Esprit de la bibliothèque
quirin a écrit:
A peine le Lieutenant avait-il réparti les roles à chacun, que Quirin, Canaille sur les talons avait foncé à la caserne.
Comme le Zac lui avait demandé il avait fait appel à des volontaires, et bien sur tous les soldats encore présents s'étaient avancés d'un pas... la recrue se sentait fier d'appartenir à la garnison de Mende...
Mais Quirin réfléchit et se dit bien vite, que non, il ne pouvait prendre personne de plus,... impossible de démunir la garde de la caserne ou celle de la ville, ni de vider l'infirmerie, ni même emmener les instructeurs...
Si encore il n'y avait plus la menace de la peste, il aurait pu alléger le contrôle aux portes de la ville.
Bon c'est pas grave il dirait au Lieutenant que tout le monde est volontaire, et prêt à venir sur une simple demande via pigeon.
A la caserne il s'était muni de provisions pour ses compagnons et lui, pour une journée, quelques tranches de Dédés, des quignons ainsi que quelques pâtés aux pommes qu'Ermi lui avait donné discrètement avant qu'il ne quitte la Lance, l'intendant avait promis de les faire suivre à distance par quelques hommes d'armes, dans sa cariole ils emmeneraient des jambons de Dédés, des tourtes, et quelques tonnelets indispensables aux soldats, pour les légumes ils s'arrangerait avec les paysans dont les champs bordent la route.
Quirin n'avait plus maintenant qu'à attendre ses compagons, et pour passer le temps s'en va faire la causette avec les soldats de garde à cette porte.
Comme le Zac lui avait demandé il avait fait appel à des volontaires, et bien sur tous les soldats encore présents s'étaient avancés d'un pas... la recrue se sentait fier d'appartenir à la garnison de Mende...
Mais Quirin réfléchit et se dit bien vite, que non, il ne pouvait prendre personne de plus,... impossible de démunir la garde de la caserne ou celle de la ville, ni de vider l'infirmerie, ni même emmener les instructeurs...
Si encore il n'y avait plus la menace de la peste, il aurait pu alléger le contrôle aux portes de la ville.
Bon c'est pas grave il dirait au Lieutenant que tout le monde est volontaire, et prêt à venir sur une simple demande via pigeon.
A la caserne il s'était muni de provisions pour ses compagnons et lui, pour une journée, quelques tranches de Dédés, des quignons ainsi que quelques pâtés aux pommes qu'Ermi lui avait donné discrètement avant qu'il ne quitte la Lance, l'intendant avait promis de les faire suivre à distance par quelques hommes d'armes, dans sa cariole ils emmeneraient des jambons de Dédés, des tourtes, et quelques tonnelets indispensables aux soldats, pour les légumes ils s'arrangerait avec les paysans dont les champs bordent la route.
Quirin n'avait plus maintenant qu'à attendre ses compagons, et pour passer le temps s'en va faire la causette avec les soldats de garde à cette porte.
benaware a écrit:
Le lieutenant avait donné un ordre. Cherchez de quoi vivre a cette expédition. Il fallait etre leger et avoir des ravitaillements.
Benaware partit alors en courant dans la foret, dans sa maison. Jef, son loup blanc, se tenait assis sur le palier. Le jeune archer l'aurait bien amené mais il etait trop vieux maintenant.
Il rentra chez lui, ferma les fenetres, rengea ses ecus dans son coffre, et partis dans sa chambre d'arme. Benaware regardait ses trois arcs, chacun ayant une caracteristique differente. Il choisis l'arc a longue portée, que son pere avait fabriqué pour la chasse.
Une fois ayant tout securisé la maison, il se baissa et dit deux mots a son loup:
-Tu as fait ton temps, mon vieux Jef et je te demande encore une chose, defend la maison. Tu attaques des que tu vois quelqu'un.
Benaware regarda Jef, visiblement qui n'avait rien compris, ou qu'a moitié, et il sourit.
Le soldat repartit en courant jusqu'a l'eglise. Il trouva un jeune paysan, et lui donna 50 ecus contre la surveillance et la labouration de son champs. Celui ci accepta volontié. Puis benaware partit enfin a la caserne, ou il prit une armure en cuir leger, des gants de chasses et des chausses.Il alla aussi chercher des vivres.
L'archeiste passa au dernier endroit, la forge, ou il prit une lame tres legere, affiné de 80 cm de long.
Arrivant a la porte Nord, Quirin discutait avec des soldats, avec Canaille, pres a partir. Benaware s'approcha, sa main gauche sur le pommeau de la longue dague.
- Bonjour soldats, je suis pret, on va chasser du mechant. Je vais pouvoir enfin m'exercer avec mon arc.... enfin si mon bras ne me lache pas avant!!
Benaware partit alors en courant dans la foret, dans sa maison. Jef, son loup blanc, se tenait assis sur le palier. Le jeune archer l'aurait bien amené mais il etait trop vieux maintenant.
Il rentra chez lui, ferma les fenetres, rengea ses ecus dans son coffre, et partis dans sa chambre d'arme. Benaware regardait ses trois arcs, chacun ayant une caracteristique differente. Il choisis l'arc a longue portée, que son pere avait fabriqué pour la chasse.
Une fois ayant tout securisé la maison, il se baissa et dit deux mots a son loup:
-Tu as fait ton temps, mon vieux Jef et je te demande encore une chose, defend la maison. Tu attaques des que tu vois quelqu'un.
Benaware regarda Jef, visiblement qui n'avait rien compris, ou qu'a moitié, et il sourit.
Le soldat repartit en courant jusqu'a l'eglise. Il trouva un jeune paysan, et lui donna 50 ecus contre la surveillance et la labouration de son champs. Celui ci accepta volontié. Puis benaware partit enfin a la caserne, ou il prit une armure en cuir leger, des gants de chasses et des chausses.Il alla aussi chercher des vivres.
L'archeiste passa au dernier endroit, la forge, ou il prit une lame tres legere, affiné de 80 cm de long.
Arrivant a la porte Nord, Quirin discutait avec des soldats, avec Canaille, pres a partir. Benaware s'approcha, sa main gauche sur le pommeau de la longue dague.
- Bonjour soldats, je suis pret, on va chasser du mechant. Je vais pouvoir enfin m'exercer avec mon arc.... enfin si mon bras ne me lache pas avant!!
amras a écrit:
Amras s'avaça penaud vers la porte nord... Il savait que beaucoup de soldats auraient volontié rejoint la petite troupe qui partait chasser les brigands.
Il passa une main caressante sur le bois gravé de son arc, et fit vibrer la corde du bout des doigts... Amras etait tranquille, la chasse allait pouvoir commencer et il savait pouvoir compter sur les soldats de la caserne... d'autant plus que le lieutenant devait être de la partie également.
Un vent léger fit trembler la cime des arbres et souleva un pan de la cape du sergent. La soirée s'annonçerai calme, inutile de se presser, il fut même surpris de constater que seul deux autres soldats attendaient déja.
Il souris, aperçevant Quirin et Ben en grande conversation avec les gardes de la porte... Il ne comprenait que trop bien l'agitation des troupes ces derniers temps... entre la peste et cette sombre affaire, les gardes et les rondes de surveillance ce faisaient de plus en plus fréquente ce qui n'était certe pas du goût de tous...
Il poussa un soupir en arrivant à leur hauteur et dit tranquillement en cherchant des yeux un coin tranquille ou s'assoir ou à défaut, s'appuyer.
"Bien... je vois qu'il manque encore du monde... Fauste m'a prevenu quand je suis passé à l'auberge... le lieutenant semble préssé d'en finir avec nos assassins... "
Il avisa finalement le mur du petit pavillon de garde et s'y appuya dans l'attente des autres soldats.
Il passa une main caressante sur le bois gravé de son arc, et fit vibrer la corde du bout des doigts... Amras etait tranquille, la chasse allait pouvoir commencer et il savait pouvoir compter sur les soldats de la caserne... d'autant plus que le lieutenant devait être de la partie également.
Un vent léger fit trembler la cime des arbres et souleva un pan de la cape du sergent. La soirée s'annonçerai calme, inutile de se presser, il fut même surpris de constater que seul deux autres soldats attendaient déja.
Il souris, aperçevant Quirin et Ben en grande conversation avec les gardes de la porte... Il ne comprenait que trop bien l'agitation des troupes ces derniers temps... entre la peste et cette sombre affaire, les gardes et les rondes de surveillance ce faisaient de plus en plus fréquente ce qui n'était certe pas du goût de tous...
Il poussa un soupir en arrivant à leur hauteur et dit tranquillement en cherchant des yeux un coin tranquille ou s'assoir ou à défaut, s'appuyer.
"Bien... je vois qu'il manque encore du monde... Fauste m'a prevenu quand je suis passé à l'auberge... le lieutenant semble préssé d'en finir avec nos assassins... "
Il avisa finalement le mur du petit pavillon de garde et s'y appuya dans l'attente des autres soldats.
georgio a écrit:
Rendez-vous Porte Nord.
Facile à dire. Facile à trouver?
Georgio n'avait pas suivi les soldats, certaine qu'ils repasseraient pour la plupart à la garnison. Ce n'était certes pas un lieu pour elle. Déjà que la situation la faisait sourire... Elle, Miraculée de la Cour, haissant les uniformes au plus haut point, volontaire pour une mission... militaire... Il y avait de quoi en rire, assurément.
Elle avait donc rejoint son étalon, un alezan aux crins lavés, et se hissa avec aisance sur la selle. Georgio remis sa cape en place afin de ne pas être dérangée dans ses mouvements, puis talonna doucement sa monture. Les quelques rues qui la séparaient de la porte Nord furent rapdement traversées. Elle reconnut de loin quelqu'uns des soldats de l'auberge, ainsi que le sergent Amras, adossé contre le mur du petit pavillon de garde.
Lento...
Un murmure et l'étalon ralentit la cadence avant de s'arrêter à quelques pas du petit attroupement. Georgio se laisse glisser sans bruit sur le sol. Seuls les talons de ses bottes de cuir claquent un bref instant. Salut de la tête vers les deux soldats en attente. Elle s'avance, bride en main, vers Amras. Un anneau dans le mur et elle y glisse la bride
Aspettate.
L'étalon semble répondre d'un mouvement de la tête, comme s'il avait compris sa cavalière. Georgio fait encore quelques pas pour rejoindre le sergent, s'accroupit et après avoir regarder si personne d'autre n'approchait, se met à dessiner lentement du bout du doigt sur la terre sêche.
Pas un mot.
Facile à dire. Facile à trouver?
Georgio n'avait pas suivi les soldats, certaine qu'ils repasseraient pour la plupart à la garnison. Ce n'était certes pas un lieu pour elle. Déjà que la situation la faisait sourire... Elle, Miraculée de la Cour, haissant les uniformes au plus haut point, volontaire pour une mission... militaire... Il y avait de quoi en rire, assurément.
Elle avait donc rejoint son étalon, un alezan aux crins lavés, et se hissa avec aisance sur la selle. Georgio remis sa cape en place afin de ne pas être dérangée dans ses mouvements, puis talonna doucement sa monture. Les quelques rues qui la séparaient de la porte Nord furent rapdement traversées. Elle reconnut de loin quelqu'uns des soldats de l'auberge, ainsi que le sergent Amras, adossé contre le mur du petit pavillon de garde.
Lento...
Un murmure et l'étalon ralentit la cadence avant de s'arrêter à quelques pas du petit attroupement. Georgio se laisse glisser sans bruit sur le sol. Seuls les talons de ses bottes de cuir claquent un bref instant. Salut de la tête vers les deux soldats en attente. Elle s'avance, bride en main, vers Amras. Un anneau dans le mur et elle y glisse la bride
Aspettate.
L'étalon semble répondre d'un mouvement de la tête, comme s'il avait compris sa cavalière. Georgio fait encore quelques pas pour rejoindre le sergent, s'accroupit et après avoir regarder si personne d'autre n'approchait, se met à dessiner lentement du bout du doigt sur la terre sêche.
Pas un mot.
escaflown a écrit:
Esca arrivait de chez lui, après être passé récupérer ses armes et embrasser une dernière fois sa femme. Oeil de nuit le précédait en direction de la porte Nord où le lieutenant leur avait donné l'ordre de se rendre. Il était volontaire pour aller chercher ses.... bêtes qu'ils voulaient tous arrêter pour leurs atrocités.
Esca avait comme à son habitude ses deux épées croisées dans le dos, lui permettant de se déplacer rapidement et sans bruits. Une dague enfilée au côté de sa ceinture.
Il était calme, un calme total, il avançait dans les rues de Mende pour rejoindre la porte. Oeil toujours au-devant de lui. Perdu dans ses pensées sur les derniers évènements, toutes les questions sans réponses encore...
Il arriva enfin au Nord de mende. Il retrouva déjà Deux soldats et le sergent ainsi qu'une dame, qu'il ne connaissait pas, mais avait entrevu à la lance. Il la salua en premier, puis le sergent et enfin les deux soldats. Puis il plaça à côté de la porte en silence, Oeil tout à ses côtés, prêt à partir faire ce qui devait être fait, le plus vite sera le mieux pour tout le monde.....
Esca avait comme à son habitude ses deux épées croisées dans le dos, lui permettant de se déplacer rapidement et sans bruits. Une dague enfilée au côté de sa ceinture.
Il était calme, un calme total, il avançait dans les rues de Mende pour rejoindre la porte. Oeil toujours au-devant de lui. Perdu dans ses pensées sur les derniers évènements, toutes les questions sans réponses encore...
Il arriva enfin au Nord de mende. Il retrouva déjà Deux soldats et le sergent ainsi qu'une dame, qu'il ne connaissait pas, mais avait entrevu à la lance. Il la salua en premier, puis le sergent et enfin les deux soldats. Puis il plaça à côté de la porte en silence, Oeil tout à ses côtés, prêt à partir faire ce qui devait être fait, le plus vite sera le mieux pour tout le monde.....
zacharia a écrit:
Ils prenaient par la rue des Traines lames. Elle passait devant la taverne, longeait la caserne et finissait Porte Nord. Le lieutenant avançait tranquillement, Enduril à ses côtés. Ses fontes pleines de vivres pour eux deux. Celles de sa femme étaient remplies d'il ne valait mieux pas savoir quoi. Il finissait de rouler les épaules pour ajuster correctement sa vieille côte de maille. Rafistolée en maints endroits et malgrès son poids, les anneaux d'acier - parfois sur deux couches - qui la formaient étaient pour lui comme un seconde peau. Quelques plaques de métal - Coeur, sternum, dos, cuisses, tibias, épaules et avant bras venait la renforcer à des endroits stratégiques, le tout harmonieusement réparti.
Il n'était pas aussi à l'aise à cheval que sa compagne, ne maitrisant pas aussi bien qu'elle le combat monté, et la lance qu'il maniait était plus une lance de fantassin classique qu'une lance de cavalerie. Mais les armes à sa ceinture et l'état de patine des fourreaux de sa longue dague et de son épée ne laissait pas de doute quand à ses armes favorites. De même que la façon dont son bouclier était ajusté dans son dos. Fermement, mais de façon à pivoter rapidement pour se loger sur son bras.
Pour l'heure, son casque reposait devant lui, sous la main qui tenait souplement les rènes. S'habiller en guerre ne lui prenait guère de temps et il avait passé l'essentiel de l'heure à dire au revoir à ses enfants. Nothias et Isabeau l'avaient regardé avec leur grand yeux, et la volonté de retrouver cet assassin s'était changée en détermination sans faille. Il ne laisserait personne les menacer.
La Porte Nord sort peu à peu de l'ombre. Presque tous sont là. Le silence plane et le bruit des sabots sur les pavés résonnent exagérément. Les gardes de la porte se redressent comme ils arrivent. Il les salue d'un hochement de tête. Eux ne répondent aps, ne voulant pas troubler leur concentration. Chacun est plongé dans ses reflexions. Prières pour certains, souvenirs probables pour d'autres. Quelle équipe.
Amras et Escaflown partiraient un peu en avant, en éclaireur. Pas meilleurs qu'eux pour trouver une piste et s'y accrocher. Quirin et Ben resteraient ensemble. Le plus jeune chargé de la protection d'un des meilleurs archers de la caserne. Il avait beaucoup appris avec Amras. Fauste n'était pas encore là... Mais elle ne saurait tarder. Et Georgio. Ce n'était pas une militaire - Il la regarde et hoche la tête avec un petit sourire en la voyant au milieu de soldats - Il n'avait pas prévu sa place, mais de toute façon, il ne vallait mieux pas. Elle ne respecterait probablement pas de formation, et était plus dangeureuse pour leur adversaire comme cela. Imprévisible. Mortelle.
Un regard à sa femme, qui resplendissait à côté de lui dans sa tenue de combat qui la mettait tant en valeur, et il lut la même determination que la sienne dans son regard. Cela et quelque chose de plus. Une certaine excitation. Il sourit. Lui aussi la ressentait. Ils allaient chevaucher ensemble réellement au combat pour la première fois. Un grand sourire se dessine sur son visage. Zacharia hume l'air, le parfum des chevaux, de l'huile pour armure, de la forêt non loin et celle moins agréable de la ville. Mais surtout l'odeur de l'adrénaline. Il étouffe un frisson. Au fond de lui, une part de son âme hurlait de rire. Il retournait enfin au combat.
Il n'était pas aussi à l'aise à cheval que sa compagne, ne maitrisant pas aussi bien qu'elle le combat monté, et la lance qu'il maniait était plus une lance de fantassin classique qu'une lance de cavalerie. Mais les armes à sa ceinture et l'état de patine des fourreaux de sa longue dague et de son épée ne laissait pas de doute quand à ses armes favorites. De même que la façon dont son bouclier était ajusté dans son dos. Fermement, mais de façon à pivoter rapidement pour se loger sur son bras.
Pour l'heure, son casque reposait devant lui, sous la main qui tenait souplement les rènes. S'habiller en guerre ne lui prenait guère de temps et il avait passé l'essentiel de l'heure à dire au revoir à ses enfants. Nothias et Isabeau l'avaient regardé avec leur grand yeux, et la volonté de retrouver cet assassin s'était changée en détermination sans faille. Il ne laisserait personne les menacer.
La Porte Nord sort peu à peu de l'ombre. Presque tous sont là. Le silence plane et le bruit des sabots sur les pavés résonnent exagérément. Les gardes de la porte se redressent comme ils arrivent. Il les salue d'un hochement de tête. Eux ne répondent aps, ne voulant pas troubler leur concentration. Chacun est plongé dans ses reflexions. Prières pour certains, souvenirs probables pour d'autres. Quelle équipe.
Amras et Escaflown partiraient un peu en avant, en éclaireur. Pas meilleurs qu'eux pour trouver une piste et s'y accrocher. Quirin et Ben resteraient ensemble. Le plus jeune chargé de la protection d'un des meilleurs archers de la caserne. Il avait beaucoup appris avec Amras. Fauste n'était pas encore là... Mais elle ne saurait tarder. Et Georgio. Ce n'était pas une militaire - Il la regarde et hoche la tête avec un petit sourire en la voyant au milieu de soldats - Il n'avait pas prévu sa place, mais de toute façon, il ne vallait mieux pas. Elle ne respecterait probablement pas de formation, et était plus dangeureuse pour leur adversaire comme cela. Imprévisible. Mortelle.
Un regard à sa femme, qui resplendissait à côté de lui dans sa tenue de combat qui la mettait tant en valeur, et il lut la même determination que la sienne dans son regard. Cela et quelque chose de plus. Une certaine excitation. Il sourit. Lui aussi la ressentait. Ils allaient chevaucher ensemble réellement au combat pour la première fois. Un grand sourire se dessine sur son visage. Zacharia hume l'air, le parfum des chevaux, de l'huile pour armure, de la forêt non loin et celle moins agréable de la ville. Mais surtout l'odeur de l'adrénaline. Il étouffe un frisson. Au fond de lui, une part de son âme hurlait de rire. Il retournait enfin au combat.