Notwen
Citation:
Messire Chancelier,
avant-hier, suite à la trahison de l'actuel avoyer fribourgeois, je vous exhortais à le faire revenir dans la Confédération, à faire cesser cette trahison flagrante.
Vous avez appelé à un débat, et je vous en sais gré. Force est de constater que depuis 48 heures, aucun débat n'a commencé, et l'avoyer fribourgeois reste dans sa position de trahison de l'Helvétie. Vous dites avoir fait le nécessaire et espérer :
Messire Chancelier, j'aimerais vous croire. Mais j'apprends en même temps que le traître à la Confédération, l'avoyer Ferrucius dont vous espérez une réponse est candidat sur votre liste.
Si vous le considériez comme un traître, la première chose que vous auriez faite aurait été de ne pas l'inviter sur votre liste. Ou, après-coup, de l'en exclure.
Sa présence sur votre liste trahit donc le fait que vous soutenez ce traître. Le soutien à un traître à la Confédération est incompatible avec le poste de Chancelier que vous occupez.
J'en tire donc les conséquences, Messire Chancelier.
Je vous présente ce jour ma démission du conseil confédéral que vous dirigez. Et je vous invite, en cohérence avec votre position de soutien au traître, à démissionner vous aussi.
Cela permettra à l'Helvétie d'avoir un nouveau chancelier, impartial, qui aura une chance de résoudre la crise.
Messire Chancelier, j'aurais tout tenté pour vous aider à jouer votre rôle de Chancelier, de rassembleur, de garant de l'unité helvète.
C'est avec tristesse que je constate aujourd'hui qu'au lieu de soutenir l'unité helvète, vous soutenez plutôt le traître à la confédération.
Je souhaite bon courage au chancelier qui prendra votre succession. Il en aura besoin.
Helvétiquement vôtre,
Notwen de la Concorde,
[HRP: concorde un peu en berne aujourd'hui, mais on ne peut pas se laisser berner à Berne éternellement ]
PS : Les mines sont entretenues, si vous ne démissionnez pas vous avez encore 24 heures pour trouver un successeur. [HRP : Je peux naturellement aider Accro à faire le nécessaire, d'ailleurs tout est écrit dans le bureau à Berne.]
avant-hier, suite à la trahison de l'actuel avoyer fribourgeois, je vous exhortais à le faire revenir dans la Confédération, à faire cesser cette trahison flagrante.
Vous avez appelé à un débat, et je vous en sais gré. Force est de constater que depuis 48 heures, aucun débat n'a commencé, et l'avoyer fribourgeois reste dans sa position de trahison de l'Helvétie. Vous dites avoir fait le nécessaire et espérer :
Federer a écrit:
[HRP: Sans appel ? Vous vouliez dire "sans réponse" je présume ?]
Pour information, j'ai écrit à Fribourg, j'espère que ma lettre ne restera pas sans appel... Je souhaite une table ouverte comme je l'ai déjà dit lors de mon allocution. En espèrant vivement que Les Autorités de Fribourg et des autres Cantons viennent ici. Je ne suis pas magicien ou sorcier, si les différantes parties ne souhaite pas discuter, alors je crains que rien n'y fera.
Messire Chancelier, j'aimerais vous croire. Mais j'apprends en même temps que le traître à la Confédération, l'avoyer Ferrucius dont vous espérez une réponse est candidat sur votre liste.
Si vous le considériez comme un traître, la première chose que vous auriez faite aurait été de ne pas l'inviter sur votre liste. Ou, après-coup, de l'en exclure.
Sa présence sur votre liste trahit donc le fait que vous soutenez ce traître. Le soutien à un traître à la Confédération est incompatible avec le poste de Chancelier que vous occupez.
J'en tire donc les conséquences, Messire Chancelier.
Je vous présente ce jour ma démission du conseil confédéral que vous dirigez. Et je vous invite, en cohérence avec votre position de soutien au traître, à démissionner vous aussi.
Cela permettra à l'Helvétie d'avoir un nouveau chancelier, impartial, qui aura une chance de résoudre la crise.
Messire Chancelier, j'aurais tout tenté pour vous aider à jouer votre rôle de Chancelier, de rassembleur, de garant de l'unité helvète.
C'est avec tristesse que je constate aujourd'hui qu'au lieu de soutenir l'unité helvète, vous soutenez plutôt le traître à la confédération.
Je souhaite bon courage au chancelier qui prendra votre succession. Il en aura besoin.
Helvétiquement vôtre,
Notwen de la Concorde,
[HRP: concorde un peu en berne aujourd'hui, mais on ne peut pas se laisser berner à Berne éternellement ]
PS : Les mines sont entretenues, si vous ne démissionnez pas vous avez encore 24 heures pour trouver un successeur. [HRP : Je peux naturellement aider Accro à faire le nécessaire, d'ailleurs tout est écrit dans le bureau à Berne.]
***
Citation:
Herr Bundeskanzler,
Vorgestern, nach dem Verrat an der aktuellen Schultheiß Freiburg, ersuche ich Sie, nicht wieder in den Bund, an diesem eklatanten Betrug zu stoppen.
Sie haben sich für eine Debatte genannt, und ich bin dankbar. Es ist klar, dass für 48 Stunden, keine Debatte begonnen hat, und das Freiburger Schultheiß bleibt in seiner Position Verrat an Helvetia. Sie sagen, Sie haben genug getan und Hoffnung:
Herr Bundeskanzler, ich glaube dir. Aber ich lerne in der gleichen Zeit wie die Verräter an der Eidgenossenschaft der Schultheiß Ferrucius Sie erwarten eine Antwort ist ein Kandidat auf Ihrer Liste.
Wenn Sie sich ein Verräter, das erste, was Sie gemacht haben, nicht prüfen, fordert ihn auf Ihrer Liste. Oder nach der Tat, die begrenzt.
Seine Präsenz auf Ihrer Liste verrät die Tatsache, dass Sie unterstützen diese Verräter. Unterstützung ein Verräter an den Bund ist mit der Position des Kanzlers, die Sie einnehmen inkonsistent.
Also habe ich die Konsequenzen ziehen, Herr Bundeskanzler.
Ich stelle Ihnen heute meinen Rücktritt aus dem Verwaltungsrat mit Bundesrat, die Position. Und Ich bitte Sie, im Einklang mit dem Standpunkt der Unterstützung für den Verräter zu verzichten.
Auf diese Weise können Helvetia haben einen neuen Kanzler, unparteiisch, die eine Chance, die Krise zu lösen hat.
Herr Bundeskanzler, ich habe alles versucht zu helfen, Sie spielen Ihre Rolle als Bundeskanzler, Veranstalter, Garant der helvetischen Einheit.
Es ist traurig, dass ich heute zur Kenntnis, dass anstelle der Förderung der Helvetischen Einheit, sondern Sie unterstützen ein Verräter an der Konföderation.
Ich wünsche viel Glück für den Kanzler, wird Ihr Erbe anzutreten. Er braucht.
Helvetische Grüsse,
Notwen von der Eintracht
Vorgestern, nach dem Verrat an der aktuellen Schultheiß Freiburg, ersuche ich Sie, nicht wieder in den Bund, an diesem eklatanten Betrug zu stoppen.
Sie haben sich für eine Debatte genannt, und ich bin dankbar. Es ist klar, dass für 48 Stunden, keine Debatte begonnen hat, und das Freiburger Schultheiß bleibt in seiner Position Verrat an Helvetia. Sie sagen, Sie haben genug getan und Hoffnung:
Federer a écrit:
[HRP: endgültig ? Meinten Sie "ohne Antwort" ?]
Weitere Informationen, schrieb ich in Freiburg, ich hoffe, mein Brief wird nicht endgültig sein ... Ich möchte eine geöffnete Tabelle wie ich schon sagte in meiner Rede. In hofft sehr, dass die Behörden von Freiburg und andere Stadtbezirke hierher zu kommen. Ich bin kein Magier oder Zauberer, wenn différantes Parteien nicht wollen, zu diskutieren, dann fürchte ich, dass nichts.
Herr Bundeskanzler, ich glaube dir. Aber ich lerne in der gleichen Zeit wie die Verräter an der Eidgenossenschaft der Schultheiß Ferrucius Sie erwarten eine Antwort ist ein Kandidat auf Ihrer Liste.
Wenn Sie sich ein Verräter, das erste, was Sie gemacht haben, nicht prüfen, fordert ihn auf Ihrer Liste. Oder nach der Tat, die begrenzt.
Seine Präsenz auf Ihrer Liste verrät die Tatsache, dass Sie unterstützen diese Verräter. Unterstützung ein Verräter an den Bund ist mit der Position des Kanzlers, die Sie einnehmen inkonsistent.
Also habe ich die Konsequenzen ziehen, Herr Bundeskanzler.
Ich stelle Ihnen heute meinen Rücktritt aus dem Verwaltungsrat mit Bundesrat, die Position. Und Ich bitte Sie, im Einklang mit dem Standpunkt der Unterstützung für den Verräter zu verzichten.
Auf diese Weise können Helvetia haben einen neuen Kanzler, unparteiisch, die eine Chance, die Krise zu lösen hat.
Herr Bundeskanzler, ich habe alles versucht zu helfen, Sie spielen Ihre Rolle als Bundeskanzler, Veranstalter, Garant der helvetischen Einheit.
Es ist traurig, dass ich heute zur Kenntnis, dass anstelle der Förderung der Helvetischen Einheit, sondern Sie unterstützen ein Verräter an der Konföderation.
Ich wünsche viel Glück für den Kanzler, wird Ihr Erbe anzutreten. Er braucht.
Helvetische Grüsse,
Notwen von der Eintracht
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Notwen de la Concorde,
Doyenne de la Faculté de Théologie de l'Université helvète.
Ancienne Chancelière d'Helvétie,
ancienne mairesse et CaC de Genève, et CaM helvète.