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[RP] Chapelle Saint Gabriel

Gabriel34
Gabriel n'est jamais rentré dans une église du moins, il ne s'en souviens pas...
Arrivé vers l'auel, il se mit a genoux d'insinct, et il commence a marmonner quelque chose entre ces dents....


Seigneur, faite que la personne que je cherche se manifeste, et puis vous ne saurez pas le suite, quand même ce n'est pas poli d'écouter la prière des gens, surtout quand on ne les connais pas... namého...

Cyrillius prie durant près d'une heure...
Quand il eu fini, il se signe, et reparti comme il est venu
Isalabelle
Longtemps qu'Isa n'était pas revenu dans la chapelle, or lorsqu'elle apprit que Bardieu devait bientôt elle décida de revenir pour la nettoyer, comme au bon vieux temps.
Econome, elle fit de sa pierre deux coups, et après avoir nettoyé avec sa pierre d'argile la chapelle, elle toqua avec elle sur l'autel pour appeler le Très Haut.
Une fois qu'elle eut l'intime conviction qu'Il était là, tout prêt d'elle, elle le remercia pour tout ce qu'il lui offrait de vivre, puis après s'être signée, ressortit le visage encore plus lumineux qu'à son arrivée.

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Bardieu


Début de la cérémonie : A nos morts, du 30 mars 1459.

La cérémonie est en hommage à Rubiz, Marie- Céline, Aeryan et Espérance, cadurciens morts, qu'ils reposent en paix dans nos terres.

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Bardieu
Bardieu, revenu à Cahors après pratiquement 4 mois d'absence, voulu commencer son nouveau mandat clérical par honorer les morts de Cahors. Il fit sonner la cloche avec un air grave, signe d'enterrement. Quatre disparus, piliers de la paroisse de Cahors, avaient rejoint le paradis solaire. Les mains du prêtre étaient rongés par les brulures de la corde après quelques minutes à peine de chant des cloches.



Mes biens chers amis, frères, sœurs, je vous remercie de vous receuillir, aujourd'hui, ensemble, dans notre bonne chapelle pour inscrire, ensemble, notre reconnaissance de voir nos amis et frères rejoindre le paradis solaire tandis que leurs enveloppes corporelles rester ici, sur Terre. Une larme s'échappa du visage du prêtre, qui essayait de lutter contre la tristesse du moment qu'il avait lui même provoqué. Rassemblons nous encore dans cet instant de paix pour prier et reconnaître la foi qui est en nous comme un critère indispensable à notre vie et nous permet de dépasser la tristesse de la perte de nos amis.

Bardieu laissa quelques instants avant de commencer la cérémonie.


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Isalabelle
En entendant les cloches sonner, Isa qui avait emmené ses moutons paître de l'autre côté du Lot, comprit que l'office en l'honneur des Cadurciens disparus, allait être célébré.
Avant de laisser seules ses bêtes, elle leur fit quelques recommandations, notamment de ne pas troubler le breuvage du loup ni de suivre bêtement les autres.
Puis elle partit confiante, en se dépêchant de rejoindre la chapelle, où elle savait qu'elle retrouverait nombreux de ses amis mais surtout celui qui occupait toutes ses pensées.

Enfin parvenue au coeur de la Cité, elle entra discrètement dans le lieu saint, se signa puis ne voyant aucun de ses amis, ni son ange, elle vint se placer à sa place favorite, à la lumière de son vitrail, après avoir adressé un geste affectueux de salutations à Bardieu.

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Tophe
En entendant les cloches, Tophe comprit qu il était l heure de dire au revoir a ses amis.
Il arriva just a près la belle, il entra et s installa pres d elle. Aujourd hui pas de sourire, non ce n était franchement pas le moment. Une fois assis il attendit sagement sans rien dire, la tête baissée.

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Se promenant avec son ange Craquette et leurs enfants Finn et Margot
Mimi83720
A l'appel des cloches la bourgmestre sortie immédiatement de son bureau avant d'entamer la courte marche jusqu'à l'Eglise d'un bon pas.
Nul doute en cet instant pour Mimi : l'heure de l'hommage annoncé par le père Bardieu pour leur très chers disparus à sonné, rien ne saurait l'empêcher d'y assister.
La douleur de la perte de la rouquine et de l'artiste, ne l'avait pas vraiment quitté, mais évoquer leur souvenir ne provoquaient plus chez elle que sourires affectueux, sentiment d'amitié inaltérable et infinie, toujours ô combien précieuse dans les moments les plus sombres qui ne cesseraient jamais de jalonner le parcours des survivants.

Le parvis peu à peu se remplissait des cadurciens venus partager cet instant solennel, cette communion qui les uniraient pour célébrer la vie et la mort de légendes de Cahors.
La brune salua respectueusement l'officiant avant d'entrer et de s'installer au côté de la belle et de Tophe, leur offrant un visage grave mais serein, emplit d'amitié.
La voix cependant nouée, Mimi n'insista pas et traduisit dans son regard des mots qui n'avaient point besoin d'être murmurés pour que la filleule de Rubiz et son ancien soldat préféré ne les comprennent.
Craquette
L'appel des cloches lui glacèrent le sang.Aujourd'hui le lourd tintement résonnait dans Cahors de manière lugubre.
Craquette se dirigea la gorge nouée vers la chapelle.
Il était temps de rendre un dernier hommage à ses amis et de leur dire adieu aussi.
Elle pénétra discrètement dans l'église,salua respectueusement Père Bardieu
et vint s'asseoir près de Mimi dans le plus grand silence.
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Jihel
Jihel arriva à son tour à l'appel du glas qui sonnait pour ses amis disparus dont le souvenir ne cessait de le hanter malgré la vie qui continuait, vaille que vaille... Après avoir embrassé en silence Craquette et son Tophe, puis Mimi, il alla se placer près de sa fée, lui souriant tristement. Après avoir placé sa main dans la sienne, il se tourna enfin vers l'autel décoré de fleurs, prêt à écouter le Père Bardieu qui s'apprêtait à célébrer la mémoire de Rubiz, Espérance, Marie, Aeryan et leur passage dans le paradis solaire...
Smer.
Il y a bien longtemps que les cloches n'avaient pas sonné à Cahors. Mis au courant par le bouche à oreille, Smer savait en quoi consistait la cérémonie du jour. Aucune réjouissance au programme, il se décida tout de même à être présent en mémoire de tous les disparus.

Bien sur plus ému par la disparition de MarieCeline, à qui il avait promis de venir pour elle dans l'église pour d'heureux évènements, il s'installa dans un coin reculé à l'abri des regards. Il retira son foulard et l'accrocha à sa ceinture. Il observa tous les recoins de la bâtisse cherchant le moindre signe qu'il soit d'apaisement dans la tristesse de la perte de sa "meilleure ennemie" comme il l'appelait quand elle était absente ou qu'il soit mystique pour se savoir toujours entouré des âmes de ces cinq personnes disparues.

Il n'osa pas l'avoir fait remarquer mais il manquait un nom sur l'affichette du père Bardieu. Sans doute trop ému par la série noire qui a frappé Cahors mais on en avait oublié la première victime, Linha.

Pas grave, se dit-il, seuls ceux qui ne l'ont pas oublié penseront également à elle.

Le recueillement des cadurciens était profond. Il se remémora les engueulades "protectrices" avec Marie. Que ça lui manquait... Il n'osa plus en parler depuis un moment, comme si les autres refusaient de parler des disparus qui leur étaient soit disant chers. Pour continuer à faire vivre leur mémoire, il voulait toujours parler d'eux mais il mettait tout le monde mal à l'aise le faisant. Peut être cette cérémonie lui ferait du bien. Il ne savait pas... Il se repassa tout les bons moments d'Espalion à Cahors qu'il a vécu et avec une tristesse lisible sur son visage, il écoutait les paroles saintes de Bardieu à l'encontre des défunts.
Bardieu
Après quelques instants de silence, Bardieu attaqua la suite de la messe funéraire. Isalabelle s'agenouilla et murmura quelques mots à l'oreille du frère officiant. Il semblerait que sa liste de morts n'étaient pas assez longue et qu'il fallait rajouter encore quelques noms. Il n'était pas à cela près, les enterrements, ça fait aussi partie du FBB (Frère Bardieu Business). Le cistercien leva les bras et commença un petit cantique en l'honneur des morts.

Frères bien-aimés, prions le Tout-Puissant
d'avoir pitié des hommes dans l´épreuve :

Qu´il débarrasse le monde de toute erreur,
qu´il chasse les épidémies et repousse la famine,
qu´il vide les prisons et délivre les captifs,
qu´il protège ceux qui voyagent,
qu´il ramène chez eux les exilés,
qu´il donne la force aux malades,
et accorde le salut aux mourants.


Tous prient en silence. La dernière phrases étaient pour Bardieu la plus émouvantes du moment, puisque la messe était donné aux morts. Il continua.


Logos éternel et moteur du monde,
consolation des affligés,
force de ceux qui peinent,
entends les prières des hommes qui t´appellent,
quelles que soient leurs souffrances :

Qu´ils aient la joie de trouver dans leurs détresses
le secours de ta miséricorde.
par Christos et Aristote nos prophètes.

Puissent Foi et Raison les guider,
et que Saint Arnvald le justicier, les protège.


C'était un moment simple dans la vie liturgique que Bardieu s'apprêtait à faire, il devait maintenant entrer dans le détail de la célébration et du pourquoi de celle-ci. Honorer les morts est une chose, leur rendre grâce en est la suite logique, et, maintenant, saluer leur mémoire est un honneur, qui dépasse le rôle normal de chacun dans le déroulement logique de la mort du corps terrestre.

Mes enfants, sous la sainte protection que nous demandons chaque jour à Aristote et à Christos, nos prophètes, je souhaite énumérer les noms de nos morts, l'un à la suite des autres. Je souhaite que chacun d'entre vous garde en soit une image d'eux.

J'ai également sélectionné, pour aider notre prière, un petit passage du livre des vertus.
Mêlant la parole à l'acte, Bardieu commença sa petite lecture. Il était étonné de voir que chacun buvait ses paroles, sans bâillement, sans somnolence ou étourdissement, en fait, c'était radicalement différent de chaque dimanche matin. Cela inquiéta même le frère qui se demanda si ses paroissiens allaient bien.

Citation:
Epimanos: Ah!? Là je ne te suis plus. Que veux tu dire?

Aristote: C'est bien simple: tout comme le mariage la mort est un évènement définitif. Il faut s'y préparer donc soigneusement. Si il y a une vie après la mort, alors la vie que nous menons avant la mort doit être consacré à préparer cette vie après la mort. Tout comme notre vie avant le mariage doit être consacrée à préparer notre vie après le mariage.

Epimanos: Je vois où tu veux en venir. Pour toi la mort n'est qu'un passage qui mène à une autre vie?

Aristote: Oui, et notre vie présente doit se consacrer à préparer cette ve future.

Epimanos: Mais pourquoi cette vie future serait elle plus importante que la présente? Et comment peut-tu être sur de son existence?

Aristote: Tu te souviens de notre discussion sur la différence entre les animaux et les hommes?

Epimanos: Oui, je m'en souviens très bien. Tu disais qu'il y avait une différence entre les deux, que l'homme était intelligent quand la bête ne cherchait rien de nouveau.

Aristote: Oui. Mais comment l'homme fait il pour chercher du nouveau, pour creer même en lui et autour de lui ce nouveau?

Epimanos: Et bien si je pars de ma propre expérience, je dirais que j'ai des idées qui me viennent, et qui ne semblent venir de personne d'autre que de moi même, et que je réflechie sur ces idées.

Aristote: J'en suis arrivé à la même conclusion. Ce qui m'a frappé c'est que cela ne venait pas de ce qui m'entoure, mais de moi même, de mon intérieur. Cela semblait...

Epimanos: Immatériel non?

Aristote: Oui, immatériel. Ce n'était pas la conséquence d'une impression sensible mais d'une impression immatérielle, spirituelle.

Epimanos: Je comprend. Mais quelles conclusions en tirer? Il est évident que ces impressions viennent de notre âme.

Aristote: Oui, mais cela veut dire que notre âme est immatérielle, car l'immatériel ne peux pas venir du matériel. Personne ne peut donner ce qu'il n'a pas. N'est tu pas d'accord?

Epimanos: Oui, dit comme cela c'est compréhensible. Mais où veux tu en venir?

Aristote: Mon père est médecin Epimanos, et il m'a souvent décrit la mort: la matière se putréfie, se désintègre sous l'effet du temps. Et regarde autour de toi: la mort est toujours marquée par la destruction de la matière.

Epimanos: Oui, tout passe en ce monde, et ce que les anciens on construit est déja presque disparu.

Aristote: Mais si tu prends quelque chose qui n'est pas composé de matière, cela disparaitra t'il?

Epimanos: Il ne me semble pas: si ce n'est pas composé de matière alors cela ne peut pas se désintégrer. Cela ne mourra pas. Ainsi la pensée d'un homme comme Pythagore sera éternelle et vivra encore dans plus de mille ans.

Aristote: Donc tu penses que ce qui est immatériel ne meurt pas?

Epimanos: Avec tout ce que nous avons dit jusqu'ici, je crois que c'est une chose établie.

Aristote: Alors notre âme, qui est immatérielle, doit elle aussi, ne pas mourir. Quand nous mourons notre corps disparait, mais notre âme, elle demeure. Et c'est cette vie de l'âme qui est la vie future. C'est cette vie que notre vie présente, dans notre corps, doit préparer.

Epimanos: Le roi qui meurt va donc vivre encore?

Aristote: Oui, et c'est pour que cette vie de son âme soit heureuse que je vais prier ce soir.

Epimanos: Nous prierons ensemble alors.

Et sur ces mots les deux amis se séparèrent, Epimanos rentra dans le temple de Proserpine, pendant qu'Aristote se dirigea vers la sortie de la ville pour marcher dans la campagne.


Aristote, mes chers enfants, nous a dit... enfin, il l'a surtout dit à Epimanos et a ensuite été consigné, mais cela revient au même, que la mort est un acte définitif...Bardieu pensait à ce moment là à tout ces pauvres hères qui choisissaient le mariage, condamné à entretenir une femme dans une union, qui, parfois, n'était pas voulu. Mais c'était définitif et c'est ainsi, il fallait assumer. Bref, je disais, à oui, la mort est un acte définitif qui fait mener notre âme de sa pauvre enveloppe terrestre au paradis solaire.Bardieu s'arrêta un instant. Il regarda dans la salle s'il n'y avait pas un pauvre pécheur dans l'assistance, qui, lui, aurait droit à l'enfer lunaire, assurément. Voyons la mort comme un aboutissement et non comme une fin. Souvenons nous des visages des disparus et soyons heureux, car, aujourd'hui, ils sont loin de nous, mais au paradis solaire !

Soyons doublement, triplement, quadruplement...
Bardieu eut un trou de mémoire sur la suite.... enfin, demi-douzainement heureux pour eux, mais ils nous manquent terriblement, car ils ne nous donnent aucune nouvelle.

Je vais maintenant faire l'appel aux morts.
Instant solennel, Bardieu commençons le très célèbre appel, auquel, évidemment, aucun mort ne va répondre, mais dont le souvenir, encore très présent dans la chaire de chacun, répondra.

Rubiz

L'assemblée, derrière ce nom, répéta le réponds.
Nous te garderons à jamais dans notre souvenir.

Marie-Celine

Là aussi, à nouveau, tel un automatisme, l'assemblée, derrière ce nom, répéta le deuxième réponds.
Sur le paradis solaire, ton âme s'en est allé.

Aeryan
Derrière le Tout Puissant, c'est un total de deux hommes , Aristote et Christos, qui forme le chifre trois, l'assemblée répéta un troisième et dernier réponds.
Salut, mec.

Esperance

Là, les fidèles eurent un peu plus de mal. Ne sachant quoi répondre, c'est Bardieu qui prit la suite et l'initiative. En effet, il était rare qu'une cérémonie dépasse les trois morts. Sauf dans un cas, très précis, auquel Bardieu avait déjà participé : les batailles. Les carnages faisaient rarement moins de 3 morts et c'est là que les prêtres, équipés d'ABM (armes de bénédiction massives), intervenaient. Bardieu faisait partie d'eux. Il cita donc un texte quasi inconnu, le septième logion d'Aristote.

Si mon prédicat majeur est que : Tous les hommes sont mortels; si mon prédicat mineur postule que : Tous les Grecs sont des hommes; la conclusion de mon syllogisme logique est que : Tous les Grecs sont mortels. Mais en vérité, la subtile finalité de ces assertions syllogistiques est de mettre en exergue l'immortalité du moteur suprême du monde.

Linha
Là, l'assemblée avait eu le temps de récupérer définitivement et avait repris le premier reponds.Nous te garderons à jamais dans notre souvenir.

Zachem
Une dernière fois, l'assemblée salua en quelques mots.Sur le paradis solaire, ton âme s'en est allé.

Un consensuel "Amen" termina cette partie de la cérémonie.
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Isalabelle
A présent tres bien entourée, et sa main dans celle de Jihel, Isa suivait attentivement la cérémonie lorsque soudain elle réalisa que le père Bardieu avait omis de citer le nom de deux cadurciens disparus.

Ecarquillant grands ses yeux tandis que sa main inoccupée venait instinctivement couvrir un son échappé de sa bouche, elle se demanda que faire puisque la cérémonie avait commencé.
Après avoir longuement hésité, elle décida d'en faire part à Bardieu, et après avoir prévenu son ange de la raison pour laquelle elle reprenait sa main avec elle, elle se glissa jusqu'au bout du banc.
Toutefois pour se déplacer le plus discretement possible dans la chapelle, elle décida de suite de se mettre à quatre pattes. Avec un peu de chance, seuls les premiers rangs la remarqueraient et elle ne dérangerait pas l'office en ce jour si solennel.

Lorsqu'elle eut enfin rejoint Bardieu, elle s'agenouilla pour lui murmurer les noms de Linha et de Zachem, puis aussi doucement qu'elle était arrivée jusqu'à lui, elle repartit.

Elle reprit sa place, sa main aussi, puis elle écouta avec attention la lecture du livre des vertus. Elle ne put contenir quelques sourcillements en entendant le début, et en désaccord avec quelques paroles, elle caressa la main de Jihel d'un geste tendre et rassurant. Toutefois, elle apprécia la fin qui se voulait très optimiste.
De plus Bardieu les invitait à se réjouir...
Isa savait qu'elle était une privilégiée, que dans certaines conditions il était facile de supporter toutes les peines du monde, aussi, elle n'eut pas de mal à se réjouir pour ses amis défunts.

Les noms de chacuns étaient alors prononcés par l'assemblée, et finalement l'émotion rattrapa Isa qui sentit soudain les larmes perler sur ses joues tandis qu'elle se souvenait pour chacun d'un bon moment passé en leur compagnie...

Amen
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Losky
Losky arriva un peu en retard comme à son habitude. Il entra sans se faire remarquer et s'installa dans le fond de l'église. Il arriva juste au moment des prières que l'on adresse aux morts.
Il pensa à tous ses amis disparus. Sa fiancée Linha, sa marraine Marie, ses amis Zac, Rub, Espé et le "vieux papy" Aeryan. C'est avec une immense émotion qu'il répéta les prières, les larmes aux yeux. Il gardait pour chacun d'eux tous les souvenirs des meilleurs moments passés avec eux, en tav et en halle.

Il avait le regard dans le vide lors de l'appel aux morts. Son cœur fut si triste lors de l'appel de Linha et de Marie. Ainsi était la vie et il n'y pouvait rien. Il faut juste profiter des moments de bonheur que la vie lui donne.

Il pria intérieurement pendant la suite de la cérémonie funéraire.
Maylis


dimanche : jour du seigneur


Ce matin là Maylis et Leepo revêtirent leurs plus beaux atours pour se rendre à la messe ...Il y avait longtemps qu'ils attendaient que la chapelle ouvre ses portes ..enfin c'était chose faite....

Maylis sa main posée sur le bras de Leepo arrivèrent devant les portes , ils poussèrent ses dernières et pénétrèrent dans le saint lieu , au fond de celle ci devant le chœur se tenait le père Bardieu qui s'apprêtait à celébrer l'office divin , en silence ...après avoir fait une génuflexion et trempé leur doigts dans le bénitier puis gagnèrent les bancs pour assister à celui ci ..

Ils attendraient la fin pour saluer le père qu'ils n'avaient pas encore eu la chance de rencontrer
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Marilou133
Marilou entra dans la chapelle et se signa ,elle montra à méolyne et Dorian comment faire le signe de croix et se glissa avec eux sur le coté en leur murmurant d'écouter et de pas parler avant la fin .

elle posa son regard sur les gens ,sans reconnaitre personne ,puis elle le posa sur l'officiant ,monseigneur Bardieu,sa voix emplissait la chapelle ...

elle s'assit et écouta la cérémonie en répondant aux question des enfants .
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