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Porte Nord

Esprit de la bibliothèque
Halley a écrit:
Le jeune mercenaire était agrippé à son destrier,la pluie redait la monture bien moin praticable qu'elle ne l'était déjà pour lui.
Le mercenaire était lançé à vive allure, les sabots du cheval éclaboussant tout sur leurs passage. Au loin le cavalier pouvait désormais distinguer deu silhouette, un affrontement. A son approche, il pouvait maintenant voir ce qui se passait. Non sans un sourire, il constata une de ses ravisseurs en délicate posture. Tout en continuant d'avancer la situation l'amusait, losrqu'il vit que sa ravisseuse prenait du recul vis à vis de son opposant,il talonna un coup sa monture, se placea légèrement en retrait sur le dos de l'animal, il cria en arrivant à toute vitesse.


Hé! toi! T'as main!!!

La maure n'étant certainement pas bête, entrevit le cavalier et afficha un regarde des plus perplexe en reconnaissant l'homme. Magrés une certaine hésitation elle tendit la main ne sachant ce que le destin lui réservait.
Halley reserra l'étreinte de ses jambes sur l'animal, se placea à la droite de la jeune femme, empoigna sa main droite de la sienne et la hissa de toutes ses forces, réveillant la douleur que le taciturne lui avait infligé à la main ainsi que celle de son précédent combat au torse. Grimaçant, il poursuit son action hissant la belle maure à son bord et la placeant sur le ventre en croupe de l'animal, éxhibant ainsi les fessiers bien rebondit de la damoiselle.
Non sans jeter de nombreux coup d'oeil désireux aux atouts exhibées de la jeune femme, ronchonnant de sa posture. Le couple prit la poudre d'escampette loin du champs de bataille afin de poursuivre... .

A peine hors de portée des combats, toujours lorgnant sur le postérieur, si "appréciable" de la maure. Le mercenaire, écoutant un tant soi peu plus ses hormones que ce qui pourrait être la réalité de la situation, dans un moment d'inadvertance (on comprend pourquoi) il heurte une branche qui l'expulse au sol.


Aïcha a écrit:
Aïcha reculait toujours, cherchant une issue. Elle ne détachait pas son regard du capitaine qui s’avançait vers elle, menaçant. Son cœur battant la chamade, s’entend la peur qui la gagnait pour la première fois depuis le début des combats. La pluie battante achevait de rincer la boue qui l’avait maculé. Une voie lui parvint… perçant le bruit du vent et du tonnerre qui grondait. Elle risqua un rapide coup d’œil du côté du cavalier qui approchait. La stupéfaction du certainement se lire dans son regard. Pourquoi ne s’était-il pas sauvé au lieu de revenir vers elle ? Leur prisonnier fonçait vers elle, lui tendant la main. L’hésitation fut très brève, entre une garnison de l’Ost et un mercenaire, elle ne se posa pas trop de question. Elle remit rapidement ses dagues dans leur fourreau et tendit la main qu’il agrippa. Elle eut presque l’impression de s’envoler quand il la chargea comme un vulgaire sac de blé sur sa monture qui continua sa course.

Aïcha se retrouva coincé entre lui et l’encolure du cheval. Impossible pour elle de se redressé, position très inconfortable et embarrassante. Elle bouillait de rage, l’étalon continua sa route sans même ralentir. Elle lui hurlait de l’aider a se redresser, quand un elle l’entendit un grand bruit suivit d’un cri étouffé… il n’était plus là. Elle se retrouva seule sur le dos de l’animal, manquant de tomber elle-même. Elle s’agrippa à la crinière et d’un mouvement de hanche passa la jambe sur le dos et réussie à se redresser freinant la cavalcade. Elle résista à l’envie d’abandonner là, au milieu de nulle part et rebroussa chemin revenant sur ses pas.

Elle stoppa devant Halley arborant un sourire en coin et s’adressa à lui d’un ton sarcastique, rancunière de la posture dans laquelle il l’avait maintenue.


Alors le débutant… on ne sait pas monter à cheval… C’est ce qui arrive quand on veut jouer au plus fin … crétinElle s’avança le plus possible sur l’encolure du cheval et désigna la croupe du regard. Aller grouille.. Faut rejoindre les autres.

Une fois qu’il fut monté, elle réprima un fou rire le revoyant le cul dans la bout. Et se tourna vers lui, le toisant pas dessus son épaule, lui jetant un regard défiant ... Pas de bêtise hein….

L’après-midi tirait à sa fin quand le couple disparut dans la forêt prenant la direction du point de ralliement. Une sourde inquiétude avait pris naissance dans l’esprit de la jeune maure. Avait-il perdu plusieurs membres encore? Cette mission qui au départ semblait si aisée avait pris une tournure tout autre. Elle jeta un dernier regard en direction des lieux ou venait d’avoir lieu les affrontement ils étaient hors de vue, mais elle savait qu’il était là. Un jour

Au fait.. .. Moi c’est Aïcha …Merci de m’avoir tirée de là… je m’en souviendrai.


Enduril a écrit:
Son cheval se cabre immédiatement, parfaitement rôdé au combat. Enduril n’a même pas le temps de bénir la lubie qui a fait qu’un homme un jour lui vende ce destrier à si bas prix parce qu’il ne pouvait porter de lourdes charges trop longtemps et pour d’autres raisons aussi…

Déjà, elle sent son agresseur glisser, déchargeant de sa présence monture et cavalière.

Une sensation de brûlure sur la jambe et tout à coup, l’enfer se déchaîne. Le cheval devient fou, se cabre, rue avant d’essayer de se rouler au sol pour se débarrasser de son ultime fardeau. Impossible de la maîtriser, pas le choix, il lui faut sauter au sol pour ne pas se faire écraser sous la masse de l’animal. Ne pas réfléchir, tirer sur les rennes de toutes ses forces et dès qu’il se redresse, accompagner son mouvement pour se jucher à nouveau sur son dos, se pencher pour étreindre sa crinière et prononcer les mots qui généralement l’apaisent. Après quelques minutes qui lui paraissent une éternité, il finit par se calmer, l’écume à la bouche, le regard encore un peu fou.

En regard autour d’elle, l’homme a disparu. A peine a t’elle pu voir une longue silhouette revêtue de cuir, un bandeau retenant une longue chevelure brune et un bref instant, un regard vert, brûlant du feu de la haine.

Autour d’elle, les cris se font moins fort, se raréfient. Il semblerait que leurs assaillants aient pratiquement tous réussis à s’échapper, voire pour certains mourir… Ils vont vers le sud… Elle y repensera plus tard. Sans tenir compte de sa jambe toujours douloureuse, elle se laisse choir au sol pour examiner sa monture. Une belle estafilade coure sur son flanc, ce qui a provoqué sa réaction pour la moins violente. Il va lui falloir la soigner, mais ça ne l’empêchera pas d’être monté.

Devant elle, Monstro, le destrier de guerre de son époux. Il semblerait que Zac ait démonté. Elle le cherche des yeux un court instant pour le voir, un peu plus loin, aux prises avec l’insolente drôlesse qui les a arrêtés. Intéressée, elle s’arrête un instant pour regarder la scène. A la voix se son mari et à son attitude, elle sent la rage qui l’habite contre le Ténébris qu’ils traquent. La rage… Puissant stimulant, mais parfois danger mortel… Et là, elle sent son cœur manquer un battement voyant la jeune femme le déséquilibrer en se jetant sur lui dagues en avant. Lorsqu’il se redresse, il a le visage en sang. Au hurlement de rage qu’il pousse, elle répond par un sourire. Pas de doute, le combat sera bientôt terminé et son travail à elle pourra commencer.

Elle ouvre une des fontes de son cheval et en tire un paquet, vérifiant autour d’elle qu’aucun autre assaillant est en vue.

Un cavalier qui passe et qui emporte l’adversaire de Zacharia… Impossible de les suivre, elle doit prendre soin de son cheval, ne pas aggraver sa blessure par une attitude inconséquente.

Elle baisse les yeux sur sa jambe, écarte doucement le tissu. Une belle estafilade, il lui faudra sans doute recoudre. Mais pour l’instant, il va lui falloir mettre ses talents de couturière à l’action sur le visage de son aimé. Pas sûr qu’il se laissera faire de gaité de cœur, mais au pire, elle le droguera.

Un petit effort, sourire, ne rien laisser paraître. Ni douleur, ni angoisse, ni colère, rien…

Simplement, aller le retrouver…


quirin a écrit:
Après avoir été tenté de se diriger vers l'endoit d'ou semblait venir le faible appel, mais s'être raviser sachant pouvoir compter sur Esca ou le Leutenant, si il y avait eu un problème, Esca aurait bien trouvé le moyen d'envoyer Oeil pour les prévénir...

Après un coup d'oeil au Capitaine et à son épouse qui semblait bien, Quirin se dirigea vers son acher dont il voyait la cuisse saigner, celui-ci la tension du combat retombée semblait assez pâle

Alors Ben, tu vas tenir le coup ?


georgio a écrit:
[A l'entrée de la porte Nord.]

A bride abattue. Aussi vite que son étalon pouvait les porter toutes les deux. Georgio sentait le corps de la soldate se laisser aller contre elle. Pas totalement inconsciente, pas vraiment présente non plus. Son bras droit se resserra un peu plus sur le 'colis' qu'elle devait apporter jusqu'à Mende. Mestia et Skip... l'Alchimy... Pourvu surtout qu'on la laisse entrer et qu'on lui indique le chemin le plus court.

Arrivée en vue de la porte Nord, Georgio fait ralentir son cheval. Pas besoin non plus de faire peur aux gardes... L'étalon approche au pas. Georgio espère qu'un garde lui ouvrira la porte.


Ola! Mende! Je ramène une soldate blessée. Gravement blessée! Je dois me rendre à l'Alchimy. Vite!
Esprit de la bibliothèque
benaware a écrit:
[ Sur le champ de bataille, apres les combats]

Benaware revenait tres lentement sur la route, fatigué, le sang sur les mains et sur le visage, boitant de sa cuisse, et plié sur le coté du projectile de l'ennemi.
Quirin s'approcha de lui et lui demanda son etat. Benaware lui fit un sourire et repondit:


-Et bien, une cote en moins, le sang qui colle, mais a part ça, tout va bien!!! Et toi, comment ca s'est passé?

Le jeune archer ne voulait pas que quelqu'un lui demande ou etait son ennemi, il aurait du la tuer, mais la pitié l'a emporté. regardant autour de lui, il ne vit pas de gros degat sur ses superieurs et les soldats...


quirin a écrit:
Sur le champ de bataille, apres les combats

Ce que Ben lui disait sur son état ne rassura pas vraiment Quirin, le soldat esquissa néanmoins un sourire qui se voulait rassurant pour son ami.

Il l'aida à s'appuyer contre le rocher et alla chercher la monture de l'archer qui attendait non loin, puis récupéra la sienne enfin calmée, il revint tenant les deux chevaux par la bride vers Ben qu'il aida à se mettre en selle.

Puis Quirin enfourcha sa propre monture, et tous deux se dirigèrent vers leur Capitaine

Quirin ne savait pas comment le Capitaine allait l'accueillir, il devait protéger son archer, et celui-ci était blessé, alors que lui-même était intact... il avait donc faillit.


Soldats Mendois a écrit:
[A l'entrée de la porte Nord.]

Les gardes en faction virent arriver à eu la cavalière qui les apostrophe

Citation:
Ola! Mende! Je ramène une soldate blessée. Gravement blessée! Je dois me rendre à l'Alchimy. Vite!


D'un coup d'oeil le soldat le plus proche reconnait Fauste, la mascotte de la gernison, pas le temps de parlementer ou demander plus d'explications, les ordres sont donnés.

Passez Madame, suivez Phonse, c'est le plus rapide, qui va vous mener au plus vite.

Puis s'adressant au soldat Phonse qui ayant entendu ce qui se disait courrait déjà le plus vite possible vers l'officine de Skip et Mestia

Phonse, A l'Alchimy, vite !... Pfff toujours plus vite que son ombre celui là ! l'attend même pas qu'on lui dise..
Citation:


Arthos. a écrit:
[Venant du Puy]

Arthos et ses hommes n'eurent pas à marcher longtemps, ils étaient déjà très proche de la ville. Après quelques centaines de mètres dans la forêt, suivant le chemin, ils arrivent déjà en vue de la porte de Mende. Et du champ de bataille... Les brigands se sont donc frottés aussi au Mendois... Avec plus de succès semble-t-il de loin...

Arrivé suffisamment près, Arthos interpelle les premiers soldats...


Soldats, mes hommes et moi venons du Puy, nous avons dû combattre des brigands... Comme vous je pense, on vaudrait se reposer et panser l'une ou l'autre blessure avant de repartir.


bentich a écrit:
Après quelques minutes qui parurent une eternite a Ben ils arriverent enfin en vue de Mende, et directement Arthos interpella le soldat de faction , pour demander ou il pourrait se soigner et se reposer après cette lutte contre les brigands
Esprit de la bibliothèque
amras a écrit:
Amras sortit de l’ombre des bois, bientôt suivit par Esca et son loup. Ils s’avancèrent prudemment, mais reconnaissant rapidement quelques soldats du Puy, Amras desserra l’étreinte qu’il portait au manche de son arc.

"Soldat du Puy, nous avons aussi eu à essuyer l’attaque d’un groupe de bandits…"

Les souvenirs de son combat revinrent en mémoire au jeune lieutenant, la violence des attaques, la difficulté du terrain, la pluie battante et le réconfort inattendu d’un baiser.
Il poussa un soupir et baissa définitivement son arc, il n’était plus temps de penser à combattre, les ennemis avaient pour la plupart fuit le combat et nombres d’entre eux étaient blessés.


"Nous vous accueillerons volontiers, le temps que vos blessures soit panser par nos médecins et nos infirmières... je crois qu’il est inutile de partir à la poursuite des brigands... avec cette pluie nous aurions tôt fait de perdre leur piste... et nous avons tous besoins de soin."

Il quitta un instant le groupe de soldats Ponots des yeux et se tourna vers ses propres hommes. Le capitaine un peu plus loin ne les avait pas encore rejoint.

"Je suis content de vous voir tous en vie… Fauste à déjà était évacuée vers Mestia… rassembler votre barda, on rentre, il faut soigner nos blessés..."


benaware a écrit:
Benaware vit les soldats ponots eux aussi dans un sale etat. Le terrain et le climat n'avait pas du tout arrangé les affrontements. C'est meme a cause cela que son ennemi fut assomé.

Aux ordres du lieutenant Amras, Benaware mit son arc ainsi que ses ravitaillements sur le flan gauche de son cheval et partit tranquillement suivis de la troupe. Tous avait l'air fatigué, d'autres etaient blessés gravement. Le jeune archer, quand a lui, commençait a venir le mal de tete, le sang continuait de couler de la plaie malgré le bandage serré.

Ils continuerent la route, essayant de ne pas penser aux combats...


Arthos. a écrit:
Surtant des sous-bois, c'est le lieutenant Amras qui répond à Arthos, au début un peu stressé, il se relache rapidement... Et répond par l'affirmative à la demande... Même si en soi il aurait été plutôt étrange qu'il dise non...

Partir à leur poursuite, inutile en effet... Dit-il, ceux que nous avons combattu sont partis à cheval, en nous laissant dans un état peu propice à une nouvelle poursuite comme nous en avons fait depuis notre ville...

Regardant un peu plus attentivement, il observe un peu les soldats qui reste... Il n'en reconnait aucun... Ah si, le capitaine Zacharia se trouve là... Enfin, peut-être en a-t-il déjà croisé sur un terrain, mais cela fait longtemps qu'il n'a plus joué contre Mende...

Rejoignant l'autre groupe de soldats, il se dirige doucement vers Mende...


En tout cas, il est sur qu'ils étaient bien meilleurs que les adversaires que nous affrontons en temps normal... Prononce-t-il un peu dans le vide, l'air un peu dépité en observant, le regard un peu dans le vague, le champ de bataille...


bentich a écrit:
Ben ecoutait les paroles des soldats de Mende et d'Arthos, ils avaient raison, les poursuivre, comment ,ces brigands avaient des chevaux et eux les braves soldat du Languedoc etaient pour la pluspart si pas blessé au moin tres fatigue.

Si on rentre en ville je me rendrai avec Niwel et Hugo directement chez Mestia et des qu"on est soigne on se retrouve pour boire un verre



georgio a écrit:
[Aux portes]

Citation:
    Passez Madame, suivez Phonse, c'est le plus rapide, qui va vous mener au plus vite.


Georgio fit un bref signe de la tête et talonna son cheval pour suivre le soldat Phonse, tenant Fauste toujours serrée contre elle.
Citation:
    Esprit de la bibliothèque
    quirin a écrit:
    [Aux portes]

    A la suite de leurs officiers les soldats Mendois arrivèrent à la porte Nord ou ils trouvèrent la garde en ébulition, leur officier vociférant et s'en prenant à un de ses hommes qui n'avait pas l'air trop frais.

    Interrogé sur le pourquoi de cette colère et de ces cette agitation, l'officier leur répondit que le passage de Fauste et l'état dans lequel se trouvait la mascotte les avait touché, puis désignant le garde mal rasé, un éclair asssassin dans l'oeil

    Et çui ci, c'te honte de l'Ost... quelques piecettes et laisse passer un estranger, sans l'soumette à quarantaine, et s'pochtrone pendant la garde

    Le capitaine toisa le garde, puis ses hommes

    cela se règlera en caserne, pas dans la rue, mais d'abord les bléssés
    Amras, Ben, allez vous faire soigner
    Esca, Quirin, quartier libre

    Puis jetant un oeil à sa femme quand à nous...

    Quirin avait de temps à autre jeté un regard sur Ben, mais l'archer s'il souffrait, serrait les dents et s'efforçait de ne rien laisser paraitre.

    Il se tourna vers Esca

    Je ne sais pas ce que tu veux faire, mais moi....

    Sans attendre la réponse de son ami qui surement était pressé de retrouver son épouse il prit le chemin de la Lance
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