Duduche, incarné par Ninon.
Ça remplit les chemins de leurs crottins, ca revient la fleur au bout du fusil, et ca se croit conquérant a sortir une épée pour la faire briller.
La terre n'aime pas le sang et la pourriture, elle est affalée dans l'herbe, sur sa paillasse, son brin a la bouche, regarde passer les oiseaux de mauvais augure , chacun son petit drapeau..courrez courrez la misère.....pt'in le soleil il se fait rare la, c'est le passage des soldats qui rentrent qui fait de l'ombre, ils doivent ramener le vent du Berry avec eux, va falloir se rentrer avant de se chopper la goutte au nez.
Vont surement se taper des racontards autour de quelques verres, ca sera le jour des grands récits, peut etre que certains auront même combattu la bête sans noms, sans déc l'alcool aidant en aura pour toutes les sauces, peut etre que les femmes honnétes ca les fera succomber l'oeil vif ca.
Elle se lève, se tape le postérieur, pour en faire tomber la paille, et regarde encore passer le contingent, d'un il, puis c'est plus fort que elle, peut pas s'empecher la quand elle en voit le nez retroussé passant tout prêt, celui la a sur son ceinturon une belle bourse, c'est fou ce que la guerre rapporte, ca sent la foison tout ca, ce soir se sera Byzance en taverne.
Elle se colle au bord du chemin, relève un peu son jupon, prend l'il de la vachette au bord du pré.et se met a ricaner.
"hé les mimis troufions ca rentre tout droit du Berry ca, alors la guerre c'etait comment les gars?"
Elle se pose, fait la moue, p'tin ca passe dans le chemin en pas un qui la regarde, hé ho j'existe je vis la quoi les gars!!!!! pas possible ca sont endoctrinés la, sur la pointe des pieds elle se dresse en cherche un qui a pas l'air trop niais, dur a trouver mais en aura peut être un dans le lot.
Haussant la ton elle crie.
Hé les gars on rentre de la guerre la??
Elle saisit des cailloux le bord du chemin, et les balance a pleine poignée ca rebondit sur les têtes creuses, marrant ca fait des ricoches même, cela lui déclenche un fou rire.
La terre n'aime pas le sang et la pourriture, elle est affalée dans l'herbe, sur sa paillasse, son brin a la bouche, regarde passer les oiseaux de mauvais augure , chacun son petit drapeau..courrez courrez la misère.....pt'in le soleil il se fait rare la, c'est le passage des soldats qui rentrent qui fait de l'ombre, ils doivent ramener le vent du Berry avec eux, va falloir se rentrer avant de se chopper la goutte au nez.
Vont surement se taper des racontards autour de quelques verres, ca sera le jour des grands récits, peut etre que certains auront même combattu la bête sans noms, sans déc l'alcool aidant en aura pour toutes les sauces, peut etre que les femmes honnétes ca les fera succomber l'oeil vif ca.
Elle se lève, se tape le postérieur, pour en faire tomber la paille, et regarde encore passer le contingent, d'un il, puis c'est plus fort que elle, peut pas s'empecher la quand elle en voit le nez retroussé passant tout prêt, celui la a sur son ceinturon une belle bourse, c'est fou ce que la guerre rapporte, ca sent la foison tout ca, ce soir se sera Byzance en taverne.
Elle se colle au bord du chemin, relève un peu son jupon, prend l'il de la vachette au bord du pré.et se met a ricaner.
"hé les mimis troufions ca rentre tout droit du Berry ca, alors la guerre c'etait comment les gars?"
Elle se pose, fait la moue, p'tin ca passe dans le chemin en pas un qui la regarde, hé ho j'existe je vis la quoi les gars!!!!! pas possible ca sont endoctrinés la, sur la pointe des pieds elle se dresse en cherche un qui a pas l'air trop niais, dur a trouver mais en aura peut être un dans le lot.
Haussant la ton elle crie.
Hé les gars on rentre de la guerre la??
Elle saisit des cailloux le bord du chemin, et les balance a pleine poignée ca rebondit sur les têtes creuses, marrant ca fait des ricoches même, cela lui déclenche un fou rire.