Arylis
Arylis eut un imperceptible sourire. Les femmes entraient dans la danse et déjà un air nouveau planait dans la courette.
On avait beau dire ... Lorsque les hommes se comportaient comme de vrais gamins les femmes avaient un sens pratique plus développé et leurs jeux étaient plus ... Mystérieux ...
La brunette se détourna du blondin qui portait toujours la rousse et regarda le doigt teinté d'écarlate dune Blonde monter jusqu'aux lèvres de la même couleur. Lorsque la femme qui lui faisait face se mit à parler elle l'écouta sans mot dire, la prudence ayant subitement repris le dessus.
Cpas ici qufaut donner des lçons mazelle.
Aidez-moi à lrentrer, et faites cque savez faire plutôt hein.
La brunette hocha la tête. Quelques qu'étaient les circonstances elle aimait qu'on ne l'aborda pas comme une vieille amie qui gardait les cochons. Le "Vous" de la Blonde la plaça à un pied d'égalité et elle apprécia.
Ce n'était pas parce qu'on était pas du même monde qu'il fallait se priver de courtoisie.
En voyant la femme approcher Faren avait bondit sur l'épaule de la jeune fille. A présent l'écureuil avait disparu dans l'échancrure de la chemise et elle frissonna en sentant son pelage trempé sur sa peau nue.
Tiens..
Prend lautre bras, et fait le traîner lmoins possible, srait capable de splaindre Eik.
La brunette posa son regard sur le torse à moitié redressé.
Il avait qu'à pas se mettre dans cet état ... L'aura déjà de la chance s'il s'en sort avec une patte folle. Elle y est pas aller de main morte la Rousse ...
Elle passa par-dessus sa nuque la masse qui servait de bras au dénommé Eik' et ne put retenir un grommellement boudeur. On n'avait pas idée d'être aussi lourd ...
Trois!
La brunette suivit le mouvement et le corps énorme fut soulevé du sol, du moins de la taille des deux femmes qui étaient loin d'atteindre les deux mètres du colosse.
Elles passèrent près du mercenaire provocateur et Arylis espéra quil allait rapidement rentrer la blessée, elle risquait sérieusement de prendre froid.
Lorsqu'enfin le trio bancal franchit la porte de l'auberge, la jeune fille découvrit combien il était agréable de ne plus avoir les joues martelées par les gouttes glacées. Elle savoura un bref instant le plaisir de son visage dégagé et le fait de ne plus avoir à plisser les yeux pour trouver ses pieds.
Ils déboulèrent dans la pièce à manger désertée. Dégageant de leur bras libre une table où s'entassaient encore assiettes et gobelets, les deux béquilles y déposèrent sur le flanc le corps cassé avec autant de délicatesse qu'il était possible en ces circonstances.
La brunette reprit son souffle et contempla à la lumière l'étendue du désastre. Bon ... C'était sérieux mais rien de catastrophique. En remontant dans ses souvenirs elle pourrait malheureusement le sauver ...
Elle se tourna vers sa compagne d'infortune.
Vous pourriez ... Tu pourrais me faire une belle flambée qu'on réchauffe tout ce beau monde s'il-te-plaît ?
Arylis se disait que le tutoiement avait été lancé et qu'il effacerait les différences, notamment le fait que ce groupe se connaissait parfaitement alors qu'elle n'était qu'une étrangère tombée là par hasard ... En fait non ... Elle se mit à maudire son sens de l'orientation.
Elle entreprit ensuite de dévêtir le colosse ...
Pas grand-chose à faire, il était simplement vêtu et navait pas pris soin de se faire beau pour rencontrer une mort possible. Elle neut quà retirer les bottes cloutées et les braies trempées. La chemise à moitié déchirée lui posa plus de problèmes, mais elle sen débarrassa de quelques coups de dague.
La brunette se dirigea ensuite vers ce quelle jugea être la cuisine, au passage l'écureuil pointa le bout de son nez et quitta l'abri de sa chemise pour bondir sur la cheminée.
Au bout de quelques minutes de recherches elle découvrit ce quelle voulait : Une bassine assez imposante quelle sempressa d'aller remplir à la pompe dehors. Après une rapide inspection l'eau lui parut propre et surtout elle était glacée !
Tout ce qu'il lui fallait.
Rentrant précipitamment pour fuir de nouveau la pluie qui n'avait pas diminué d'intensité elle alla poser sa bassine près de la table où était allongé le chef zokoïste.
Puis elle risqua un il à lextérieur, se demandant brièvement ce quil en était des autres protagonistes et en particulier de cette damnée rousse, pauvre inconsciente du rôle quelle jouait à présent.
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On avait beau dire ... Lorsque les hommes se comportaient comme de vrais gamins les femmes avaient un sens pratique plus développé et leurs jeux étaient plus ... Mystérieux ...
La brunette se détourna du blondin qui portait toujours la rousse et regarda le doigt teinté d'écarlate dune Blonde monter jusqu'aux lèvres de la même couleur. Lorsque la femme qui lui faisait face se mit à parler elle l'écouta sans mot dire, la prudence ayant subitement repris le dessus.
Cpas ici qufaut donner des lçons mazelle.
Aidez-moi à lrentrer, et faites cque savez faire plutôt hein.
La brunette hocha la tête. Quelques qu'étaient les circonstances elle aimait qu'on ne l'aborda pas comme une vieille amie qui gardait les cochons. Le "Vous" de la Blonde la plaça à un pied d'égalité et elle apprécia.
Ce n'était pas parce qu'on était pas du même monde qu'il fallait se priver de courtoisie.
En voyant la femme approcher Faren avait bondit sur l'épaule de la jeune fille. A présent l'écureuil avait disparu dans l'échancrure de la chemise et elle frissonna en sentant son pelage trempé sur sa peau nue.
Tiens..
Prend lautre bras, et fait le traîner lmoins possible, srait capable de splaindre Eik.
La brunette posa son regard sur le torse à moitié redressé.
Il avait qu'à pas se mettre dans cet état ... L'aura déjà de la chance s'il s'en sort avec une patte folle. Elle y est pas aller de main morte la Rousse ...
Elle passa par-dessus sa nuque la masse qui servait de bras au dénommé Eik' et ne put retenir un grommellement boudeur. On n'avait pas idée d'être aussi lourd ...
Trois!
La brunette suivit le mouvement et le corps énorme fut soulevé du sol, du moins de la taille des deux femmes qui étaient loin d'atteindre les deux mètres du colosse.
Elles passèrent près du mercenaire provocateur et Arylis espéra quil allait rapidement rentrer la blessée, elle risquait sérieusement de prendre froid.
Lorsqu'enfin le trio bancal franchit la porte de l'auberge, la jeune fille découvrit combien il était agréable de ne plus avoir les joues martelées par les gouttes glacées. Elle savoura un bref instant le plaisir de son visage dégagé et le fait de ne plus avoir à plisser les yeux pour trouver ses pieds.
Ils déboulèrent dans la pièce à manger désertée. Dégageant de leur bras libre une table où s'entassaient encore assiettes et gobelets, les deux béquilles y déposèrent sur le flanc le corps cassé avec autant de délicatesse qu'il était possible en ces circonstances.
La brunette reprit son souffle et contempla à la lumière l'étendue du désastre. Bon ... C'était sérieux mais rien de catastrophique. En remontant dans ses souvenirs elle pourrait malheureusement le sauver ...
Elle se tourna vers sa compagne d'infortune.
Vous pourriez ... Tu pourrais me faire une belle flambée qu'on réchauffe tout ce beau monde s'il-te-plaît ?
Arylis se disait que le tutoiement avait été lancé et qu'il effacerait les différences, notamment le fait que ce groupe se connaissait parfaitement alors qu'elle n'était qu'une étrangère tombée là par hasard ... En fait non ... Elle se mit à maudire son sens de l'orientation.
Elle entreprit ensuite de dévêtir le colosse ...
Pas grand-chose à faire, il était simplement vêtu et navait pas pris soin de se faire beau pour rencontrer une mort possible. Elle neut quà retirer les bottes cloutées et les braies trempées. La chemise à moitié déchirée lui posa plus de problèmes, mais elle sen débarrassa de quelques coups de dague.
La brunette se dirigea ensuite vers ce quelle jugea être la cuisine, au passage l'écureuil pointa le bout de son nez et quitta l'abri de sa chemise pour bondir sur la cheminée.
Au bout de quelques minutes de recherches elle découvrit ce quelle voulait : Une bassine assez imposante quelle sempressa d'aller remplir à la pompe dehors. Après une rapide inspection l'eau lui parut propre et surtout elle était glacée !
Tout ce qu'il lui fallait.
Rentrant précipitamment pour fuir de nouveau la pluie qui n'avait pas diminué d'intensité elle alla poser sa bassine près de la table où était allongé le chef zokoïste.
Puis elle risqua un il à lextérieur, se demandant brièvement ce quil en était des autres protagonistes et en particulier de cette damnée rousse, pauvre inconsciente du rôle quelle jouait à présent.
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