kirkwood
Premier feuillet de deux.
Le 9 septembre
Bonjour zet salutations zen Deos et Ses trois prophètes zà vous, ô combourgeois, réformés zet autres aristotéliciens zet concitoyens.
Javions décidé de tenir petite chronique de notre voyage entrepris pour la plus grande gloire de notre cité, en nom justice tant aristotélicienne quhumaine.
Chronique que je vous serions gré de porter et placarder en notre belle église St Pierrot où ne puis tenir le culte.
« Ils marchent dans la forêt
Ils sont de plus en plus laids
Même les coups de hache
Narrêteront leur marche »
Même si japprécions modérément le 2e vers de cette strophe dédié à notre projet, par bûcherons berrichons de rencontre, lélan final résumions bien notre volonté de fer.
Oui, les CRS estions là, et ils nestions pas contents.
Ils allions chercher Yohann par la peau du cru à lautre bout du monde
Yohann, lancien curé de Genève.
Yohann, meurtrier criminel voire assassin de Petitced, lors de la Croisade contre les réformés du printemps 145.
Petitced le maire qui marchions avec un drapeau blanc, qui avions prévenu lennemi de sa volonté de négocier. Car Petitced estions le premier à se battre sur les murailles de sa ville, mais le premier aussi à souhaiter larrêt des combats.
Petitced assassiné par des meurtriers sans foi ni loi, sous les ordres directs de Yohann.
Yohann poursuivi par sa conscience, espéraient les plus optimistement fous, et surtout par la diplomatie genevoise, sans trêve depuis un an, obligationné de déménager sans cesse pour échapper à linépuisable vitalité du phare du monde connu et à découvrir, Genève.
Genève apprenions que Yohann sétait réfugié quelque part ?
Genève entamait des liens diplomatiques, commerciaux, et bien sûr juridiques. On obtenait le départ du curé meurtrier et assassin.
Mais pas cette fois-ci.
Cette fois-ci, on ne les avions point écoutés, les Genevois.
Alors, les CRS, les Compagnons Reitres Suisses, avaient reçu des lettres de marque de Genève.
Nous nestions pas nombreux ; difficile de nous appeler « armée ». Sans artillerie à trébuchets ou à poudre, on ne pouvions attaquer une ville.
Mais on défendrait lhonneur de notre ville.
Quand tout est perdu, il reste toujours cela.
La défense de la civilisation, du bien-être moral, des prix chers (et nous nen sommes point peu fiers, car comme le disions certains, en Confédération, on nestions point riches, mais on estions aisés ) et de la propreté.
Bref, lhonneur genevois
_________________
C'est pô faux...
Réformé, soldatifié, causifiant...
Le 9 septembre
Bonjour zet salutations zen Deos et Ses trois prophètes zà vous, ô combourgeois, réformés zet autres aristotéliciens zet concitoyens.
Javions décidé de tenir petite chronique de notre voyage entrepris pour la plus grande gloire de notre cité, en nom justice tant aristotélicienne quhumaine.
Chronique que je vous serions gré de porter et placarder en notre belle église St Pierrot où ne puis tenir le culte.
« Ils marchent dans la forêt
Ils sont de plus en plus laids
Même les coups de hache
Narrêteront leur marche »
Même si japprécions modérément le 2e vers de cette strophe dédié à notre projet, par bûcherons berrichons de rencontre, lélan final résumions bien notre volonté de fer.
Oui, les CRS estions là, et ils nestions pas contents.
Ils allions chercher Yohann par la peau du cru à lautre bout du monde
Yohann, lancien curé de Genève.
Yohann, meurtrier criminel voire assassin de Petitced, lors de la Croisade contre les réformés du printemps 145.
Petitced le maire qui marchions avec un drapeau blanc, qui avions prévenu lennemi de sa volonté de négocier. Car Petitced estions le premier à se battre sur les murailles de sa ville, mais le premier aussi à souhaiter larrêt des combats.
Petitced assassiné par des meurtriers sans foi ni loi, sous les ordres directs de Yohann.
Yohann poursuivi par sa conscience, espéraient les plus optimistement fous, et surtout par la diplomatie genevoise, sans trêve depuis un an, obligationné de déménager sans cesse pour échapper à linépuisable vitalité du phare du monde connu et à découvrir, Genève.
Genève apprenions que Yohann sétait réfugié quelque part ?
Genève entamait des liens diplomatiques, commerciaux, et bien sûr juridiques. On obtenait le départ du curé meurtrier et assassin.
Mais pas cette fois-ci.
Cette fois-ci, on ne les avions point écoutés, les Genevois.
Alors, les CRS, les Compagnons Reitres Suisses, avaient reçu des lettres de marque de Genève.
Nous nestions pas nombreux ; difficile de nous appeler « armée ». Sans artillerie à trébuchets ou à poudre, on ne pouvions attaquer une ville.
Mais on défendrait lhonneur de notre ville.
Quand tout est perdu, il reste toujours cela.
La défense de la civilisation, du bien-être moral, des prix chers (et nous nen sommes point peu fiers, car comme le disions certains, en Confédération, on nestions point riches, mais on estions aisés ) et de la propreté.
Bref, lhonneur genevois
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C'est pô faux...
Réformé, soldatifié, causifiant...