sortit l'ombre d'une larme à l'œil
Titca
[Messe du dimanche 15 novembre 1457]


Un nouveau dimanche une nouvelle messe de plus pour la Chapelle Saint-Gabriel de Cahors. C'est donc avec un sourire à toute épreuve que la diaconesse sacristine l'avait préparé, ne remettent pas en doute l'amour du Très-Haut et la mort d'ami proche... Après tout le Créateur devait parfois rappeler la vie à lui et il fallait pourtant continuer à avancer sur le chemin de son destin. C'est pourquoi Titca enfila ses vêtements avec le plus grand respect et alla sonner les cloches annonçant la messe.



Après quoi elle retourna à sa place et se signa avant d'attendre les paroissiens qui allaient arriver d'une minute à l'autre.

Bonjour à tous ! Soyez la Bienvenue dans la Maison du Très-haut ! Aujourd'hui j'aimerais vous annoncer à tous la mort d'un homme important pour notre église, Son Éminence Guillaume de Lorgol, Cardinal émérite, ancien Cardinal Camerlingue et Archevêque in Partibus d'Andrinople, pour une raison non encore élucidée à ce jour.
Comme toutes les morts, celle d'un Cardinal ou d'un simple paysan nous rends triste et nous nous posons tous la même question : ''Est-il allé rejoindre notre Créateur ?'' C'est pourquoi ce dimanche j'aimerais vous parler du jugement dernier et peut-être apporter une réponse a toutes vos questions, ou vos doutes... Pour ce faire j'aimerais vous lire un passage du livre de vertu nommé: La fin des temps V, les questions:



Citation:
La fin des temps V: Les questions


Mais nombre de questions n’avaient pas encore trouvé de réponse. Je demandai à Dieu si Il voulait bien éclairer ma lanterne et, dans Sa grande miséricorde, Il accepta.

Je Lui demandai: “Quand serons-nous jugés? Quelles seront les peines et les récompenses que nous aurons?” Il me répondit: “J’ai décidé, lorsque J’ai fait des humains Mes enfants, de leur faire le plus beau des cadeaux: J’ai fait de tous vos esprits des âmes, vous permettant de gagner le Paradis si vous suivez les enseignements d’Aristote et de Christos, mais vous punissant des Enfers si vous vous détournez du chemin qu’ils ont tracé. Vous êtes en cours de jugement tout au long de votre vie. Chaque pensée, chaque parole et chaque action influent sur Ma décision finale. Lorsque chacun de vous meurt, Je décide de votre destination éternelle. Selon que vous avez été vertueux ou pécheur, vous rejoignez les rangs des élus ou des damnés.”

Je Lui demandai ensuite: “Mais à quoi ressembleront les humains qui accéderont au soleil ou à la lune? Ne serons-nous que de purs esprits? Que deviendront nos corps? Que sont ces anges et ces démons?” Il me répondit: “Le corps ne peut vivre sans l’esprit et l’esprit sans le corps, car J’ai fait de la vie l’union de ces deux états. Lorsqu’un humain accède au Paradis ou à l’Enfer, le corps qu’il avait sur le monde est abandonné pour nourrir la vie et un nouveau corps lui est donné en échange. Celui-ci est à l’image de l’esprit de l’humain: il en représente soit la beauté soit la laideur. Les anges sont ceux qui, par leur sainteté, ont obtenu un corps si parfait qu’ils me secondent dans le soleil. Les démons sont ceux qui ont tant vécu dans l’erreur que leur corps n’est qu’horreur et bestialité.”

Je Lui demandai encore: “Le baptême est le sacrement qui consacre l’entrée d’un humain dans la communauté des croyants. Sans ça, il n’y a pas d’accès au Paradis possible. Mais que deviennent les pauvres enfants dont la vie s’achève avant qu’ils aient la chance d’être baptisés?” Il me répondit: “Je vous ai fait élus à votre naissance, car vous tendez naturellement vers Moi. Ce sont vos péchés qui vous détournent de Ma divine perfection.”

“Le baptême permet à la vertu de racheter le péché, permet à l’amour de vaincre l’acédie. Un vertueux qui n’est pas baptisé ne se verra pas effacer ses fautes, car Je n’ai pas béni son entrée dans la communauté de Mes fidèles. Mais ne crois pas que le fait d’être baptisé t’autorise à pécher sans vergogne. Ce sacrement n’est que le moyen de vivre dans la vertu. Mais tous ceux qui n’ont pas été baptisés, qu’ils soient enfants ou adultes, si ils n’ont absolument jamais péché, pourront de même accéder au Paradis.”

Je Lui demandai enfin: “La Fin des Temps aura-t-elle forcément lieu?” Il me répondit: “Non, Je déciderai de détruire le monde si les humains s’abandonnent tant dans le péché qu’ils ont fini par donner raison à la créature à laquelle Je n’ai pas donné de nom. Sache que l’avenir du monde ne dépend que de votre vertu. A vous de respecter la parole que j'ai transmise à Aristote et Christos car, si vous vous comportez comme les habitants d’Oanylone, votre vice liera le sort du monde que vous aimez tant.”

Alors, Dieu me dit que le temps était venu que je retourne chez moi, que mon rêve se finisse, et que je me réveille. Soulagé d’avoir tant appris de Dieu Lui-même, je retournai donc à mon lit douillet, où je me réveillai. Encore troublé par ces révélations, j'entrepris de coucher par écrit ce message de Dieu Lui-même.

Ysupso


La diaconesse, ferma le livre et le posa devant-elle avant de regarder l'assemblée réunis dans la chapelle.

Voici donc les réponses du Très-Haut, nous serons jugés à notre mort, nous serons envoyés au paradis ou en enfer, nous aurons un nouveau corps, car l'ancien doit nourrir la terre ... Le baptêmes nous aide à racheter nos péchés et à l'amour de vaincre... Mais comme toujours il y a plusieurs, mais ! Rien de pardonne le péché, ni le baptême, ni l'amour... l'homme est imparfait et reste dans le sombre face à certaine question. Il est dur de ne pas savoir, mais nous saurons tous un jour rassurez-vous...
A présent j'aimerais que tous ensemble nous prions pour Son Éminence et pour nous aussi, prions le Très-Haut à travers le Crédo et suivons la route qu'il nous a créé.


Titca ce lança dans une prière que tout le monde répéta après elle.


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Cassie
Cassie arriva a la Cahapelle , une office eté célébré comme chaque diamanche , mais celle-ci eté célébré en l'honneur d'un homme important pour notre église, Son Éminence Guillaume de Lorgol, Cardinal émérite, ancien Cardinal Camerlingue et Archevêque in Partibus d'Andrinople .

Cassie ecouta attentivement dame Titca , puis recita le credo.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Takoda
Takoda avait besoin de recueillement, ce dimanche, elle poussa la porte de l'église pour assister à la messe.
Se signant après être entrée, elle alla s'installer dans les bancs près de l'autel.
Titca annonça la mort d'un éminent personnage de l'église aristotélicienne. Sa soeur enchaîna sur un texte et un sermon sur la mort et l'après de celle ci...

La rousse déjà déprimée à ce sujet écouta en fixant la flamme du cierge avec un air absent.
Puis, une fois le sermon fini, elle répéta docilement le credo.



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Titca
[Messe du Dimanche 22 Novembre]

Même si le soleil était quelques parts dans le ciel, sa douce lumière semblait caché par le brouillard et l'humidité du début de l'hiver. Ce temps quelques peu monotone et pas charmant du tout avouons-le ! Touchait le moral des plus fragiles et Titca était l'une de ces personnes. L'ambiance du début des fêtes la rendaient heureuse et pourtant très triste... Ses amis étaient encore loin d'elle pour un certain temps et son coeur commençait doucement à ressentir leur absence, entre celui-ci et celui-la... Tous lui manquait tellement !

Pourtant, la messe devait bien avoir lieu ! La diaconesse longea l'allée centrale et se signa dans un mouvement souple et respectueux. Puis se tourna envers les fidèles pendant que les cloches sonnèrent.




Mes frères, mes soeurs, bienvenue dans la maison du Très-haut en ce dimanche !

Aujourd'hui, j'aimerais vous parler d'amitié... Ce sentiment que chaque être humain ressent pour une autre personne, l'amitié n'a pas de règle, pas de limite et aucune frontière. Elle est partout et pourtant quand un ami nous manque, tout semble tellement vide... Tellement moins beau. Heum...euh pardon. L'amitié donc ! Et bien je pense que vous tous ici présent êtes entouré d'amis ! Et vos amis, ont des amis qui ont des amis et la boucle reste sans fin ! C'est surement la plus belle chose au monde et en même temps la plus triste.

L'amitié s'apprend, ce respect, doit aussi s'entretenir ! Rien n'est jamais vraiment acquis et tout cela ne tien qu'as un fil ! N'oublions pas s'il vous plait ! Qu'il y a les vrais amis ! Et les faux. Aristote nous l'explique d'ailleurs, je vais vous en lire un passage :


Citation:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?

[Aristote] Dialogues XIII - La réception chez Polyphilos


Je vous laisse, une fois n'est pas coutume, médité un peu sur ce texte... Avant de faire un commentaire.

Titca sourit et attendit donc, que tous et toutes puis avoir le temps de réfléchir aux paroles lu.
_________________
Cassie
Les cloches se mirent a sonner , a l'arrivée de Cassie , elle n'etait point en retard ..........
elle entra et s'installa sur un des bancs proche de l'autel , commenca par une priere comme a son habitude.

Cassie ecouta attentivement le sermon de Tit , celui sur l'amitié , le respect de celui -ci.
Puis Tit lit un passage d'Aristote , auquel il nous explique :

Citation:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?


Cassie que avait ecoutée ces paroles , baissa la tete un instant est medita sur ce passage .
_________________
Kyra
Comme elle le lui avait dit, Kyra vint à la messe écouter le sermon de soeur Titca sur l'amitié. Un sujet qui passionnait Kyra.
Elle entra dans l'Eglise et se signa.
Elle prit place près de Cassie, sa future marraine et écouta attentivement la Diaconesse.
Elle trouve le passage qu'elle lut sur Aristote plein de vérité. Pour Kyra, l'amitié était quelque chose de sacré c'est pour cela qu'elle ne la donnait pas si facilement.
Puis, elle attendit que Titca poursuive.
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