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[RP] Taverne et Auberge, Aux Eaux Troubles

--Myst




L'homme entra dans l'auberge qu'il avait repérée en passant dans une des rues de Nevers, il salua de la tête les quelques personnes présentes.

Il repéra vite une table éloignée des autres dans un coin sombre, l'endroit idéal pour discuter tranquillement.

Il s'installa à la table et une jeune femme s'approcha pour prendre sa commande, il reconnut la damoiselle triste qu'il avait vu quelques jours avant sur la place.

Il commanda une bière, la jeune fille lui apporta puis le laissa tranquillement à sa méditation, le personnel ici savait être discret il appréciait.

Plus qu'à attendre, il viendrait le rejoindre comme convenue, ils pourraient échanger les informations qu'ils avaient recueillies et ainsi poursuivre leur mission.
--Rapace


Après avoir marcher de nombreuses nuits, il arrivant enfin à Nevers, il faisait froid, pas grand monde ne circuler dans les petites rues, dans son grand manteau noir il sillonnait les rues nivernaises à la recherche de personnes intéressantes, il passa de nombreuses heures à observer les personnes aller et venir, il aperçu un homme longer les murs de Nevers, puis une femme qui usé d’un langage des plus étranges, il avait entendu parler d’un repère de malfrat à Nevers, c’était une taverne, il se dirigea vers les tavernes une fois devant la fameuse dont le nom était connu en tout le duché « Au Crapaud Baveux » , il poussa doucement la porte, la taverne était vide, les chandelles étaient mortes on aurait dit que personne n’était venu ici depuis bien longtemps, il fit deux pas en arrière puis referma la porte, il continua son chemin dans la rue quand il passa devant une autre taverne, attiré par la lumière il jeta un vif regard à droite puis à gauche, il était seul dans cette petite rue, d’un manière très habile acquise par des années d’expérience il scruta par la fenêtre ce qui se tramer à l’intérieur, il y avait une très jeune tavernière dont son visage lui rappelait un homme qu’il avait croisé dans une autre ville bourguignonne il y a longtemps, un peu plus loin il y avait un moustachu qui avait l’air de ne manquer de rien sur son fauteuil de noble il dormait, puis un peu plus au fond seul à tablé une silhouette qu’il avait déjà vu quelque part, en apercevant cette dernière il esquissa un léger sourire. Rapidement il s’écarta des carreaux très propre pour ne pas être vu, il s’enferma dans son grand manteau, baissa la tête, poussa doucement la porte, pour éviter tout grincement et se faire remarquer le moins possible, sans relevé la tête ni regarder à droite ou à gauche il s’avança vers la table du fond, une fois arrivé devant la porte il s’immobilisa quelques secondes, il passa la main dans son manteau déposé un parchemin sur la table sur lequel il déposa une bourse d’écus, sans demander quoi que ce soit à l’homme déjà assis il prit place en face de lui, il releva la tête pour le regarder, il buvait sa chope à petite gorgée. Il se frotta les mains puis écarta le parchemin et la bourse d’une main, avant de lui murmuré d’une petite voix sourde : « Vous n’auriez pas du venir ici… » Il s’arrêta net de parler quand il aperçus la tavernière s’approcher pour prendre commande, sans lâcher son vis-à-vis du regard, d’un signe de la main tout en lui tendant deux écus, lui fit comprendre de servir à boire à l’homme qui était à sa table et par la même occasion de lui apporter une chope bien plein, une fois la jeune fille repartie il souleva la bourse et la déposa à cote du parchemin, il regarda autour de lui pour vérifier qu’il n’y ai personne pour l’observer, il regarda son parchemin, il était vierge est légèrement bruler sur les bords, il regarda l’homme, puis souleva le parchemin devant la chandelle posée sur la table, on pouvait y lire par transparence « Qu’avez-vous à m’apporter ? » Il reposa aussi tôt le parchemin sur la table et le fit glisser devant l’homme. Du coin de l’œil il aperçus la tavernière revenir avec deux chopes sur un plateau de bois, il attendit d’être servit, sans prendre la peine de la remercier, il but une grosse gorgée puis reposé violemment sa chope sur la table, laissant entendre le tintement des écus dans la bourse et le bruit sourd du bois de la table.
--Myst




L’homme assit à la table leva les yeux sur la personne que s’était approché, il connaissait cette personne mais était néanmoins surprit de le voir ici. Il ne s’attendait pas à lui, il travaillait toujours avec un autre complice, ses employeurs avaient-ils envoyé une autre personne pour les aider ??? N’avaient-ils pas confiance en lui ???

Il attendit que la jeune tavernière reparte vaquer à ses occupations, décidément cette taverne offrait toute la discrétion dont il avait besoin. Il refit le tour de la taverne du regard, s’assurant que personne ne les observait tout en guettant la porte, prêt à disparaître à la moindre alerte.

L’homme face à lui, lui murmura « Vous n’auriez pas du venir ici… », Il l’interrogea du regard. Après cette de nouveau assuré que personne ne les écoutaient-il lui répondit à voix basse « pourquoi cela ?? Le lieu semble calme et isolé… que faite vous en ces lieux je travaille avec un autre… « ami ». »

Il scruta le parchemin de l’homme se demandant ce qu’il devait lui révéler puis lui murmura « je suis arrivé il y a peu j’en suis aux repérages… connaître ne village pour ne pas faire d’erreur et couvrir ma fuite une fois la mission effectuée. J’attends… qui vous savez pour faire le point et lancer l’opération »
--Spy





Il s’avança dans la ruelle vide, ce lieu retiré lui permettait de vérifier qu’il n’était pas suivit. Il Entra dans la taverne regardant les quelques personnes présente. Il vit l’homme avec qui il avait rendez-vous, mas s’arrêta net constatant qu’il n’était pas seul.

Il croisa le regard de l’homme avec qui il travaillait habituellement et fut rassuré, la personne à sa table ne présentait pas de danger immédiat il l’avait lu dans le regard de son comparse.
Il s’approcha et vint s’asseoir à leur table.

Il dévisagea le 3eme homme et le reconnu sans peine, Il le salua de la tête. Sa présence ne le dérangeait pas, tant que sa mission était menée à bien et que ses employeurs étaient satisfaits… Après avoir vérifié que personne ne les écoutait. Il leur murmura « j’ai effectué les repérages prévus… tout semble se présenter au mieux… »
Igel
Igel avait fait un long voyage. Elle était très fatiguée et elle souhait un lit douillet pour reprendre des forces. Elle a regardé l'auberge et a frappé à la porte.
Alienore_de_vel
Alienore vaquait à ses occupations, laissant ses clients sirotter leurs bières et discuter ensemble.

Elle entendit que l'on frappait à la porte et alla ouvrir, elle fit entrer la damoiselle.

Boujour Damoiselle que puis je pour vous ???
Je peux vous proposer à manger à boire une chambre ???

Soyez la bienvenue à Nevers je m'appelle Alienore.
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Igel
La porte s'ouvrait et une sympathique dame se tenait en face d`Igel.

Enchantee! Mon nom est Igel et je viens d'Ingolstadt en Bavière. Le voyage etait long et fatigant. Avez-vous une chambre pour moi et mon mari?

Elle sourit.

Et, oui, j`aimerais bien un thé chaud.
Alienore_de_vel
Alienore pria la dame de s'instaler et lui servit un thé bien chaud, elle déposa aussi sur la table un pot de miel et quelques petits gateaux ou cas ou Igel aurait faim. La jeune tavernière tenait à ce que tout le monde se sente bien dans cette taverne.

Tenez dame buvez ça, j'espère que vous serez satisfaite, je vais vous préparer votre chambre.

Pendant qu'Igel buvait son thé, alienore monta l'escalier et alla préparer une chambre. Elle mit des draps propres et fit le ménage.



Puis elle redescentit et s'assura que tout le monde était servit.

Je vous ai préparer notre meilleure chambre Dame, j'èspère que votre mari et vous y serez bien.
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Igel
Igel apprécia le thé bien chaud. Lentement elle se réchauffait. Elle a aussi goûté le gâteau délicieux.

Alors on lui a montré la chambre. C'était beau!

Je vous suis très reconnaissante, Alienore. La chambre est magnifique.
Kathelle
La brune, arrivée depuis deux jours, n’avait guère pris le temps de visiter réellement la ville ; son principal souci étant de trouver un abri pour la nuit, elle s’était installée dans la grange d’un paysan qui, accessoirement s’occuperait de l’Isabelle pour la durer du séjour…deux nuits passées sur une paillasse eurent raison de son corps, déjà mis à rude épreuve par les nombreuses chevauchées.

En allant aux champs ce matin-là, décision fut prise de chercher un abri plus approprié ; elle se mit en quête sitôt son travail terminé…quelques heures plus tard, après s’être perdue de nombreuses fois – mais comment faisait-elle sur les routes avec un sens de l’orientation aussi lamentable^^-, la donzelle aperçu l’enseigne salvatrice et poussa la porte.
Elle pénétra dans une taverne propre et joliment arrangée ; un feu brulait dans l’âtre et l’azurée de s’en approcher afin de se réchauffer un peu ; elle observa l’endroit dans une recherche vaine et se décida à informer de sa présence :

Bonsoir ! Il y a quelqu’un ?
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Alienore_de_vel
Alienore qui était à l'étage afin de s'assurer que Dame Igel ne manquait de rien, entendit une voix dans la taverne.

Citation:
Bonsoir ! Il y a quelqu’un ?


Elle descendit l'escalier et vit une dame qu'elle ne connaissait pas, une voyageuse sans doute pensa t-elle. Elle alla au devant de la Damoiselle affichant un large sourire.

Soyez la bienvenue dans cette établissement Damoiselle, je m'appelle Alienore de Vel que puis je faire pour vous être agréable ???
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Kathelle
La brune guettait une réponse, un bruit, une voix, quand elle entendit des pas qui semblaient descendre un escalier ; une jeune femme affable vint à sa rencontre, et l’azurée de lui sourire en retour :

Enchantée Dame, Kathelle du Niflheim. Je séjourne dans votre charmante cité depuis deux jours et deux nuits dans une grange, c’est bien assez !...bref, je cherche une chambre où loger le temps de mon escale, en auriez-vous une pour moi ?
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Alienore_de_vel
Une chambre, mais bien sur nous avons tout ce que vous désirez.

Ali conduisit la dame à l'une des chambres à l'étage.

Le lit est fait, si vous désirez que je vous monte de l'eau chaude pour faire votre toilette, ou si vous voulez boire ou manger n'hésitez pas à m'appeler.

Ali laissa la dame se reposer tranquillement et redescedit pour s'occuper de la taverne.
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Kathelle
La brune sourit à son interlocutrice et la suivit à l’étage, ravie de ne pas passer une nuit supplémentaire dans la paille ; elle découvrit la chambre, aussi bien agencée que le reste de l’auberge et, acceptant volontiers la proposition, elle remercia la jeune femme qui repartit vaquer.

Quelques instants plus tard, l’azurée s’immergeait dans l’onde bienfaitrice, enrichie d’huile à la fleur d’oranger ; la frêle silhouette se délassait en songeant aux semaines passées…que de lieues parcourues, que de villes traversées, que de visages croisés et toujours la solitaire repartait ; un sourire éclaira le minois au souvenir de la soirée passée, la jeune femme termina sa toilette et quitta le baquet dont l’eau s’était rafraichit par la durée du bain.

Enveloppée dans un linge propre, elle observa la pièce qui, il fallait bien l’admettre ressemblait davantage à un champ de bataille qu’à une chambre, et se mit à rire ; les vêtements jonchaient le sol…une botte par ci, un bas par là, les braies reposaient négligemment sur une chaise tandis que la chemise était roulée en boule au pied du lit, quant au bustier, mystère…Elle enfila rapidement une tenue propre et remit de l’ordre avant de sortir ; l’escalier descendu, elle salua la tavernière avant de partir en balade :

Bonne soirée Dame Alienore, je dinerais dehors…A demain sans doute.
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Alienore_de_vel
Alienore occupée à nettoyer la cuisine entendit Kathelle descendre, elle semblait aller mieux qu'a son arrivée, Ali était heureuse d'avoir un aider cette voyageurs qui semblait fatiguée.

Citation:
Bonne soirée Dame Alienore, je dinerais dehors…A demain sans doute.


La jeune fille sourit qu'on l'appelle Dame, n'ayant que 15 ans enne trouvait étange qu'on la considére comme une Dame.

Appelez moi Ali pas de Dame merci, je vous souhaite une bonne soirée et espère que votre séjour se passera bien, je reste à votre disposition au besoin.

Ali regarda la dame sortir puis se remit à son labeur.
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