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[RP] La peste arrive aussi… [Tulle]

--Marlot
Sous la tente

J'tais au champ et puis plus rien qu'des corbeaux qui tournaient comme des corbeaux Léon Marlot, fier paysan de Tulle, restait plongé dans ses pensées, tentant désespérément de ne pas penser à son mal qui lui tenaillait les membres. Il était maintenant sous la tente des malades, attendant qu'un médecin s'en vienne.

Il savait que Ginette, avait été prévenue mais elle ne viendrait pas le voir. Elle verrait presque comme une bénédiction divine que son menteur et buveur de mari succombe la laissant libre de ses gestes dans la paille fraiche avec le fils du ferronnier. Haaaaa... Marlot lui aurait bien tordu le cou à ce petit saligot de Gontran. Lutiner sa femme... et la femme du charpentier... et celle du boulanger... et celle du barbier... Marlot espérait que la Peste l'avait atteint ce fourbe. Sinon, y'a pas d'justice pour les cocus!


Il toussa, crachota puis essaya de trouver un peu d'air alors qu'il étouffait. Son caractère n'était pas au chialeries et pourtant là il aurait bien pleuré dans les jupes de sa femme.
Safranne
Deux brancardiers transportaient un futur cadavre vers une tente. Je les suivis. Le spectacle de ces corps allongés, la vie les quittant peu à peu... L'odeur malsaine mêlée à la crasse visible des patients. Et ces gouttes de fièvre sur tous les fronts... Leur teint blafard... Leurs murmures qui cherchaient oreilles attentives...

Un patient près de l'entrée maugréait entre ses dents. J'étais assez étonnée qu'un être proche de la mort réserve ses dernières forces aux jurons et à la colère. Je me penchai vers lui évitant de lui tenir la main toutefois et de respirer le même air que lui :


La colère vous épuisera encore plus vite. Il faut trouver la sérénité pour pouvoir guérir. Et la paix est en Dieu. Remettez-vous à lui et il vous redonnera la vie, ici ou au-delà.

J'étais confesseur à l'abbaye de Noirlac et pourtant je ne savais pas du tout si j'avais l'autorité pour le faire ici. Néanmoins ces âmes étaient dans le besoin d'être écoutées.


Si vous avez besoin d'un confesseur....

Je lui tendis la fin de la bouteille de vin.

... ou d'un peu de rouge....
Kallias
Dans la campagne de Tulle...

Aux abords de la ville, le Scorpion rôdait. Il avait prévu son itinéraire par le Limousin, et avait concerté son épouse une fois avoir appris l'épidemie de Peste, mais le couple n'avait pas changé d'avis, et avait décidé de faire montre de la plus grande prudence. Dans l'esprit du gitan, la Peste était pourtant bien une menace des plus grandes qui soient en cette époque. En effet, les siens lui avaient conté comment, au siècle précédent, lors de la Peste Noire, pandémie qui décima l'Europe, des gitans et autres gens du voyage avaient été les boucs émissaires des populations ravagées, celles-ci songeant qu'ils apportaient avec eux le Mal. Nombre d'entre eux avaient été brulés vifs alors même que la maladie ne les atteignaient que très peu, l'odeur de leurs chèvres et de leurs chevaux repoussant les puces. Car la peste bubonique se transmettait ainsi par ces minuscules insectes se nourrissant du sang des rongeurs contaminés, et venant piquer l'homme.
C'est donc avec horreur que Kallias constata, peu après avoir senti une terrible odeur de charnier, que les hautes herbes dans lesquelles il marchait regorgeaient de cadavres de rats... Retenant un cri, il abaissa son foulard sur son visage et courut à toute jambe vers une zone plus éloignée où semblait couler un ruisseau, et s'y jeta tête la première, non sans que son front ne vint heurter une pierre sur laquelle il laissa un peu du sang de son arcade.


¡ Mierda !

Cette exclamation rageuse échappée, il se releva prestement, l'eau lui arrivant à mi-hauteur, et fouilla dans sa besace. Il en tira une petite bouteille d'huile qu'il ouvrit à regret, car ramenée d'Espagne, mais sans hésiter il en versa le contenu dans ses mains pour oindre son visage, son foulard, tous les endroits où auraient pu sauter une puce. La précaution était inutile car nul insecte contaminé ne l'avait pris pour hôte durant sa petite escapade en hautes herbes, néanmoins il se sentit bien plus rassuré une fois cela accompli. Se rinçant de nouveau, il quitta le ruisseau vers l'autre côté de la berge, pour rejoindre la cabane que son épouse et lui occuperaient pour la nuit. Même s'il doutait que la maladie puisse franchir le cours d'eau, il examina les alentours de ce logement temporaire, et entreprit d'écrire à la dame de son coeur pour lui dire de ne point se promener au delà du ruisseau... Une goutte de sang tomba de son arcade sur le papier à côté de l'endroit où il signa d'un T.
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Truth
Jades
[Dans les rues]

La veille elle avait passée les portes de Tulle. La cité si plaisante dans ses souvenir avait revêtu son habit funèbre. L’odeur pestilentiel prenait au cœur et gagnait chaque voyageurs qui passait la campagne limousine. Au fur et à mesure des avancés, les cadavres de rat jonchait le sol. Pas un bruit, pas un chant d’oiseau, pas un éclat de voix. Tulle était sous son emprise.. la Peste frappait. Riche et gueux, homme et femme, enfant et vieillard point n’était à l’abri de sa soif.
La Blanche avait trouver une auberge, la tâche n’ait point été simple. L’aubergiste avait été méfiant, pour chance la renommer de l’ordre lui était venue en secours. Aurore l’avait elle annoncer ? une voile de tristesse avait traverser le regard de la mère. Elle était venue, elle ignorait le pour quoi. Prodiguer des soin certes mais elle ! Elles les accepterait ?
La réponse ne se fit tarder. Se risquant au dehors la Lomagne avait pousser la porte d’une taverne « Au nid douiller » qu’avait il de douiller ce nid ? Il ne lui avait valu que le regard tranchant de sa fille aussi tranchant que la lame qu’elle avait voulu lui planter mortellement. Elle avait claquer la porte luttant entre l’envie de tout lui dire et de la voir fuir encore ou de tout encaisser sans un mot. Son choix était fait.
Le lendemain, l’aubergiste l’informa. L’ordre était en la place. Épée, poignard, sacoche, instrument, plante, la blanche s’en allait à la rencontre de ses sœur. La puanteur la saisit de plein fouet. De par les rue, les corps s’amoncelaient, tous les même. Blafard, toux, pustules purulente pour les cadavre encore en vie… Elle la vit. Alandrisse, ses sœurs. La jeune fille était mal à l’aise..



Ma sœur. Vous voici enfin. Les autre approchent ?

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Alandrisse
[Dans la rue.. retrouvaille]

Un sourire se dessina sur son visage quand elle vit sa tante. Très vite, l'apprentie l'effaça, le moment n'était pas approprié pour la réjouissance, encore moins quand les cadavres jonchaient la rue.

Oui nous venons d'arriver...Nous nous dirigions vers l'hôpital de fortune.

Elle pointa du doigt la tente, sous laquelle une fourmillement de villageois se précipitait pour avoir des soins. Des soins... le minimum pour éviter de pourrir de la vermine comme ces êtres qui furent et qu'à présent décoraient les rues par leurs macabres présences. Les Dames Blanches et le médecin se dirigèrent vers cet accueil de dernier recours. Elle se remémora les directives pour la peste... brûler tout ce qui avait eu un lieu avec un malade, se protéger la bouche et le nez. Et tant d'autres choses, elle n'avait pas peur pour elle, non... mais la jeune femme s'inquiétait pour ses soeurs. Elles étaient devenues une famille avec le temps, une autre famille. La Dame Blanche avait déjà trop perdu, déjà trop souffert et les voilà à présent ici à défier la faucheuse...
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Fred45


[Dans les rues]

Une nuit passée à l'église, sous la protection du Très Haut Puissant. Une nuit de recueillements et de prières pour tous ses pauvres gens.
Sortant de l'édifice, fred regarda autour de lui, une sensation de froideur l'envahit, comme si la mort rodait, à l'affut, prête à emporter le premier venu, attendant sa proie, sournoise.
Il s'avança vers son cheval et fixa son bagage sur la selle. Hermès paraissait nerveux, il est vrai que les animaux ressentent certaines choses que l'homme lui, ne perçoit pas.
Lui faisant une petite caresse afin de le calmer, il prit ses rennes et partit retrouver Jades qu'il avait quitté lors de leur arrivée.
Il lui fallait maintenant trouvé l'hôpital de fortune qui avait été installé pour soigner les malades, Jades devait se trouver là.
Marchant à côtés de son cheval, fred ne pouvait détacher son regard des cadavres jongeant le sol. A chaque coin de rues, devant chaque porte, personne ne lui échappait, la mort était partout présente. Le plus pesant était le silence, pas un bruit, cela faisait froid dans le dos.

Il aperçut le cadavre d'un jeune garçons seul, le long de la chaussée. S'arrêtant il s'approcha et se mit à genoux. Une larme coula sur sa joue et tomba sur l'enfant. Personne ne voudrait voir un tel spectacle, personne n'est préparé à voir cela.
Il retira son mantel et recouvra le corps. Un être si jeune, cela est injuste.
Il resta un moment, priant pour cet enfant, priant pour son salut puis reprit sa route.

Passant devant le poste de police, il entra afin de signaler sa présence en ville et de proposer son aide.
Ressortant, accompagner de Dame Gyldas, il allait pouvoir rejoindre l'hôpital.
Au détour d'une grande rue, il aperçut une foule de gens. Ils se dirigèrent vers cet attroupement, surement la tente hôpital.
Se faufilant avec difficultés, ils parviennent à la tente. Maintenant, trouver Jades, s'organiser, soigner.

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Duce et Auspice
Fred45


[La tente hôpital]

La foule se pressait devant la tente, des pleurs, des gémissements,des cris, attendant de pouvoir voir un médecin, attendant une main qui se sent afin de les aider, de les soulager.
Fred regardait tous ses gens avec émotions, des mères avec leur enfant dans les bras, des personnes tenant à peine debout, de simples gens frappé par cette maladie, n'épargnant personne, ne faisant pas de distinction entre les bons et les mauvais, les riches et les pauvres, les vieux et les jeunes.

Pénétrant dans la tente, une odeur pestilentielle lui brula la gorge. Des lits étaient disposés au fond de la tente où se trouvait des malades.
Certains, paix en leur âme, étaient morts, d'autres attendaient des soins.
Fred passa entre les lits regardant à droite, à gauche, recouvrant d'un drap les morts, rassurant ceux qui en avait besoin.

Il posa son sac près de l'entrée et en sortit une bouteille de vinaigre et une fiole d'huile de lin.
Il appela une personne afin qu'elle fasse bouillir de l'eau.

Une fois l'eau bouillie, versa un peu de vinaigre et une goutte d'huile, et mélanger.
Récupérez plusieurs pots en terre ou argile et verser y cette préparation, ensuite disposer à plusieurs endroits de la tente ses pots. cela va purifier l'air et éloigner les puces pouvant s'introduire ici.
Garder toujours une préparation sur le feu et renouveler les pots.


Dans une autre marmite, faite bouillir de l'eau et préparer une infusion de ceci, fred tendit un sac contenant un mélange de sauge, de basilic et de romarin séchées. Faites boire aux malades une tasse, puis une toutes les deux heures.
Cela va soulager la fièvre et diminuer les vertiges.

Donnez leur à boire de l'eau, souvent, aidez les si besoin.

Fred prit un ton plus sec. Que l'on sorte d'ici ses pauvres gens décédés, il faut les exhumer en dehors de la ville, verser de la chaux vives sur les corps avant de les recouvrir de terre.
Bruler les draps et passer les lits au vinaigre, puis enduisez les pieds d'huile.


Trouver moi une charrette, et allez ramasser tous ses corps en ville, il ne faut pas les laisser pourrir, exhumez les aussi.
Allez remuez vous. Et trouver moi des draps propres, beaucoup de draps, des linges.


Il fallait séparer les malades alités des personnes venant consulter. fred prit un large drap et le fixa sur la tente. Il prit soin avant de l'enduire de vinaigre des quatre voleurs.
Il conserva trois lits près de l'entrée afin de recevoir les malades.
S'avançant dehors, il s'adressa à la foule
.
D'abord les enfants, je veux voir d'abord les enfants.

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Duce et Auspice
--Bohemond
Bohémond était soulagé de l’aide inespérée qu’apportaient plusieurs personnes dans le brancardage des malheureux vers l’hôpital de fortune.

L’odeur de pourriture qui jusqu’à présent empestait les abords de l’hôpital de fortune, faute de prise en charge rapide des cadavres, ne flottait plus grâce à certains qui avaient offert leur contribution dans cette horrible tâche.

Tous ces bras supplémentaires étaient une bénédiction, et si Bohémond avait encore cru à une puissance divine, il l’en aurait remercié à genoux.

Mais cela faisait des années qu’il ne croyait plus en rien, depuis ce jour où….
Il préféra changer le cours de ses pensées, certains souvenirs étant trop durs à se remémorer !
Inutile de se faire souffrir inutilement, on ne pouvait changer le passé…

D’un regard circulaire, il prit la mesure de la tâche restant encore à accomplir.

Exhalant un soupire de lassitude, il se dirigea vers de nouveaux arrivants, qui, pareils à d’autres, avaient le regard empli de frayeur en amenant avec eux un membre de leur famille souffrant des premiers signes du Mal.

- Ne craignez rien, vous êtes au bon endroit, nous sommes là pour vous aider.
--Asclepsios
Ereinté, épuisé par des trop nombreuses nuits sans sommeil, Asclepios, de plus en plus las, de plus en plus résigné était occupé à constater le décès d'une jeune femme. Elle avait été très belle et, malgré le rictus déformant son visage, il l'a trouvait presque séduisante... Il grommela dans son for intérieur : voilà maintenant qu'il trouvait les morts séduisants. Il fallait vraiment qu'il se ressaisisse, cela faisait trop longtemps qu'il n'avait connu de femme, trop occupé par sa lourde tâche.

Un voix le tira de ses réflexions
.

Une fois l'eau bouillie, versa un peu de vinaigre et une goutte d'huile, et mélanger.
Récupérez plusieurs pots en terre ou argile et verser y cette préparation, ensuite disposer à plusieurs endroits de la tente ses pots. cela va purifier l'air et éloigner les puces pouvant s'introduire ici.
Garder toujours une préparation sur le feu et renouveler les pots.


En effet, l'idée était excellente et le jeune médecin se maudissait de n'y avoir pensé. Mais bon, en même temps, il n'y avait pas de puces dans la tente vu que les habits des malades étaient aussitôt brûlés. Et puis le souffre, malgré son odeur nauséabonde purifiait également l'air.

L'inconnu reprit la parole, plus sèchement, presque agressivement :
Que l'on sorte d'ici ses pauvres gens décédés, il faut les exhumer en dehors de la ville, verser de la chaux vives sur les corps avant de les recouvrir de terre.
Bruler les draps et passer les lits au vinaigre, puis enduisez les pieds d'huile.


Que croyait-il? Les donneurs de leçons étaient légions et chacun y allait de son commentaire, mais quand il fallait agir concrètement, quand il fallait devenir corbeau pour charrier les morts et les bruler avant de les inhumer dans des fosses communes, il ne restait plus grand monde...

Trouver moi une charrette, et allez ramasser tous ses corps en ville, il ne faut pas les laisser pourrir, exhumez les aussi.
Allez remuez vous. Et trouver moi des draps propres, beaucoup de draps, des linges.


Le ton franchement déplaisant de l'homme agaça quelque peu le médecin qui s'approcha de l'inconnu, se glissant derrière lui.

Je vois que vous semblez bien connaitre les mesures d'hygiène messire. Cependant, les volontaires manquent pour accomplir les basses besognes, mais je pense que votre aide sera la bienvenue pour vous occuper de débarrasser la ville des corps qui jonchent le sol.

Asclepios se détourna, rejoignant un homme qui commençait à convulser et à se tordre de douleur.
Safranne
Voilà Marlot qui convulsait... Et je ne savais pas quoi faire. J'avais recueilli ses dernières paroles "une envie de bouteille"...était-ce donc ça les dernières pensées d'un homme?

Un homme, certainement médicastre, m'avait repoussé vivement pour s'occuper du patient. Celui-ci avait les yeux révulsés, de la bave filant de sa bouche, un râle d'étranglement funeste présage d'une mort en approche.


Il... s'appelle Marlot


Je ne savais pas quoi faire. Il gesticulait, bras et jambes battant l'air se rattrapant surement à des fils de vie.

Je lui tins fermement les chevilles me demandant si ce que je faisais servait en fait à grand chose... Je murmurais une prière brève pour le salut de son âme. Mais pour le moment le médecin semblait penser que le corps était encore "sauvable". Il s'affairait autour de lui.

M'adressant au médecin :


Je peux faire quoi?
Fred45


Fred tourna la tête et salua l'homme dont le regard était accusateur.
Bonjour Messire.
Il se rendit compte alors qu'il s'était peut être un peu emporté, mais la fatigue de ses jours, les visions de ce cauchemar, avait rendu ses nerfs à vifs. Il se leva et s'approcha de l'homme.

Il n'y a pas de basses besognes dans de telles circonstances, et si mes propos ont pus vous déranger, je m'en excuse. Croyez bien que je le regrette.
j'ai essayer de faire au mieux afin d'aider ses malades.
Je n'ai que de piètres connaissances sur la peste et attendait un médecin qui tardait à venir
.
Mais vous avez raison, je vais aller quérir de ce pas une charrette et ramasser les corps de ses pauvres malheureux.

Fred regarda l'homme. Qu'Aristote vous aide dans cet épreuve, et sachez que vous pouvez compter sur moi, pour n'importes quelles tâches.

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Duce et Auspice
Jades
Oui nous venons d'arriver...Nous nous dirigions vers l'hôpital de fortune.

Bien allons y elles nous rejoindrons..

La blanche scrutait les alentour à la recherche du fameux hospice. Un enfant passa devant elles courant vers la vie qu'offrait ce point médical ou serait-ce la mort qu'il fuyait. Elle le suivit accompagne de sa nièce. La perspective de la voir évoluer si proche de la faucheuse ne la rassurait guerre. Qu'en aurait pensé Daine?

Le garçonnet s'engouffra entre les pan libre de toile. Les deux sœurs s'y engouffrèrent à leur tour. Et de nouveau elle était là.. se lovant chez les pauvres âmes qui croisaient son passage. L'odeur était tenace, repoussante. Tout n'était que gémissement, pleure d'enfant qui regardait leur parent, frère et sœur. Au dessus une voix planait. Elle l'a reconnu.


Alandrisse il nous faut des linges. Des voyageurs nous on rapporter que la maladie se transmet par les airs. met un linge humide devant ta bouche et ton nez lorsque tu approchera un malade.


Un membre du saint esprit et la on va aller le rejoindre pour commencer.

Accompagnant ses paroles par les actes elle se dirigea entre les lit vers Fred en compagbie d'un autre homme.


Fred. Elle souria. Vision étrange en de tel circonstance. Mes soeurs vont arrivé sous peu. Je te présente Alandrisse, l'une d'entre elles.

Puis se tournant vers l'homme.

Messire, nous sommes membre d'un ordre qui dispose d'une branche medicale. Suite à
elle se tu. Pouvait elle lui reveler que c'était sa fille qui voulait egalement la tuer qui avait fait appel à elle? Il ne la croirrait sans doute même pas. Notre ordre fut appeler pour aider les Tullistes au mieux. Nous nous mettons à votre disposition.
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Kronika
Kronika tiré de son sommeille ouvra doucement les yeux et vit Gyldas..

- Kro? Kro, c'est Gygy. Je suis désolée de t'avoir laissée seule. Viens, je vais t'aider. Il est plus que temps de distribuer tout ça.

Oh Gyldas ! Kro baille. Ne t'inquiète pas, je me suis reposer un peu ^^ j'ai fini l'inventaire... et ajouter a ça quelques vivre de plus... comme tu dis, il n'y a plus qu'a !

Kronika lui sourit...
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Kro pour vous servir
--Asclepsios
Asclepios eut l'impression d'avoir été trop loin, de ne pas avoir été très accueillant.

Excusez-moi messire, mais la fatigue me met les sangs à vif... Vous devez savoir ce que c'est.


il soupira, comme si soudain tout le poids du monde reposait sur ses épaules. Il passa une main sur ses yeux, espérant sans doute par ce simple geste, chasser le voile de brume obscurcissant sa vue. Puis une voix derrière lui le fit se tourner.

Une jeune femme, visiblement fatiguée se tenait derrière eux.


Messire, nous sommes membre d'un ordre qui dispose d'une branche medicale.

Il soupira, une soudaine vague d'espoir s'étant engouffrée dans son esprit. Une caste médicale donc peut être qu'un autre médecin allait enfin arriver, pour le libérer, au moins un petit peu, de son fardeau. Peut-être allait-il pouvoir enfin dormir un peu.

Il salua la dame, sans lui dire un mot, mais la gratitude que l'on pouvait lire dans ses yeux valait tous les mots du monde...
Fred45


[Dans la tente]

Fred sourit à l'homme.
Pas de problème Messire, je comprends, je me surprend moi même à avoir une attitude que je n'ai pas d'habitude.
Mais tous ses évènements troublent les esprits
.

Il entendit une voix familière derrière lui.
Fred
Se retournant il aperçut jades accompagnée d'une autre personne.
Jades!!!, je suis content de te voir, je me faisais du soucis de ne point te voir depuis notre arrivée.
Fred lui montra les lits des malades.
Comme tu as pus le voir, il y a beaucoup de malades, et il en ais de même en ville, tous ne peuvent venir à l'hôpital.
Et tous ses morts, c'est effrayant
.

Il s'avança d'un pas, saluant la personne l'accompagnant.
Bonjour Dame Alandrisse, content de vous avoir à nos côtés.

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Duce et Auspice
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