Kar1
[Une arrivée Blondine..]
Deux jours quils retardent lentraînement tant demandés des petits faiblards. Enfin.. Plutôt faiblardes en loccurrence. A part le Jules qui est censé être de la partie, que des donzelles. Dommage, la blonde aurait bien aimé en profiter pour faire touche pipi avec un de ses élèves. Mais ce nest que partie remise. Un autre temps, un autre lieu.
Peut être..
Lieu, direction la plage. Au moins ya de lespace. Si qui que ce soit flanche, cest sur du sable fin. Pas de gros risques pour les apprentis. Pour le moment, la voilà seule à sy diriger. Légèrement en avance. Empâtée quelle devient la blonde. Un bout de temps quelle na pas usé de sa force pour obtenir quelque chose. La géant lavait même traité de.. Barf.. Je sais plus, mais elle na pas apprécié la blonde. Presque vexée dailleurs, elle avait fermé son clapet le temps doublier linsulte et dessayer de comprendre la raison pour laquelle le Colosse avait remonté ce genre dinformation jusquà son cerveau. Jusqu'à en croire le moindre mot.
Agacée donc. Fatiguée aussi. Un peu lasse à vrai dire, bien trop lasse aujourdhui. Mais quy faire. Pas grand-chose. Juste secouer la tête, se vider lesprit, remplir ses muscles et ses poumons et aller de lavant. Lapprentissage lui servira dentraînement, ce nest pas plus mal.
Empâtée que je vous dis.
Arrivée en haut dune dune, un arrêt est de rigueur. Une pensée pour le Liam qui vogue au gré du vent entre ces vagues. Dernière fois quelle a atteint la plage Karine, l'Adieu au Noir. Des semaines maintenant. Déjà..
Et puis, ce blond qui est aux abonnés absent. Ce Troubaba qui ne chante plus pour elle. Qui ne donne aucun signe de vie. Qui préfère les nonnes à à une Blondine pourtant si sensuelle. Alors pour répondre à cette pensée, les yeux de la blonde se ferment un instant. Oublier ou lon se trouve un instant, sembler flotter près du ciel, réchauffée par le soleil. Pas trop loin quand même, pouvoir revenir à un seul clignement de lil car la vie de cette blonde nest pas terminée.
Mais lennui. Lennui quand tu nous tiens..
Et elle sélance. Ses pieds foulent le sable plat et fin de la plage. Ses épaules ne sont pas bien recouvertes, mais cest tout bonnement recherché. Sa peau frissonne, ses bras ses croisent. Elle semble tellement fragile seule là au milieu dun vide certain.
Mais ce nest que le repos avant la bataille, la concentration avant léchauffement.
En place la blonde.
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Karine de Pommières.
Deux jours quils retardent lentraînement tant demandés des petits faiblards. Enfin.. Plutôt faiblardes en loccurrence. A part le Jules qui est censé être de la partie, que des donzelles. Dommage, la blonde aurait bien aimé en profiter pour faire touche pipi avec un de ses élèves. Mais ce nest que partie remise. Un autre temps, un autre lieu.
Peut être..
Lieu, direction la plage. Au moins ya de lespace. Si qui que ce soit flanche, cest sur du sable fin. Pas de gros risques pour les apprentis. Pour le moment, la voilà seule à sy diriger. Légèrement en avance. Empâtée quelle devient la blonde. Un bout de temps quelle na pas usé de sa force pour obtenir quelque chose. La géant lavait même traité de.. Barf.. Je sais plus, mais elle na pas apprécié la blonde. Presque vexée dailleurs, elle avait fermé son clapet le temps doublier linsulte et dessayer de comprendre la raison pour laquelle le Colosse avait remonté ce genre dinformation jusquà son cerveau. Jusqu'à en croire le moindre mot.
Agacée donc. Fatiguée aussi. Un peu lasse à vrai dire, bien trop lasse aujourdhui. Mais quy faire. Pas grand-chose. Juste secouer la tête, se vider lesprit, remplir ses muscles et ses poumons et aller de lavant. Lapprentissage lui servira dentraînement, ce nest pas plus mal.
Empâtée que je vous dis.
Arrivée en haut dune dune, un arrêt est de rigueur. Une pensée pour le Liam qui vogue au gré du vent entre ces vagues. Dernière fois quelle a atteint la plage Karine, l'Adieu au Noir. Des semaines maintenant. Déjà..
Et puis, ce blond qui est aux abonnés absent. Ce Troubaba qui ne chante plus pour elle. Qui ne donne aucun signe de vie. Qui préfère les nonnes à à une Blondine pourtant si sensuelle. Alors pour répondre à cette pensée, les yeux de la blonde se ferment un instant. Oublier ou lon se trouve un instant, sembler flotter près du ciel, réchauffée par le soleil. Pas trop loin quand même, pouvoir revenir à un seul clignement de lil car la vie de cette blonde nest pas terminée.
Mais lennui. Lennui quand tu nous tiens..
Et elle sélance. Ses pieds foulent le sable plat et fin de la plage. Ses épaules ne sont pas bien recouvertes, mais cest tout bonnement recherché. Sa peau frissonne, ses bras ses croisent. Elle semble tellement fragile seule là au milieu dun vide certain.
Mais ce nest que le repos avant la bataille, la concentration avant léchauffement.
En place la blonde.
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Karine de Pommières.